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Bais (Ille-et-Vilaine)

Bais [bÉ›] est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine en région Bretagne, peuplée de 2 466 habitants[Note 1] (les Baiséens).

Bais
Bais (Ille-et-Vilaine)
L'église Saint-Marse.
Blason de Bais
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Fougères-Vitré
Intercommunalité Vitré Communauté
Maire
Mandat
Nathalie Clouet
2020-2026
Code postal 35680
Code commune 35014
Démographie
Gentilé Baiséens
Population
municipale
2 466 hab. (2020 en augmentation de 7,17 % par rapport à 2014en augmentation de 7,17 % par rapport à 2014)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 00′ 38″ nord, 1° 17′ 26″ ouest
Altitude Min. 47 m
Max. 109 m
Superficie 35,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Guerche-de-Bretagne
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Bais
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Bais
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Bais
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Bais
Liens
Site web www.bais35.fr

    Géographie

    Bais se situe à l’est de l’Ille-et-Vilaine, à une quinzaine de kilomètres au sud de Vitré.

    La commune est traversée du nord au sud par la D 95 (Louvigné-de-Bais-La Guerche-de-Bretagne) et la Quincampoix.

    Carte de la commune de Bais.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 11,5 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,7 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 3,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 13,2 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 4] : 764 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Launay-Villiers », sur la commune de Launay-Villiers, mise en service en 2001[7] et qui se trouve à 25 km à vol d'oiseau[8] - [Note 5], où la température moyenne annuelle est de 11,3 °C et la hauteur de précipitations de 858,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Rennes-Saint-Jacques », sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande, mise en service en 1945 et à 32 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11,7 °C pour la période 1971-2000[11], à 12,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 12,4 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bais est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,4 %), terres arables (40,9 %), prairies (7,2 %), zones urbanisées (2,6 %), mines, décharges et chantiers (1,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes ecclesia Beisci en 1157, Baes en 1164, Bais en 1212, Bedeseum en 1213, Baiscum en 1516[21].

    Bais vient semble-t-il d’un dérivé du mot Abbaye[21], du gaulois bedo- (fosse) ou betu- (bouleau), et suffixe ligure –iscum.

    Histoire

    Préhistoire et Antiquité

    Une statuette sculptée dans un microgranite de provenance locale, représentant dans un style primitif trois personnages ithyphalliques, datant probablement de la fin du deuxième âge du fer ou du début de l'époque gallo-romaine, a été découverte dans une mare au début de la décennie 1970[22].

    La villa gallo-romaine du Bourg Saint-Père atteste d’une présence dès l’Antiquité. Ce site présente la particularité de posséder trois édifices religieux (deux fana et un laraire)[23].

    Moyen Âge

    La légende raconte qu'un saint anachorète, nommé Marse, naquit au Ve siècle dans la paroisse, au village du même nom, où il mourut.Il aurait été un disciple et compagnon de saint Melaine, la tradition le donne pour évêque de Nantes au VIe siècle. Les hagiographes ne confirment pas cette tradition, mais plusieurs documents anciens attestent que de temps immémorial les reliques de saint Marse étaient vénérées à Bais. En 1427 la crainte d'une invasion anglaise fit transporter le corps du saint dans l'une des tours du château de Vitré, où ses reliques restèrent jusqu'en 1750 avant d'être transférées dans l'Église Notre-Dame de Vitré et enfin de revenir à Bais en 1843. G. Corbe atteste qu'en 1847 (et probablement aussi bien plus tard) deux processions annuelles étaient organisées à Bais, l'une en mémoire du départ des reliques du saint patron de la paroisse, l'autre pour fêter leur retour[24]. Un cimetière datant des VIe siècle et VIIe siècle, situé à proximité de la chapelle Saint-Pierre[25], a été fouillé : il se composait de 23 sarcophages en calcaire, 70 coffres en schiste ardoisier et 18 sépultures en pleine terre[26]. Des perles en verre, des boucles et des fibules ont été découverts[27].

    La famille d'Espinay, de Champeaux, mais qui possédait également le château de Saudecourt en Louvigné-de-Bais, avait dans la paroisse de Bais plusieurs métairies, une closerie et disposait dans l'église de prééminence, banc, et armoiries[28].

    La paroisse de Bais dépendait autrefois de la châtellenie du Désert, qui appartint aux barons de Châteaubriant, puis à ceux de Vitré à partir de 1542, et disposait du droit de haute justice[29] Le chef-lieu de la châtellenie du Désert se trouvait au manoir de la Rivière du Désert, en Visseiche, et s’étendait sur le territoire des paroisses d'Availles, Bais, Brielles, Chancé, Domalain, Gennes, Moulins, Moutiers, Le Pertre, Saint-Germain-du-Pinel, Vergéal et Visseiche[30].

    Époque moderne

    Marie de Rieux (plus connue sous le nom de Guyonne de Rieux ou de Guyonne de Laval), née en 1524, décédée le , , épouse de Guy XVIII de Laval, dame de Bais, était ralliée à la Réforme protestante[31].

