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Larceveau-Arros-Cibits

Larceveau-Arros-Cibits est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Larceveau-Arros-Cibits
Larceveau-Arros-Cibits
Larceveau et la plaine de la Bidouze depuis l'Othegaina.
Blason de Larceveau-Arros-Cibits
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Christele Caset-Urruty
2020-2026
Code postal 64120
Code commune 64314
DĂ©mographie
Gentilé Larzabaldar
Population
municipale
441 hab. (2020 en augmentation de 8,89 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 24 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 14â€Č 00″ nord, 1° 05â€Č 41″ ouest
Altitude Min. 113 m
Max. 642 m
Superficie 18,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Larceveau-Arros-Cibits
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Larceveau-Arros-Cibits
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Larceveau-Arros-Cibits
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Larceveau-Arros-Cibits

    Elle a été créée par la réunion des communes de Larceveau, d'Arros et de Cibits, cette derniÚre résultant de la fusion de l'ancien commune de Cibits et de Utxiat.

    Le gentilé est Larzabaldar[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Larceveau-Arros-Cibits se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe Ă  102 km par la route[Note 1] de Pau[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  61 km de Bayonne[4], sous-prĂ©fecture, et Ă  17 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Palais[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Lantabat (3,0 km), Ostabat-Asme (3,3 km), Bunus (3,3 km), Ibarrolle (3,6 km), Juxue (4,0 km), Gamarthe (5,2 km), Saint-Just-Ibarre (5,4 km), Arhansus (5,6 km).

    Sur le plan historique et culturel, Larceveau-Arros-Cibits fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variĂ©e en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement gĂ©ographique[8]. Depuis 1999, l'AcadĂ©mie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9] - [10]. La commune est dans le pays d’Ostabarret (Oztibarre), Ă  l’est de ce territoire[11].

    Communes limitrophes de Larceveau-Arros-Cibits[12]
    Lantabat Ostabat-Asme
    Ainhice-Mongelos Larceveau-Arros-Cibits Juxue
    Gamarthe Ibarrolle Bunus

    Géologie, sismicité

    La région est une région de flyschs bleus du Crétacé supérieur, trÚs épais (plusieurs kilomÚtres) et à fort pendage[Carte 1]. Ce type de terrain est peu propice aux captages d'eau, inexistants sur la commune qui est alimentée par les sources Zahagui et Hastokia à Hosta et Ur Belcha à Musculdy[13] dépendantes du massif karstique des Arbailles.

    La rĂ©gion est situĂ©e en zone sismique 4[14] correspondant Ă  un risque moyen. L'Ă©vĂšnement rĂ©cent (depuis 1980) le plus important s'est produit en 2003. SituĂ© Ă  10 km de profondeur, sa magnitude Ă©tait ML=2,3[15], donc trop faible pour ĂȘtre ressenti.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Larceveau-Arros-Cibits.

    La commune est drainĂ©e par la Bidouze, Artikaiteko erreka, Arlako erreka, Handia erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 17 km de longueur totale[16] - [Carte 2].

    La Bidouze, d'une longueur totale de 82,2 km, prend sa source dans la commune d'Aussurucq dans le massif des Arbailles et s'Ă©coule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour Ă  Guiche, aprĂšs avoir traversĂ© 26 communes[17].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[18]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[19].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[18]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,7 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 583 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[21] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[22] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'AĂŻcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[23] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[24] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 216,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[25]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă  44 km[26], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[27], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[28], puis Ă  14,6 °C pour 1991-2020[29].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[31], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste rĂ©seau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[32] - [Carte 3].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire.

    Deux ZNIEFF de type 2[Note 8] sont recensées sur la commune[33] - [Carte 4] :

    • les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du dĂ©partement[34] ;
    • le « rĂ©seau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[35].

    Urbanisme

    Typologie

    Larceveau-Arros-Cibits est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [36] - [37] - [38]. La commune est en outre hors attraction des villes[39] - [40].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (52,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (55 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (37,5 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (29,3 %), prairies (18,1 %), forĂȘts (15,1 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 5].

