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Torcé

TorcĂ© est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine en rĂ©gion Bretagne, peuplĂ©e de 1 241 habitants[Note 1] (les TorcĂ©ens).

Torcé
Torcé
L'église paroissiale Saint-Médard à Torcé.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Bretagne
DĂ©partement Ille-et-Vilaine
Arrondissement FougÚres-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Yannick Fouet
2020-2026
Code postal 35370
Code commune 35338
DĂ©mographie
Gentilé Torcéens
Population
municipale
1 241 hab. (2020 en augmentation de 6,07 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 88 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 03â€Č 42″ nord, 1° 15â€Č 57″ ouest
Altitude Min. 69 m
Max. 104 m
Superficie 14,03 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Vitré
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de La Guerche-de-Bretagne
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Torcé
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Torcé
Liens
Site web www.mairie-torce.fr

    GĂ©ographie

    Infrastructures

    Le territoire communal de Torcé est traversé par deux importantes infrastructures :

    • la route nationale 157, qui permet de relier Rennes Ă  Paris, avec un Ă©changeur au nord du bourg, qui a pu contribuer au dĂ©veloppement dĂ©mographique du bourg, ainsi qu'au dĂ©veloppement Ă©conomique, avec la crĂ©ation d'une zone d'activitĂ©s industrielle ;
    • la ligne LGV Bretagne-Pays de la Loire, en chantier courant 2013, qui est le prolongement Ă  l'ouest de la LGV Atlantique, permettant de rapprocher Rennes de Paris, coupe la commune en deux et passe Ă  moins de 500 mĂštres du bourg.

    Communes limitrophes

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[1]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 11,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 4] : 769 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[5] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[6] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Launay-Villiers », sur la commune de Launay-Villiers, mise en service en 2001[7] et qui se trouve Ă  21 km Ă  vol d'oiseau[8] - [Note 5], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 858,5 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[9]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et Ă  34 km[10], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 11,7 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[11], Ă  12,1 °C pour 1981-2010[12], puis Ă  12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Torcé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de VitrĂ©, dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (90,4 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (93,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (31,9 %), terres arables (31,6 %), prairies (26,9 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (5,5 %), zones urbanisĂ©es (3,7 %), forĂȘts (0,3 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Torceio en 1093, Torcé en 1196, Torceyo en 1469.

    Histoire

    Époque moderne

    En 1574 un coup de main nocturne fut effectué par des paysans de Torcé, Argentré et Le Pertre menés par leurs seigneurs contre les protestants de Vitré. Ils participÚrent aussi, avec d'autres paysans venus de 53 paroisses du pays vitréen, au siÚge de Vitré par les Ligueurs au printemps et à l'été 1589[21].

    Une partie de la seigneurie de La Haye en Torcé s'étendait dans la paroisse de Vergeal. Un aveu daté du présenté par Marie de Rabutin Chantal, veuve du « haut et puissant seigneur messire Henri de Sévigné », déclare « ladite dame qu'elle a droit de faire mettre un banc à queue dans l'église de Vergeal, advis l'hostel [autel] de Notre-Dame, armoyé de ses armes, prohibitif et deffensable »[22].

    Un chemin des saulniers (empruntĂ© par les faux-sauniers pratiquant la contrebande du sel entre la Bretagne et le Maine, pays de gabelle, passe Ă  la limite des communes de Veneffles (dĂ©sormais annexĂ©e par la commune de ChĂąteaugiron) et d'OssĂ© avec celles de ChaumerĂ© (dĂ©sormais annexĂ©e par la commune de DomagnĂ©) et Saint-Aubin-du-Pavail, puis, aprĂšs avoir traversĂ© DomagnĂ©, passe Ă  la limite de celle de CornillĂ© avec celles de TorcĂ© et LouvignĂ©-de-Bais avant de rejoindre, via Étrelles et ArgentrĂ©-du-Plessis, Le Pertre. Ce chemin des saulniers est d'origine ancienne, c'est probablement une ancienne voie romaine ; son tracĂ© se lit encore trĂšs bien sur une carte, empruntant successivement de l'ouest vers l'est des tronçons des routes dĂ©partementales D 93, D 104, D 35, Ă  nouveau D 104 et enfin D 33[23].