    En 1584, 251 personnes meurent de la peste à Bais[32].

    En 1766 une émeute se produisit à Bais en raison du manque de grains. Le Parlement de Bretagne poursuivit les émeutiers.

    Révolution française

    Des gardes nationales de Bais furent très actifs en 1791 et 1792, associés à d'autres venus d'autres communes, faisant fouillant par exemple le le presbytère d'Étrelles, puis ils visitèrent le château du Plessis en Argentré, y commettant de gros dégâts. Le le presbytère d'Étrelles est à nouveau visité et cette fois entièrement saccagé par eux ; le , ils firent irruption à Vergeal et Cornillé pour les débarrasser de leurs prêtres réfractaires ; le ils firent irruption à Argentré pour piller les maisons des habitants réputés aristocrates[33].

    La "Légion de Vitré", commandée par Henri du Boishamon, membre du groupe chouan Chevaliers catholiques, fut très active dans la région. Le combat de Bais opposa Chouans et Républicains pendant la Chouannerie, en février 1796.

    Le XIXe siècle

    « Au XIXe siècle, Domalain, la commune la plus réactionnaire d'Ille-et-Vilaine, a pour voisine Bais, l'une des plus libérales »[34].

    En 1866, quelques cas de choléra sont observés à Bais, ainsi que dans des communes voisines, particulièrement dans la commune d'Étrelles où, du 18 août au 3 novembre, 60 personnes, dont 40 femmes, ont été atteintes. 3 personnes ont succombé à cette épidémie[35].

    La Belle Époque

    Selon le journal La Croix, en 1891, 6 élèves sont inscrits à l'école laïcisée contre 130 à l'école "libre", congréganiste[36].

    La ligne de tramway allant de Rennes à La Guerche et passant par Bais fut mise en service en juin 1904[37]. La ligne ferma en 1947.

    La Première Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Bais porte les noms de 113 soldats morts pour la France pendant la Première Guerre mondiale. Parmi eux, 18 ont reçu à la fois la Médaille militaire et la Croix de guerre et 7 la Croix de guerre ; 13 sont morts en Belgique, deux dans les Balkans (un en Grèce, Paul Hervagault, un en Serbie, Jean Gallier) dans le cadre de l'Expédition de Salonique et un (Jean Jenuit) alors qu'il était prisonnier en Allemagne ; les autres sont décédés sur le sol français[38].

    Le monument aux morts.

    L'Entre-deux-guerres

    Bais : la place de l'église vers 1920

    Dans la nuit du 6 au , un ouragan fit des dégâts importants à Bais, abattant notamment de nombreux pommiers[39].

    La "Société coopérative agricole de Bais et des environs" fut dissoute le [40].

    La Seconde Guerre mondiale

    Le monument aux morts de Bais porte les noms de sept personnes mortes pour la France pendant la Seconde Guerre mondiale ; parmi elles l'abbé Jules Pouchard, officier de la Légion d'Honneur, Croix de guerre, résistant arrêté par la Gestapo le et mort d’épuisement à cause des mauvais traitements qu'il subit le à Saint-Mandé[38].

    L'après Seconde Guerre mondiale

    Un soldat originaire de Bais (Roger Bédier) est mort en captivité le pendant la Guerre d'Indochine[38].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1930 après 1930 Bodard
    Les données manquantes sont à compléter.
    1959 1983 Jean Brougalay
    1983 juin 1995 Joseph Pichet Chef d’entreprise
    juin 1995[41] juin 2005[42]
    (démission)
    Anne Bourguignat[43] Mère au foyer
    juillet 2005[44] mars 2014 Joseph Pichet[45] Chef d’entreprise
    mars 2014 En cours Nathalie Clouet[46] DVD Comptable
    Les données manquantes sont à compléter.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[48].

    En 2020, la commune comptait 2 466 habitants[Note 7], en augmentation de 7,17 % par rapport à 2014 (Ille-et-Vilaine : +5,48 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    3 1273 1603 1903 5083 8673 7283 4013 4703 412
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 1653 0833 0172 8912 8612 8502 7712 7302 581
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 5442 5392 4472 1822 1582 2282 2632 2052 157
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    2 1482 0952 0221 9131 8211 9282 0042 1462 407
    2020 - - - - - - - -
    2 466--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[49] puis Insee à partir de 2006[50].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Transports

    La commune est desservie par la ligne de bus no 9 de Vitré Communauté.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La commune compte un monument historique :

    • L’église Saint-Marse, construite au XVIe siècle et agrandie au XIXe : la porte a été classée par arrêté du 26 octobre 1910 et le reste de l’église a été inscrit par arrêté du 6 juillet 2006[51].
    • Porte d'entrée principale
      Porte d'entrée principale
    • Porche aux lépreux
      Porche aux lépreux
    • Vitraux éclairés
      Vitraux éclairés
    • Vitraux éclairés
      Vitraux éclairés

    Autre monument :

    Personnalités liées à la commune

    Héraldique

    Blason de Bais

    D’azur à trois besants d’argent, à la bordure componée de sable et d’argent de seize pièces, les pièces de sable chargées d’une croisette pattée d’or, les pièces d’argent chargées d’une croisette potencée de sable accompagnée de vingt-trois petits tourteaux du même ordonnés en orle.

