Accueil🇫🇷Chercher

LGV Atlantique

La LGV Atlantique, ou ligne nouvelle 2 (LN2), est une ligne à grande vitesse (LGV) française qui dessert l'Ouest de la France à partir de la gare de Paris-Montparnasse. Mise en service à partir de septembre 1989, son tracé en forme de Y compte deux branches qui desservent la Bretagne et les Pays de la Loire, d'une part, et le Sud-Ouest, d'autre part. Au-delà du Mans et de Tours, la LGV dessert notamment Rennes via la LGV Bretagne-Pays de la Loire, Nantes via les lignes Le Mans – Angers et Tours – Saint-Nazaire, ainsi que Bordeaux via la LGV Sud Europe Atlantique (certains trains continuent néanmoins d'emprunter une section importante de la ligne classique Paris – Bordeaux).

LGV Atlantique (LN2)
Ligne de Paris Ă  Monts[1] (Tours)
et de Courtalain à Connerré (Le Mans)
Voir la carte de la ligne.
Carte de la ligne
Voir l'illustration.
Le TGV Atlantique, avant son entrée dans le tunnel de Villejust ; au loin, le château de Beauregard.
Pays Drapeau de la France France
Villes desservies Massy-TGV, VendĂ´me-TGV
Historique
Mise en service 1989 – 1990
Électrification 1988 – 1989
Concessionnaires SNCF (1984 – 1997)
RFF (1997 – 2014)
SNCF (depuis 2015)
Caractéristiques techniques
NumĂ©ro officiel 431 000 et 429 000
Longueur 279 km
Écartement standard (1,435 m)
Électrification 1500 V continu
de Paris au PK 7,695
25 kV – 50 Hz
Ă  partir du PK 7,695
Pente maximale 25ʉۡ
Nombre de voies Double voie
Signalisation TVM 300
Trafic
Propriétaire SNCF
Exploitant(s) SNCF Mobilités
Trafic TGV, Ouigo
Schéma de la ligne

Elle est constituĂ©e des lignes nos 431 000[2] et 429 000[2] du rĂ©seau ferrĂ© national, sous les dĂ©nominations « Ligne de Paris-Montparnasse Ă  Monts (LGV) » et « Ligne de Courtalain Ă  ConnerrĂ© (LGV) ».

