Larçay
Larçay est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.
Larçay | |||||
L'église et le château. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Tours | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Touraine-Est Vallées | ||||
Maire Mandat |
Jean-François Cessac 2020-2026 |
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Code postal | 37270 | ||||
Code commune | 37124 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Larcéens | ||||
Population municipale |
2 501 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 224 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 47° 22′ 07″ nord, 0° 46′ 51″ est | ||||
Altitude | Min. 46 m Max. 95 m |
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Superficie | 11,19 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Tours (banlieue) |
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Aire d'attraction | Tours (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Montlouis-sur-Loire | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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GĂ©olocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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GĂ©ographie
Hydrographie
La commune est traversée d'est en ouest par le Cher (2,421 km) dans la partie nord de son territorie. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 4,82 km, comprend un autre cours d'eau notable, le Filet (2,356 km), et deux petits cours d'eau pour certains temporaires[1] - [2].
Le Cher, d'une longueur totale de 365,5 km, prend sa source à 714 mètres d'altitude à Mérinchal, dans la Creuse et se jette dans la Loire à Villandry, à 40 m d'altitude, après avoir traversé 117 communes[3]. Le Cher présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon du Cher tourangeau[4], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [Pont Saint Sauveur]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 53 ans pour cette station) varie de 25,8 m3/s au mois d'août à 192 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 1 000 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 4,96 m le [5] - [6]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 1] et 2[Note 2] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[7] - [8]. Sur le plan piscicole, le Cher est classé en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[9].
Le Filet, d'une longueur totale de 19,6 km, prend sa source dans la commune de Dierre et se jette dans le Cher à Tours, après avoir traversé 10 communes[10]. Ce cours d'eau est classé dans la liste 1[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Du fait de ce classement, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux[7]. Sur le plan piscicole, le Filet est également classé en deuxième catégorie piscicole[9].
Urbanisme
Typologie
Larçay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [11] - [12] - [13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[14] et 364 325 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (40,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (29,4 %), terres arables (27,6 %), zones urbanisées (13,9 %), zones agricoles hétérogènes (13 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), eaux continentales[Note 6] (2,8 %)[19].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[20].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Larçay est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher et le Filet. La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Tours, un des 21 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et portés à 22 lors de l'actualisation de 2018. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[23] - [24]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2018[25] - [21].
Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Montbazon-Larçay, est classée au niveau de risque 3, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[26].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[27]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 036 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1036 sont en en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28] - [29].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 1991, 1992, 1993, 1996, 2005, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999, 2001 et 2002[21].
Toponymie
L'origine du toponyme reste relativement obscure. Diverses hypothèses existent.
L'hypothèse couramment admise, suggère que la terminaison -ay pourrait être l'évolution philologique courante dans cet isoglosse du suffixe gaulois -ac, qui, ajouté à un nom de personne, indique la propriété des lieux. Il est donc possible que se trouvait sur le territoire de l'actuelle commune de Larcay, le domaine d'un certain Laricius. Ce qui donne en latin le toponyme Lar(i)ciacus[30].
Selon Nicolas Huron, qui se réclame "historien de terrain" et de ce fait laisse de côté les études philologiques, le toponyme se composerait d'une part de "lar", référence à un édifice cultuel voué à un dieu Lare qui occupait la place de l'actuel castellum gallo-romain, et "cé" qui habituellement en toponymie désigne un méandre, en effet on remarque une coudée du Cher un peu en aval de Larçay, alors qu'en amont le Cher est droit jusqu'à Bléré[31].
Histoire
Antiquité
Le site de Larçay manifeste une occupation dès l'Antiquité. La commune se situe sur un site stratégique, au bord du Cher qui permet de rejoindre la ville proche de Caesarodunum Turonum et Avaricum.
Ainsi, cette position explique la construction du monument majeur de la commune : le castellum. Cette forteresse placée sur le bord du coteau bénéficie d'un large point de vue sur la vallée du Cher et à l'Ouest d'une partie de la vallée de la Loire. Les fouilles menées par Jason Wood sur le site ont également identifié que sur ce même site se dressait auparavant un podium ou mausolée, volontairement démonté pour la construction du castellum.
Les fouilles d’archéologie préventive ont identifié diverses infrastructures romaines sur le territoire de la commune. Une voie de circulation, et à côté, une villa (exploitation agricole), sur le site de Bellevue
Moyen Ă‚ge
Le Moyen Âge a principalement légué à la commune son église et la délimitation de son territoire, héritée du cadre de la paroisse.
L'église Saint-Symphorien a, semble-t-il, une origine relativement ancienne. Certains attribuent à saint Martin la fondation d'un oratoire sur ce lieu. Le monument actuel est en revanche bien postérieur : le clocher porte encore la trace du monument du XIIe siècle de style roman. Le reste de l'édifice a en revanche été rebâti en style gothique au XVIe siècle. Trois vitraux de cette époque sont inscrits aux monuments historiques. La façade a été restaurée en style néo-gothique au XIXe siècle. L'église était autrefois entourée du cimetière aujourd'hui remplacé par la place du 8 mai.
Politique et administration
Liste des maires
Politique de développement durable
La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21[32].
Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[33].
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[35].
En 2020, la commune comptait 2 501 habitants[Note 7], en augmentation de 3,09 % par rapport Ă 2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Larçay se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Saint Pierre des Corps.
L'école maternelle et l'école élémentaire Jean Moulin accueillent les élèves de la commune.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Castellum gallo-romain (IIIe siècle).
- Châteaux de Larçay (XIXe siècle) et de Bellevue (XIXe siècle), privés.
- Église Saint-Symphorien (XIIe, XVIe et XIXe siècles).
- Le logis prévôtal (XVIe siècle).
- Monument Paul-Louis-Courier (1825).
- Barrage-Ă©cluse (1841).
- Stand de tir de l'Armée, rue des Landes.
- Domaine des Belles-Caves, propriété en 1761 de Marie-Marguerite Benoist de La Grandière, épouse de François Mahy, écuyer, seigneur du Breuil.
Personnalités liées à la commune
HĂ©raldique
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Les armes de Larçay se blasonnent ainsi : D'argent, au lion de sable, armé et couronné d'or[38]. |
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Notes et références
Notes
- Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
- Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
- Le classement en liste 1 au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
- « Carte hydrologique de Larçay », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Fiche Sandre - le Cher », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
- « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
- « Station hydrométrique K6710910, le Cher à Tours [Pont Saint Sauveur] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
- « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
- (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Fiche Sandre - le Filet », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Tours », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Les risques près de chez moi - commune de Larçay », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « cartographie des risques d'inondations du TRI de Tours », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
- « La cartographie du risque d’inondation sur les Territoires à Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
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- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, (ISBN 978-2-916043-45-6 et 2-916043-45-4, OCLC 819384066, lire en ligne)
- Nicolas Huron, Larçay à travers les siècles, Trésor de l'histoire, Blois, , 60 p., p. 15-16
- FICHE | Agenda 21 de Territoires - Larçay, consultée le
- Site des villes et villages fleuris, consulté le .
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Le site de la mairie
- Michel Ramette, La ferme des " Brosses " à Larçay, Saint-Avertin, Imprimerie de la Plage, 1996, 55 pages (ISBN 2-9510701-0-1)