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Voves

Voves est une ancienne commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle des Villages Vovéens. Ses habitants se nomment les Vovéens.

Voves
Voves
L'hôtel de ville, et, dans la perspective de la rue Roger Gommier, le château d'eau.
Blason de Voves
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Eure-et-Loir
Arrondissement Chartres
Intercommunalité Communauté de communes de la Beauce vovéenne
Maire délégué Marc Guerrini
Code postal 28150
Code commune 28422
DĂ©mographie
Gentilé Vovéens
Population 3 164 hab. (2013)
DensitĂ© 96 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 16′ 22″ nord, 1° 37′ 38″ est
Altitude Min. 139 m
Max. 156 m
Superficie 32,98 km2
Élections
DĂ©partementales Voves (chef-lieu)
Historique
Commune(s) d'intégration Les Villages Vovéens
Localisation
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Voves
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Voves
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Voves
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Voves

    GĂ©ographie

    Situation

    • Situation gĂ©ographique
    • Carte de la commune de Voves.
      Carte de la commune de Voves.


    Communes limitrophes

    Lieux-dits

    • Villarceaux ;
    • Foinville ;
    • Soignolles ;
    • Genonville ;
    • Yerville ;
    • Sazeray ;
    • Lhopiteau.

    Voies de communication et transports

    La gare, en arrière plan le silo
    La gare, en arrière plan le silo.

    Desserte ferroviaire

    La gare de Voves est située sur :

    Toponymie

    Le nom de la localité est attesté sous les formes Vovæ vers 1250 (pouillé), Vauves en Chartain en 1395, Vosves en 1451 (charte du chap. de Chartres)[1].

    Voves est un nom d'origine celtique, du gaulois vidua « bois, forêt »[2].

    Histoire

    Paléolithique

    Un diagnostic fait à Voves a livré une petite série lithique attribuable au paléolithique final. L’intérêt du site réside aussi dans la présence d’ossements d’aurochs, conservés au contact entre les limons et un niveau de marnes sous-jacent.

    La fibule de Voves

    DĂ©couverte en 1969 Ă  l'occasion de travaux dans un jardin privĂ© du quartier de la Poste, Ă  1,60 m de profondeur environ, cette fibule est en cuivre Ă©maillĂ© et a l'aspect d'une roue Ă  huit rayons, au moyeu Ă©pais de 1,4 cm. Son diamètre est de 5,5 cm. Les couleurs sont encore très vives. Le moyeu est vert clair et bleu. Au-dessus, sont reprĂ©sentĂ©es des « fleurs», aux pĂ©tales bleu foncĂ© et blancs dont le centre est turquoise. Elles sont prises dans une pâte vert clair. L'Ă©mail des rayons est alternativement bleu et rouge. Quant au contour du bijou, il est constituĂ© d'une très fine mosaĂŻque bleu foncĂ© et blanche, sertie dans une pâte vert clair. Le travail est d'une minutie extraordinaire.

    La datation, en l'absence d'un contexte sérieux, est délicate. L’abbé Nouel, dans son ouvrage Les Origines gallo-romaines du Sud du Bassin parisien, a publié une fibule ornée d'émaux trouvée à Bazoches-les-Hautes (Eure-et-Loir), qu'il date du IIe ou IIIe siècle apr. J.-C., et qui présente de grandes ressemblances avec celle de Voves. Il s'agit, peut-être, d'une fabrication d'inspiration ou de tradition celtique, œuvre d'un atelier gaulois.

    Les fortifications de Voves

    Voves par Louis Boudan, 1696.
    « Vue du bourg de Voves. En Beauce, sur le grand chemin de Chartres à Orléans, à une lieue de Beauvilliers. 1696 »

    Depuis le XIVe siècle, la présence continuelle de gens d’armes et d’arbalétriers dans la région de Chartres est attestée. En , le bourg de Voves était victime de brigandages, semble-t-il récurrents dans cette partie de la Beauce, à tel point que le roi de France, Charles VI envoya le Bègue de Villaines pour délivrer le bourg de ces brigands.

    Le chef de ces troupes de brigands n’était autre que Gaucher de Chartres, frère de Philippe, seigneur de Chartres et capitaine de Chartres en 1380. Après cette intervention, il rendit le fort de Voves avec tous les biens qui y étaient dans le cadre d’une transaction qui fut passée avec les chanoines et notamment Pierre Guette, chanoine nommé à la prébende de Voves en 1385. Il est cependant impossible de savoir si les fortifications de Voves furent rétablies telles qu’elles existaient avant leur destruction par Gaucher de Chartres même s’il est certain qu’elles n’existaient plus au commencement du règne de Louis XIII (en 1610).

