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Bazoches-les-Hautes

Bazoches-les-Hautes est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.

Bazoches-les-Hautes
Bazoches-les-Hautes
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Eure-et-Loir
Arrondissement Châteaudun
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Beauce
Maire
Mandat
Isabelle Doret
2020-2026
Code postal 28140
Code commune 28029
Démographie
Gentilé Bazoléen, Bazoléenne
Population
municipale
322 hab. (2020 en diminution de 3,3 % par rapport à 2014)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 09′ 31″ nord, 1° 48′ 32″ est
Altitude Min. 120 m
Max. 141 m
Superficie 16,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Villages Vovéens
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Bazoches-les-Hautes
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Bazoches-les-Hautes

    Géographie

    Situation

    La commune est située dans la région naturelle de la Beauce.

    Communes limitrophes

    Lieux-dits

    La Boissière, Brandelon, la Fauconnière, le Mesnil, Mihardouin, Pannes et anciennement Chauffour actuellement englobé à Brandelon.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[1]

    • Moyenne annuelle de température : 10,7 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 638 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,6 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Poinville - Man », sur la commune de Poinville, mise en service en 1966[7] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[8] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11,1 °C et la hauteur de précipitations de 637,5 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Orléans - Bricy », sur la commune de Bricy, dans le département du Loiret, mise en service en 1937 et à 18 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 11 °C pour la période 1971-2000[11] à 11,2 °C pour 1981-2010[12], puis à 11,7 °C pour 1991-2020[13].

    Urbanisme

    Typologie

    Bazoches-les-Hautes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6] - [14] - [15] - [16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17] - [18].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (98,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (98,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (98,4 %), zones urbanisées (1,6 %)[19].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Bazoches-les-Hautes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondationset séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Conie. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999[22] - [20].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bazoches-les-Hautes.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 16,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 161 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 7 sont en en aléa moyen ou fort, soit 4 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[20].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

    Toponymie

    Le village est mentionné sous les formes Basilica, Basilicas villa en 877[25], Basilicas en 883 et Bazochioe Altoe en 1259.

    Les noms de lieu provenant de Basilica rappellent les basiliques de l'époque impériale, bâtiments publics couverts, analogues à nos halles, où se tenaient d'importants marchés, à la frontière des « cités ». Telles seraient Bazoches-les-Hautes[26].

    Il est intéressant de constater que ces Basilicae étaient situées près des frontières des « civitates » et généralement sur de très importantes voies romaines. Bazoches-les-Hautes, paroisse du diocèse d'Orléans (archi-diaconé de Beauce), se trouvait à la limite du diocèse de Chartres (civilas Carnutum) et de celui d'Orléans (civitas Aarelianorum, démembrement de la civitas Carnutum), sur la voie antique de Blois à Paris, traversant toute la Beauce presque en ligne droite[27].

    Histoire

    Préhistoire

    Des objets du Néolithique ont été découverts (silex et haches en pierre polie). Un dolmen, la Grosse-Pierre, est visible au réage de la carrière du Mesnil, entre le hameau du Mesnil et la route nationale 154.

    Antiquité

    La surface comprenant les lieux-dits « Champtier de La Fortune », Pannes, la Fauconnière et Chaufour délimite les principaux vestiges d'une agglomération commerçante antique (vicus) de 42 ha à Bazoches-les-Hautes, comprenant un marché couvert[28], où la fouille d'une nécropole en 1839 a mis au jour des vases contenant de 400 à 500 pièces de monnaie gauloises. Des monnaies gauloises en bronze coulé ou frappé découvertes en quantité dans les environs de Terminiers, Lumeau, Poupry, Baigneaux et Bazoches-les-Hautes témoignent de la possibilité d'ateliers monétaires carnutes.

    La rue Saint-Christophe au lieu-dit Brandelon est une ancienne voie romaine qui reliait Paris à Blois. Elle est dans un alignement d'agglomérations antiques sur une voie romaine, comprenant les vici voisins de Termeneus (Terminiers) et Limogilum (Lumeau) au sud et Alena (Allaines) au nord. Depuis le Moyen-Âge, on trouve également l'appellation de Grand Chemin de Blois ou Chemin des cochons. Dans les années 1990, une partie de la voie romaine fut remise en culture.