    Lieux-dits, hameaux, maisons

    • Arros 43° 14â€Č 05″ N, 1° 04â€Č 21″ O ;
    • Cibits 43° 13â€Č 32″ N, 1° 05â€Č 18″ O ;
    • Kurutzaldea 43° 14â€Č 16″ N, 1° 05â€Č 13″ O.
    • Xaharra 43° 13â€Č 56″ N, 1° 06â€Č 06″ O ;
    • Bastida Xoko 43° 13â€Č 32″ N, 1° 07â€Č 00″ O ;
    • Utziate ou Utxiat (hameau de Larceveau et ancienne commune, rĂ©uni Ă  Larceveau-Arros-Cibits entre 1790 et 1794[42]) 43° 13â€Č 10″ N, 1° 07â€Č 17″ O ;
    • Zaldua 43° 12â€Č 37″ N, 1° 05â€Č 26″ O ;
    • Zarzabalea 43° 13â€Č 25″ N, 1° 06â€Č 33″ O ;
    • Dona Maria 43° 13â€Č 59″ N, 1° 06â€Č 36″ O.
    • Jauregia 43° 13â€Č 59″ N, 1° 05â€Č 45″ O.

    Histoire

    Jusqu'au XVIIIe siÚcle la voie Saint-Palais-Saint-Jean-Pied-de-Port passe par Cibits[Carte 6]. Elle est remplacée à la fin du siÚcle par la voie actuelle nommée lors de sa construction Errege Bidea (voie royale)[43] qui figure sur le cadastre napoléonien[Carte 7].

    En 1881 une ligne de tramway Ă  voie mĂ©trique est envisagĂ©e entre Saint-Palais et Saint-Jean-Pied-de-Port avec un embranchement Ă  Larceveau vers Saint-Just[44]. En 1912 la ligne est dĂ©clarĂ©e d'intĂ©rĂȘt public et les expropriations commencent en 1914. La premiĂšre guerre mondiale provoquera l'arrĂȘt du projet. Sa tentative de redĂ©marrage aprĂšs la guerre se heurtera Ă  des problĂšmes de financement. Des quelques travaux effectuĂ©s il reste un bĂątiment de sous-station Ă©lectrique dans la montĂ©e du col de Galzetaburu, transformĂ© en habitation.

    Actuellement

    Borne routiÚre à Larceveau (début XXe siÚcle).

    La commune est desservie par les routes départementales D 918 vers Mauléon et D 933 entre Saint-Palais et Saint-Jean-Pied-de-Port.

    Il existe une ligne de bus sur la D 933.

    La gare TER la plus proche est celle de Saint-Jean-Pied-de-Port Ă  15 km (ligne Saint-Jean-Pied-de-Port - Bayonne). La gare TGV la plus proche est celle d'Orthez Ă  48 km (ligne Tarbes - Paris Montparnasse).

    L'aéroport le plus proche est celui de Biarritz-Pays Basque à 67 km.

    94,3 % des ménages ont au moins une voiture et 50,9 % en ont deux ou plus en 2018[45]. Les transports utilisés en 2018 pour se rendre au travail sont les suivants[45] :

    Moyen de déplacement
    pas de déplacement15,5 %
    marche, roller, patinette5,0 %
    vélo (y compris VAE)0,6 %
    2 roues motorisées0
    voiture76,4 %
    transport en commun2,5 %

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Larceveau-Arros-Cibits est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[46]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[47].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment la Bidouze. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 2007, 2008, 2009 et 2014[48] - [46].

    Larceveau-Arros-Cibits est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[49]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă  l’air libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[50] - [51].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Larceveau-Arros-Cibits.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[52]. 99,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 8]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [53].

    Toponymie

    Mentions anciennes

    Le toponyme Larceveau est une romanisation fautive du basque Lar-zabal « lande vaste »[54] ; il est documenté sous les formes : Larsaval et Larseval (respectivement 1119[55] et 1167[55], collection Duchesne volume CXIV, feuillets 32 et 35[56]), Larssabau (1477[55], contrats d'Ohix, feuillet 51[57]), Larcabau (1513[55], titres de Pampelune[58]), Larsabau (1518[55], chapitre de Bayonne[59]), Larçaval, Larçabal et Larzabal (1621[55] pour ces trois derniÚres formes, Martin Biscay[60]), Larcabau (1650[55]) et Larcevau (1801[61], Bulletin des Lois).

