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Blida

Blida (prononcĂ© [bli.da]), en arabe : Ű§Ù„ŰšÙ„ÙŠŰŻŰ©, en tamazight de l'Atlas blidĂ©en : Leblida, tifinagh : ┍⎻⎱┍┉⎷⎰, surnommĂ©e « La Ville des Roses »[3], est une commune de la wilaya de Blida, dont elle est le chef-lieu, en AlgĂ©rie.

Blida
ŰšÙ„ÙŠŰŻŰ©
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De haut en bas et de gauche à droite : La place du 1er novembre 1954 et la mosquée El Kaouthar.
Noms
Nom arabe algĂ©rien ŰšÙ„ÙŠŰŻŰ©
Nom amazigh ┍⎻⎱┍┉⎷⎰
Administration
Pays Drapeau de l'Algérie Algérie
RĂ©gion Mitidja
Wilaya Blida
DaĂŻra Blida
Président de l'APC
Mandat
Mohamed Zitouni
2012-2017
Code postal 09000
Code ONS 0901
Indicatif 025
DĂ©mographie
Gentilé Blidéen(s), Blidéenne(s)
Population 176 767 hab. (2014[1])
DensitĂ© 3 319 hab./km2
Population de l'agglomĂ©ration 331 779 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 36° 29â€Č 00″ nord, 2° 50â€Č 00″ est
Altitude 229 m
Superficie 53,26 km2
Divers
Budget 3,6 milliards de DA en 2013[2]
Localisation
Localisation de Blida ŰšÙ„ÙŠŰŻŰ© ┍⎻⎱┍┉⎷⎰
Localisation de la commune dans la wilaya de Blida.
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Blida
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Blida
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Blida
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Liens
Site de la commune http://www.wilayadeblida.dz/

    SituĂ©e au contact de l'Atlas blidĂ©en et de la Mitidja, Blida est fondĂ©e au XVIe siĂšcle pour accueillir des immigrĂ©s andalous. Étant la capitale de la rĂ©gion de Mitidja, elle est la 5e ville du pays par la taille, son unitĂ© urbaine compte 331 779 habitants en 2008.

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Blida est situĂ©e au centre de la wilaya de Blida. La ville est situĂ©e Ă  47 km au sud-ouest d'Alger, et Ă  26 km au nord-est de MĂ©dĂ©a, sur la bordure Sud de la plaine de la Mitidja Ă  22 km de la mer. L'unitĂ© urbaine s'Ă©tend en outre de la commune de Blida sur les communes suivantes : Ouled YaĂŻch, Soumaa, Bouarfa, Beni Mered et Guerouaou[4].

    Communes limitrophes de Blida
    Oued Alleug Beni Tamou Beni Mered
    Chiffa Blida Ouled YaĂŻch
    Chiffa Bouarfa Chréa

    Relief et hydrologie

    La ville de Blida est situĂ©e au pied du versant nord de l'Atlas blidĂ©en et au Sud de la plaine de la Mitidja, Ă  une altitude de 260 mĂštres. Elle est localisĂ©e sur un cĂŽne de dĂ©jection construit par l’oued Roumman-El Kebir[5].

    Climat

    L'Atlas tellien protĂšge la ville des vents secs du sud en provenance des Hauts Plateaux. Cette protection permet Ă  la rĂ©gion de bĂ©nĂ©ficier d'un climat mĂ©diterranĂ©en propice Ă  l'agriculture[6]. La classification de Köppen est de type Csa. La tempĂ©rature moyenne est de 17,9 °C et la moyenne des prĂ©cipitations annuelles avoisine les 800 mm[7].