    À cette époque, une effervescence régnait et une ligue imposante s’était formée contre la régente Marie de Médicis. La Beauce a été victime des dégradations commises durant les guerres de religion et de la ligue. En , les habitants de Voves adressent une requête au Chapitre, seigneur temporel du bourg, pour demander le rétablissement des fortifications. La permission accordée le jour même par le Chapitre, fut aussitôt adressée au roi avec la requête des habitants et Louis XIII ne fit pas attendre sa sanction en envoyant des lettres-patentes octroyant de « faire clore, fermer et environner de fossés, murs, tours, tourelles, boulevers, ravins, esperons et ponts-levis le-dit bourg et village de Voves ».

    1620. Le , le chapitre de Chartres permit à Anne Mangot , garde des sceaux de France, bâtir une chapelle à Villarceaux, paroisse de Voves, dont il étoit seigneur.

    Pendant plusieurs décennies, le calme semble être revenu dans le bourg de Voves. En 1642, un premier incident, répertorié par le curé Gendron dans le registre de l’état-civil du bourg, eut lieu avec des soldats attaquant les habitants qui s’étaient réfugiés dans l’église pour se protéger. Seuls 39 maisons subsistèrent après un incendie. En , les habitants sont de nouveau victimes de la violence de gens d’armes. Ces derniers demandèrent la démolition des murailles, désarmèrent les habitants puis profanèrent l’église et la clôture du cimetière. Ils empêchèrent aussi le vicaire perpétuel de porter les sacrements aux malades. Début , une expertise eut lieu : la voûte de l’église menaçait de ruine, la clôture et les portes du cimetière avaient été démolies. On se contenta alors de faire à l’église quelques réparations indispensables, et le bourg fut privé pour toujours de ses fortifications.

    Passionné par l’histoire de France, Roger de Gaignières (1644-1715) amasse en près d’un demi-siècle une collection considérable de manuscrits historiques, de portraits et de documents originaux. Dans cette entreprise, Roger de Gaignières ne se contente pas de collectionner des documents existants, il en constitue une grande partie, accompagné notamment par le copiste et dessinateur, Louis Boudan. Ils parcourent la France du nord afin de relever des tombeaux, des épitaphes et des vues topographiques. En 1696, Louis Boudan réalise cette très jolie estampe du bourg de Voves, ci-contre, dont on peut voir en avant-plan un moulin, puis le village encerclé par une enceinte de protection. L’église « de l’ange gardien, paroisse du bourg », majestueuse, est au centre de la vue. La partie iconographique de ce fonds qu’Henri Bouchot publie en 1891 dans son Inventaire des dessins exécutés pour Roger de Gaignières est conservée au département des Estampes et des Manuscrits de la BNF.

    Maison du Temple de Voves

    L'ancienne maison du Temple de Voves est connue sous le nom de maison de « l'Hopitau » après avoir été dévolue à l'ordre de Saint-Jean-de-Jérusalem, tel que mentionné dans le procès-verbal d'une visite prieurale en 1495[Note 1] : « La ferme du Temple de Vausves, aujourd'hui l'Hopitau, où y a chappelle, fondée de saint Jehan, chargée tous les moys d'une messe et où a III ou IIII cens arpens de terre et maison pour le fermier et toute jurisdicion ». Cette ancienne maison de l'ordre du Temple fut détruite pendant les guerres du XVe siècle et une partie des terres fut réunie à la commanderie de Sours. L'autre partie fut donnée à cens et à rente perpétuelle[3].

    Retirada

    Entre le et le 8 fĂ©vrier, plus de 2 000 rĂ©fugiĂ©s espagnols fuyant l'effondrement de la rĂ©publique espagnole devant les troupes de Franco, arrivent en Eure-et-Loir. Devant l'insuffisance des structures d'accueil (le camp de LucĂ© et la prison de Châteaudun rouverte pour l’occasion), 53 villages sont mis Ă  contribution[4], dont Voves[5]. Les rĂ©fugiĂ©s, essentiellement des femmes et des enfants (les hommes sont dĂ©sarmĂ©s et retenus dans le Sud de la France), sont soumis Ă  une quarantaine stricte, vaccinĂ©s, le courrier est limitĂ©, le ravitaillement, s'il est peu variĂ© et cuisinĂ© Ă  la française, est cependant assurĂ©[6]. Une partie des rĂ©fugiĂ©s rentrent en Espagne, incitĂ©s par le gouvernement français qui facilite les conditions du retour, mais en dĂ©cembre, 922 ont prĂ©fĂ©rĂ© rester et sont rassemblĂ©s Ă  Dreux et LucĂ©[7].