    Le toponyme Arros, du basque Arroz(e), est basé sur le radical oronymique harr- « pierre » et le suffixe aquitanique -oz[54] ; il est documenté sous les formes : Arrosium (1100), Sanctus Sebastianus de Mured (1160), Mureth (1350), Arros (1350), Muret (1365,1413)[54].

    Le toponyme Cibits, du latin civitas[54], est documenté sous les formes : Sent Andriu de Cibitz (1472[55], notaires de Labastide-Villefranche, no 2, feuillet 22[62]) et Civitix (1513[55], titres de Pampelune[58]).

    Le toponyme Utziate est documenté sous les formes : Uxiat (1227[55], Gall. christ, instrumentation de Bayonne), S(an)c(t)a maria de utsuat (Cartulaire de Dax)[63], hospital de iççuat (1350)[63], La Magdelene de l'espitau d'Utsiat (1441[55], notaires de Labastide-Villefranche[62]), Uxat (1488[55], notaires de Pau[64]), Uciat (1513[55], titres de Pampelune[58]), Utziate (1621[55], Martin Biscay[60]) et Utziat (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[55]).

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Larzabale-Arroze-Zibitze[1].

    Histoire

    La région est peuplée à l'époque protohistorique comme en témoignent les vestiges d'un oppidum (gaztelu zahar) à cheval sur les communes de Larceveau, d'Ostabat et de Lantabat[65].

    L'endroit, situé dans le pagus de Cize[66] et peuplé par les Tarbelles, se trouvait sur la voie romaine Bordeaux-Astorga, décrite par l'itinéraire d'Antonin. On en trouve quelques traces qui permettent de la situer. Le tracé adopté était Gamarthe Galcetaburu - Utxiat - Larceveau Chahara - Asme Burguzaharia, qui correspond approximativement au chemin de Saint-Jacques[43].

    Larceveau est une fondation royale navarraise, une ville neuve (bastide ou iriberri), vraisemblablement du dĂ©but du XIIIe siĂšcle[67] Ă  partir d'un village antĂ©rieur Ă  1120[68]. Certains lieux-dits comme Bastida Choko et Bastidartia en tĂ©moignent. À partir de 1514 ou 1515 Larceveau devient une « ville » (ou « bonne ville ») possĂ©dant la capacitĂ© juridique d'administration, de justice, d'exemption de taxes et pĂ©ages, d'organisation de foires et marchĂ©s et de reprĂ©sentation aux États de Navarre[69] - [70].

    Le village de Cibits est plus ancien (antérieur à 1120) ; c'est là que se réunissait la junte de la vallée de Hosta (Ostabarret)[68] - [71].

    Le camino navarro, chemin du pĂšlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle issu de la convergence de trois chemins majeurs Ă  Ostabat Ă©tait rejoint Ă  Utxiat par une voie secondaire passant par Ordiarp et Saint-Just via le col de Napale puis Cibits[72] - [73] - [74]. Il existait Ă©galement une voie partant d'Aroue sur la Via Podiensis et passant par Ithorots, Lohitzun, Uhart-Mixe, le col d'EthĂ©nĂ©, Juxue, Arros et Cibits oĂč se trouvait le pĂ©age[75].

    L'existence du village d'Arros est mentionnée en 1100[76].

    Au XVIe siÚcle Larceveau est incendié lors des guerres de religion[77] - [68]. Les destructions sont telles qu'il lui faudra un siÚcle pour se rebùtir.

    La RĂ©volution française est mal accueillie dans la rĂ©gion. Les prĂȘtres de Larceveau, d'Arros et d'Utxiat sont rĂ©fractaires et s'exilent et les listes d'enrĂŽlement volontaire pour l'armĂ©e de Larceveau et de Cibits restent vides, obligeant les autoritĂ©s Ă  avoir recours Ă  la conscription[78] - [70]. Durant cette pĂ©riode les communes d'Utxiat et de Cibits sont fusionnĂ©es[79]. En 1790 Larceveau devient le chef-lieu d'un canton comprenant les communes de Arhansus, Bunus, Hosta, Ibarrolle, Juxue, Cibits, Arros, Ostabat, Asme, Saint-Just et Ibarre, dĂ©pendant du district de Saint-Palais, ville rebaptisĂ©e Mont-Bidouze[55] - [78].