    Révolution française

    TorcĂ© fait partie des communes dĂ©clarĂ©es totalement insurgĂ©es en 1793-1794[24]. Une compagnie chouanne exista Ă  TorcĂ© ; elle Ă©tait membre de la "colonne de Saint-Didier et PocĂ©", qui elle-mĂȘme dĂ©pendait de la division de VitrĂ© de l'ArmĂ©e catholique et royale de Rennes et de FougĂšres ; elle fut dirigĂ©e par Pierre Rossignol, puis par Louis de Chabert[25]. La "colonne de Saint-Didier et PocĂ©" Ă©tait divisĂ©e en plusieurs compagnies : la compagnie de TorcĂ© (dont le capitaine Ă©tait RenĂ© Martin, le lieutenant Louis CordĂ©), la compagnie de Saint-Didier, la compagnie de CornillĂ©, la compagnie de PocĂ©.

    Le 4 floréal an II (), le général Kléber donne ordre aux troupes stationnées à Vitré, en « laissant les routes garnies [ = surveillées] », de se porter « sur Vergeal, en passant par Cornillé et Torcé »[26].

    Le XIXe siĂšcle

    Le journal Le Courrier Ă©crit le : « Un horrible assassinat vient d'ĂȘtre commis prĂšs de VitrĂ©. Le maire de TorcĂ©, accompagnĂ© par son beau-pĂšre, regagnait son domicile lorsqu'il fut accostĂ© par deux rĂ©fractaires. La conversation s'engage ; le maire les stimule Ă  se soumettre, et leur parle avec confiance. Tout Ă  coup ces deux misĂ©rables s'Ă©lancent sur le maire, lui arrachent le fusil dont il est porteur et l'un l'Ă©tend mort de deux balles, pendant que l'autre bat le beau-pĂšre qui, meurtri de coups, a eu beaucoup de mal Ă  regagner VitrĂ© »[27]. Cet Ă©vĂ©nement est liĂ© Ă  l'insurrection lĂ©gitimiste de 1832.

    La Belle Époque

    Lors du recensement de 1901, on compte 75,6 % d'agriculteurs, 5,55 % de journaliers et en plus de nombreux domestiques parmi la population active de la commune[28].

    Le journal Ouest-Éclair du Ă©crit Ă  propos de l'inventaire des biens d'Ă©glise : « À IzĂ©, TorcĂ©, Champeaux ont eu lieu des tentatives d'inventaire ; lĂ , comme dans les autres paroisses, les agents du fisc et les gendarmes se sont retirĂ©s devant les protestations et le refus d'ouvrir les portes. De VitrĂ©, on entend le tocsin sonner dans les villages voisins, et de toutes parts on organise la rĂ©sistance, et on veille, en attendant le crochetage »[29].

    Le , M. de Langle, maire de la commune, est condamné à 6 jours de prison et 200 francs d'amende par le tribunal correctionnel de Vitré pour avoir le outragé les gendarmes dans la cour de son chùteau des TéniÚres lors de l'inventaire des biens d'église à Torcé[30].

    L'Entre-deux-guerres

    Selon un article publié en 1926, l'école laïque de Torcé n'aurait eu à cette date aucun élÚve, mais conservait un enseignant titulaire[31].

    HĂ©raldique

    Blason de Torcé Blason
    Inconnu.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Politique et administration

    Liste des maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    avant 1906 aprĂšs 1906 Yves de Langle[32]
    avant 1952 aprĂšs 1952 Pierre de Langle[33] Fils d'Yves de Langle
    1953 1971 Alfred Baslé
    1971 1983 Marcel Esnault Gendre d'Alfred Baslé
    mars 1983[34] mars 2014 Michel Desrues[35]
    mars 2014[36] En cours Yannick Fouet DVG Responsable sélection avicole

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[38].

    En 2020, la commune comptait 1 241 habitants[Note 8], en augmentation de 6,07 % par rapport Ă  2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    756690691802713764802805836
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    816796772761731710681732708
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    634630638585633630638630649
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    6515965926817889161 1441 1441 147
    2015 2020 - - - - - - -
    1 1901 241-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee Ă  partir de 2006[40].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune dispose d'un tissu industriel Ă  dominante agro-alimentaire.

    Transports

    La commune est desservie par la ligne de bus n°9 de Vitré Communauté.

    Lieux et monuments

    La commune compte 127 bùtiments inventoriés[41].