    Données climatiques à Blida.
    Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
    Température minimale moyenne (°C) 9 9 11 12 15 18 21 21 20 17 13 10 15
    Température moyenne (°C) 12 12 14 16 18 21 24 25 23 20 15 12 18
    Température maximale moyenne (°C) 15 16 17 20 22 25 28 29 27 23 18 15 21
    Précipitations (mm) 116 85 92 64 58 26 2 4 34 66 114 130 791
    Source : Weatherbase, statistiques[8] - [7].
    Diagramme climatique
    JFMAMJJASOND
    15
    9
    116
    16
    9
    85
    17
    11
    92
    20
    12
    64
    22
    15
    58
    25
    18
    26
    28
    21
    2
    29
    21
    4
    27
    20
    34
    23
    17
    66
    18
    13
    114
    15
    10
    130
    Moyennes : ‱ Temp. maxi et mini °C ‱ PrĂ©cipitation mm

    Transports

    La ville est desservie par :

    Localités de la commune

    La ville de Blida vue du piémont de Chréa

    Lors du découpage administratif de 1984, la commune de Blida est constituée à partir des localités suivantes[9] :

    • Blida
    • Sidi El Kebir
    • Tafraout
    • Nader Ourou
    • Hannous (partie basse)
    • Taberkachent
    • Timizert
    • Dardara
    • El Kennar
    • Sidi Fergani
    • AĂŻn Soltane
    • Imma Mghita
    • Cheikh BenaĂŻssa
    • Hamalite
    • Kamariz
    • Agba El Hamra
    • Ben BoulaĂŻd
    • Zabana
    • Sidi Abdelkader
    • Ben Achour
    • Maramane
    • Beni Sbiha I
    • Kessasma
    • Oued Abarar

    Toponymie

    Le mot Blida vient de l'arabe classique boulayda qui signifie petite ville ou petite contrée, qui est le diminutif de Bilad (pays, contrée)[10], il devient en arabe dialectal Blida, ce terme est employé durant la colonisation française. La ville est également surnommée Ourida (petite rose)[11].

    Histoire

    Aucun centre antique n’a prĂ©cĂ©dĂ© la ville. On l’a identifiĂ©e avec la ville de Mitidja connue au Moyen Âge et qui Ă©tait ruinĂ©e lors des campagnes des Beni Ghania[12].

    PĂ©riode ottomane

    Vieille Ă©cole coranique.

    La ville de Blida est fondĂ©e au XVIe siĂšcle par le marabout: Sidi Ahmed el Kabir avec la participation de musulmans andalous[13] qui s'installent Ă  Ourida (premier nom de Blida) et transforment alors les terres incultivables en vergers grĂące aux plantations d'orangers et l'art de l’irrigation. Ils apportent Ă©galement Ă  la rĂ©gion, l'art de la broderie sur cuir[14] - [15].

    La lĂ©gende locale attribue Ă  Sid Ahmed Ben Youcef surnommĂ© el Kebir des origines andalouses, mais il est originaire du Sahara occidental[16]. À la demande de Barberousse qui a fourni les finances nĂ©cessaires des caisses de la rĂ©gence d'Alger, il crĂ©a le noyau de la ville de Blida pour accueillir des rĂ©fugiĂ©s andalous[16]. Selon la tradition orale, il s'Ă©cria en contemplant la ville : « On t'appelle El-Blida (petite ville), je t'appelle El-Ourida (« la petite rose ») ».

    Sous la domination ottomane, Blida faisait partie du Dar Es-Soltane, et était gouverné par un ងākim[12]. La ville s'agrandit, elle devient un lieu de repos et de prédilection des souverains turcs d'Alger[17]. Les Ottomans bùtissent des portes monumentales (Bab) à chacune des entrées, Bab el Dzair, Bab el Rahba, Bab el Sebt, Bab el Zaouia, Bab el Kseb, Bab el Kebor et Bab el Kouikha, ces portes n'existent plus de nos jours[10]. Sa population étaient composée des descendants des Andalous, de Maures, de Juifs et de Mozabites[12].

    Ville de plaisir, et de beautĂ© ; la ville Ă©tait Ă©galement menacĂ©e, car soumise Ă  d'incessants tremblements de terre[5]. En 1817, une Ă©pidĂ©mie de peste a fait 70 Ă  100 morts par jour durant un an. En mars 1825, un tremblement de terre dĂ©truit la ville[14] causant un grand nombre de victimes[17].