    La commune a été créée le [80] par la réunion des communes de Larceveau, d'Arros et de Cibits, à l'instar de nombreuses communes des Basses-Pyrénées dans la période 1841-1842.

    La PremiÚre Guerre mondiale entraßne une hécatombe d'hommes jeunes puisque 28 d'entre eux meurent. Cela représente environ un tiers des hommes de la tranche 21-49 ans susceptibles de porter une arme[81] - [82].

    Lors de la Seconde Guerre mondiale la France est coupée en deux par la ligne de démarcation qui suit la RN133 qui coupe la commune en deux parties. Larceveau est en zone occupée, Arros et Cibits en zone libre. Dans les faits le contrÎle des passages d'une zone à l'autre se fait à Cibits, les passages clandestins ayant généralement lieu à Utxiat[83]. Au cours de cette guerre trois jeunes hommes meurent lors de la Libération.

    Personnalités liées à la commune

    • Pedro Sanz de Lizarazu (? - juillet 1413), chevalier du royaume de Navarre. Il effectue des ambassades pour Charles le Mauvais puis Charles III de Navarre. Au retour de ce dernier de son voyage en France il l'accueille dans sa maison-forte (actuellement maison Dona Maria) en septembre 1398. Il est capitaine de la forteresse de Rocabrune Ă  Charritte de Mixe sur la Bidouze (aujourd'hui disparue) puis de celle de Saint-Jean-Pied-de-Port dans la pĂ©riode 1410-1412. Ses fils Guillem Arnalt qui lui succĂšde Ă  Saint-Jean-Pied-de-Port, Menaut et Charles abandonnent le nom de Lizarazu pour celui, roman, de Santa MarĂ­a (Dona Maria) qui est celui du domaine[84] - [85].
    • Emmanuel Lartigue (Bayonne 28/12/1908- Saint-Gladie-Arrive-Munein 24/06/1994) est maire de mai 1945 Ă  mars 1983. Il est Ă©lu sous l'Ă©tiquette RPF conseiller gĂ©nĂ©ral en 1949 et devient supplĂ©ant du sĂ©nateur Jean-Louis Tinaud en 1951. Il devient lui-mĂȘme sĂ©nateur en 1969 lorsque Jean-Louis Tinaud devient SecrĂ©taire d'État dans le gouvernement Chaban-Delmas[86].

    HĂ©raldique

    Le blason écartÚle ceux de diverses maisons nobles de la commune : au 1er la salle de Larceveau, au A du 2e la salle de Murulu (Arros), au B du 2e Pedro (Arros), au 3e Dona Maria (Larceveau) et au 4e la salle de Sault (Cibits)[87]. Ces armes ont été adoptées en 2002[68].

    Blason Blasonnement :
    ÉcartelĂ© au 1 d'argent Ă  deux fasces de sable ; au 2 parti en A de sable Ă  trois chĂąteaux d'or ouverts et ajourĂ©s du champ et rangĂ©s en pal, en B coupĂ© dentelĂ© d'argent et d'azur ; au 3 d'or Ă  l'arbre arrachĂ© de sinople et un sanglier de sable dĂ©fendu d'argent brochant sur le fĂ»t ; au 4 d'argent au sautoir de gueules chargĂ© en cƓur d'une Ă©toile d'or.

    Politique et administration

    Municipalité

    Pour la période antérieure à 1842 les maires de Larceveau, les maires d'Arros et les maires de Cibits sont données dans les articles correspondants.

