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Louvigné-de-Bais

LouvignĂ©-de-Bais [luviÉČe də bɛ] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine en RĂ©gion Bretagne, peuplĂ©e de 1 900 habitants[Note 1].

Louvigné-de-Bais
Louvigné-de-Bais
La mairie.
Blason de Louvigné-de-Bais
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement FougÚres-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Thierry Pigeon
2020-2026
Code postal 35680
Code commune 35161
DĂ©mographie
Gentilé Louvignéens
Population
municipale
1 900 hab. (2020 en augmentation de 6,38 % par rapport Ă  2014en augmentation de 6,38 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 124 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 02â€Č 55″ nord, 1° 19â€Č 50″ ouest
Altitude Min. 33 m
Max. 106 m
Superficie 15,37 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de ChĂąteaugiron
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.louvignedebais.fr

    GĂ©ographie

    Localisation de la commune

    LouvignĂ©-de-Bais se situe Ă  l'est du bassin de Rennes, Ă  35 km Ă  l'est de Rennes. Elle fait partie du Pays de VitrĂ©. Elle dĂ©pendait jusqu'en 2015 du canton de ChĂąteaubourg et dĂ©sormais du canton de ChĂąteaugiron.

    Le relief de la commune est peu accidenté, les altitudes allant de 106 mÚtres pour le point le plus élevé, au sud du bourg, à 55 mÚtres pour le point le plus bas situé dans la vallée du ruisseau de Fouesnel prÚs de l'EntillÚre à la limite ouest du finage communal. Le bourg est à 87 mÚtres d'altitude. Les dénivelés les plus importants sont ceux créés par l'exploitation depuis 1948 d'une importante carriÚre (la carriÚre des Vallons, exploitée par la société Pigeon SA qui produit des pierres, graviers, granulats et sables) de microgranite au sud du bourg[1], dont l'exploitation s'est étendue sur le territoire de la commune voisine de Bais.

    Le rĂ©seau hydrographique est trĂšs modeste, formĂ© essentiellement du ruisseau de Fouesnel, dont la source se trouve sur le territoire de la commune voisine de CornillĂ©, dĂ©nommĂ© en aval de la commune ruisseau de l'EntillĂšre dans sa traversĂ©e de la commune de DomagnĂ©, puis ruisseau de Taillepied dans sa traversĂ©e de la commune de PirĂ©-sur-Seiche, et d'un ruisseau dont la source est au sud-est du bourg en amont de l'Ă©tang de Daniel; tous les deux sont des affluents de la Quincampoix, elle-mĂȘme affluent de rive droite de la Seiche, tandis que le ruisseau des Vaux qui prend sa source Ă  Bais, traverse la commune Ă  l'Est, c'est un affluent du ruisseau de la BicheptiĂšre, lui-mĂȘme affluent de rive gauche de la Vilaine. Plusieurs Ă©tangs parsĂšment le territoire communal, le plus important Ă©tant l'Ă©tang de Daniel, mais d'autres se trouvent prĂšs de la Touche et de la PichardiĂšre, dans la partie occidentale de la commune. Le toponyme l'Étang indique aussi l'existence d'un ancien Ă©tang au nord de Fouesnel. Il existait aussi deux Ă©tangs en amont des moulins de Pont-Dauphin et des Rochettes, Ă  l'emplacement de la carriĂšre.

    Le paysage rural traditionnel de la commune est celui du bocage avec un habitat dispersé en nombreux écarts formés de hameaux et de fermes isolées.

    Communes limitrophes

    Infrastructures

    Le territoire communal de Louvigné-de-Bais est traversé par différentes infrastructures :

    La commune est desservie par la ligne de bus n°1 de Vitré Communauté.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 3,1 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 771 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Launay-Villiers », sur la commune de Launay-Villiers, mise en service en 2001[8] et qui se trouve Ă  26 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 858,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă  29 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[14].

    Urbanisme

    Typologie

    Louvigné-de-Bais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [15] - [16] - [17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18] - [19].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (92,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (50,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (20,9 %), prairies (16,1 %), zones urbanisĂ©es (7,1 %), mines, dĂ©charges et chantiers (3,8 %), cultures permanentes (1,7 %)[20].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[21].

    Toponymie

    Louvigné : Attesté sous les formes ecclesia de Loveniaco en 1158, Lovigneium en 1170, Lupiniacum prope Baiscum en 1516, Loupvigné au XVIIe siÚcle[22]. Louvigné est issu du gallo-romain Lupinius et du suffixe acum (« domaine de »)[22], altéré ultérieurement en gné.

    Bais : AttestĂ© sous la forme Bediscum en 889. Bais vient semble-t-il d’un dĂ©rivĂ© du mot abbaye[22], du gaulois bedo- (fosse) ou betu- (bouleau), et suffixe ligure –iscum.

    Histoire

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    Coupé : au premier d'argent au lion issant de gueules, armé d'or, au second losangé ; de gueules et d'or, à la croix pattée de sable brochant sur le tout ; le tout enfermé dans une bordure d'azur chargée de neuf macles d'or[23].

    Moyen Âge

    Selon Jean-Baptiste OgĂ©e, en 1160, Étienne, Ă©vĂȘque de Rennes, donne aux moines de l'abbaye de Marmoutier la prĂ©sentation[24] de l'Ă©glise de LouvignĂ©, et la moitiĂ© des revenus de cette Ă©glise, exceptĂ© ce qui revenait des confessions et des baptĂȘmes[25]. Mais il s'agit lĂ  d'une erreur, OgĂ©e ayant confondu LouvignĂ©-de-Bais avec LouvignĂ©-du-DĂ©sert. En fait Alain, Ă©vĂȘque de Rennes entre 1151 et 1157, donna l'Ă©glise de LouvignĂ©-de-Bais Ă  l'Abbaye Saint-Melaine de Rennes[26]. Cette donation fut confirmĂ©e en 1158 par Josse, archevĂȘque de Tours, en 1171 et 1181 par Étienne et Philippe, Ă©vĂȘques de Rennes, et en 1185 par le pape Luce III[27].

