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Larçay

Larçay est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Larçay
Larçay
L'église et le château.
Blason de Larçay
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Communauté de communes Touraine-Est Vallées
Maire
Mandat
Jean-François Cessac
2020-2026
Code postal 37270
Code commune 37124
DĂ©mographie
Gentilé Larcéens
Population
municipale
2 501 hab. (2020 en augmentation de 3,09 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 224 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 22′ 07″ nord, 0° 46′ 51″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 95 m
Superficie 11,19 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Tours
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montlouis-sur-Loire
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Larçay
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Larçay

    GĂ©ographie

    Hydrographie

    Réseau hydrographique de Larçay.

    La commune est traversĂ©e d'est en ouest par le Cher (2,421 km) dans la partie nord de son territorie. Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 4,82 km, comprend un autre cours d'eau notable, le Filet (2,356 km), et deux petits cours d'eau pour certains temporaires[1] - [2].

    Le Cher, d'une longueur totale de 365,5 km, prend sa source Ă  714 mètres d'altitude Ă  MĂ©rinchal, dans la Creuse et se jette dans la Loire Ă  Villandry, Ă  40 m d'altitude, après avoir traversĂ© 117 communes[3]. Le Cher prĂ©sente des fluctuations saisonnières de dĂ©bit assez marquĂ©es. Sur le plan de la prĂ©vision des crues, la commune est situĂ©e dans le tronçon du Cher tourangeau[4], dont la station hydromĂ©trique de rĂ©fĂ©rence la plus proche est situĂ©e Ă  Tours [Pont Saint Sauveur]. Le dĂ©bit mensuel moyen (calculĂ© sur 53 ans pour cette station) varie de 25,8 m3/s au mois d'aoĂ»t Ă  192 m3/s au mois de fĂ©vrier. Le dĂ©bit instantanĂ© maximal observĂ© sur cette station est de 1 000 m3/s le , la hauteur maximale relevĂ©e a Ă©tĂ© de 4,96 m le [5] - [6]. Ce cours d'eau est classĂ© dans les listes 1[Note 1] et 2[Note 2] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut ĂŞtre accordĂ©e pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle Ă  la continuitĂ© Ă©cologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonnĂ© Ă  des prescriptions permettant de maintenir le très bon Ă©tat Ă©cologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit ĂŞtre gĂ©rĂ©, entretenu et Ă©quipĂ© selon des règles dĂ©finies par l'autoritĂ© administrative, en concertation avec le propriĂ©taire ou, Ă  dĂ©faut, l'exploitant[7] - [8]. Sur le plan piscicole, le Cher est classĂ© en deuxième catĂ©gorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constituĂ© essentiellement de poissons blancs (cyprinidĂ©s) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[9].

    Le Filet, d'une longueur totale de 19,6 km, prend sa source dans la commune de Dierre et se jette dans le Cher Ă  Tours, après avoir traversĂ© 10 communes[10]. Ce cours d'eau est classĂ© dans la liste 1[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Du fait de ce classement, aucune autorisation ou concession ne peut ĂŞtre accordĂ©e pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle Ă  la continuitĂ© Ă©cologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonnĂ© Ă  des prescriptions permettant de maintenir le très bon Ă©tat Ă©cologique des eaux[7]. Sur le plan piscicole, le Filet est Ă©galement classĂ© en deuxième catĂ©gorie piscicole[9].

    Urbanisme

    Typologie

    Larçay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 4] - [11] - [12] - [13]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Tours, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 38 communes[14] et 364 325 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[15] - [16].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (40,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (29,4 %), terres arables (27,6 %), zones urbanisées (13,9 %), zones agricoles hétérogènes (13 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), eaux continentales[Note 6] (2,8 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Larçay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Cher et le Filet. La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Tours, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂŞtĂ©s fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et portĂ©s Ă  22 lors de l'actualisation de 2018. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂŞme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout système de protection)[23] - [24]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1999 et 2018[25] - [21].

    Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Montbazon-Larçay, est classée au niveau de risque 3, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[26].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Larçay.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[27]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (90,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 036 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1036 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 100 %, Ă  comparer aux 91 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [29].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 1991, 1992, 1993, 1996, 2005, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999, 2001 et 2002[21].

    Toponymie

    L'origine du toponyme reste relativement obscure. Diverses hypothèses existent.

    L'hypothèse couramment admise, suggère que la terminaison -ay pourrait être l'évolution philologique courante dans cet isoglosse du suffixe gaulois -ac, qui, ajouté à un nom de personne, indique la propriété des lieux. Il est donc possible que se trouvait sur le territoire de l'actuelle commune de Larcay, le domaine d'un certain Laricius. Ce qui donne en latin le toponyme Lar(i)ciacus[30].