    Liste des maires successifs[86]
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1842 1846 Marc Aphalo[88]
    1846 1855 Jean Etchart[88]
    1855 1874 Jean Elisseche[88]
    1874 1889 Léon Aphalo[88] - [89] médecin
    1889 1891 Jacques Aguerre
    1891 1900 Arnaud Pagola[90] dit Carçabal
    1900 1908 Jean Lespade-Etcheverry
    1908 1912 Gaston Perret
    1912 1933 Jean-Pierre Sagardoy[91] professeur
    1933 1944 Bernard Bidart conseil municipal dissous en septembre 1944
    1944 1945 Alphonse Bielle délégation spéciale
    1945 1983 Emmanuel Lartigue RPF, RI chirurgien-dentiste,
    conseiller général, sénateur
    1983 1995 Lucien Ruspil DVD forgeron
    1995 2001 Pierre Hiriburu
    2001 2008 Jean-Baptiste Oteiza
    2008 2020 Jules Larramendy technicien
    2020 En cours Christele Caset-Urruty DVC cadre de banque
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Larceveau-Arros-Cibits appartient Ă  six structures intercommunales[92] :

    • la communautĂ© d'agglomĂ©ration du Pays Basque ;
    • le syndicat AEP de l'Ostabaret ;
    • le syndicat d’énergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour l'amĂ©nagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
    • le syndicat d’énergie pour le soutien Ă  la culture basque ;
    • le syndicat pour le fonctionnement des Ă©coles d'Ostibarret.

    La commune accueille le siĂšge du syndicat AEP de l'Ostabaret.

    Population et société

    Avant 1793

    Au recensement fiscal de 1350 Larceveau compte 33 feux (on compte environ 5,5 personnes par foyer)[93]. Ce chiffre passe à 43 dans le recensement de 1412-1413[94] réalisé sur ordre de Charles III de Navarre[95]. Cette augmentation constitue une anomalie dans une région qui s'est largement dépeuplée durant cette période à cause de la peste noire.

    Le recensement de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[96], révÚle une démographie en forte croissance. Larceveau passe à 72 feux. Arros passe de 5 à 14 et Cibits de 9 à 29. Cette augmentation est générale et concerne toute la Basse Navarre.

    Entre 1793 et 1841

    Les communes sont séparées.

    Populations[97] - [98] - [99]
    179318001806182118311836
    Larceveau183197183208240365
    Arros967994109122113
    Cibits323301384321365348
    Total602577671638627726

    AprĂšs 1841

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[100]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[101].

    En 2020, la commune comptait 441 habitants[Note 12], en augmentation de 8,89 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    183197183208240228722793683
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    695572549518556541497467493
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    485522508514489503523429418
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    452394388424406395407394403
    2014 2019 2020 - - - - - -
    405436441------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[102] puis Insee Ă  partir de 2006[103].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Logement

    En 2018 les 211 résidences se partagent en 167 maisons (79,5%) et 42 appartements (20,1%). Le nombre moyen de piÚces est de 5,4 pour les maisons et 3,7 pour les appartements[45].

    Logements en 2018
    nombrepourcentage
    résidences211---
    principales17080,6
    secondaires157,1
    vacantes2612,3
    Date de construction des résidences principales
    nombrepourcentage
    avant 19194527,2
    1919-1945148,3
    1946-1970105,9
    1971-19904627,8
    1991-20051911,2
    2006-20153219,5

    Emploi et revenus

    En 2019 le revenu mĂ©dian par unitĂ© de consommation est de 21 280 â‚Ź[45] contre 22 040 â‚Ź pour l'ensemble des Français[104].

    En 2018 les résidents occupent 157 des 333 emplois situés sur la commune. Ils se répartissent de la façon suivante[45] :

    Type d'emploi
    salarié107fonction publique, CDI90
    CDD14
    Emploi aidé0
    Intérim1
    apprentissage, stage2
    non-salarié51indépendant33
    employeur17
    aide familial1

    Enseignement

    La commune dispose de deux écoles : l'école maternelle privée Oztibarreko ikastola[105] et l'école primaire publique. Il existe un collÚge de type ikastola Erdozaintzi Etxart Kolegioa depuis 2007.