    « Le , la duchesse Anne de Bretagne donna commission à Gilles de Coëtlogon[28],seigneur de Mejusseaume, et son chambellan, de faire couler les eaux des étangs qui environnaient le chùteau de Saudecourt, dont les Français voulaient s'emparer, parce qu'ils avaient dessein de faire un camp dans les environs ; mais, par le moyen de cet écoulement, il ne fut pas possible à l'ennemi d'en approcher »[25].

    Saudecourt[29] Ă©tait un chĂąteau qui Ă©tait la principale seigneurie de la paroisse : en 1477 le duc de Bretagne permit au seigneur de Saudecourt de rĂ©tablir « sa justice patibulaire, carrĂ©e et gibet Ă  quatre pots »[30]. Cette seigneurie disposait donc des droits de haute, moyenne et basse justice, dont dĂ©pendait alors un certain nombre de mĂ©tairies et de moulins en LouvignĂ©, Bais, PirĂ©, ChaumerĂ© et DomagnĂ©[31]. Des lettres patentes en date du prĂ©cisent que le seigneur de Saudecourt est « seigneur fondateur de l'Ă©glise de Louvigné», ce que le seigneur de Fouesnel, qui le contestait, est contraint de reconnaĂźtre le [30]. La seigneurie de Saudecourt Ă©tait possĂ©dĂ©e par la famille d'Espinay.

    La maison forte de LentillÚre, entourée de douves, fut ruinée par les Anglais pendant la guerre de Cent Ans. Un portail et un bùtiment servent de cellier étaient encore visibles à la fin du XIXe siÚcle. Guy Geffrard, sieur de LentillÚre, marié en 1573 avec Renée Le Corvaisier, puis en 1588 avec Marie Thomas et en 1591 avec Marie Malherbe fut un Ligueur[32].

    Époque moderne

    À partir de 1495 (cette annĂ©e-lĂ , AndrĂ© de Poix, seigneur de Saint-Romand et de LiĂ©, Ă©pousa Jeanne Le Vayer, dame de Fouesnel), la famille de Poix possĂ©da la seigneurie de Fouesnel ; successivement Michel de Poix (mariĂ© avec RenĂ©e du Hallay, puis Catherine du Han), Christophe de Poix (qui Ă©pousa vers 1560 Michelle Le SĂ©nĂ©chal, dame de La Valette), RenĂ© de Poix, Renaud de Poix (mort Ă  Fouesnel en 1669), Gilles de Poix (aussi seigneur de la Massais, en Guichen) en furent les seigneurs, avant que la seigneurie ne passe en 1704 aux mains de RenĂ©-François de Visdelou[33], seigneur de Bienassis et conseiller au Parlement de Bretagne, en raison de son mariage en 1704 avec Marguerite-Isis de Poix, fille de Gilles de Poix[34]. Le seigneur de Fouesnel avait sa propre chapelle dans l'Ă©glise de LouvignĂ©, dans laquelle se trouvait l'autel du Rosaire et un enfeu dans lequel furent inhumĂ©s Renaud de Poix en 1669 et son Ă©pouse Marie d'Espinose en 1693[35].

    Les seigneurs de la Touche disposaient aussi d'un enfeu dans l'église de Louvigné, dans lequel on déposa les corps de René Busnel, seigneur de la Touche, en 1726, et de son épouse Anne de L'Espinay en 1749[35].

    Henri Busson[36] a décrit dans un long article la paroisse et l'église de Louvigné-de-Bais entre 1536 et 1563[37].

    En 1589, des habitants de 53 paroisses de la baronnie de VitrĂ© participĂšrent, au cĂŽtĂ© des troupes du duc de MercƓur, au siĂšge de VitrĂ©, alors une place-forte calviniste. Parmi eux, Guillaume Layer, marchand de toiles Ă  LouvignĂ©-de-Bais[38].

    En mars 1604, Henri IV accordait Ă  Charles d'Épinay (le marquisat d'Épinay se trouvait en Champeaux) des lettres patentes portant union de la terres de Saudecourt en LouvignĂ©-de-Bais, Ă  son marquisat. Vers 1680, le duc de La TrĂ©moille, ou plus probablement son fils Louis Maurice de La TrĂ©moille, vend le fief de ChaumerĂ©, qui dĂ©pendait de la terre de Saudecourt, Ă  Christophe de Rosnyvinen, seigneur de PirĂ©[39].

    Un chemin des saulniers (empruntĂ© par les faux-sauniers pratiquant la contrebande du sel entre la Bretagne et le Maine, pays de gabelle, passe Ă  la limite des communes de Veneffles (dĂ©sormais annexĂ©e par la commune de ChĂąteaugiron) et d'OssĂ© avec celles de ChaumerĂ© (dĂ©sormais annexĂ©e par la commune de DomagnĂ©) et Saint-Aubin-du-Pavail, puis, aprĂšs avoir traversĂ© DomagnĂ©, passe Ă  la limite de celle de CornillĂ© avec celles de TorcĂ© et LouvignĂ©-de-Bais avant de rejoindre, via Étrelles et ArgentrĂ©-du-Plessis, Le Pertre. Ce chemin des saulniers est d'origine ancienne, c'est probablement une ancienne voie romaine ; son tracĂ© se lit encore trĂšs bien sur une carte, empruntant successivement de l'ouest vers l'est des tronçons des routes dĂ©partementales D 93, D 104, D 35, Ă  nouveau D 104 et enfin D 33[40].

