Montlouis-sur-Loire
Montlouis-sur-Loire est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire en région Centre-Val de Loire.
Montlouis-sur-Loire | |||||
Mairie | |||||
HĂ©raldique |
Logo |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Indre-et-Loire | ||||
Arrondissement | Tours | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Touraine-Est Vallées (siège) |
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Maire Mandat |
Vincent Morette 2020-2026 |
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Code postal | 37270 | ||||
Code commune | 37156 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Montlouisiens | ||||
Population municipale |
10 895 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 444 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
Coordonnées | 47° 23′ 21″ nord, 0° 49′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 46 m Max. 97 m |
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Superficie | 24,55 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Tours (banlieue) |
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Aire d'attraction | Tours (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Montlouis-sur-Loire (bureau centralisateur) |
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Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | ville-montlouis-loire.fr | ||||
GĂ©ographie
Situation
Cette commune est située sur la rive gauche de la Loire à 12 kilomètres en amont de Tours, et à 249 km de Paris.
Hydrographie
La commune est bordée sur son flanc nord par la Loire (4,27 km), qui en constitue la limite communale. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 8,44 km, comprend deux autres cours d'eau notables, le Filet (1,299 km), et trois petits cours d'eau pour certains temporaires[1] - [2].
Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne[3], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [aval pont Mirabeau]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 62 ans pour cette station) varie de 112 m3/s au mois d'août à 622 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 3 050 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevée a été de 5,78 m ce même jour[4] - [5]. La hauteur maximale historique a été atteinte le avec une hauteur inconnue mais supérieure à 6,20 m[6]. Sur le plan piscicole, la Loire est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].
Le Filet, d'une longueur totale de 19,6 km, prend sa source dans la commune de Dierre et se jette dans le Cher à Tours, après avoir traversé 10 communes[8]. Ce cours d'eau est classé dans la liste 1[Note 1] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Du fait de ce classement, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux[9]. Sur le plan piscicole, le Filet est également classé en deuxième catégorie piscicole[7].
Deux zones humides[Note 2] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée du Ruisseau du Filet » et « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin »[10] - [11].
Urbanisme
Typologie
Montlouis-sur-Loire est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [12] - [13] - [14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[15] et 358 316 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16] - [17].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[18] - [19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (27,7 %), zones urbanisées (23,7 %), cultures permanentes (17,3 %), forêts (10,3 %), terres arables (6,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5 %), prairies (3,5 %), eaux continentales[Note 5] (2,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[21].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Montlouis-sur-Loire est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Filet et la Loire. La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Tours, un des 21 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Loire-Bretagne et portés à 22 lors de l'actualisation de 2018. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[24] - [25]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1999, 2008 et 2016[26] - [22].
Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif d'Amboise, est classée au niveau de risque 3, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[27].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[28]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 92,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 4 046 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 3506 sont en en aléa moyen ou fort, soit 87 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[29] - [30].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 1992, 1993, 1996, 1997, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999, 2000, 2008 et 2021[22].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Vicus Montis Laudiacensis vers 587[31] ; Montis Laudiacensis vicus vers 590[32] ; Mons Laudiacensis en 818 (Testament d’Haganon) ; Mons Laudiacus au XIIe siècle ; parrochianus de Monte Laudiaco en 1247[33] ; In parochia de Monte Laudato et de Montloe au début du XIIIe siècle[34] ; Parochia de Monte Laudato en 1270[35] ; Apud Montem Laudatum au XIIIe siècle[36] ; En la parroisse de Montloué en 1335[37] ; La parroisse de Montloé en 1336[38] ; Montloué entre 1368 et 1386[39] ; De tabernagio de Monte Laudato au XIVe siècle[40] ; Parochia Montis Laudati en 1469 ; Montlouis en 1475[41] ; Montloys en 1485[42] ; Montloire en l'an II (Délibération conseil général de la commune) ; Montlouis en 1813 (Cadastre) ; Montlouis-sur-Loire (décret du 23 août 1920).
Montlouis, variante de Montlouet. Du latin classique Mons, « hauteur », et bas latin Laudiacus : gentilice Laudius et suffixe acus. « La hauteur du domaine appelé Laudiacus ». La composition Mont Louis, du bas latin Ludovicus, nom de personne d’origine germanique, reste possible dans les toponymes postérieurs à 1300.