    Période de la colonisation française

    Vue de la ville de Blida au XIXe siĂšcle

    AprĂšs l’occupation d’Alger, Blida resta quelque temps indĂ©pendante sous l’administration de ses hakims[12]. Les troupes françaises contrĂŽlĂšrent Blida en 1839[13], neuf ans aprĂšs le dĂ©but de la conquĂȘte de l'AlgĂ©rie en 1830 et aprĂšs de nombreuses tentatives d'occupation. Ils bĂątissent de grandes casernes militaires, Blida devenant ainsi une ville garnison de l’armĂ©e française pendant toute la durĂ©e de la colonisation française[11].

    DĂ©truite par le sĂ©isme de 1825, Blida est reconstruite par les Français selon un plan d'urbanisation hippodamien moderne (rues Ă  angle droit et maisons basses)[13]. Aux portes de la ville, trois villages de colonisation sont crĂ©Ă©s : Joinville et Montpensier en 1843 et Dalmatie en 1844[5]. En 1848, elle est Ă©rigĂ©e en municipalitĂ©. Sa population est de 61 600 en 1950[14]. C'Ă©tait la seconde ville du dĂ©partement d'Alger.

    L’indĂ©pendance

    Kiosque de la place du 1er novembre, au centre de Blida

    AprĂšs l'indĂ©pendance de l'AlgĂ©rie , Blida, ancienne sous-prĂ©fecture du dĂ©partement d'Alger, devient chef-lieu de wilaya en 1974. Elle devient en quelque sorte la capitale de la Mitidja[10]. Toutefois, en raison de sa proximitĂ© avec l’agglomĂ©ration algĂ©roise, Blida sert d’un doublet Ă  Alger ; elle accueille des fonctions et Ă©quipements qui ne trouvent plus place dans la capitale. Elle abrite une universitĂ©, un centre national de maintenance de la Sonatrach, des zones d’habitat nouvelles destinĂ©es Ă  absorber la population attirĂ©e par la capitale. L’intense trafic quotidien entre les deux villes traduit ce rĂŽle de doublet[5].

    La ville connut un exode rural important. Elle passe de la 9e ville du pays par la taille en 1954, au 5e rang en 1977, 6e en 1987[5] et 5e en 2008[18]. Cette progression dĂ©mographique s'est accompagnĂ©e par des problĂšmes de logement, malgrĂ© les programmes de grands ensembles rĂ©alisĂ©s par l'État. La poussĂ©e urbaine a provoquĂ© l'intĂ©gration dans le tissu urbain des vieux noyaux anciens villages coloniaux et le dĂ©veloppement incontrĂŽlĂ© de constructions illicites[5].

    DĂ©mographie

    Évolutions

    Selon le recensement gĂ©nĂ©ral de la population et de l'habitat de 2008, la population de l'unitĂ© urbaine de Blida est Ă©valuĂ©e Ă  331 779 habitants[18], alors que celle de la commune de Blida est de 163 586 habitants contre 116 949 en 1977 :

    Évolution dĂ©mographique de Blida-ville depuis 1882
    1847 1853 1856 1881 1886 1892 1896 1899 1901 1906 1911
    7 4878 6199 70222 84424 20023 70025 30027 80029 10033 30035 500
    1921 1926 1931 1936 1948 1954 1960 1966 1974 1977 1987
    36 48624 80039 40040 10061 60067 90093 00099 200108 900116 949127 284
    1998 2008 2014 - - - - - - - -
    144 225163 586176 767[19]--------
    (Source : Historique de population[20] - [21] - [22] - [23])

    Pyramide des Ăąges

    La répartition de la population de la commune par tranches d'ùge est, en 2008, la suivante :