    Aux XVIIe siĂšcle et XVIIIe siĂšcle, l'Ă©glise Ă©tait desservie par des prĂȘtres sĂ©culiers et non plus par des bĂ©nĂ©dictins. Le recteur percevait le tiers des dĂźmes, la fabrique un tiers, le dernier tiers Ă©tant versĂ© aux bĂ©nĂ©dictins de VitrĂ©, qui dĂ©pendait de l'abbaye Saint-Melaine de Rennes[22]. Deux confrĂ©ries existaient au XVIIIe siĂšcle : la confrĂ©rie du Saint-Rosaire et celle de Notre-Dame-de-PitiĂ©, Ă©rigĂ©e en 1665. La paroisse possĂ©dait alors cinq chapelles : la chapelle Saint-Job (construite vers 1620 dans le cimetiĂšre) ; la chapelle Notre-Dame et Saint-Jacques de Fouesnel (la chapellenie avait Ă©tĂ© fondĂ©e par les seigneurs de Fouesnel ; la chapelle Ă©tait de style ogival) ; la chapelle Notre-Dame et Saint-Eutrope de la Touche (elle existait dĂ©jĂ  en 1630 ; cette chapelle bĂ©nĂ©ficia d'une fondation par Georges Busnel et Françoise LambarĂ©, seigneur et dame de la Touche le , renouvelĂ©e par Jacques Busnel, seigneur de la Touche le ) ; la chapelle de Saudecourt, mentionnĂ©e en 1711 et 1723 ; la chapelle de la Proulais (en 1691, le fief de la Proulais, qui disposait du droit de basse justice, appartenait au recteur de la paroisse)[35].

    Jean-Baptiste Ogée décrit ainsi Louvigné-de-Bais en 1778 :

    « LouvignĂ©-de-Bais, Ă  6 lieues un quart Ă  l'est de Rennes, son Ă©vĂȘchĂ© et son ressort et Ă  deux lieues Âœ de VitrĂ©, sa subdĂ©lĂ©gation. On y compte 1 000 communiants[41]. La cure est Ă  l'alternative. Le territoire est un pays plat et couvert de bois et buissons, oĂč l'on trouve des terres bien cultivĂ©es et abondantes en grains. (...) Fouesnel, haute, moyenne et basse justice Ă  M. de PirĂ©[42]; la Touche, moyenne et basse justice, Ă  M. Busnel de la Touche[25] »

    Le manoir de la Touche, probablement un ancien prieuré bénédictin, qui avait été pillé par les Ligueurs en 1589, resta propriété de la famille Busnel jusqu'à la Révolution française pendant laquelle son dernier représentant fut assassiné[43].

    Révolution française

    Hyacinthe Porteu de la MorandiĂšre[44], procureur fiscal de la baronnie de VitrĂ©, fut l’un des signataires du cahier de dolĂ©ances rĂ©digĂ© dans la sacristie de LouvignĂ©-de-Bais en 1789.

    Charles-Anne Gobil de Villeray, recteur de LouvignĂ©-de-Bais depuis 1757, prĂȘta serment de fidĂ©litĂ© Ă  la Constitution civile du clergĂ© en 1791, devenant donc prĂȘtre assermentĂ©, mais se rĂ©tracta en 1796. Il mourut en 1799, ĂągĂ© de 86 ans[45]. Pierre Bouthemy, chapelain de Fouesnel (en LouvignĂ©-de-Bais), recteur de La Valette en 1783, de PirĂ© en 1787, fut prĂȘtre insermentĂ© en 1791, incarcĂ©rĂ© Ă  la prison Saint-Melaine de Rennes en 1792, s'exila Ă  Jersey, puis fut nommĂ© en 1803 recteur de VergĂ©al[46].

    La population de la commune Ă©tait, paraĂźt-il, favorable aux changements apportĂ©s par la RĂ©volution française, surtout aprĂšs la fin de la Terreur. La principale fĂȘte rĂ©volutionnaire est celle cĂ©lĂ©brant l’anniversaire de l’exĂ©cution de Louis XVI, accompagnĂ©e d’un serment de haine Ă  la royautĂ© et Ă  l’anarchie, fĂȘtĂ©e Ă  partir de 1795[47]. À la suite de la prise de pouvoir de NapolĂ©on Ier, ce serment a disparu en 1802 et sur les ordres du Consulat, fut remplacĂ© par un serment de fidĂ©litĂ© Ă  la Constitution.

    Le XIXe siĂšcle

    Jean-Baptiste Dubourdieu, nommé recteur de Louvigné-de-Bais en 1804, avait auparavant émigré en Espagne en 1792. Il fut nommé chapelain des Ursulines de Vitré en 1819 et mourut en 1849[48].

    Un soldat originaire de LouvignĂ©-de-Bais, Guy Raymond Baron, est dĂ©cĂ©dĂ© des suites de ses blessures sur le champ de bataille de Blida le dans le cadre de la conquĂȘte de l'AlgĂ©rie par la France.

    A. Marteville et P. Varin, continuateurs d'Ogée, décrivent ainsi Louvigné-de-Bais en 1843 :

    « LouvignĂ©-de-Bais (sous l'invocation de saint Patern, Ă©vĂȘque d'Avranches), commune formĂ©e de l'ancienne paroisse de ce nom, aujourd'hui succursale. (...) Principaux villages : la Frotais, la Chenais, la GuĂ©riviĂšre, la Rougerie, la Richardais, le Pin, la Gaudinais, la CouardiĂšre, le MĂ©nil. Maisons principales : le Bois-Dy, Fouesnel, Saut-Court [Saudecourt], l'EntillĂšre, la Touche. Superficie totale : 1557 hectares dont (...) terres labourables 1039 ha, prĂ©s et pĂąturages 241 ha, bois 57 ha, vergers et jardins 41 ha, landes et incultes 79 ha, Ă©tangs 24 ha (...). Moulins : 5 (de Fouesnel, de Daniel, des Rochettes, Ă  eau ; 2 Ă  vent prĂšs le Champ-Poirier. (...) Le chĂąteau de Saut-Court [Saudecourt], entiĂšrement ruinĂ©, Ă©tait en 1790 rĂ©uni depuis plus de deux cents ans avec tous ses fiefs Ă  la baronnie de VitrĂ©. On voit encore Ă  cet endroit une enceinte de larges fossĂ©s qui communiquent avec un vaste Ă©tang nommĂ© "Daniel", situĂ© immĂ©diatement au-dessous de celui des Rochettes. Fouesnel, assez bien conservĂ©, possĂ©dait grand nombre de fiefs et mĂ©tairies, ainsi que des Ă©tangs actuellement Ă  sec, et sur lesquels on voit encore des indices de moulins. C'est, dit-on, en ce chĂąteau qu'est nĂ© le lieutenant-gĂ©nĂ©ral comte Rosnyvinen de PirĂ©. Le chĂąteau de l'EntillĂšre n'est plus reconnaissable que par les ruines assez belles d'un ancien portail. La culture du chanvre est trĂšs dĂ©veloppĂ©e dans cette commune. Les cultivateurs font presque tous des toiles dites coudelettes, qui sont vendues aux marchĂ©s de Rennes et de ChĂąteaugiron. Le quart de la population est occupĂ© par cette industrie. Le chĂȘne et le chĂątaignier viennent bien dans ce territoire ; on les exploite pour la marine. La route dĂ©partementale n° 19 d'Ille-et-Vilaine[49], dite de Redon Ă  VitrĂ©, traverse cette commune du sud-ouest au nord-est. Il y a marchĂ© le mercredi. GĂ©ologie : schiste argileux ; porphyre dans le sud-est. On parle le français [en fait le gallo][22] »