    Économie

    L'activité est principalement agro-industrielle. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty et possÚde une importante fromagerie[106].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Une enceinte protohistorique fortifiĂ©e[107] (Ă©galement sur communes d'Ostabat-Asme et de Lantabat) se trouve au lieu-dit Gazteluzahar. Cette enceinte, situĂ©e Ă  472 m d'altitude, couvrant environ 1 ha comportait 7 lignes de dĂ©fense constituĂ©es de parapets de terre[108]. Les fragments des plus anciennes poteries trouvĂ©es sur place remontent au IIe siĂšcle avant notre Ăšre. Cette enceinte Ă©tait utilisĂ©e pour la dĂ©fense contre les incursions celtes ou lors de conflits locaux.
    • La maison forte[109], actuellement ferme Zaldua[110] date de la fin du XIIIe siĂšcle. C'est le domaine des seigneurs de Sault (Saut, Zaldu)[76].
    • La maison forte Dona Maria[109] date du XIVe siĂšcle. Elle a Ă©tĂ© restaurĂ©e et agrandie au XVIIIe siĂšcle puis au XIXe siĂšcle[111]. Elle a Ă©tĂ© le fief des Lizarazu, devenus des Santa MarĂ­a (romanisation)[84].
    • La ferme Jauregia est datĂ©e de 1591[112]. La construction garde les traces d'un bĂątiment antĂ©rieur[113]. Elle a appartenu aux seigneurs Jauregi (la sale de larcabau, 1365[76]).
    • La ferme Zarzabalea date de la fin du XVIIIe siĂšcle. La maison est citĂ©e dans des textes de 1350 (sarçabau) et 1412 (sarrjçabal)[114].
    • Des maisons des XVIe, XVIIIe et XIXe siĂšcles[115] sont rĂ©pertoriĂ©es par le ministĂšre de la Culture.
    • La maison Pagoileta a Ă©tĂ© Ă©tudiĂ©e par le Service RĂ©gional d'ArchĂ©ologie avant sa destruction dans les annĂ©es 1990. Une maquette a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e ; elle est prĂ©sentĂ©e au musĂ©e basque et de l'histoire de Bayonne[116].
    • Plusieurs moulins sont prĂ©sents sur la Bidouze et son affluent l'Artikaiteko erreka :
      • le moulin d'Utxiat, contemporain du prieurĂ©-hĂŽpital du XIIe siĂšcle, aujourd'hui ruinĂ©[117],
      • Le moulin de Sarçabal, Ă©galement ruinĂ© dont subsiste le canal de dĂ©rivation et la chute[118] - [Carte 7].
      • le moulin de Lafaurie[Carte 7] au lieu-dit Basabura (Cibits)[Carte 9], du XVIIe siĂšcle, transformĂ© en maison d'habitation[118] - [119],
      • le moulin de Zaldu Ă  Peko Arostegia (Arros)[Carte 9], du XVe siĂšcle ou du XVIe siĂšcle, transformĂ© en maison d'habitation[119].

       Un autre moulin existait encore au dĂ©but du XIXe siĂšcle sur l'Artikaiteko erreka[Carte 7] au lieu-dit Irazabalia[Carte 7] ou Zaldunbidea[Carte 9].

    Le hameau d'Utxiat

    Il se compose de quelques maisons, hĂ©ritiĂšres des maisons des donats du prieurĂ©-hĂŽpital Sainte-Madeleine. La route a scindĂ© la formation hospitaliĂšre Ă  l'ouest, la maison prieurale contre laquelle s'adossait l'Ă©glise romane, le cimetiĂšre dĂ©saffectĂ© et les ruines du moulin ; Ă  l'est, les quatre derniĂšres maisons des donats relevĂ©s de leurs vƓux Ă  la suppression de l’hĂŽpital en 1784.

    Il héberge dÚs 1199 les pÚlerins du camino navarro et de voies secondaires du pÚlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle passant par Cibits. Le prieur détient l'autorité sur les hÎpitaux d'Ostabat[120].

    À l'assemblĂ©e gĂ©nĂ©rale du chapitre en 1344 sont prĂ©sents 11 donats, dont quatre accompagnĂ©s de leur femme, un prieur, sept sƓurs. Le prieur est Bergon de Sault et quatre donats s'appellent Bernard de Sault, Sans de Sault, Armand Bidou de Sault et Ibar de Sault, tous de la famille noble Sault Ă  Cibits[121]. Cinq personnes sont octroyĂ©s au service du prieur : un sacristain, un valet d'Ă©curie et son aide, une servante et un homme pour le bois de chauffage[72].