Histoire

Chronologie

  • 1975-1976 : Le dĂ©partement planification de la SNCF, sous la direction de Jacques Pellegrin, Ă©tudie un projet de LGV vers Nantes et Bordeaux prĂ©sentĂ© par GĂ©rard Mathieu[3].
  • 1977 : Annonce publique du projet par le ministre Jean-Pierre Fourcade[3].
  • : lors de l'inauguration du TGV Sud-est, le prĂ©sident Mitterrand annonce la crĂ©ation d'une ligne de TGV vers l'Atlantique.
  • : 1re rĂ©union de concertation avec les Ă©lus et la SNCF. L'Action rĂ©publicaine du note :
« l'Eure-et-Loir étant très près de Paris, le TGV ne s'y arrêtera pas. Dans un certain sens donc, le département subira tous les inconvénients de l'implantation de la nouvelle ligne et du passage du train sans en retirer aucun avantage ».
  • : rĂ©unions avec les maires : contre-projet de gare Ă  Courtalain (et non Ă  Voves comme le propose la SNCF).
  • DĂ©cembre : crĂ©ation d'un comitĂ© de coordination des maires.
  • : le conseil d'administration de la SNCF approuve le projet de TGV Atlantique ; au printemps, deux projets de tracĂ©s sont retenus :
    • Paris - Voves, puis Voves - Tours et Voves - Le Mans ;
    • Paris - Courtalain, puis Courtalain - Tours et Courtalain - Le Mans.
Dans les 2 cas le tronçon de Paris à Massy utilise le tracé d'un projet d'autoroute (A 10) abandonné en 1974 sur un tronçon inachevé du projet de ligne de Paris à Chartres par Gallardon.
  • : le conseil gĂ©nĂ©ral d'Eure-et-Loir approuve le 2e tracĂ© du TGV avec des compensations financières tandis que se met en place la dĂ©centralisation (L'Écho rĂ©publicain, 8/06/1982).
  • Novembre : le gouvernement autorise la SNCF Ă  lancer la procĂ©dure de dĂ©claration d'utilitĂ© publique (DUP). Le principe de la bifurcation de la ligne Ă  Courtalain est adoptĂ©.
  • : la loi d'orientation des transports transforme la SNCF en un Ă©tablissement public Ă  caractère industriel et commercial fonctionnant sous le contrĂ´le majoritaire de l'État.
  • : le prĂ©fet d'Eure-et-Loir est nommĂ© coordonnateur de l'enquĂŞte prĂ©alable Ă  la DUP par lettre du ministère des Transports (1 076 W 12).
  • : arrĂŞtĂ© interprĂ©fectoral d'ouverture de l'enquĂŞte publique. Celle-ci se dĂ©roule du au sans incident notable en Eure-et-Loir grâce aux nĂ©gociations prĂ©alables avec les organisations agricoles. En aoĂ»t, est publiĂ© le rapport de la commission d'enquĂŞte prĂ©sidĂ©e par A. Doumenc.
  • : le prĂ©sident Mitterrand annonce la dĂ©cision de construire le TGV Atlantique. Les enquĂŞtes pour la modification des plans d'occupation des sols (POS) incompatibles avec le projet de TGV sont lancĂ©es, ainsi que les prĂ©-Ă©tudes d'amĂ©nagement foncier qui examinent les problèmes de drainage, de financement du remembrement et de rĂ©tablissement des rĂ©seaux de communication et de distribution Ă©lectrique.
  • : affrontement entre agriculteurs et gendarmes mobiles Ă  Vouvray (Indre-et-Loire). Un dĂ©cret du dĂ©clare la ligne d'utilitĂ© publique[4]. Ce dĂ©cret est contestĂ© par les fĂ©dĂ©rations de syndicats et d'exploitants agricoles et les associations de dĂ©fense du Loir-et-Cher et d'Indre-et-Loire.
  • Mai-juin : enquĂŞtes parcellaires et hydrauliques complĂ©mentaires.
  • Juillet : ouverture du premier appel d'offres pour la construction de la nouvelle ligne de TGV.
  • Octobre : crĂ©ation d'un ComitĂ© de soutien pour une gare Ă  la bifurcation de Courtalain.
  • : 1er coup de pioche Ă  Boinville-le-Gaillard (Yvelines) ;
  • et : après les recours devant le Conseil d'État, dĂ©claration d'utilitĂ© publique et d'urgence des travaux du TGV en Indre-et-Loire, dans les Yvelines, l'Essonne et la Sarthe.
  • : dĂ©but du chantier de pose de la voie Ă  Auneau.
  • : mise en service de la branche ouest de Montrouge Ă  ConnerrĂ©.
  • : la rame 325 du TGV Atlantique Ă©tablit un nouveau record du monde de vitesse ferroviaire (515,3 km/h) au point kilomĂ©trique 166,8.
  • : mise en service de la branche sud-ouest de Courtalain Ă  Saint-Pierre-des-Corps, inaugurĂ©e le 28 par François Mitterrand[5].
  • septembre 2006 : le chiffre de 20 millions de voyageurs transportĂ©s entre Paris et Tours depuis l'ouverture de la LGV est atteint.
  • : Prolongement de la LGV Atlantique grâce Ă  l'ouverture de la LGV Bretagne-Pays de la Loire pour la branche ouest et grâce Ă  l'ouverture de la LGV Sud Europe Atlantique pour la branche sud-ouest[6].