    Alexandre Pettier[50] fut médecin dans la commune pendant le troisiÚme quart du XIXe siÚcle ; son fils, dénommé aussi Alexandre Pettier[51], fut lui aussi médecin, mais décéda jeune à Saïgon, victime du paludisme. En 1902, la commune recherche un médecin[52].

    Isidore Bourgine[53] engagé volontaire en 1855, lieutenant en 1870, prisonnier de guerre en Allemagne, capitaine en 1879, fut décoré de la Légion d'honneur en 1881[54].

    La chapelle du couvent des Filles de la Sagesse fut bénite le par le recteur M. Mons[35].

    En 1882, un rapport du conseil général d'Ille-et-Vilaine indique que la commune de Louvigné-de-Bais a présenté 30 cas de diphtérie et que 14 décÚs ont été enregistrés[55].

    J. Gilliéron décrivit le patois (le gallo) parlé à Louvigné-de-Bais en 1887[56].

    La Belle Époque

    En 1902, LouvignĂ©-de-Bais recherchait un mĂ©decin-pharmacien grĂące Ă  une petite annonce parue dans le journal L'Ouest-Éclair, avançant notamment comme arguments l'absence de mĂ©decin dans les communes limitrophes, la ligne de tramway allant de Rennes Ă  La Guerche, alors en construction (il fut mis en service en [57]) et le fait que la commune Ă©tait un "pays riche"[58]. Le dĂ©tour de trajet de la ligne de tramway afin de la faire passer par LouvignĂ©-de-Bais, au prix d'un allongement de parcours par rapport au trajet direct Rennes-La Guerche, suscita une polĂ©mique, mais fut obtenu[59]. La ligne ferma en 1947.

    Ernest Perrel, fils d'un ancien maire de Louvigné-de-Bais, cultivateur à la Croix-Méance, fut tué par un voyageur inconnu à qui il refusait l'hospitalité le [60].

    Le dimanche furent inaugurés l'école publique et la mairie de Louvigné-de-Bais[61].

    La PremiĂšre Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Louvigné-de-Bais porte les noms de 52 soldats morts pour la France pendant la PremiÚre Guerre mondiale ; si la plupart sont décédés sur le sol français (par exemple Gabriel Venisse[62] et son frÚre Joseph Venisse[63], Ernest Douin[64] et son frÚre Théophile Douin[65], Marie Joseph Batais[66] et son frÚre Pierre Batais[67], Jean-Marie Neveu[68], etc.), quelques-uns (par exemple Augustin Baganier, François Davenel, Edmond Mazéas) sont décédés en Belgique dÚs l'année 1914 ; Henri Halleux est décédé en Macédoine dans le cadre de l'expédition de Salonique en 1917. Isidore Taupin[69] a été décoré de la croix de guerre[70].

    • Monument aux morts
      Monument aux morts
    • Église Saint-Patern : plaque commĂ©morative des morts de la PremiĂšre Guerre mondiale
      Église Saint-Patern : plaque commĂ©morative des morts de la PremiĂšre Guerre mondiale

    L'Entre-deux-guerres

    Le programme de la fĂȘte locale organisĂ©e en septembre 1936 Ă  LouvignĂ©-de-Bais

    En 1923, l'école publique de filles était fréquentée par trois élÚves alors que l'école privée catholique de filles en avait 62 d'inscrites[71]. Le patronage catholique "Jeanne d'Arc" fut trÚs actif pendant l'Entre-deux-guerres, faisant pratiquer notamment à ses membres théùtre et gymnastique et disposant d'une fanfare[72]. Une amicale laïque existait également.

    Le dimanche , vers 7 heures du soir, alors que la fĂȘte locale se dĂ©roulait, une fusĂ©e partie d'un Ă©tablissement forain installĂ© sur la place de l'Ă©glise dans le but d'atteindre une lanterne vĂ©nitienne perchĂ©e en haut d'un mĂąt Ă  une dizaine de mĂštres de hauteur atteignit le pailler de la ferme voisine du Bourg-Joly qui s'enflamma aussitĂŽt, le feu gagnant quelques dĂ©pendances ; la maison d'habitation fut prĂ©servĂ©e grĂące Ă  l'action des pompiers locaux et de ceux de DomagnĂ© ; cet incendie mit fin brutalement Ă  la fĂȘte[73]. Une fĂȘte locale Ă©tait alors organisĂ©e chaque annĂ©e au mois de septembre[74] (des photos de celle organisĂ©e en 1931 ont Ă©tĂ© publiĂ©es dans le journal L'Ouest-Éclair[75]), celle de 1937 Ă©tant particuliĂšrement rĂ©ussie si l'on en croit le mĂȘme journal[76].

    En 1929, une vive polĂ©mique Ă©clate entre un journaliste du journal L'Ouest-Éclair, Paul Loury, qui a critiquĂ© vivement dans un article de son journal le maire de LouvignĂ©-de-Bais, François Poirier, et ce dernier qui obtint un droit de rĂ©ponse dans ledit journal[77].

    La nouvelle auto-pompe des pompiers de Louvigné-de-Bais fut inaugurée le dimanche [78] ; surnommée "Maryvonne", elle devint vite célÚbre dans la région[79].