La commune est bordée sur son flanc nord par le fleuve, la Loire.
Histoire
Une chapelle est desservie de 461 à 491 par saint Perpet de Tours, évêque de Tours, sur un site à l'aplomb du coteau protégé des crues de la Loire[43].
Dès le Moyen Âge, Montlouis s'est développé grâce à son port sur la Loire, voie navigable très utilisée, et par son activité viticole. Le toponyme de Viguerie (Jardin au pied de l'église) témoigne de son statut administratif.
Durant la guerre de Cent Ans, du 7 au , lors de la chevauchée du Prince noir la ville est pillée pendant trois jours par les Anglais.
La Renaissance marque un âge d'or. Puis l'activité portuaire se dégrade peu à peu en raison de l'ensablement du fleuve. Montlouis devient alors une commune essentiellement rurale et agricole, toujours avec le vin.
Au cours de la Révolution française, la commune, alors appelée simplement Montlouis, porte provisoirement le nom de Monloire ou de Mont-Loire.
En 1920, le nom de la commune est modifié avec la précision Montlouis-sur-Loire.
Politique et administration
Liste des maires
Jumelages
Montlouis-sur-Loire est jumelée avec deux villes étrangères :
- Appenweier (Allemagne) (9 722 habitants), depuis 1975.
- Castelvetro di Modena (Italie) (11 000 habitants), depuis 2002.
Politique environnementale
Dans son palmarès 2016, le Conseil national de villes et villages fleuris attribue trois fleurs à la commune au concours des villes et villages fleuris[44].
Population et société
DĂ©mographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[45] - [Note 6].
En 2020, la commune comptait 10 895 habitants[Note 7], en augmentation de 3,04 % par rapport Ă 2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
Montlouis-sur-Loire se situe dans l'académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Saint-Pierre-des-Corps.
La commune compte 7 Ă©tablissements scolaires :
- L'Ă©cole maternelle Arcadine
- L'école maternelle Les Ralluères
- L'Ă©cole maternelle Robert Desnos
- L'école élémentaire Emile Gerbault
- L'école élémentaire Jules Ferry
- L'école élémentaire Paul Racault
- Le collège Raoul Rebout
Le Festival de Jazz en Touraine
Depuis 1987, la ville accueille au mois de septembre le festival Jazz en Touraine. En 2010, il accueille plus de 20 000 personnes[48] sur une durée de dix jours. Une association est créée en 1990 pour organiser ce festival indépendamment de la municipalité. Aujourd'hui, environ 200 bénévoles s'occupent de l'organisation. Depuis sa création, un grand nombre d'artistes reconnus sont venus jouer à Montlouis :
- Dee Dee Bridgewater (1989, 1992, 1996, 2003, 2006 et 2015) ;
- Liz McComb (1992) ;
- Jean-Jacques Milteau (1992) ;
- Michel Petrucciani (1996) ;
- Dianne Reeves (2004) ;
- Manu Katché (2006) ;
- Aldo Romano (2009) ;
- Brad Mehldau (2011).
Maison des loisirs et de la création
Elle abrite l'Association pour l'animation de Montlouis (APAM) qui y propose des activités variées pour adultes et enfants[49].
Maison de la Loire d'Indre-et-Loire
Association fondée en 1986 et ayant pour vocation « d'éduquer à l’environnement ainsi que d’informer, sensibiliser et faire découvrir le patrimoine naturel et culturel de la Loire ». Elle propose des activités variées en rapport avec la faune et la flore du corridor ligérien.
Sapeurs-pompiers
- Environ 30 sapeurs-pompiers volontaires.
- Les véhicules : VSAV, CCR, VTU, MPR, bateau, VL.
- Environ 600 interventions par an.
Économie
Viticulture
L'AOC Montlouis-sur-Loire s'étend sur 450 ha sur les communes de Lussault-sur-Loire, Saint-Martin-le-Beau et Montlouis-sur-Loire. C'est un vin blanc décliné en sec, moelleux, effervescent et produit par un seul cépage : le chenin blanc.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le château de la Bourdaisière : il abrite le conservatoire de la tomate (près de 500 variétés).