    • 49,55 % d’hommes (0 Ă  9 ans = 9,53 %, 10 Ă  19 ans = 9,45 %, 20 Ă  29 ans = 8,83 %, 30 Ă  39 ans = 7,47 %, 40 Ă  49 ans = 6,29 %, 50 Ă  59 ans = 4,08 %, 60 Ă  69 ans = 2,25 %, 70 Ă  79 ans = 1,40 %, plus de 80 ans = 0,25 %) ;
    • 50,45 % de femmes (0 Ă  9 ans = 9,04 %, 10 Ă  19 ans = 9,05 %, 20 Ă  29 ans = 9,27 %, 30 Ă  39 ans = 7,96 %, 40 Ă  49 ans = 6,25 %, 50 Ă  59 ans = 3,97 %, 60 Ă  69 ans = 2,43 %, 70 Ă  79 ans = 1,55 %, plus de 80 ans = 0,31 %).
    Pyramide des Ăąges de la commune de Blida en 2008 en pourcentage[24]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,25
    80 et +
    0,31
    1,40
    70 Ă  79 ans
    1,55
    2,25
    60 Ă  69 ans
    2,43
    4,08
    50 Ă  59 ans
    3,97
    6,29
    40 Ă  49 ans
    6,25
    7,47
    30 Ă  39 ans
    7,96
    8,83
    20 Ă  29 ans
    9,27
    9,45
    10 Ă  19 ans
    9,05
    9,53
    0 Ă  9 ans
    9,04

    Économie

    Tourisme

    L'Atlas blidéen qui domine la ville.

    La station de ski de Chréa est proche de Blida.

    La citĂ© possĂšde un parc d'attraction dans la zone militaire de Blida Ă  la sortie Ouest, lieu de repos familial, oĂč les familles peuvent admirer les montagnes verdoyantes qui surplombent la ville. Ce dernier est Ă  l'abandon depuis fort longtemps.

    Administration et politique

    Enseignement

    Université Saad Dahleb.

    La wilaya de Blida dispose de deux universitĂ©s, et de plusieurs instituts de formation professionnelle. Le 08 septembre 1981, le Centre Universitaire de Blida C.U.B. ouvre ses portes[27]. Au titre de cette rentrĂ©e historique, le nombre des Ă©tudiants inscrits s’élevait Ă  526, pour un effectif enseignant de 57 dont 17 Ă©trangers[28]. Le C.U.B. devient en aoĂ»t 1989 l'UniversitĂ© de Blida [29].

    Baptisée: l'Université Saùd Dahlab de Blida (USDB), c'est une université nationale à caractÚre public, elle est située dans le quartier de Ouled Yaïch sur la route de Soumùa. Récemment, un autre nouveau pÎle de l'université a été construit au niveau de la ville d'El Affroun, disposant de plusieurs facultés et de cités universitaires.

    En 2013, l'Université Blida 1 a été scindée en deux campus: 1 et 2[30]. L'Université de Blida 1 a hérité de l'ancienne Université de Blida; son site situé sur la route du Soumùa et a gardé le nom de Saùd Dahlab ainsi que la moitié des facultés. L'Université de Blida 2 baptisée Lounici Ali, est située au niveau du site d'El Affroun et a hérité de la moitié des autres facultés de l'ancien campus.

    Vie quotidienne

    Culture

    Musiciennes en costume traditionnel

    Ville d'art et de traditions, Blida accueille la musique arabo-andalouse, et se rattache à la sanùa d'Alger, mais revendique une « autonomie » relative[31]. Un festival de la musique aroubi est organisé dans la ville[32], ainsi que des journées du hawzi, chaque année[33].

    Blida a préservé plusieurs métiers traditionnels à l'instar de la distillation de l'eau de rose, la broderie sur tissu et le travail du cuivre[34].

    La ville est également connue pour la confection des gùteaux algériens. La culture ottomane a marqué de son empreinte la population locale. Parmi, les spécialités héritées des Turcs : Tcharak, Baklawa et Ktaif. Les gùteaux de Blida se distinguent également par leur forme artistique, la ville a connu ces derniers temps , une multiplication des commerces de pùtisserie traditionnelle[34].