    Des accidents survenaient périodiquement dans la carriÚre de Louvigné-de-Bais, qui était déjà en exploitation, par exemple en 1932[80].

    En 1933, le chemin de grande communication no 34 est bitumé dans la traversée de Louvigné-de-Bais, ainsi que la route nationale 777 entre Louvigné-de-Bais et Piré-sur-Seiche[81].

    Les religieuses de l'ordre des Filles de la Sagesse, qui tenaient un hospice à Louvigné-de-Bais depuis environ 200 ans, quittÚrent la commune en 1933[82].

    Une nouvelle Ă©cole privĂ©e catholique de garçons, l'Ă©cole Saint-Paterne, fut inaugurĂ©e le en prĂ©sence de Mgr Mignen, archevĂȘque de Rennes[83].

    Francis Porteu de la MorandiÚre[84] (fils d'Armand Porteu de la MorandiÚre, qui fut député et préfet, et frÚre d'André Porteu de la MorandiÚre, qui fut lui aussi député), capitaine et décoré de la Légion d'honneur et de la croix de guerre, décéda à Louvigné-de-Bais le [85]. Le domaine de la MorandiÚre, contenant "chùteau, dépendances importantes, trois fermes y attenant, diverses piÚces de terre, carriÚre en exploitation, moulin, étang", fut mis en vente en 1934[86]. Il est acheté par la famille Amyot d'Inville en 1936.

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Louvigné-de-Bais porte les noms de 5 personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi eux les trois frÚres Gérald[87], Hubert[88] et Jacques Amyot d'Inville[89] ainsi que A. Lebreton, décédé en 1941 en Allemagne et V. Roussigné, décédé en 1940[70].

    Le lycée de garçons de Rennes fut évacué à Louvigné-de-Bais pendant la Seconde Guerre mondiale[90], dans le couvent des Filles de la Sagesse.

    Politique et administration

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1800 1808 François Desvaux[91] Laboureur propriétaire et expert géomÚtre
    1808 1826 Joseph Jaunay[92] Propriétaire. Officier de santé
    1826 1829 Joseph Marie Savouré[93] Notaire
    1829 1830 Jacques Perrel[94] Propriétaire cultivateur
    1830 1842 Joseph Hunaut Lahaydix[95] Propriétaire
    1842 1846 Joseph Marie Savouré Notaire. Déjà maire entre 1826 et 1829
    1846 1848 François Jaunay[96] Officier de santé. Fils de Joseph Jaunay, maire entre 1808 et 1826
    1848 1852 Pierre Bestin[97] Maréchal
    1852 1861 Joseph Marie Savouré Notaire. Déjà maire entre 1826 et 1829, ainsi qu'entre 1842 et 1846
    1862 1898 Célestin Perrel[98] Propriétaire cultivateur ; conseiller d'arrondissement.
    1898 1915 François Bestin[99] Maréchal. Mort en 1915 . Petit-fils de Pierre Bestin, maire entre 1848 et 1852
    1919 1935 François Poirier[100] Marchand de bestiaux
    1935 1941 Francis Pirot DĂ©missionne en 1941
    1941 1953 François Seité Notaire
    1953 1965 Henri Collin MĂ©decin
    1965 1971 Joseph Renoux Notaire
    1971 1995 Alain Pigeon Entrepreneur TP
    1995 En cours Thierry Pigeon[101] DVD Entrepreneur TP, fils du précédent
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[102]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[103].

    En 2020, la commune comptait 1 900 habitants[Note 7], en augmentation de 6,38 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3321 3911 4191 2801 6331 6361 6301 5841 642
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4991 4851 4821 4281 4581 3531 3011 1841 160
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1431 1201 0969701 0181 0311 0271 012983
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 1021 0871 1221 1241 2091 4111 6751 6951 904
    2020 - - - - - - - -
    1 900--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[104] puis Insee Ă  partir de 2006[105].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Le groupe Pigeon

    Le groupe Pigeon, entreprise de travaux publics, est fortement implanté sur la commune, il possÚde plusieurs entreprises sur la commune ; la carriÚre des Vallons, la Française des plastiques, Pigeon matériaux, Pigeon terrassement, transport Thierry Pigeon, Ouest Formation CBTP, représentant plus de 500 emplois.

    CarriĂšre des Vallons

    La carriĂšre des Vallons a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e en 1948 et a une autorisation de production de 2,5 millions de tonnes par an, ce qui en fait une des plus importantes de Bretagne. Elle s'Ă©tend sur 128 hectares, dont une partie sur la commune voisine de Bais.

    Lieux et monuments

    Le flanc sud de l'Ă©glise Saint-Patern.
    La chapelle Saint-Job.

    La commune compte deux monuments historiques :

    • La chapelle Saint-Job, construite en 1624 et restaurĂ©e en 1874. Elle a Ă©tĂ© inscrite par arrĂȘtĂ© du [106].
    • L'Ă©glise Saint-Patern, Ă©difiĂ©e au XVIe siĂšcle et dotĂ©e d’un clocher au XVIIIe siĂšcle : elle a Ă©tĂ© inscrite par arrĂȘtĂ© du . Cinq de ses vitraux, des XVe et XVIe siĂšcles, avaient Ă©tĂ© prĂ©cĂ©demment classĂ©s le ; l'un d'entre eux, le vitrail de la Transfiguration, achevĂ© en 1544 ou 1545, s'inspire trĂšs directement de gravures de l'artiste italien Antonio Fantuzzi, datant de 1543 seulement[107]. Trois autres vitraux, rĂ©alisĂ©s au XIXe siĂšcle par les verriers rennais Leconte et Colin, ont Ă©tĂ© Ă©galement classĂ©s depuis, par arrĂȘtĂ© du [108].
    L'église, terminée en grande partie au milieu du XVIe siÚcle, est située sur le site d'un sanctuaire roman dont il reste une chapelle. Sur sa façade sud se trouve un cadran solaire daté de 1770.