L'organisation des travaux

La construction de la LGV Atlantique fut partagée entre quatre groupes d'études et de travaux (GET) :

  • le GET 1, basĂ© Ă  Massy dans la rĂ©gion parisienne, fut responsable des 17 premiers kilomètres de ligne, du PK 6,38 au 23,66, Ă©tant principalement constituĂ© par la traversĂ©e couverte de la banlieue de Paris qu'est la CoulĂ©e verte et les tunnels de Fontenay, Villejust et Sceaux. Il s'est aussi chargĂ© de la construction de la nouvelle gare de Massy TGV ;
  • le GET 2, basĂ© Ă  Dourdan, s'occupa de la construction de la ligne entre les PK 23,66 et 106,44 oĂą la LGV cĂ´toie surtout l'A10, puis a une intersection avec la ligne BrĂ©tigny - Tours ;
  • le GET 3, basĂ© au Mans, se chargea de la construction depuis la bifurcation de Courtalain jusqu'au Mans, c'est-Ă -dire la branche ouest ;
  • le GET 4, basĂ© Ă  Tours, fut chargĂ© de la branche sud-ouest[7].

Les travaux dans la région parisienne

Couverture du futur tunnel sur les emprises de la ligne Paris-Chartres par Gallardon en 1987. Une coulée verte a aujourd'hui été aménagée au-dessus de la ligne.

Les travaux spĂ©ciaux de la ligne en rĂ©gion parisienne concernaient 18 km de ligne, entre la gare Montparnasse et le tunnel de Villejust. La SNCF disposait, entre Massy et Montrouge, de terrains non bâtis qui avaient jadis Ă©tĂ© acquis pour la ligne inachevĂ©e de Paris Ă  Chartres par Gallardon, offrant ainsi l'opportunitĂ© de rĂ©utiliser les emprises pour le passage de la LGV. Le tracĂ© Ă©tant dans une zone fortement urbanisĂ©e, une grande partie de la ligne fut cependant couverte ou Ă©tablie en tranchĂ©e pour limiter les nuisances. Cette dĂ©cision, prise avec le conseil gĂ©nĂ©ral des Hauts-de-Seine, permit d'amĂ©nager une coulĂ©e verte au-dessus de la LGV.

Les travaux commencèrent en 1984. Aux environs de Massy, les travaux ont surtout concerné des tranchées couvertes légères, limitées à un rôle de protection acoustique, à l'exception de certains points où des installations lourdes furent mises en place pour d'autres aménagements sur la LGV. Plus au nord, à Fontenay-aux-Roses, il a été nécessaire de dévier provisoirement le RER B pour permettre à la nouvelle ligne de passer sous les voies de l'ancienne ligne de Sceaux.

C'est au niveau du tunnel de Villejust que les travaux ont rencontré les plus grandes difficultés. Le sol sablonneux rendait en effet le percement délicat, faisant craindre un temps de ne devoir ouvrir qu'un seul tube à voie unique et reporter l'achèvement du tunnel à une phase ultérieure. Finalement, le sol fut stabilisé et la construction continua normalement[8].

Financement

La ligne a été financée par la capitalisation de l'EPIC au à hauteur de deux milliards de francs, l'État apportant le fonds immobilier correspondant à la plateforme ainsi que par la capacité d'emprunt de la SNCF.

Le taux de rentabilité interne, qui était estimé à 23 % lors de la planification de la ligne, a été réévalué à 12 % en 2006, le seuil de rentabilité étant fixé à 8 %[9].

Caractéristiques

Tronc commun

Une rame TGV Duplex sur la LGV Atlantique, Ă  Palaiseau.
Vue aérienne du péage de Saint-Arnoult et de la LGV.

Les TGV quittent la ligne de Paris-Montparnasse à Brest un peu après un pont sur le boulevard périphérique pour parcourir la banlieue sud de Paris, en partie en souterrain sous la Coulée verte du sud parisien qui suit le tracé de l'ancienne ligne de Paris à Chartres par Gallardon.

Les TGV intersecteurs venant du Nord, de l'Est ou du Sud-Est par la LGV Interconnexion Est rejoignent la LGV Atlantique à Massy TGV via la ligne de Choisy-le-Roi à Massy - Verrières, surnommée ligne de la Grande Ceinture stratégique.