    Le camp de Voves

    Logo monument historique Inscrit MH (2004)[8].

    Le camp de Voves [9]a été bâti en 1939 pour accueillir un centre d'instruction de la route. Il est utilisé en 1940 et 1941 par l'armée allemande pour le regroupement de prisonniers de guerre français, l'historien Jacques Benoist-Méchin (1901-1983) y fut notamment prisonnier en 1940.

    À la fin de 1941, les autorités françaises cherchent à déplacer le camp d'Aincourt, dans l'actuel département du Val-d'Oise, où sont internés depuis octobre 1940 des militants communistes de la région parisienne.

    C'est dans ce but que l'armée d'occupation accepte de restituer à l'administration française le camp de Voves. Le , un premier groupe d'internés arrive d'Aincourt à Voves pour remettre les lieux en état.

    Durant les mois d'avril et de mai suivants, des arrivées massives marquent le début du fonctionnement réel du camp. Les premiers internés viennent non seulement du camp d'Aincourt mais aussi de ceux de Gaillon, dans l'Eure, et du camp de Châteaubriant, en Loire-Inférieure. D'autres transferts suivront, notamment en provenance des camps de Rouillé, dans la Vienne, d'Écrouves, en Meurthe-et-Moselle, et de Pithiviers, dans le Loiret.

    La grande majorité des internés est constituée de « politiques », principalement des militants et sympathisants communistes, mais quelques-uns sont, pour reprendre le vocabulaire de l'époque, des « indésirables », essentiellement des étrangers, et des « droits communs », trafiquants du marché noir ou repris de justice.

    L'histoire du camp est marquée par l'importance du rôle joué par la direction politique communiste, bien sûr clandestine, qui, dans le but de former des cadres politiques et militaires pour la Résistance, crée une véritable université et organise des représentations théâtrales et des compétitions sportives, mais aussi, de façon plus dramatique, par les prélèvements d'otages et les transferts d'internés vers les camps de concentration d'Auschwitz et de Mauthausen, enfin par plusieurs évasions spectaculaires.

    Dans la nuit du 5 au , quarante-deux internés s'évadent par un tunnel de cent quarante-huit mètres de long, creusé à partir de la baraque des douches et qui descend à deux mètres de profondeur pour passer sous la clôture du camp. Un détachement de SS prend alors le contrôle du camp et, le 9 mai, la totalité des internés est transférée au camp de Royallieu, puis, quelques semaines plus tard, dans le camp de concentration de Neuengamme, près de Hambourg. Il n'y aura que peu de survivants…

    D'août 1944 à 1947, le camp est à nouveau utilisé, cette fois pour accueillir des prisonniers de guerre allemands.

    Le site du camp est aujourd'hui un lieu de mémoire, entretenu par un Comité du souvenir.

    Il regroupe une baraque musée, un Mémorial, un wagon du type de ceux ayant servi à la déportation des internés, divers souvenirs du camp et un arboretum.

    • Le camp de Voves
    • Panneau d'information de la Carrière des FusillĂ©s Ă  Châteaubriant, "Le Camp de Voves"
      Panneau d'information de la Carrière des Fusillés à Châteaubriant, "Le Camp de Voves"
    • Panneau d'information de la Carrière des FusillĂ©s Ă  Châteaubriant, "L'Amicale de Châteaubriant-Voves".
      Panneau d'information de la Carrière des Fusillés à Châteaubriant, "L'Amicale de Châteaubriant-Voves".

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires Ă  partir de 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    mai 1945 mai 1983 Roger Gommier Rad. puis PS Conseiller général du canton de Voves (1945-1976)
    mai 1983 mai 2001 André Coeuret PS
    mai 2001 mai 2008 Maryvonne Genin
    2008 31 décembre 2015 Marc Guerrini UDI Conseiller général du canton de Voves (2001-2015)

    Jumelages

    Jumelages et partenariats de Voves.
    VillePaysPĂ©riode
    Stroncone[10]Italiedepuis le

    Cadre de vie

    Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune au Concours des villes et villages fleuris[11].