    Autres monuments et sites[109] :

    • La chapelle Saint-Trottin en plein champ au lieu-dit la GrĂ©e, Saint qui fait marcher (trotter),
    • ChĂąteau de la MorandiĂšre, ancienne propriĂ©tĂ© de la famille Amyot d'Inville,
    • Manoir de Fouesnel,
    • Manoir de Saud-Cour situĂ© Ă  l'emplacement du chĂąteau fĂ©odal de Saudrecourt,
    • Manoir de la Touche,
    • Étang de Daniel, un des Ă©tangs mĂ©so-eutrophes d'Ille-et-Vilaine[110].

    Activité et manifestations

    Le Stade louvignéen fait évoluer une équipe de football en ligue de Bretagne et deux autres en divisions de district[111].

    Personnalités liées à la ville

    Panneau de la rue des frĂšres d'Amyot d'Inville
    • La famille Amyot d'Inville, s'installa au chĂąteau de la MorandiĂšre en 1936. Trois de leurs fils ont pĂ©ri pendant la Seconde Guerre mondiale. Les deux premiers, Jacques, officier du 3e rĂ©giment Ă©tranger d'infanterie, Hubert, membre des Forces navales françaises libres, sont tuĂ©s respectivement en Tunisie en 1943 et pendant la campagne d'Italie en 1944. Le plus jeune, GĂ©rald, prĂȘtre, Ă©tait responsable d'une organisation de la RĂ©sistance Ă  Senlis. ArrĂȘtĂ©, il est dĂ©portĂ© Ă  Dora, oĂč il meurt d'Ă©puisement en . Un aviso de la marine française, a Ă©tĂ© baptisĂ© en leur honneur ainsi que pour leur frĂšre, Guy qui combattit aussi durant cette guerre dans le 7e rĂ©giment de cuirassiers.
    La principale rue de Louvigné-de-Bais porte leur nom et les trois frÚres sont inscrits sur le monument aux morts.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[4].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. http://environnement.unicem-bretagne.fr/files/environnement/Les%20Vallons_0.pdf
    2. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    4. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    5. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    8. « Station Météo-France Launay-Villiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    9. « Orthodromie entre Louvigné-de-Bais et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    10. « Station Météo-France Launay-Villiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    11. « Orthodromie entre Louvigné-de-Bais et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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    14. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    16. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    21. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    22. « Etymologie et Histoire de Louvigné-de-Bais », infobretagne (consulté le ) et A Marteville et P. Varin, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, 1843, consultable https://books.google.fr/books?id=DI8DAAAAYAAJ&printsec=frontcover&dq=bibliogroup:%22Dictionnaire+historique+et+g%C3%A9ographique+de+la+province+de+Bretagne%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwimxqvWjYzSAhUCuBoKHX1zCF4Q6AEILTAD#v=onepage&q=Louvign%C3%A9&f=false
    23. « Louvigné-de-Bais Ille-et-Vilaine », sur GASO, la banque du blason (consulté le ).
    24. C'est-à-dire le droit de choisir le curé
    25. Jean-Baptiste Ogée, Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, volume 2, 1778, consultable https://archive.org/details/dictionnairehist02og
    26. « LouvignĂ©-de-Bais : Histoire, Patrimoine, Noblesse (commune du canton de
 », sur infobretagne.com (consultĂ© le ).
    27. AmĂ©dĂ©e Guillotin de Corson, PouillĂ© historique de l'archevĂȘchĂ© de Rennes, volume 5, 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k75001z/f111.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais
    28. Gilles de Coëtlogon, seigneur de la Gaudinaye, conseiller du duc de Bretagne, décédé vers 1505
    29. Henri Busson Ă©crit en 1923 qu'il n'a retrouvĂ© du chĂąteau de Saudecourt, totalement dĂ©truit, qu'un mur avec un enfoncement supposĂ© ĂȘtre l'entrĂ©e d'un souterrain, une margelle de puits et une pierre portant les armes de Guy III d'Espinay et de Louise de Goulaine
    30. M. Etasse, Documents inédits concernant la baronnie de Vitré, "Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine", 1910, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k207795g/f144.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=21459;2
    31. Henri Busson, "Charles d'Espinay, Ă©vĂȘque de Dol: son Ɠuvre poĂ©tique (1531?-1591)", 1923, consultable https://books.google.fr/books?id=5rr1PCsvUwYC&pg=PA9&lpg=PA9&dq=Ch%C3%A2teau+de+Saudecourt&source=bl&ots=w5EG3oaWe-&sig=acW71-Yq_1FGIXZipBVn3g1QYXk&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwjVnYCw5onSAhVJVhoKHR-8DmcQ6AEIIzAA#v=onepage&q=Ch%C3%A2teau%20de%20Saudecourt&f=false
    32. Édouard Frain, Tableaux gĂ©nĂ©alogiques, notices et documents inĂ©dits au soutien du MĂ©moire oĂč il est fait mention de plusieurs familles Ă©tablies Ă  VitrĂ© et paroisses environnantes aux XVe, XVIe, XVIIe et XVIIIe siĂšcles, 1890, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k74143x/f51.image.r=louvign%C3%A9-de-bais?rk=858373;2
    33. René-François de Visdelou, né le au chùteau de Bienassis en Erquy, décédé le à la Tourneray en Goven
    34. Xavier de Bellevue, GĂ©nĂ©alogie de la maison Fournier, actuellement reprĂ©sentĂ©e par les Fournier de BellevĂŒe, 1909, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k57280229/f452.image.r=domagn%C3%A9
    35. AmĂ©dĂ©e Guillotin de Corson, PouillĂ© historique de l'archevĂȘchĂ© de Rennes, volume 5, 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k75001z/f116.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais
    36. Henri Busson, né en 1886 , décédé en février 1971 à Bordeaux, linguiste et historien de la littérature, professeur au petit séminaire de Chùteaugiron, puis à l'université d'Alger
    37. Henri Busson, L'église et la paroisse de Louvigné-de-Bais (1536 - 1563), revue Annales de Bretagne, 1926, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k115330r/f313.image.r=domagn%C3%A9
