Villandry
Villandry [vilÉÌdÊi] est une commune française du dĂ©partement d'Indre-et-Loire, en rĂ©gion Centre-Val de Loire.
Villandry | |||||
Les jardins du chĂąteau de Villandry. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Tours | ||||
Intercommunalité | Tours Métropole Val de Loire | ||||
Maire Mandat |
Maria Lepine 2020-2026 |
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Code postal | 37510 | ||||
Code commune | 37272 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Colombiens, Colombiennes. | ||||
Population municipale |
1 136 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 64 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 47° 20âČ 25âł nord, 0° 30âČ 43âł est | ||||
Altitude | Min. 38 m Max. 97 m |
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Superficie | 17,8 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Tours (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
Départementales | Canton de Ballan-Miré | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | villandry.fr | ||||
Ses habitants sont appelés les Colombiens et Colombiennes.
GĂ©ographie
Localisation
Villandry est situĂ©e dans le centre-ouest du dĂ©partement d'Indre-et-Loire, Ă 16 km Ă l'ouest de Tours (et Ă 250 km au sud-ouest de Paris), au cĆur du parc naturel rĂ©gional Loire-Anjou-Touraine. Elle est bordĂ©e par la Loire, en rive gauche et traversĂ©e par le Cher, la confluence des deux cours d'eau se faisant au nord-ouest de la commune
Le village est traversé par l'itinéraire de la Loire à vélo.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Berthenay, La Chapelle-aux-Naux, Cinq-Mars-la-Pile, Druye, SavonniĂšres et VallĂšres.
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Hydrographie
La commune est bordée sur son flanc nord-ouest par la Loire (1,94 km) et le Cher (4,38 km). Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 31,97 km, comprend un autre cours d'eau notable, le Vieux Cher (4,83 km), et divers petits cours d'eau pour certains temporaires[1] - [2].
Le cours de la Loire sâinsĂšre dans une large vallĂ©e quâelle a façonnĂ©e peu Ă peu depuis des milliers dâannĂ©es. Elle traverse d'est en ouest le dĂ©partement d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'Ă Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire prĂ©sente des fluctuations saisonniĂšres de dĂ©bit assez marquĂ©es. Sur le plan de la prĂ©vision des crues, la commune est situĂ©e dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-NĂ©gron et la confluence de la Vienne[3], dont la station hydromĂ©trique de rĂ©fĂ©rence la plus proche est situĂ©e Ă Langeais. Le dĂ©bit mensuel moyen (calculĂ© sur 34 ans pour cette station) varie de 142 m3/s au mois d'aoĂ»t Ă 753 m3/s au mois de fĂ©vrier. Le dĂ©bit instantanĂ© maximal observĂ© sur cette station est de 3 060 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevĂ©e a Ă©tĂ© de 4,89 m le [4] - [5]. La hauteur maximale historique a Ă©tĂ© atteinte le avec 6,80 m[3]. Sur le plan piscicole, la Loire est classĂ©e en deuxiĂšme catĂ©gorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constituĂ© essentiellement de poissons blancs (cyprinidĂ©s) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[6].
Le Cher, d'une longueur totale de 365,5 km, prend sa source Ă 714 mĂštres d'altitude Ă MĂ©rinchal, dans la Creuse et se jette dans la Loire sur le territoire communal, Ă 40 m d'altitude, aprĂšs avoir traversĂ© 117 communes[7]. Le Cher prĂ©sente des fluctuations saisonniĂšres de dĂ©bit assez marquĂ©es. Sur le plan de la prĂ©vision des crues, la commune est situĂ©e dans le tronçon du Cher tourangeau[3], dont la station hydromĂ©trique de rĂ©fĂ©rence la plus proche est situĂ©e Ă Tours [Pont Saint Sauveur]. Le dĂ©bit mensuel moyen (calculĂ© sur 53 ans pour cette station) varie de 25,8 m3/s au mois d'aoĂ»t Ă 192 m3/s au mois de fĂ©vrier. Le dĂ©bit instantanĂ© maximal observĂ© sur cette station est de 1 000 m3/s le , la hauteur maximale relevĂ©e a Ă©tĂ© de 4,96 m le [4] - [8]. Ce cours d'eau est classĂ© dans les listes 1[Note 1] et 2[Note 2] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut ĂȘtre accordĂ©e pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle Ă la continuitĂ© Ă©cologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonnĂ© Ă des prescriptions permettant de maintenir le trĂšs bon Ă©tat Ă©cologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit ĂȘtre gĂ©rĂ©, entretenu et Ă©quipĂ© selon des rĂšgles dĂ©finies par l'autoritĂ© administrative, en concertation avec le propriĂ©taire ou, Ă dĂ©faut, l'exploitant[9] - [10]. Sur le plan piscicole, le Cher est Ă©galement classĂ© en deuxiĂšme catĂ©gorie piscicole[6].
Le Vieux Cher, d'une longueur totale de 24,4 km, prend sa source dans la commune de Druye et se jette dans la Loire à Bréhémont, aprÚs avoir traversé 8 communes[11]. Sur le plan piscicole, le Vieux Cher est également classé en deuxiÚme catégorie piscicole[6].
Trois zones humides[Note 3] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin », « Le Bois de Plante » et « Le Vieux Cher »[12] - [13].
