Accueil🇫🇷Chercher

Vernou-sur-Brenne

Vernou-sur-Brenne est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Vernou-sur-Brenne
Vernou-sur-Brenne
Mairie de Vernou-sur-Brenne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Communauté de communes Touraine-Est Vallées
Maire
Mandat
Pascale Devallée
2020-2026
Code postal 37210
Code commune 37270
DĂ©mographie
Gentilé Vernadiens
Population
municipale
2 769 hab. (2020 en augmentation de 3,28 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 107 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 25′ 19″ nord, 0° 50′ 47″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 130 m
Superficie 25,91 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Tours
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Vouvray
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Vernou-sur-Brenne
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Vernou-sur-Brenne
GĂ©olocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Voir sur la carte topographique d'Indre-et-Loire
Vernou-sur-Brenne
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Vernou-sur-Brenne
Liens
Site web http://www.vernou-sur-brenne.fr

    Ses habitants sont appelés les Vernadien(ne)s.

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes de Vernou-sur-Brenne
    Monnaie Reugny
    Vouvray Vernou-sur-Brenne Chançay
    Noizay
    La Loire
    Montlouis-sur-Loire

    Hydrographie

    RĂ©seau hydrographique de Vernou-sur-Brenne.

    La commune est bordĂ©e par la Loire (2,254 km) sur son flanc sud et traversĂ©e d'est en ouest par la Cisse (2,492 km) qui coule parallèlement Ă  la Loire. Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 32,74 km, comprend un autre cours d'eau notable, la Brenne (5,141 km), et dix petits cours d'eau pour certains temporaires[1] - [2].

    Le cours de la Loire s’insère dans une large vallĂ©e qu’elle a façonnĂ©e peu Ă  peu depuis des milliers d’annĂ©es. Elle traverse d'est en ouest le dĂ©partement d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'Ă  Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire prĂ©sente des fluctuations saisonnières de dĂ©bit assez marquĂ©es. Sur le plan de la prĂ©vision des crues, la commune est situĂ©e dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-NĂ©gron et la confluence de la Vienne[3], dont la station hydromĂ©trique de rĂ©fĂ©rence la plus proche est situĂ©e Ă  Tours [aval pont Mirabeau]. Le dĂ©bit mensuel moyen (calculĂ© sur 62 ans pour cette station) varie de 112 m3/s au mois d'aoĂ»t Ă  622 m3/s au mois de fĂ©vrier. Le dĂ©bit instantanĂ© maximal observĂ© sur cette station est de 3 050 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevĂ©e a Ă©tĂ© de 5,78 m ce mĂŞme jour[4] - [5]. La hauteur maximale historique a Ă©tĂ© atteinte le avec une hauteur inconnue mais supĂ©rieure Ă  6,20 m[6]. Sur le plan piscicole, la Loire est Ă©galement classĂ©e en deuxième catĂ©gorie piscicole[7].

    La Cisse, d'une longueur totale de 87,7 km, prend sa source Ă  Rhodon[Note 1] en Loir-et-Cher, et se jette dans la Loire Ă  Vouvray, après avoir traversĂ© 28 communes[8]. Ce cours d'eau est classĂ© dans les listes 1[Note 2] et 2[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut ĂŞtre accordĂ©e pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle Ă  la continuitĂ© Ă©cologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonnĂ© Ă  des prescriptions permettant de maintenir le très bon Ă©tat Ă©cologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit ĂŞtre gĂ©rĂ©, entretenu et Ă©quipĂ© selon des règles dĂ©finies par l'autoritĂ© administrative, en concertation avec le propriĂ©taire ou, Ă  dĂ©faut, l'exploitant[9] - [10]. Sur le plan piscicole, la Cisse est classĂ©e en deuxième catĂ©gorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constituĂ© essentiellement de poissons blancs (cyprinidĂ©s) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].

    La Brenne, d'une longueur totale de 54,2 km, prend sa source Ă  127 mètres d'altitude près du lieu-dit Le Moulin Ă  Vent sur la commune de Pray[11] et se jette dans la Cisse sur le territoire communal, au sud du bourg, Ă  50 mètres d'altitude, après avoir traversĂ© d'ouest en est 15 communes[12]. La station hydromĂ©trique de VilledĂ´mer [Bas Villaumay Amont] permet de caractĂ©riser les paramètres hydromĂ©triques de la Brenne. Le dĂ©bit mensuel moyen (calculĂ© sur 51 ans pour cette station) varie de 0,39 m3/s au mois d'aoĂ»t Ă  2,83 m3/s au mois de fĂ©vrier. Le dĂ©bit instantanĂ© maximal observĂ© sur cette station est de 72,6 m3/s le , la hauteur maximale relevĂ©e a Ă©tĂ© de 2,08 m ce mĂŞme jour[4] - [13]. Sur le plan piscicole, la Brenne est Ă©galement classĂ©e en première catĂ©gorie piscicole

    Deux zones humides[Note 4] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de la Brenne de la Robinière à Vernou-sur-Brenne » et « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin »[14] - [15].

    Urbanisme

    Typologie

    Vernou-sur-Brenne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 5] - [16] - [17] - [18]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Tours, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 38 communes[19] et 358 316 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20] - [21].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[22] - [23].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (30,7 %), cultures permanentes (20,7 %), zones agricoles hétérogènes (20 %), forêts (10 %), prairies (9,8 %), zones urbanisées (4,2 %), eaux continentales[Note 7] (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %)[24].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[25].

    Voies de communication

    La commune est traversée par la LGV Atlantique qui passe dans le tunnel de Vouvray[26].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Vernou-sur-Brenne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Cisse, la Loire et la Brenne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1988, 1999, 2008, 2018 et 2021[29] - [27].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vernou-sur-Brenne.