    38. F. Jouon des Longrais, Information du Sénéchal de Rennes contre les Ligueurs, 1589, revue "Mémoires de la Société archéologique d'Ille-et-Vilaine", 1911, cité par "Revue d'histoire moderne et contemporaine", juillet 1976, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5446239g/f84.image.r=louvign%C3%A9-de-bais?rk=901292;0
    39. Séance du 26 août 1868, "Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", 1868, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5562095z/f364.image.r=Chaumer%C3%A9
    40. Paul BanĂ©at, Étude sur les voies romaines du dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine, "Bulletin et mĂ©moires de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique du dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine", 1927, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k122073r/f98.image.r=Domagn%C3%A9
    41. Personnes en Ăąge de communier
    42. Pierre-Marie de Rosnyvinen, marquis de Piré
    43. http://fr.topic-topos.com/manoir-de-la-famille-busnel-louvigne-de-bais
    44. Hyacinthe Porteu de la MorandiÚre, né le à Saint-Jean-sur-Vilaine, décédé le à Louvigné-de-Bais
    45. René Kerliver, Répertoire général de bio-bibliographie bretonne, livre premier, Les Bretons, 6, 1886, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5835417z/f244.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=493564;4
    46. René Kerliver, Répertoire général de bio-bibliographie bretonne, livre premier, Les Bretons, 6, 1886, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5816057v/f95.image.r=louvign%C3%A9-de-bais?rk=107296;4
    47. Louis Dubreuil, « FĂȘtes rĂ©volutionnaires en Ille-et-Vilaine », in Annales de Bretagne, volume 21, tome 4, 1905, p. 398-399.
    48. René Kerviler, Répertoire général de bio-bibliographie bretonne, livre premier, Les Bretons, 12-13, 1886, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5816149n/f85.image.r=louvign%C3%A9-de-bais?rk=128756;0
    49. Devenue par la suite la route nationale 777
    50. Alexandre Pettier, né le à Domagné, décédé le à Louvigné-de-Bais
    51. Alexandre Pettier, né le à Louvigné-de-Bais, sergent au 2e régiment de tirailleurs tonkinois, décédé le à Saïgon
    52. Journal Ouest-Éclair no 1232 du , consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k639837k/f4.image.r=Domagn%C3%A9?rk=8412058;4
    53. Isidore François Joseph Bourgine, né le à Louvigné-de-Bais
    54. René Lerviler, Répertoire général de bio-bibliographie bretonne, livre premier, Les Bretons, 6, 1880, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5816057v/f29.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=107296;4
    55. Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine, 1882, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5578892m/f531.image.r=Balaz%C3%A9?rk=987129;2
    56. J. Gilliéron, Patois de Louvigné-de-Bais (prÚs Vitré), Revue des patois gallo-romans, tome 1, 1887, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k929839/f179.image.r=louvign%C3%A9-de-bais
    57. Journal L'Ouest-Éclair no 1762 du 16 juin 1904, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k640371w/f3.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=4828350;0
    58. Journal L'Ouest-Éclair no 1226 du 24 dĂ©cembre 1902, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6398319/f4.image.r=Louvign%C3%A9-de-bais?rk=1351938;0
    59. Journal L'Ouest-Éclair no 743 du 25 aoĂ»t 1901, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k639347c/f2.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=5515048;4
    60. Journal L'Ouest-Éclair no 3341 du , consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6410552/f2.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=6373422;0
    61. Journal L'Ouest-Éclair no 4627 du 24 septembre 1911, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k643027b/f3.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=10751126;0
    62. Gabriel Venisse, nĂ© le au bourg de LouvignĂ©-de-Bais, prĂȘtre, sergent au 41e rĂ©giment d'infanterie, dĂ©cĂ©dĂ© le Ă  Vassogne (Aisne)
    63. Joseph Venisse, né le au bourg de Louvigné-de-Bais, ouvrier menuisier, soldat au 41e régiment d'infanterie, décédé le à Sains-Richaumont (Aisne)
    64. Ernest Douin, né le à Vauzé en Louvigné-de-Bais, cultivateur, soldat au 47e régiment d'infanterie, décédé le à Habarcq (Pas-de-Calais)
    65. Théophile Douin, né le à Gaudinais en Louvigné-de-Bais, cultivateur à Vauzé, soldat au 3e régiment de zouaves, décédé le à Fleury-devant-Douaumont (Meuse)
    66. Marie Joseph Batais, nĂ© le Ă  l'Étang en LouvignĂ©-de-Bais, Ă©tudiant ecclĂ©siastique, soldat au 71e bataillon de tirailleurs sĂ©nĂ©galais, dĂ©cĂ©dĂ© le Ă  Beaumont (Meuse)
    67. Pierre Batais, nĂ© le Ă  l'Étang en LouvignĂ©-de-Bais, cultivateur, soldat au 8e rĂ©giment de zouaves, dĂ©cĂ©dĂ© le des suites de ses blessures de guerre Ă  l'hĂŽpital militaire de Rennes
    68. Jean-Marie Neveu, soldat au 2e groupe d'aviation, atteint par une bombe d'avion et mort le Ă  l'hĂŽpital militaire du camp de Mailly, voir journal Ouest-Éclair no 7753 du 26 dĂ©cembre 1922, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k647135b/f3.image.r=Louvign%C3%A9-de-bais?rk=321890;0
    69. Isidore Taupin, né le à Louvigné-de-Bais, soldat au 47e régiment d'infanterie, tué à l'ennemi le à Mareuil-le-Port (Marne)
    70. http://www.memorialgenweb.org/memorial3/html/fr/resultcommune.php?idsource=34473
    71. "École et famille : bulletin mensuel de l'Union des associations catholiques des chefs de famille", dĂ©cembre 1923, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5784974j/f7.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=21459;2
    72. Journal L'Ouest-Éclair no 14678 du 15 janvier 1937, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k660773c/f9.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=4098732;4 et no 15123 du 6 avril 1938, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k661218x/f10.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=5214618;0
    73. Journal L'Ouest-Éclair no 9824 du 18 septembre 1928, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k657579q/f5.image.r=Louvign%C3%A9-de-bais?rk=42918;4
