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Torigni-sur-Vire

Torigni-sur-Vire est une ancienne commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 2 325 habitants[Note 1]. Elle est depuis le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle de Torigny-les-Villes.

Torigni-sur-Vire
Torigni-sur-Vire
Le château des Matignon
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Commune Torigny-les-Villes
Intercommunalité Saint-Lô Agglo
Statut commune déléguée
Maire délégué
Mandat
Claude Gallier
2020-2026
Code postal 50160
Code commune 50601
Démographie
Gentilé Torignais
Population 2 325 hab. (2019)
Densité 772 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 08″ nord, 0° 58′ 46″ ouest
Altitude Min. 53 m
Max. 139 m
Superficie 3,01 km2
Élections
Départementales Condé-sur-Vire
Historique
Fusion
Commune(s) d'intégration Torigny-les-Villes
Localisation
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Torigni-sur-Vire
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Torigni-sur-Vire

    Elle est située à une dizaine de kilomètres au sud-est de Saint-Lô, elle est le siège de la communauté de communes et a été chef-lieu de canton jusqu'en 2015.

    Géographie

    Torigni-sur-Vire est en Bocage normand, plus précisément en Pays saint-lois. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie place principalement la commune dans l'unité de la vallée de la Vire aux « paysages variés mais déterminés par un encaissement profond du cours d’eau »[1], mais en limite ouest du Bocage en tableaux caractérisé par « une série de vallées parallèles sud-ouest/nord-est » aux « amples tableaux paysagers »[2]. Ne couvrant que 301 hectares, le territoire communal est le moins étendu de son canton et est majoritairement couvert par l'agglomération. Celle-ci est à 13 km au sud-est de Saint-Lô et à 25 km au nord de Vire[3].

    La ville est au croisement de l'ancienne route nationale 174, déclassée en route départementale 974, et de la départementale 40. Celle-ci permet de rejoindre Caumont-l'Éventé et Caen à l'est et Tessy-sur-Vire à l'ouest. La D 974 rejoint l'autoroute A84 à Guilberville au sud et permet de continuer vers Vire. Au nord, elle rejoint Saint-Lô qui est également accessible par la nouvelle N 174 à quatre voies (de Guilberville à Carentan) qui offre une entrée proche sur le territoire de Condé-sur-Vire. Depuis la fermeture aux voyageurs de la gare ferroviaire de Torigni et de la ligne Saint-Lô - Vire en 1938, la gare la plus proche est celle de Saint-Lô. L'aéroport de Caen - Carpiquet est à 42 km[3].

    Le territoire est entièrement dans le bassin de la Vire par un sous-affluent appelé ruisseau de Torigni[4] ou les Nonains[5]. Ce ruisseau et ses deux affluents alimentent dès leur entrée sur le territoire les étangs de Torigni, puis le ruisseau traverse l'agglomération avant de passer sur le territoire de Condé-sur-Vire où il rejoint le Hamel un kilomètre avant sa confluence avec le fleuve côtier.

    Le point culminant (138/139 m) se situe au sud-ouest, en limite de commune, près du lieu-dit la Maladrerie. Le point le plus bas (53 m) correspond à la sortie du territoire des Nonains, à l'ouest.

    La pluviométrie annuelle avoisine les 950 mm[6].

    En dehors de la partie urbaine, les principaux lieux-dits la plupart dans la partie sud du territoire sont, de l'est à l'ouest, dans le sens horaire, la Passelaie, la Bigne (au sud), la Cavée, la Maladrerie, la Dannerie, la Goulerie, le Champ (à l'ouest) et la Planquerie[7].

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Torineo en 1159, Torignie vers 1175, Thorigni en 1252[9]. Sous l'ancien régime, les graphies Thorigny et Torigny étaient communes, mais à partir de 1810, apparaît Torigni qui va se généraliser dès 1829. Le déterminant complémentaire -sur-Vire est ajouté en 1849, bien que la ville se situe à plusieurs kilomètres de la rivière à laquelle il fait référence[9].