    L’église Saint-MĂ©dard remonte au XIe siĂšcle et est inscrite comme monument historique depuis 2003[42]. Le retable lavallois du maĂźtre-autel[43] est de Pierre Corbineau ; il date de 1652 et a Ă©tĂ© restaurĂ© en 1995.

    Le chĂąteau des TesniĂšres construit par l'architecte Jacques Mellet en 1860 pour la famille de Langle.

    • Église Saint-MĂ©dard
    • Vue extĂ©rieure septentrionale.
      Vue extérieure septentrionale.
    • IntĂ©rieur de la nef.
      Intérieur de la nef.
    • MaĂźtre-autel et son retable.
      MaĂźtre-autel et son retable.
    • Autel et retable sud.
      Autel et retable sud.
    • Autel et retable nord.
      Autel et retable nord.
    • MisĂ©ricorde.
      Miséricorde.
    • MisĂ©ricorde.
      Miséricorde.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Launay-Villiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Torcé et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Launay-Villiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Torcé et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    21. Michel Lagrée, La structure pérenne, événement et histoire en Bretagne orientale, XVIe-XXe siÚcles, "Revue d'histoire moderne et contemporaine", juillet 1976, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5446239g/f86.image.r=Pertre?rk=5600886;0
    22. M. Etasse, Documents inédits concernant la baronnie de Vitré, "Bulletin et mémoires de la Société archéologique du département d'Ille-et-Vilaine", 1910, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k207795g/f141.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais
    23. Paul BanĂ©at, Étude sur les voies romaines du dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine, "Bulletin et mĂ©moires de la SociĂ©tĂ© archĂ©ologique du dĂ©partement d'Ille-et-Vilaine", 1927, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k122073r/f98.image.r=Domagn%C3%A9
    24. Jean-Baptiste Kléber et Henri Baguenier-Desormeaux, "Kléber en Vendée (1793-1794) / documents publiés, pour la Société d'histoire contemporaine", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111939x/f461.image.r=Saint-Aubin-des-Landes
    25. Il s'agit probablement de Louis Gabriel de Chabert, né le à Sainte-Marie-Laumont, dont le frÚre Pierre-Louis Chabert fut emprisonné au chùteau de Thorigny comme "parent d'un chef de chouans", voir http://www.normannia.info/pdf/jourdan1907.pdf, page 174
    26. Jean-Baptiste Kléber, "Kléber en Vendée (1793-1794) / documents publiés, pour la Société d'histoire contemporaine", 1907, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k111939x/f453.image.r=Cornill%C3%A9?rk=2060096;0
    27. Journal Le Courrier, n° du 10 juillet 1832, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k4708827c/f3.image.r=Pertre?rk=128756;0
    28. V. Aubin, "Étude dĂ©mographique de l'arrondissement de VitrĂ©, 1986, citĂ© par Jean Ollivro,"Bretagne. 150 ans d'Ă©volution dĂ©mographique", Presses universitaires de Rennes, 2005, (ISBN 2-7535-0086-X).
    29. Journal Ouest-Éclair no 3288 du 9 mars 1906, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k6410026/f3.image.r=Poc%C3%A9?rk=5622345;2
    30. Journal Ouest-Éclair no 3315 du 5 avril 1906, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k641029j/f3.image.r=Saint-Aubin-des-Landes?rk=2424904;4
    31. Union des associations catholiques des chefs de famille, Écoles laĂŻques sans Ă©lĂšves, "École et famille : bulletin mensuel de l'Union des associations catholiques des chefs de famille", juillet 1926, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5784375w/f124.image.r=Marpir%C3%A9?rk=21459;2
    32. Yves Marie de Langle, né le à Vitré, décédé le à Rennes
    33. Pierre de Langle, né le à Torcé, décédé le à Rennes
    34. « Municipales à Torcé. Michel Desrues, le maire, ne se représente pas », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    35. « Les maires Ă©lu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534,‎ , p. 10-11 (ISSN 1285-7688).
    36. « Municipales à Torcé. Yannick Fouet est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    41. PrĂ©sentation de la commune de TorcĂ©, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la rĂ©gion Bretagne..
    42. « Eglise Saint-Médard », notice no PA35000022, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    43. Retable du maĂźtre-autel, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la rĂ©gion Bretagne..

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