    74. Journal Ouest-Éclair no 9089 du 11 septembre 1926, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6568419/f6.image.r=Louvign%C3%A9-de-bais?rk=1137344;4 et no 14549 du 6 septembre 1936, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k660642n/f9.image.r=Louvign%C3%A9-de-bais?rk=171674;4
    75. Journal L'Ouest-Éclair no 12738 du 22 septembre 1931, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658678x/f7.image.r=louvign%C3%A8-de-bais?rk=15450720;0
    76. Journal L'Ouest-Éclair no 14918 du 13 septembre 1937, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k661013d/f9.image.r=Louvign%C3%A9-de-bais?rk=236052;4
    77. Journal L'Ouest-Éclair no 10121 du 14 juillet 1929, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6578788/f8.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=4699594;0 et no 10135 du 28 juillet 1929, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k657892p/f7.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=278971;2
    78. Journal L'Ouest-Éclair no 12414 du 2 novembre 1930, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658354s/f7.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=12832682;2
    79. Journal L'Ouest-Éclair no 13488 du 11 octobre 1933, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k659428v/f10.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=9206054;0
    80. Journal Ouest-Éclair no 13028 du 8 juillet 1932, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658968h/f9.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=4055814;0
    81. Journal L'Ouest-Éclair no 13405 du 20 juillet 1933, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6593453/f9.image.r=Louvign%C3%A9-de-bais?rk=1523612;4
    82. Journal L'Ouest-Éclair no 13275 du 12 mars 1933, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k659215r/f9.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=13283328;2
    83. Journal L'Ouest-Éclair no 13836 du 24 septembre 1934, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k659776r/f7.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=8218924;4
    84. Francis Porteu de la MorandiÚre, né en 1871 à Talensac
    85. Journal L'Ouest-Éclair no 9686 du 2 mai 1928, consultable en ligne et no 13241 du 6 fĂ©vrier 1933, consultable en ligne.
    86. Journal L'Ouest-Éclair no 13835 du 23 septembre 1934, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k659775c/f16.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=3519330;4
    87. GĂ©rald Amyot d'Inville, nĂ© le Ă  Beauvais (Oise), prĂȘtre, rĂ©sistant lieutenant FFI, dĂ©portĂ© au camp de concentration de Buchenwald, mort Ă  Dora le .
    88. Hubert Amyot d'Inville, né le à Beauvais (Oise), capitaine de frégate dans la 1re division française libre, tué à l'ennemi le à Montefiascone (Italie), décoré de la Légion d'honneur, de la Croix de la Libération, de la médaille militaire et de la croix de guerre
    89. Jacques Amyot d'Inville, né le à Beauvais (Oise), capitaine au 3e régiment étranger d'infanterie, tué à l'ennemi le à Hemchir Dombda (Tunisie), décoré de la Légion d'honneur et de la croix de guerre, voir http://www.semlh35.fr/Illustres/Illustre_N31a.htm
    90. Catherine Laurent, Jean-Yves Veillard, Xavier Ferrieu, Rennes, 1940-1944 : la guerre, l'occupation, la libération, éditions Ouest-France, 1994
    91. François Desvaux, né le à Chancé, décédé le à Louvigné-de-Bais
    92. Joseph Jaunay, né à Marcillé-Robert, décédé ùgé de 77 ans le à Louvigné-de-Bais
    93. Joseph Marie Savouré, né le à Domagné, conseiller d'arrondissement en 1839, décédé le à Louvigné-de-Bais
    94. Jacques Perrel, né le à Louvigné-de-Bais, décédé le à la Croix-Méance en Louvigné-de-Bais
    95. Joseph Hunaut Lahaydix, né à Marcillé-Robert, décédé ùgé de 56 ans le à Louvigné-de-Bais
    96. François Joseph Jaunay, né le 12 frimaire an XIII ( au bourg de Louvigné-de-Bais, décédé le à Louvigné-de-Bais
    97. Pierre Jean Bestin, né le à Domagné, décédé le à Louvigné-de-Bais
    98. Célestin Marie Julien Perrel, né le à Louvigné-de-Bais, décédé le à la Croix-Méance en Louvigné-de-Bais
    99. François Pierre Bestin, né le à Louvigné-de-Bais
    100. François Poirier, né le au Bourg Joly en Louvigné-de-Bais, nommé chevalier du Mérite agricole en 1932, décédé le à Louvigné-de-Bais
    101. Portail internet des services de l'État
    102. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    103. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    104. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    105. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    106. Notice no PA00090619, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    107. Yann Lagadec, "Pouvoir et politique en Haute-Bretagne. L'exemple de Louvigné-de-Bais", thÚse, Université de Rennes 2, 2003.
    108. Notice no PA00090620, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    109. « Eléments du patrimoine - Louvigné-de-Bais », sur Louvigné-de-Bais (consulté le ).
    110. Louis Diard, La flore d'Ille-et-Vilaine, Atlas floristique de Bretagne, Rennes, Siloë, 2005, p. 65.
    111. « St. louvignéen », sur Site officiel de la Ligue de Bretagne (consulté le ).

    Annexes

    Articles connexes

    Liens externes

    Bibliographie

    • Seigneurie de Fouesnel (LouvignĂ© de Bais) et du Plessix-Raffray (DomagnĂ©), XVIIe et XVIIIe > Famille de Poix, Archives I&V, fonds 156 J, (1,20 ml).
    • Nathalie Raison, LouvignĂ©-de-Bais, la vie d'une paroisse rurale au XVIe et XVIIe siĂšcles Ă  travers les comptes de fabrique, mĂ©moire d'histoire, Rennes, 1994, (Archives d'I&V - J 633).
    • Yann Lagadec, Pouvoir et politique en Haute-Bretagne rurale. L'exemple de LouvignĂ©-de-Bais (XVIe – XIXe siĂšcles), thĂšse, Rennes, 2003, (Archives d'I&V - J 846).
    • Henri Busson, L'Ă©glise et la paroisse de LouvignĂ©-de-Bais : 1536-1563, Annales de Bretagne, no 37, 3, 1925-1926, p. 309–346.
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