    Certains érudits du passé expliquaient l'origine du toponyme Torigni sur le mode de l'étymologie populaire par le latin turris ignis « tours de feu ». C'est ainsi qu'a été créé le blason de la ville. Ce genre d'étymologie encore reprise de nos jours (monographies, bulletins paroissiaux, hebdomadaires, quotidiens, sites internet) n'est pas basée sur l'étude phonétique des formes anciennes, ni sur celle des homonymes et n'a donc pas de fondement scientifique[10].

    Comme le montrent les formes anciennes, Torigni appartient à toute la série des Thorigny (ex: Thorigny-sur-Marne, Tauriniaco vers 700, Thoriniaco vers 1180, Toriniacum XIIe siècle, Thoregny en 1274, Toregni en 1283, Thorigny lez Laigny sur Marne en 1488, Thorigny en France en 1549), Thorigné (ex: Thorigné-d'Anjou, Tauriniacum en 996 - 1010), Thorignat, à savoir à un type toponymique gallo-roman *Tauriniacu, composé du suffixe -(i)acum signifiant « lieu, propriété de » (gaulois -acon, du celtique commun *-āko(n) ), précédé d'un nom d'homme gallo-roman Taurinus, anthroponyme qui eut une grande diffusion en Gaule[9]. Ce nom de personne est, entre autres, illustré par saint Taurin, évêque d'Évreux aux IVe - Ve siècles.

    Il dérive du latin taurus « taureau » (le mot celtique - gaulois - équivalent est taruos, taureau), cependant le suffixe -in- est commun en celtique. La forme féminine Taurina est attestée dans des inscriptions en langue gauloise à côté de termes celtiques (exemple : le peson de fuseau d'Autun, où l'on trouve : TAVRINA|VIMPI « belle génisse » : latin taur- + suffixe diminutif celtique -īno, gaulois vimpi « beau, belle », cf. gallois gwymp « joli »)[11]. L'utilisation de noms de personnes latins ou latinisés correspond à un processus de romanisation également bien attesté dans l'épigraphie, où les mêmes personnages ou des personnages de la même famille mêlent à la fois des anthroponymes latins à d'autres bien gaulois.

    Les formes plus récentes Thorigny ou encore Torigny sont conformes à l'usage qui veut que le [i] final d'un nom propre français soit graphié -y (sauf Henri) depuis la fin du Moyen Âge. La généralisation de la graphie Torigni date du XIXe siècle et représente un retour à celle utilisée initialement à l'époque médiévale, ce qui est exceptionnel pour les noms en -(i)acum, sauf dans l'Orne. Le déterminant complémentaire -sur-Vire a été ajouté en 1849[9], sans que la Vire coule sur son territoire.

    Le gentilé est Torignais.

    Histoire

    La ville est pillée par les Anglais le lors de la chevauchée d'Édouard III[12].

    Elle fut le fief de la famille de Matignon dont il demeure l'aile sud du château du XVIe siècle. Elle est le lieu de naissance de Jacques Ier de Monaco.

    Bombardée le , la commune est libérée le par le 35e régiment d'infanterie américain[13]. À la suite de ces bombardements, le château a entièrement brûlé.

    Le , Torigni-sur-Vire intègre avec trois autres communes la commune de Torigny-les-Villes[14] créée sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales. Les communes de Brectouville, Torigni-sur-Vire, Guilberville et Giéville deviennent des communes déléguées et Torigni-sur-Vire est le chef-lieu de la commune nouvelle.

    Héraldique

    Armes de Torigni-sur-Vire

    Les armes de la commune de Torigni-sur-Vire se blasonnent ainsi :
    D'azur au château d'argent donjonné de deux tours enflammées du même, ouvert du champ[15].