    Un four à chaux gallo-romain a été découvert au lieu-dit Pannes et le lieu-dit Chaufour témoigne de la même fonction.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs à partir de 1945
    Période Identité Étiquette Qualité
    Avant 1981 ? Guy Dolléans DVG
    Mars 2001 Juillet 2020 Marcel Peigné SE Agriculteur retraité
    Juillet 2020 En cours Isabelle Doret
    Les données manquantes sont à compléter.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

    En 2020, la commune comptait 322 habitants[Note 7], en diminution de 3,3 % par rapport à 2014 (Eure-et-Loir : −0,53 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    478412493515505522529516541
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    525543554492508506488466450
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    410400404354358381390375371
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    423502405265300289288289340
    2015 2020 - - - - - - -
    320322-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Dolmen, visible entre le hameau du Mesnil et la route nationale 154 ;
    • L'église Saint-Martin ;
    • La chapelle Sainte-Corneille de Pannes.
    • Lieux et monuments
    • Le dolmen de la Grosse-Pierre.
      Le dolmen de la Grosse-Pierre.
    • L'église Saint-Martin.
      L'église Saint-Martin.
    • La sépulture d'Emmanuel Rey.
      La sépulture d'Emmanuel Rey.

    Personnalités liées à la commune

    • Louis Emmanuel Rey (1768-1846), général des armées de la République et de l'Empire, est inhumé dans l'enclos paroissial de l'église Saint-Martin ;
    • Pierre-Aimable-Ferdinand Blot[33] est né à Bazoches-les-Hautes le 8 septembre 1790. Après un parcours de 30 ans dans l'armée à travers l'Europe, il devint imprimeur-lithographe, place de l'Hôtel de Ville à Paris et parallèlement il fut nommé « garde-inspecteur » du château des Tuileries à Paris. M. Blot a publié comme auteur, une série de livrets et de feuilles d'administration militaire[34].

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
    6. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
    2. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    3. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    4. Glossaire – Précipitation, Météo-France
    5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    6. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Centre-Val de Loire », sur centre-valdeloire.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    7. « Station Météo-France Poinville - Man - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    8. « Orthodromie entre Bazoches-les-Hautes et Poinville », sur fr.distance.to (consulté le ).
    9. « Station Météo-France Poinville - Man - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    10. « Orthodromie entre Bazoches-les-Hautes et Bricy », sur fr.distance.to (consulté le ).
    11. « Station météorologique d'Orléans - Bricy - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    12. « Station météorologique d'Orléans - Bricy - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    13. « Station météorologique d'Orléans - Bricy - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    20. « Les risques près de chez moi - commune de Bazoches-les-Hautes », sur Géorisques (consulté le )
    21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
    22. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
    23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    24. « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur www.eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
    25. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France : Formations préceltiques, celtiques, romanes, Droz, , p. 404.
    26. Revue des Etudes anciennes, t. XXIII (1921), p. 219-220 et t. XXV (1923), p. 367-378.
    27. Soyer Jacques, Les « Basilicae » de la « civitas Carnutum » et de la « civitas Aurelianorum », vol. 3, t. 23, coll. « Revue des Études Anciennes », , p. 219-220.
    28. Michel Aubouin, Une histoire de la Beauce : [1], De la cité des Carnutes aux départements révolutionnaires ; [2], 1789-1989, le temps des mutations, Chambray, Chambray-les-Tours : SACLD, 1995-1997, 383 p. (ISBN 978-2-85443-265-7 et 2-85443-265-7, BNF 2-85443-265-7, lire en ligne).
    29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    33. Blot, Pierre-Aimable-Ferdinand (1790-18..), Imprimeur-lithographe. - Fut sergent-major. (BNF 12498394).
    34. Pierre-Aimable-Ferdinand Blot, Manuel de l'administrateur militaire, ou Recueil des lois, ordonnances, réglemens, instructions... : à l'usage des commandants de compagnie et des sous-officiers comptables d'infanterie, Paris, Blot, , 485 p., 17 cm (BNF 30115566).
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