- L'église Saint-Laurent : l'édifice primitif fut remplacé fin XIe -début XIIe siècle par une église à nef unique, dont subsistent encore la base du clocher et le chœur voûté en cul-de-four. L'inscription « République Française » de la façade date des alentours de 1881. Sur le pignon de gauche figure un graffito d'une gabarre, ex-voto marinier datant de la fin du XVIIe siècle. L'église possède aussi des vitraux du XXe siècle, dont un illustrant le bombardement du pont de Montlouis-sur-Loire en mai-, réalisé par le maître verrier Fournier.
- Le jardin de la Viguerie, Ă mi-pente.
- Le presbytère : ancien hôtel particulier du XVIe siècle, inscrit aux monuments historiques en 1927, il aurait abrité les amours d'Henri IV et de Gabrielle d'Estrées. Orné de lucarnes surmontées de gâbles sculptés et sertis d'une coquille, l'édifice témoigne de l'art de la Renaissance.
- La Maison de la Loire : depuis 1986, elle fait découvrir le patrimoine culturel et naturel du fleuve[50].
- Le quartier Cœur de ville : grand quartier « écologique » au centre de la ville composé d'immeubles destinés à la location (bailleur social) ainsi qu'à la vente, avec des maisons individuelles, des commerces et au centre une grande médiathèque[51].
- Le sentier de grande randonnée GR 3, le chemin de pèlerinage à Compostelle via Turonensis et le circuit de la Loire à vélo traversent Montlouis.
- Deux viaducs ferroviaires, construits en 1846 et en 1989, traversent la Loire Ă hauteur de Montlouis.
- Le manoir de la Miltière
- L'Ă©glise Saint-Laurent.
- Vitrail de la confrérie du Rosaire, église Saint-Laurent.
- Vitrail de la confrérie du Rosaire : les mystères glorieux, église Saint-Laurent.
- Circuit de la Loire à vélo.
Personnalités liées à la commune
- Michel Debré (1912-1996), y est mort.
HĂ©raldique
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Les armes de Montlouis-sur-Loire se blasonnent ainsi : « Écartelé : au premier et au quatrième d'argent au senestrochère de gueules sortant d'une nuée d'azur mouvant du flanc senestre, tenant une poignée de vesce en rameau de trois pièces de sinople, au deuxième et au troisième parti au I de sinople au pal d'argent et au II de gueules au pal aussi d'argent »[52]. |
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Notes et références
Notes
- Le classement en liste 1 au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
- D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
- « Carte hydrologique de Montlouis-sur-Loire », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
- Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
- « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
- « Station hydrométrique K4900030, la Loire à Tours [aval pont Mirabeau] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
- Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
- (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Fiche Sandre - le Filet », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
- « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
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- Grégoire de Tours, Ex Miraculis Sancti Martini, Livre IV, ch. 54.
- Grégoire de Tours, Histoire des Francs, Liv. X, ch. 31.
- A.N.-JJ 274, Querimoniae Turonum, n° 319.
- Cartulaire de l’archevêché de Tours, t. 2, n° 312, Livre de Eschequeste, p. 292.
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- Cartulaire de l’archevêché de Tours, t. 2, p. 321, charte 313.
- Cartulaire de l’archevêché de Tours, t. 2, p. 109, charte 215.
- Cartulaire de l’archevêché de Tours, t. 2, p. 92, charte 207.
- Cartulaire de l’archevêché de Tours, t. 2, p. 126, charte 231.
- Cartulaire de l’archevêché de Tours, charte 94, p. 239.
- A.N.-JJ 195, n° 1261, fol. 279.
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- Dépliant de l'office du tourisme, circuit-découverte des Villes et Pays d'art et d'histoire, halte numéro 2.
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Jazz en Touraine.
- http://www.apam-mlc.com/.
- Site de La Maison de la Loire.
- ville-montlouis-loire.fr.
- Le blason de la commune sur Gaso. Consultation : mars 2009.
Voir aussi
Bibliographie
- Claude Foubert, Histoire d'une ville à la campagne, chroniques de Montlouis, témoignages sur le siècle, photographies d'Édouard Golbin, édition Efil Communication, 2000.