Urbanisme
Typologie
Villandry est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [14] - [15] - [16].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (66,9 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (66,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (35,7 %), forĂȘts (20,9 %), prairies (18,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (12,2 %), eaux continentales[Note 6] (6,9 %), zones urbanisĂ©es (2,5 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (1,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (1,3 %), cultures permanentes (0,1 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Villandry est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[21]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[22].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment le Cher, le Vieux Cher et la Loire. La commune fait partie du territoire Ă risques importants d'inondation (TRI) de Tours, un des 21 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et portĂ©s Ă 22 lors de l'actualisation de 2018. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă 300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[23] - [24]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1991, 1999 et 2016[25] - [21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 98,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (90,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 539 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 534 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 99 %, Ă comparer aux 91 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26] - [27].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990, 1992, 1997, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2001[21].
Toponymie
Le nom primaire de la localité est attesté sous les formes Columbarium en 852[28] - [29] ; Villa quae vocatur Columbarius et Columberiacum au XIe et au XIIe siÚcles[30] ; Apud Columbers au début du XIIIe[31] ; Petrus Juliani, de Columberiis[32] en 1247[33].
Colombiers est le 1er nom de Villandry et signifie : « pigeoniers ».
Villandry est attesté sous les formes Villandry en 1639[34] ; Villandry au XVIIIe siÚcle (Carte de Cassini).
Histoire
Les Romains succÚdent aux Celtes et construisent le vaste domaine de la « Villa Andriaca ».
Le bourg et le chùteau sont dénommés Colombiers ou Coulombiers, ce qui vaudra aux habitants le nom de « Colombiens ».
Le , « la Paix de Colombiers » est signĂ©e dans le chĂąteau (voir aussi Ă cet article les seigneurs de Colombiers/Villandry). C'est lĂ que Henri II PlantagenĂȘt, roi d'Angleterre, vint devant Philippe Auguste, roi de France, reconnaĂźtre sa dĂ©faite.
En 1639, Villandry est de nouveau utilisé.
HĂ©raldique
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Les armes de Villandry se blasonnent ainsi : D'azur au chevron d'argent, au chef cousu de gueules chargé de trois besants d'or. |
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Politique et administration
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[36].
En 2020, la commune comptait 1 136 habitants[Note 7], en augmentation de 4,22 % par rapport Ă 2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Villandry se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Langeais.
L'Ă©cole primaire Les Petits Colombiens accueille les Ă©lĂšves de la commune.
Lieux et monuments
- Le chĂąteau de Villandry.
- L'Ă©glise Saint-Ătienne.
- La Pierre aux Joncs, menhir situé au Bois Lureau.
- Le Bec du Cher, lieu oĂč le Cher se jette dans la Loire, d'oĂč le nom de la communautĂ© de communes de la Confluence.
Personnalités liées à la commune
- Henri II PlantagenĂȘt
- Philippe Auguste
- Jean Le Breton
- Michel-Ange Castellane
- Gabriel-Julien Ouvrard
- François-Pierre Le Roux
- Joachim Carvalho
- Ămile Peltier, l'un des pionniers de l'espĂ©ranto.
- Stéphane Béchy, né en 1963, concertiste international, organiste de l'église Saint-Etienne de 1980 à 1984
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes
- Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en trÚs bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rÎle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complÚte des poissons migrateurs est nécessaire.
- Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
- DâaprĂšs lâarticle L. 211-1 du Code de lâenvironnement, « on entend par zone humide les terrains, exploitĂ©s ou non, habituellement inondĂ©s ou gorgĂ©s dâeau douce, salĂ©e ou saumĂątre de façon permanente ou temporaire ; la vĂ©gĂ©tation, quand elle existe, y est dominĂ©e par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de lâannĂ©e ».
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Fiche SIGES de la commune », sur le site du SystÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
- « Carte hydrologique de Villandry », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
- RÚglement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
- « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
- « Station hydrométrique K6830020, la Loire à Langeais », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
- (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Fiche Sandre - le Cher », sur le portail national d'accÚs aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- « Station hydrométrique K6710910, le Cher à Tours [Pont Saint Sauveur] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
- « ArrĂȘtĂ© du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classĂ©s au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « ArrĂȘtĂ© du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classĂ©s au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consultĂ© le ).
- « Fiche Sandre - le Vieux Cher », sur le portail national d'accÚs aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
- « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Villandry », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « cartographie des risques d'inondations du TRI de Tours », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consulté le )
- « La cartographie du risque dâinondation sur les Territoires Ă Risque Important (TRI) du bassin Loire-Bretagne », sur le site de la DREAL Centre-Val de Loire (consultĂ© le )
- « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
- Actes de Charles II le Chauve, n° 388.
- Dom Bouquet, Recueil des Historiens des Gaules, t. VIII, p. 520, Dom Housseau, t. I, n° 75.
- Dom Housseau, Charte de Marmoutier et du chapitre Saint-Martin de Tours.
- Cartulaire de lâarchevĂȘchĂ© de Tours, t. 2, n° 312, Livre de Eschequeste, p. 318.
- A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 430.
- A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 965.
- Lettres patentes dâĂ©rection de la terre de Colombiers en marquisat.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.