    Selon Nicolas Huron, qui se réclame "historien de terrain" et de ce fait laisse de côté les études philologiques, le toponyme se composerait d'une part de "lar", référence à un édifice cultuel voué à un dieu Lare qui occupait la place de l'actuel castellum gallo-romain, et "cé" qui habituellement en toponymie désigne un méandre, en effet on remarque une coudée du Cher un peu en aval de Larçay, alors qu'en amont le Cher est droit jusqu'à Bléré[31].

    Histoire

    Antiquité

    Le site de Larçay manifeste une occupation dès l'Antiquité. La commune se situe sur un site stratégique, au bord du Cher qui permet de rejoindre la ville proche de Caesarodunum Turonum et Avaricum.

    Ainsi, cette position explique la construction du monument majeur de la commune : le castellum. Cette forteresse placée sur le bord du coteau bénéficie d'un large point de vue sur la vallée du Cher et à l'Ouest d'une partie de la vallée de la Loire. Les fouilles menées par Jason Wood sur le site ont également identifié que sur ce même site se dressait auparavant un podium ou mausolée, volontairement démonté pour la construction du castellum.

    Les fouilles d’archéologie préventive ont identifié diverses infrastructures romaines sur le territoire de la commune. Une voie de circulation, et à côté, une villa (exploitation agricole), sur le site de Bellevue

    Moyen Ă‚ge

    Le Moyen Âge a principalement légué à la commune son église et la délimitation de son territoire, héritée du cadre de la paroisse.

    L'église Saint-Symphorien a, semble-t-il, une origine relativement ancienne. Certains attribuent à saint Martin la fondation d'un oratoire sur ce lieu. Le monument actuel est en revanche bien postérieur : le clocher porte encore la trace du monument du XIIe siècle de style roman. Le reste de l'édifice a en revanche été rebâti en style gothique au XVIe siècle. Trois vitraux de cette époque sont inscrits aux monuments historiques. La façade a été restaurée en style néo-gothique au XIXe siècle. L'église était autrefois entourée du cimetière aujourd'hui remplacé par la place du 8 mai.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1977 1983 Claude Morisson PC Cheminot
    1983 mars 2001 MoĂŻse Maillet PS Typographe-metteur en page et correcteur
    mars 2001 mars 2014 Gérard Martellière DVG
    mars 2014 En cours
    (au 30 avril 2014)
    Jean-François Cessac DVG Cadre

    Politique de développement durable

    La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[32].

    Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[33].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].

    En 2020, la commune comptait 2 501 habitants[Note 7], en augmentation de 3,09 % par rapport Ă  2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    460304441420470450445441440
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    467482494473480515510521517
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    486522490510504468461505587
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    6787599381 4121 7512 0372 2542 3162 430
    2018 2020 - - - - - - -
    2 4862 501-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee Ă  partir de 2006[37].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Larçay se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Saint Pierre des Corps.

    L'école maternelle et l'école élémentaire Jean Moulin accueillent les élèves de la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    La courtine et une tour du castellum.
    • Castellum gallo-romain (IIIe siècle).
    • Châteaux de Larçay (XIXe siècle) et de Bellevue (XIXe siècle), privĂ©s.
    • Église Saint-Symphorien (XIIe, XVIe et XIXe siècles).
    • Le logis prĂ©vĂ´tal (XVIe siècle).
    • Monument Paul-Louis-Courier (1825).
    • Barrage-Ă©cluse (1841).
    • Stand de tir de l'ArmĂ©e, rue des Landes.
    • Domaine des Belles-Caves, propriĂ©tĂ© en 1761 de Marie-Marguerite Benoist de La Grandière, Ă©pouse de François Mahy, Ă©cuyer, seigneur du Breuil.

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Larçay

    Les armes de Larçay se blasonnent ainsi :

    D'argent, au lion de sable, armé et couronné d'or[38].

    Notes et références

    Notes

    1. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    2. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
    3. Le classement en liste 1 au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
    2. « Carte hydrologique de Larçay », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
    3. « Fiche Sandre - le Cher », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    4. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
    5. « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    6. « Station hydrométrique K6710910, le Cher à Tours [Pont Saint Sauveur] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
    7. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    8. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
    9. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    10. « Fiche Sandre - le Filet », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
    11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    14. « Unité urbaine 2020 de Tours », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    15. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    21. « Les risques près de chez moi - commune de Larçay », sur Géorisques (consulté le )
    22. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    23. « cartographie des risques d'inondations du TRI de Tours », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    24. « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    26. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le )
    27. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
    28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    29. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    30. Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, (ISBN 978-2-916043-45-6 et 2-916043-45-4, OCLC 819384066, lire en ligne)
    31. Nicolas Huron, Larçay à travers les siècles, Trésor de l'histoire, Blois, , 60 p., p. 15-16
    32. FICHE | Agenda 21 de Territoires - Larçay, consultée le
    33. Site des villes et villages fleuris, consulté le .
    34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    38. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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