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2020, légale en 2023.
    2. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    4. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    5. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Bretagne », sur www.chambres-agriculture-bretagne.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Launay-Villiers - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Bais et Launay-Villiers », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Launay-Villiers - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bais et Saint-Jacques-de-la-Lande », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique de Rennes-Saint-Jacques - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « Étymologie et Histoire de Bais », infobretagne (consulté le ).
    22. Jean-Claude Meuret, L'antique statuette tricéphale et ithyphallique de Bais (Ille-et-Vilaine), "Revue archéologique de l'Ouest", 1970, consultable https://www.persee.fr/doc/rao_0767-709x_1990_num_7_1_951
    23. Un grand domaine gallo-romain sur le site de l’INRAP.
    24. G. Corbe, "Guide historique et statistique du département d'Ille-et-Vilaine", Imprimerie Landais et Oberthur, 1847, https://books.google.fr/books?id=BUJiAAAAcAAJ&pg=PA319&lpg=PA319&dq=architr%C3%A9giron&source=bl&ots=iUR7_iAUoJ&sig=ACfU3U3NjTu-BiE-VN8W9bQKs8ovjMYWpA&hl=fr&sa=X&ved=2ahUKEwiW4s3o-8fsAhWt8uAKHWVlBr8Q6AEwAHoECAEQAQ#v=snippet&q=Bais&f=false
    25. Philippe Guigon et Jean-Claude Meuret, La chapelle Saint-Pierre, revue "Archéologie médiévale", 1988, consultable https://www.persee.fr/doc/arcme_0153-9337_1988_num_18_1_1221_t1_0375_0000_2
    26. « Les sarcophages - Site Officiel de Bais en Ille-et-Vilaine (35) », sur Site Officiel de Bais en Ille-et-Vilaine (35) (consulté le ).
    27. Yves Ménez et Stéphane Hinguant, "Fouilles et découvertes en Bretagne", éditions Ouest-France, 2010 (ISBN 978-2-7373-5074-0).
    28. Henri Busson, Charles d'Espinay, évêque do Dol : son œuvre poétique (1531?-1591), Slatkine, (lire en ligne).
    29. http://www.infobretagne.com/bais.htm.
    30. http://www.infobretagne.com/visseiche.htm
    31. André Mussat, Arts et cultures de Bretagne : un millénaire, Rennes, Editions Ouest-France, , 380 p. (ISBN 978-2-7373-1932-7, OCLC 34611255).
    32. Dominique Belœil et autres auteurs, "Journal de la Bretagne", éditions Larousse, 2011, (ISBN 2-03-575097-0).
    33. Roger Dupuy, De la Révolution à la chouannerie paysans en Bretagne 1788-1794, Paris, Flammarion, coll. « Nouvelle bibliothèque scientifique. », , 363 p. (ISBN 978-2-08-211173-7, OCLC 708297244).
    34. Jean Rohou, "Catholiques et Bretons toujours ? (essai sur l'histoire du christianisme en Bretagne)", éditions Dialogues, Brest, 2012, (ISBN 978-2-918135-37-1).
    35. "Rapports et délibérations / Conseil général d'Ille-et-Vilaine", 1867, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5564631q/f192.image.r=Cornill%C3%A9?rk=987129;2
    36. Journal La Croix du 26 avril 1891, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k212678g/f1.image.r=Balaz%C3%A9?rk=21459;2
    37. Journal Ouest-Éclair no 1762 du 16 juin 1904, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k640371w/f3.image.r=Louvign%C3%A9-de-Bais?rk=4828350;0
    38. (en) « Bais Monument aux Morts (Relevé n° 19928) », sur www.memorialgenweb.org (consulté le ).
    39. Journal Ouest-Éclair no 10301 du 10 janvier 1930, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k658058c/f6.image.r=Louvign%C3%A9-de-bais?rk=1609450;0
    40. Journal Ouest-Éclair no 14604 du 1er novembre 1936, consultable https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k660698n/f6.image.r=Louvign%C3%A9-de-bais?rk=2489282;4
    41. « 352 communes, 352 maires - Bais : Anne Bourguignat », Ouest-France,‎ .
    42. « Élections partielles : Anne Bourguignat démissionne », Ouest-France,‎ .
    43. « L'annuaire des élus », Dimanche Ouest-France, no 182,‎ (ISSN 1285-7688).
    44. « Une nouvelle équipe municipale est en place », Ouest-France,‎ .
    45. « Les maires élu du 1er tour », Dimanche Ouest-France, no 534,‎ , p. 10-11 (ISSN 1285-7688).
    46. « Nathalie Clouet prend les rênes de la mairie », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
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    49. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    50. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    51. « Église Saint-Marse », notice no PA00090501, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    52. Patrick Delon, Monseigneur de Lesquen (1770-1855) au Bignon-Guy, dans Le Pays de Dinan, 1998, p. 181.
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