    Politique et administration

    Tendances politiques et résultats

    Candidats ou listes ayant obtenu plus 5 % des suffrages exprimés lors des dernières élections politiquement significatives :

    Administration municipale

    Liste des maires
    Période Identité Étiquette Qualité
    1790 Jacques Cauchard-Chambert
    1796 Guillaume Pinel
    1797 1798 Youf
    données manquantes 1799 - 1815
    1815 1830 Jacques Le Chartier de la Varignière[20] Militaire
    1830 1836 Olivier Le Foulon
    1837 1840 Amédée Duval-Duperron
    1840 1849 Léonor-Joseph Havin[20] Journaliste
    Conseiller général, député, préfet
    1852 1856 Jacques Potier-Glatigny
    1857 1860 Sinésius Prée
    1860 1870 Auguste Lemelletier
    1871 1875 Sinésius Prée
    1875 1887 Victor Hédouin
    1887 1888 Aimé Dufour[20]
    1888 1890 Jules Pommier[20] Médecin
    1890 1902 Aimé Dufour[20]
    1902 1908 Jules Pommier[20]
    1908 1918 Leboucher
    1918 1922 Loisel
    1922 1925 Alphonse Duval
    1925 1935 Eugène Jouenne
    1935 1945 Paul Bucaille[20] Médecin
    Conseiller général
    1947 1960 Émile Daudon[20] Directeur de la laiterie Paillaud
    1960[21] 1977 Gustave Le Breton[20]
    1977 1994[22] Pierre Dupont[20]
    septembre 1994[23] 31 décembre 2015[24] Anne-Marie Cousin[25] UDF puis NC[26] Enseignante
    Une partie des données est issue de liste
    issue de l'ouvrage "601 communes et lieux de vie de la Manche" [27]

    Le conseil municipal était composé de dix-neuf membres dont le maire et cinq adjoints[28]. Ces conseillers intègrent au complet le conseil municipal de Torigny-les-Villes le jusqu'en 2020 et Anne-Marie Cousin devient maire délégué.

    Liste des maires délégués
    Période Identité Étiquette Qualité
    janvier 2016 mai 2020 Anne-Marie Cousin NC Enseignante
    Maire de Torigny-les-Villes
    mai 2020[29] En cours Claude Gallier SE Retraité

    Enseignement

    Le collège public Albert-Camus accueille environ 420 élèves.

    Démographie

    En 2019, la commune comptait 2 325 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2007, 2012, 2017, etc. pour Torigni-sur-Vire[30]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 2].

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2902 2272 2262 1332 1842 3112 1862 1752 206
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 0982 0822 1162 0082 0211 9982 0132 0201 992
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 9312 0291 9641 7641 8471 8551 8521 7551 900
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 2011 2016
    2 1002 5572 7962 9052 6592 5782 4222 3622 306
    2019 - - - - - - - -
    2 325--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    La commune de Torigni-sur-Vire est labellisée Village étape depuis 2004.

    Lieux et monuments

    • Le château des Matignon, devenu hôtel de ville.
      Le château des Matignon, devenu hôtel de ville.
    • L'église Notre-Dame-du-Grand-Vivier.
      L'église Notre-Dame-du-Grand-Vivier.
    • Le « mur Grimaldi ».
      Le « mur Grimaldi ».
    • L'étang.
      L'étang.
    • La cour aux Canons.
      La cour aux Canons.