    Sports

    Titres nationaux remportés (masculins et féminins) par les clubs omnisports de Blida
    Club Installations Fondation Football Handball Volley-ball Basket-ball
    Union sportive de la médina de Blida Stade de Brakni 1932 1 ? 12 0
    Association Sportive Mitidja de Blida Salle de Hocine Chalane 2006 0 0 0 1

    Patrimoine

    Le premier noyau urbain de la ville Ă©tait structurĂ© autour d’une mosquĂ©e implantĂ©e sur l’actuelle place du 1er novembre. Cet Ă©difice religieux a Ă©tĂ© successivement transformĂ© en caserne militaire, puis en hĂŽpital, pour ĂȘtre reconvertie en Ă©glise par la suite avant de finir comme Ă©cole primaire. elle fut rasĂ©e par la suite pour amĂ©nager une place publique: La Place d’Armes. Deux autres Ă©tablissements, un four et un hammam ont Ă©tĂ© bĂąties par une main d’Ɠuvre recrutĂ©e auprĂšs des rĂ©fugiĂ©s d’Andalousie venus d’Oliva[16].

    Le tombeau de Sidi Ahmed El Kebir, situé dans le cimetiÚre proche de la vallée de l'oued El Kébir à km au sud de la ville, dans lequel sont enterrés le saint patron de Blida ainsi que ses deux fils[35].

    Parmi les quatre mosquĂ©es dont disposait la ville avant la colonisation française, l’une est convertie au culte catholique, l'autre est transformĂ©e en caserne, les deux restantes laissĂ©es aux Musulmans[5]. Les mosquĂ©es Ben SĂąadoun (achevĂ©e Ă  la fin du XIXe siĂšcle) et Torki Hanafi (Ă©rigĂ©e en 1750), construites par les Turcs[36]. La mosquĂ©e de Baba Mohamed qui se trouvait Ă  l’entrĂ©e de Bab Dzair, fut transformĂ©e en une caserne militaire pour abriter les encadrons de l'armĂ©e coloniale.

    Le quartier El Djoun ou douirette, est le plus vieux quartier de Blida, la plupart de ses demeures sont construites dans un style mauresque. Le quartier s'est sensiblement dégradé[10].


    • Tombeau de Sidi-Ahmed El-Kebir, fondateur de la ville
      Tombeau de Sidi-Ahmed El-Kebir, fondateur de la ville
    • MosquĂ©e Al-Kawthar.
      Mosquée Al-Kawthar.
    • MosquĂ©e El Badr.
      Mosquée El Badr.

    Personnalités liées à la commune

    Orchestre-El-Widadia de Blida, Mohamed Benguergoura, et Dahmane Ben Achour

    Personnalités sportives

    • Henri Salvano (1901-1964), footballeur international français, natif de Blida
    • Armand LibĂ©rati (nĂ© en 1923), footballeur international français, natif de Blida
    • Ahmed Bernou (nĂ© en 1925), footballeur algĂ©rien, natif de Blida
    • Braham Brakni (nĂ© en 1931), footballeur international algĂ©rien, natif de Blida
    • Abdelkader Mazouz (nĂ© en 1932), footballeur international algĂ©rien, natif de Blida
    • Abdelaziz ChekaĂŻmi, est le premier arbitre international algĂ©rien, footballeur algĂ©rien, natif de Blida
    • El Hadi Benturki (nĂ© en 1948), footballeur international algĂ©rien, natif de Blida
    • Mustapha Sellami (nĂ© en 1950), footballeur international algĂ©rien, natif de Blida
    • Nasreddine Akli (nĂ© en 1953), footballeur international algĂ©rien, natif de Blida
    • RĂ©da Zouani (nĂ© en 1968), footballeur international algĂ©rien, natif de Blida
    • Billal Zouani (nĂ© en 1969), footballeur international algĂ©rien, natif de Blida
    • Abdelkader Bedrane (nĂ© en 1992), footballeur international algĂ©rien, natif de Blida