    La commune est vulnĂ©rable au risque de mouvements de terrains constituĂ© principalement du retrait-gonflement des sols argileux[30]. Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 98,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (90,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 232 bâtiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 1169 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 95 %, Ă  comparer aux 91 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31] - [32].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990 et par des mouvements de terrain en 1983, 1985, 1995, 1999, 2001 et 2008[27].

    Histoire

    Vernou existait déjà en 494 sous le nom de Vernadum[33]. L'église de Vernou-sur-Brenne fut fondée au VIe siècle par saint Perpet[34].

    Du XVe au XVIIe siècle inclus, le village s’est appelé Vernou l’Archevêque. Depuis le XIIe siècle, la baronnie de Vernou relevait des archevêques de Tours qui venaient y séjourner. Ses barons du Clergé y eurent droit de haute, moyenne et basse justice jusqu’à la Révolution.

    Dans un ouvrage ancien[35], on trouve cette intéressante description : « Vernou, canton de Vouvray, arrondissement de Tours, joli village, sur la Brême, dont le nom latin est Vernorum. Le département n'a pas de plus belle commune ; on y remarque de magnifiques habitations ornées de jardins délicieux, et surtout le beau parc de M. le baron Bacot de Romand, des vignes qui produisent de bons vins, et des gorges qui en font un pays aussi riche que pittoresque. Saint Perpet fit construire l'église en 494. Vernou avait le titre de baronnie. C'est la patrie de Houdan Deslandes, auteur du poème de la nature sauvage et pittoresque et de l’Histoire du dernier siège de Gibraltar. Les archevêques de Tours avaient une maison de plaisance à Vernou, dont ils étaient les seigneurs temporels depuis 1119.

    Jusqu'en , on remarquait auprès de l'église de Vernou trois ormes séculaires qui, suivant une ancienne tradition, ont été plantés par l'ordre de Sully : le tronc de l'un d'eux avait tellement été creusé par les ans, qu'il était assez spacieux pour y contenir plusieurs personnes[36] ».

    HĂ©raldique

    Blason de Vernou-sur-Brenne

    Les armes de Vernou-sur-Brenne se blasonnent ainsi :

    Tranché d'azur et d'or à la grappe de raisin de deux vrilles de l'un en l'autre, au franc-canton de gueules chargé d'une croix pattée d'argent[37].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    mars 1977 février 1989 René Sauger
    mars 2001
    (décès)
    Claude Boutillon
    mars 2006 février 2007 Annick Duprey
    mars 2008 mai 2020 Jean Hurel Retraité
    mai 2020 En cours Pascale Devallée LR Chef d'entreprise
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[39].

    En 2020, la commune comptait 2 769 habitants[Note 8], en augmentation de 3,28 % par rapport Ă  2014 (Indre-et-Loire : +1,36 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 5001 5181 5471 6681 7601 8281 8901 9531 847
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 7761 8371 9321 9181 8731 8621 9271 9751 848
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 8661 9071 7851 6821 6841 5711 5311 7891 962
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 8222 0001 9922 0502 1972 4522 7112 6412 705
    2020 - - - - - - - -
    2 769--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee Ă  partir de 2006[41].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    Vernou-sur-Brenne se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Saint-Pierre-des-Corps.

    Les écoles maternelle et élémentaire Lecotté accueillent les élèves de la commune.

    Lieux et monuments

    • Église de la Sainte-TrinitĂ©.
      Église de la Sainte-Trinité.
    • Église de la Sainte-TrinitĂ©.
      Église de la Sainte-Trinité.
    • Gargouille.
      Gargouille.
    • Marque de la crue de 1856 sur le mur de l'Ă©glise.
      Marque de la crue de 1856 sur le mur de l'Ă©glise.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Article connexe

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. « Source de la Cisse à Rhodon » sur Géoportail..
    2. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
    3. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
    4. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Notes

      Références

      1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
      2. « Carte hydrologique de Vernou-sur-Brenne », sur https://www.geoportail.gouv.fr/ (consulté le ).
      3. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
      4. « Référentiel hydrométrique », sur http://www.sandre.eaufrance.fr/ (consulté le ).
      5. « Station hydrométrique K4900030, la Loire à Tours [aval pont Mirabeau] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
      6. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
      7. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur https://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
      8. « Fiche Sandre - la Cisse », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
      9. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
      10. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur http://www.legifrance.gouv.fr (consulté le ).
      11. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
      12. « Fiche Sandre - la Brenne », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
      13. « Station hydrométrique K4873120, la Brenne à Villedômer [Bas Villaumay Amont] », sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
      14. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur http://terresdeloire.net/ (consulté le ).
      15. « L'inventaire départemental des zones humides », sur http://www.indre-et-loire.gouv.fr/, (consulté le ).
      16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
      18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
      19. « Unité urbaine 2020 de Tours », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
      20. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
      21. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      22. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
      24. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
      25. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
      26. « Inventaire des tunnels ferroviaires de France : fiche Tunnel de Vouvray (LGV) » [PDF], sur tunnels-ferroviaires.org (consulté le ).
      27. « Les risques près de chez moi - commune de Vernou-sur-Brenne », sur Géorisques (consulté le )
      28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
      29. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
      30. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur www.indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
      31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
      32. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
      33. La Grande Encyclopédie, Volume 31
      34. http://loire.valley.free.fr/fr/vallee_du_cher/vernou_sur_brenne.html
      35. Annuaire Historique, Statistique et Commercial du DĂ©partement d'Indre et Loire, pour 1842. Tours, Mame & Cie Imprimeurs-Libraires.
      36. Voir les photographies anciennes de cet orme sur Le Figaro (communes).
      37. Le blason de la commune sur Gaso. Consultation : mars 2009.
      38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
      39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
      40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
      41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
      Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.