    Église Saint-Laurent

    En tant qu'ancienne chapelle du château, dite des Mausolées, l'église Saint-Laurent et son histoire sont liées aux seigneurs de Torigny. En 1033, Saint-Laurent existe sous la dénomination de chapelle baptismale. À cette époque, Robert le Magnifique, père de Guillaume le Conquérant, la donne en patronage avec l'église de Saint-Amand aux religieux de l'abbaye de Cerisy-la-Forêt, fondée en 1032 par lui-même. Au XIIe siècle, une nef est ajoutée. En 1400, quand Hervé de Mauny, baron de Torigny, construit une chapelle avec caveau sépulcral adossé à l'église, le patronage de Saint-Laurent subsiste. Il est supprimé en 1575 par le maréchal Jacques II de Matignon, devenu seigneur de Cerisy, par échange des patronages de Saint-Amand et de Saint-Laurent contre celui de Brectouville. En 1601, sa femme, Françoise de Daillon du Lude, transforme cette première chapelle appelée Saint-Pierre ou du Château. Elle fait aussi reconstruire la voûte du chœur de l'église et édifier la chapelle Notre Dame ou des Mausolées. Ces travaux s'inscrivent dans ceux plus vastes, de construction du château et de ses dépendances, dont le pavillon de garde est proche de l'église. En 1793, les sépultures de la famille de Matignon sont profanées. Les monuments funéraires sont en majorité brisés et les fragments dispersés. Au XIXe siècle, l'église Saint-Laurent fait l'objet d'une campagne de rénovation. En 1893, les deux chapelles sont démolies puis reconstruites : elles portent aujourd'hui le nom de chapelle du Sacré-Cœur et de chapelle de la Sainte-Vierge. Les voûtes sont restaurées, une nouvelle sacristie y est installée. Paradoxalement, c'est à cette époque que l'église Saint-Laurent perd son clocher.

    • L'unique bas-côté de l'église Saint-Laurent.
      L'unique bas-côté de l'église Saint-Laurent.
    • Nef de l'église Saint-Laurent.
      Nef de l'église Saint-Laurent.

    L'orgue

    L'église Saint-Laurent possède un modeste orgue posé au fond de la nef. Il est offert à la paroisse en 1888 par la famille Lemonnier et par quelques paroissiens.

    • L'orgue posé au fond de la nef.
      L'orgue posé au fond de la nef.
    • La plaque indiquant le don de l'orgue par la famille Lemonnier.
      La plaque indiquant le don de l'orgue par la famille Lemonnier.
    Composition de l'orgue

    L'orgue de l'église Saint-Laurent possède huit jeux réels repartis sur deux claviers de 56 notes et 448 tuyaux. Il comporte également un pédalier de trente notes.

    I. Grand Orgue (Do2-Sol5) II. Récit expressif (Do1-Sol5) Pédale (Do1-Fa3)
    Bourdon 16' basse (Do1-Si1) Flûte Harmonique 8' Tirasses
    Bourdon 16' dessus (Do2-Sol5) Gambe 8'
    Principal 8' Voix Céleste 8'
    Salicional 8' Trompette 8'
    Flûte Octaviante 4'
    • Tirasses: GO/Péd, Réc/Péd
    • Accouplement: Réc/GO, Réc/GO octave aiguë
    • Appel Trompette
    • Temolo Récit
    • Appel du Souffleur (clochette)
    • L'orgue.
      L'orgue.
    • Le pédalier de trente notes avec les cuillères.
      Le pédalier de trente notes avec les cuillères.
    • Le tirant de jeu "Souffleur" qui active la clochette.
      Le tirant de jeu "Souffleur" qui active la clochette.
    • Console de l'orgue.
      Console de l'orgue.

    Activité et manifestations

    Jumelages

    Sports

    Le Football club des Étangs fait évoluer deux équipes de football en ligue de Normandie et deux autres en divisions de district[35].

    L'Étoile sportive Torigni handball possède une équipe masculine en Honneur régional dans la Ligue de Normandie, et une féminine en Excellence départementale. Le club dispose également de deux équipes B[36].

    L'Étoile sportive torignaise tennis de table a son école de tennis de table grâce à l'emploi d'un entraîneur-animateur diplômé d'État dans ce sport depuis 1999. Deux équipes évoluent en championnat régional (saison 2011-2012), Régionale 4 pour l'équipe masculine et Régionale 1 pour l'équipe féminine, ce qui est le plus haut niveau régional. En championnat départemental, de la D4 à la D1, tous les niveaux sont représentés en senior. Les enfants sont eux aussi régulièrement présents sur les podiums départementaux et régionaux aux compétitions individuelles[37].