    Population et société

    DĂ©mographie

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0441 1731 1631 1361 2561 3151 2831 3031 436
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 4681 5141 6701 8451 7361 9131 9601 9962 023
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    2 0212 0702 0811 9032 0192 0702 0172 1612 110
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2008 2013 -
    2 3522 5062 6192 8342 7852 9282 9103 164-
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee Ă  partir de 2006[13].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    En 2019, Les structures d'enseignement comptent deux écoles (Jeanne d'Arc et Jean Moulin) et le collège Gaston Couté.

    Économie

    Centrale éolienne des Égrouettes

    • En 2019, huit nouvelles Ă©oliennes s'ajoutent au parc Ă©olien des Égrouettes entre Voves et le hameau de Soignolles, sur la route de Prasville : les machines Siemens sont exploitĂ©es par la sociĂ©tĂ© Vol-V de Montpellier[14].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Lubin, XIIe et XVe siècles :
    • Fontaine Saint-Lubin ;
    • Dolmen de la Pierre LevĂ©e, Ă  proximitĂ© de la fontaine Saint-Lubin ;
    • Site de l'ancien camp de prisonniers de guerre, puis camp d'internement ;
    • Le plan d'eau.
    • Lieux et monuments
    • L'Ă©glise Saint-Lubin.
      L'Ă©glise Saint-Lubin.
    • Dolmen de la Pierre LevĂ©e.
      Dolmen de la Pierre Levée.
    • Plan d'eau de pĂŞche.
      Plan d'eau de pĂŞche.

    Personnalités liées à la commune

    • Hugues Capet (nĂ© vers 939-941), roi des Francs, mort en 996 in oppido Judeis, entre Voves et Prasville[15] ;
    • François Gendron (1618-1688), vicaire de Voves (frère du curĂ© Jacques Gendron), missionnaire au Mexique et dans les Indes oĂą il acquit de grandes connaissances dans la flore ; guĂ©risseur rĂ©putĂ© notamment pour soigner les cancers, il fut choisi par Louis XIV pour soigner le cancer de sa mère Anne d'Autriche[16] ;
    • Edmond Epstein (1901-1963), Ă©diteur et directeur de revues consacrĂ©es au droit social, Ă  l'Ă©nergie, aux transports et au marchĂ© commun. NĂ© Ă  Voves le , fils d'un tailleur qui tenait boutique sur la place de l'Ă©glise le jour des marchĂ©s, Edmond Epstein, diplĂ´mĂ© de l'École des hautes Ă©tudes commerciales de Paris, est le gendre d'Antoine Pinay, prĂ©sent Ă  ses obsèques cĂ©lĂ©brĂ©es en l'Ă©glise Saint-Lubin. Il est enterrĂ© Ă  Voves[17].
    • BenoĂ®t Garnot (1951-), historien moderniste, a enseignĂ© au collège Gaston CoutĂ©.
    • Philippe Alliot (1954-), pilote automobile, nĂ© Ă  Voves.

    Blasonnement

    Les armoiries de Voves se blasonnent ainsi :

    D’azur au râteau levé d’argent, au moulin à vent d'or brochant sur le manche, accosté de deux gerbes de blé du même.
    Création Conseil Français d'Héraldique

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Inspections et procès-verbaux des possessions de l'ordre dans le grand prieuré de France réalisés cette année-là.

    Références

    1. Dictionnaire topographique du département d'Eure-et-Loir : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
    2. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Vol. 1, Genève, Droz, , p. 135.
    3. Eugène Mannier, Ordre de Malte : Les commanderies du grand-prieuré de France d'après les documents inédits conservés aux Archives nationales à Paris, Aubry & Dumoulin, (lire en ligne), p. 140-141
    4. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'Accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps. 1996, no 44. p. 43.
    5. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
    6. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
    7. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
    8. « Ancien camp d'internement de Voves », notice no PA28000016, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    9. Stéphane Fourmas, Le centre de séjour surveillé de Voves (Eure-et-Loir), janvier 1942-mai 1944., Mémoire de maîtrise d'Histoire, Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, , 220 p.
    10. « https://www.villages-voveens.fr/jumelage-voves-stroncone-61.html » (consulté le )
    11. Site des villes et villages fleuris, consulté le 22 décembre 2016.
    12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 20062007 2008 2009 2010 201120122013 .
    14. « De nouvelles éoliennes s’érigent à Voves », sur lechorepublicain.fr,
    15. Bernhard Blumenkranz, « Où est mort Hugues Capet ? », Bibliothèque de l'École des Chartes,‎ n° 115, 1957, p. 168-171.
    16. Jules Charpignon, Étude sur l'abbé Gendron, mort à Orléans en 1688, .
    17. « Edmond Epstein (1901-1963) », sur data.bnf.fr (consulté le ).
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