Après la gare TGV de Massy au PK 14,376, les TGV s'Ă©lancent le long de l'autoroute A10, empruntent la tranchĂ©e couverte de Villebon, puis le tunnel de Villejust long d'environ 4 800 mètres. La vitesse de 300 km/h est atteinte Ă  la sortie de ce dernier. Ă€ hauteur du pĂ©age de Saint-Arnoult, la LGV s'incurve vers le sud et passe au-dessus de l'A10. Elle suit pendant un moment la ligne de BrĂ©tigny Ă  Tours non Ă©lectrifiĂ©e et Ă  voie unique Ă  partir de la gare de Dourdan - La ForĂŞt.

La bifurcation entre les branches ouest et sud-ouest se situe sur le territoire de la commune de Courtalain au PK 130,186.

Caractéristiques techniques

  • Longueur cumulĂ©e des ouvrages d'art :
    • Tunnels, viaducs couverts et tranchĂ©es couvertes : 14 316 m.
    • Ponts et viaducs : 220 m.
  • Longueur totale : 124 km.
  • Vitesse maximale autorisĂ©e :
    • de Paris-Montparnasse au km 4.2: 110 km/h
    • du km 4.2 au km 5.6: 150 km/h
    • du km 5.6 Ă  la sortie de Massy: 200 km/h
    • de la sortie de Massy Ă  la sortie sud du tunnel de Villejust: 220 km/h
    • de la sortie du tunnel de Villejust Ă  Courtalain: 300 km/h

L'actuelle LGV à la sortie de Paris suit la Coulée verte du sud parisien, qui constitue en fait les emprises des années 1960-70 alors qu'il existait un prolongement jamais réalisé de l'A10 jusqu'au Périphérique (ce qui explique le coude de l'A10 au sud de la coulée pour rejoindre l'A6 via un tronçon du projet d'A87, troisième rocade parisienne réalisée seulement sur de très courtes sections, renommée depuis A126.

Branche ouest

Un TGV Réseau quitte la LGV Atlantique à Connerré pour desservir la gare du Mans.

À partir de Courtalain, la section ouest de la LGV dévie presque plein ouest. Il y a plusieurs postes d'aiguillage tout relais à transit souple (PRS) : celui de Courtalain au PK 134,052, celui du Plessis au PK 149,679 et celui de Dollon au PK 172,803. Ensuite, la LGV rejoint l'ancienne ligne, au PK 190,946 pour la voie 1 et au 191,795 pour la voie 2. La LGV traverse l'Huisne juste avant son extrémité.

Le schéma directeur des lignes à grande vitesse adopté par le Comité interministériel d'aménagement et de développement du territoire (CIAT) du [10] - [11], prévoyait que la LGV Atlantique soit prolongée en direction de Rennes et Nantes depuis Connerré par la LGV Bretagne-Pays de la Loire. Cela est effectif depuis le [6].

Caractéristiques techniques :

  • Longueur totale : 53 km.
  • Vitesse maximale autorisĂ©e :
    • Bifurcation de Courtalain en direction de ConnerrĂ© : 220 km/h
    • de Courtalain Ă  ConnerrĂ© : 300 km/h.

Branche sud-ouest

Arrivée sur le viaduc de la Loire, en cabine de conduite d'un TGV Atlantique, en direction de Saint-Pierre-des-Corps.

Après Courtalain, la LGV oblique plein sud en direction de la vallĂ©e du Loir. La gare de VendĂ´me TGV, au point kilomĂ©trique (PK) 162,0, se situe peu avant le lieu oĂą le record du monde de vitesse ferroviaire avait Ă©tĂ© Ă©tabli le (PK 166,8). La LGV entre ensuite en Indre-et-Loire, passe au-dessus de l'A10 et commence sa descente vers la vallĂ©e de la Loire. Après le tunnel de Vouvray (1 496 mètres) s'enchaĂ®ne une succession de trois viaducs totalisant près d'un kilomètre, faisant passer la LGV au-dessus du fleuve royal. Après l'embranchement de Saint-Pierre-des-Corps, la LGV franchit par deux viaducs le lit du Cher et rentre dans une courte tranchĂ©e couverte sous la commune de Larçay. Elle suit ensuite la future rocade de Tours jusqu'Ă  son prolongement, la LGV Sud Europe Atlantique (LGV SEA), mise en service le [6]. Le raccordement de la LGV Atlantique, au nord de Monts, Ă  la ligne historique Paris – Bordeaux, utilisĂ© par les TGV ne desservant pas Saint-Pierre-des-Corps avant la mise en service de la LGV SEA, est dĂ©sormais hors service (contournement de Tours) ; la section comprise entre les PK 223,628 et 232,216 est officiellement fermĂ©e le (mais ses emprises bĂ©nĂ©ficient d'une demande de maintien dans le domaine public ferroviaire), par dĂ©cision du conseil d'administration de SNCF RĂ©seau[12].