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale 2019, légale en 2022.
    2. Dans le tableau des recensements et le graphique, par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu, pour les populations légales postérieures à 1999 de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique que les populations correspondant à l'année 2006, première population légale publiée calculée conformément aux concepts définis dans le décret no 2003-485 du 5 juin 2003, et les années correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee.

    Références

    1. « www.basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr (Dreal Basse-Normandie) - Les unités de paysage : Unité 7.3.1 : La vallée de la Vire » [PDF] (consulté le ).
    2. [PDF] « www.basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr (Dreal Basse-Normandie) - Les unités de paysage : Unité 4.3.3 : Le Bocage en tableaux » (consulté le ).
    3. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
    4. « Carte d'État-Major » sur Géoportail.
    5. Article 51 du décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories.
    6. « Pluviométrie interannuelle. Normale 1970-2000 » (consulté le ) (archive Wikiwix du site basse-normandie.ecologie.gouv.fr).
    7. « Torigni-sur-Vire » sur Géoportail..
    8. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée »
    9. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard 1986, p. 225.
    10. Yves Nédélec, Préface à l'ouvrage de F. de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de la Manche, éditions Picard 1986, p. 7.
    11. Pierre-Yves Lambert, La langue gauloise, éditions errance 1994, p. 124.
    12. Bernard Beck, Châteaux forts de Normandie, Rennes, Ouest-France, , 158 p. (ISBN 2-85882-479-7), p. 74.
    13. « 1944, la bataille de Normandie, la Mémoire - Pont-Farcy, Tessy-sur-Vire et Le Chêne Guérin » (consulté le ).
    14. « Arrêté préfectoral du 28 septembre 2015 portant création de la commune nouvelle de Torigny-les-Villes » [PDF], sur le site de la préfecture de la Manche (consulté le ).
    15. « 50 601 - Torigni-sur-Vire (Manche) », sur L'Armorial des villes et des villages de France (consulté le ).
    16. « Résultats des élections européennes 2014 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    17. « Résultats des élections législatives 2012 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    18. « Résultats de l'élection présidentielle 2012 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    19. « Résultats des élections européennes 2009 », sur www.interieur.gouv.fr, ministère de l'Intérieur (consulté le ).
    20. « Les quatre maires de l'après-guerre », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    21. 1959 : Torigni-sur-Vire sans maire après dix tours
    22. décédé en cours d'exercice le 20 juillet 1994.
    23. « Un 4e mandat de maire pour Anne-Marie Cousin », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    24. À la suite de la création de Torigni-les-Villes le 1er janvier 2016.
    25. Réélection 2014 : « Ouest-france.fr - Municipales à Torigni-sur-Vire. Anne-Marie Cousin entame son 4e mandat » (consulté le ).
    26. (en) « Accueil », sur nouveaucentre.fr (consulté le ).
    27. René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0).
    28. « Torigni-sur-Vire (50160) - Municipales 2014 », sur elections.ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    29. « Mickaël Grandin est le nouveau maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
    30. Date du prochain recensement à Torigni-sur-Vire, sur le-recensement-et-moi.fr, site spécifique de l'Insee.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 20112012201320142015 2016 2017 2018 .
    33. « Château », notice no PA00110620, base Mérimée, ministère français de la Culture
    34. « Œuvres mobilières à Torigni-sur-Vire », base Palissy, ministère français de la Culture.
    35. « Site officiel de la Ligue de Normandie – F.C. des Étangs » (consulté le ).
    36. « Site officiel de l'ES Torigni Handball » (consulté le ).
    37. « Site officiel de l'ES torignaise Tennis de table » (consulté le ).
    38. « haras-nationaux.fr - Épisodes et personnage clés - Haras-nationaux » (consulté le ).

    Liens externes


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