    Personnalités littéraires, culturelles et artistiques

    • Victor Margueritte (1866-1942), romancier et auteur dramatique français, natif de Blida
    • Elissa RhaĂŻs (1876-1940), auteur de romans et de nouvelles orientalistes, native de Blida
    • Keltoum (1916-2010), actrice
    • Abderrahmane Aziz (1920-1992), chanteur algĂ©rien connue par Yakabaa Ya bit Rabi, enterrĂ© Ă  Blida
    • Jean Daniel (1920-2020), Ă©crivain et journaliste français, natif de Blida
    • Baya (1931-1996), peintre, a vĂ©cu et est morte Ă  Blida
    • Henri Atlan (nĂ© en 1931), mĂ©decin biologiste, philosophe et Ă©crivain français, natif de Blida
    • Georges Laffly (1932-2008), journaliste, critique littĂ©raire et essayiste français, natif de Blida
    • Rabah Driassa (nĂ© en 1934), chanteur algĂ©rien de musique populaire, natif de Blida
    • Mohamed Mazouni (nĂ© en 1940), chanteur algĂ©rien, natif de Blida
    • ValĂ©rie Boisgel (nĂ© en 1946), actrice et auteure française, native de Blida
    • Shmuel Trigano (nĂ© en 1948), sociologue, philosophe et professeur des universitĂ©s français, natif de Blida
    • FrĂ©dĂ©ric Pieretti (nĂ© en 1954), rĂ©alisateur, producteur, acteur, Ă©diteur et traducteur français, natif de Blida
    • Farid Khodja (nĂ© en 1964), artiste-interprĂšte algĂ©rien de musique andalouse, natif de Blida
    • Amar Meriech (nĂ© en 1964), poĂšte et journaliste algĂ©rien, natif de Blida
    • Nassima Terfaya (nĂ©e en 1965), Ă©crivaine algĂ©rienne
    • Souhila Bel Bahar (1934-2023), peintre algĂ©rienne
    • Yasser Ameur, l'homme jaune, artiste peintre du mouvement pop art, natif de Blida[37]

    Personnalités politiques

    Autres personnalités

    Blida dans les arts et la culture

    • ThĂ©ophile Gautier sĂ©journa dans plusieurs villes algĂ©riennes, parmi elles, Blida. Il Ă©voque cela dans plusieurs de ses Ă©crits : Loin de Paris et Voyage pittoresque en AlgĂ©rie (1845).
    • Serge Lama Ă©voque la ville dans sa chanson L'AlgĂ©rie : « Du dĂ©sert Ă  Blida, c'est lĂ  qu'on est partis jouer les p'tits soldats ».

    Notes et références

    1. « Répartition de la population par commune », sur www.dsp-blida.dz (consulté le )
    2. op. cit., « APC de Blida, les dépenses pourraient atteindre 4,8 milliards de dinars »,
    3. El Watan, édition du 09 décembre 2010
    4. Armature urbaine (RGPH 2008)..., op.cité, p. 42.
    5. Marc CĂŽte, « Blida », in EncyclopĂ©die berbĂšre, 10 | Beni Isguen – Bouzeis, En ligne, mis en ligne le 01 mai 2013, consultĂ© le 22 octobre 2013.
    6. Daniel Babo, AlgĂ©rie, MĂ©olans-Revel, Éditions le Sureau, coll. « Des hommes et des lieux », , 206 p. (ISBN 978-2-911328-25-1), p. 30
    7. « Climat Blida: Pluviométrie et Température moyenne Blida, diagramme ombrothermique pour Blida - Climate-Data.org », sur fr.climate-data.org (consulté le )
    8. « Blida, Algeria », sur www.weatherbase.com (consulté le ).
    9. Journal officiel de la République Algérienne, 19 décembre 1984. Décret no 84-365, fixant la composition, la consistance et les limites territoriales des communes. Wilaya de Blida, page 1490.
    10. Blida, la ville des roses, en quĂȘte de son lustre d'antan, La Tribune du 18/11/2008
    11. Mon beau paysBlida (III), Info Soir du 22/03/2006
    12. Yver, G. and Marçais, G., “Bulayda”, EncyclopĂ©die de l’Islam. PremiĂšre publication en ligne: 2010
    13. Daniel Babo, op. cit., p. 31
    14. Benjamin Stora, Histoire de l'Algérie coloniale (1830-1954) Collection RepÚres 2004, p-53 (ISBN 9782707144669)
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