Caractéristiques techniques

  • Longueur cumulĂ©e des ouvrages d'art :
    • Tunnels et tranchĂ©es couvertes : 1 699 m ;
    • Ponts et viaducs : 2 848 m.
  • Longueur totale : 102 km.
  • Vitesse maximale autorisĂ©e :
    • de Courtalain Ă  Vouvray : 300 km/h ;
    • de Vouvray Ă  Monts[1] : 270 km/h.

Notes et références

  1. Note : depuis 2017, la ligne ne dépasse plus Saint-Avertin, où a lieu la jonction avec la LGV Sud Europe Atlantique.
  2. « Arrêté du portant révision du classement des infrastructures de transports terrestres dans le département de Loir-et-Cher » [PDF] (consulté le ), p. 2 ; note : le nom des lignes comporte manifestement des erreurs d'orthographe.
  3. D’où viens tu TGV ? p71Jean-François Picard & Alain Beltran 1994.
  4. « Décret du 25 mai 1984 déclarant d'utilité publique et urgents les travaux de construction d'une ligne nouvelle de chemin de fer à grande vitesse de Paris à Tours et au Mans (Train à grande vitesse : TGV) », Journal officiel de la République Française, Paris, Imprimerie Nationale,‎ , p. 1666-1667 (lire en ligne).
  5. Arsène Felten et André Schontz, Le TGV-Est : la LGV Est-européenne, Serpenoise, , 247 p. (lire en ligne), p. 94 et 245.
  6. « DEUX NOUVELLES LIGNES TGV RAPPROCHENT PARIS DE RENNES ET BORDEAUX », Capital, 2 juillet 2017 (consulté le 4 juillet 2017).
  7. Page 60, Le grand livre du TGV, La vie du rail, Paris, 2004.
  8. Page 61, Le grand livre du TGV, La vie du rail, Paris, 2004.
  9. Le Réseau ferroviaire, une réforme inachevée et une stratégie incertaine p.79 Cour des comptes 2008.
  10. « SĂ©nat – Rapport d'information no 303 – Financement des infrastructures de transport Ă  l'horizon 2020 : Annexe au procès-verbal de la sĂ©ance du », sur senat.fr (consultĂ© le ) : « Après une large consultation, ce schĂ©ma directeur avait Ă©tĂ© adoptĂ© par le ComitĂ© interministĂ©riel d'amĂ©nagement du territoire (CIAT) du et publiĂ© par dĂ©cret du », § 2. Le rĂ©seau des lignes Ă  grande vitesse.
  11. « SchĂ©ma directeur national des liaisons ferroviaires Ă  grande vitesse : JORF du » [PDF], sur ex-ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer (consultĂ© le ) : « T.G.V. Bretagne, prolongement du T.G.V. Atlantique du Mans Ă  Rennes », p. 9 (page 13 du PDF).
  12. Patrick Jeantet, « Fermeture de la section de ligne du réseau ferré national comprise entre les pk 223.628 et 232.216 de l’ancienne ligne no 431000 de Paris-Montparnasse à Monts », sur sncf-reseau.fr, (consulté le ).

Voir aussi

Bibliographie

  • Jean Tricoire et Claude SouliĂ©, Le grand livre du TGV, Paris, La Vie du rail, , 350 p. (ISBN 2-915034-01-X).

Articles connexes

Liens externes

  • Ressource relative Ă  l'architecture :
Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.