    L'église Sainte-Marie-Madeleine annexée au prieuré a disparu au XIXe siÚcle. Une stÚle discoïdale du cimetiÚre a été ramenée à l'entrée de celui de Larceveau. Elle porte l'inscription Jacet hic 1644[122].

    Patrimoine religieux

    • Église Saint Laurent Ă  Larceveau.
      Église Saint Laurent à Larceveau.
    • Église Saint-AndrĂ© Ă  Cibits
      Église Saint-AndrĂ© Ă  Cibits
    • Église Saint-SĂ©bastien et son cimetiĂšre Ă  Arros
      Église Saint-SĂ©bastien et son cimetiĂšre Ă  Arros
    • Harriak iguzkitan (Larceveau)
      Harriak iguzkitan (Larceveau)
    • Croix de cimetiĂšre de 1786 Ă  Cibits
      Croix de cimetiĂšre de 1786 Ă  Cibits
    • Plusieurs tumulus protohistoriques sont rĂ©pertoriĂ©s sur le territoire de la commune ou Ă  cheval avec celle de Lantabat[123].
    • L'Ă©glise Saint-AndrĂ©[124], situĂ©e Ă  Cibits, date du XIXe siĂšcle. Elle remplace l'Ă©glise sanctus andreas de civiz mentionnĂ©e en 1120[76].
    • L'Ă©glise Saint-Laurent, situĂ©e Ă  Larceveau, date de 1854[125]. Elle a Ă©tĂ© reconstruite sur une Ă©glise antĂ©rieure datant de 1733[122].
    • Une croix du cimetiĂšre de Cibits date de 1786[126].
    • Un « centre d'interprĂ©tation des stĂšles discoĂŻdales et de l'art funĂ©raire basque » (Harriak iguzkitan, « Pierres au soleil »)[127] proche de l'Ă©glise Saint-Laurent prĂ©sente une collection de stĂšles en provenance de la collection de l'abbaye Notre-Dame de Belloc.
    • L'Ă©glise Saint-SĂ©bastien, situĂ©e Ă  Arros, est rĂ©pertoriĂ©e dans le cartulaire de la cathĂ©drale de Dax en 1160[128]. Elle Ă©tait annexĂ©e par la maison forte de Murulu (mured, muret, mureth)[76]. Aujourd'hui ruinĂ©e[129], elle existait encore au dĂ©but du XIXe siĂšcle[Carte 7]. Elle comporte un enfeu datĂ© du Xe siĂšcle ainsi qu'une porte latĂ©rale et un bĂ©nitier destinĂ©s aux cagots[130]. Sa cloche a Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©e Ă  l'Ă©glise de Larceveau au dĂ©but du XXe siĂšcle et la toiture utilisĂ©e par l'occupant allemand en 1940. Il existe encore Ă  proximitĂ© quelques traces d'une benoĂźterie. Le bĂątiment se trouve Ă  quelques centaines de mĂštres de la source Saint-SĂ©bastien qui Ă©tait rĂ©putĂ©e guĂ©rir la coqueluche.

    Monuments disparus

    • La chapelle Sainte-Marie de Bulunza (S(an)c(t)a maria de burunce, lostau de santa maria[63] - [131]), annexĂ©e Ă  la maison forte Dona Maria, est encore mentionnĂ©e sur les cartes anciennes[Carte 6] - [Carte 7].
    • Il existait une Ă©glise Saint-Vincent Ă  Xaharra (Sanctus Vincentius de Larcevau dans le cartulaire de la CathĂ©drale de Dax Liber Rubeus en 1160[131]), probablement dĂ©truite lors des guerres de religion[77].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[20].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[30].
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    9. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    11. Le texte dit « voyez ce que vous pouvez apporter à l'unité du Pays Basque ».
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte géologique de France », sur Géoportail
    2. « Carte hydrographique de Larceveau-Arros-Cibits » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    3. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Larceveau-Arros-Cibits », sur www.geoportail.gouv.fr.
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Larceveau-Arros-Cibits », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    6. César-François Cassini de Thury, « Carte générale de la France no. 140, feuillet 105 ».
    7. « Cadastre de Napoléon : Larceveau-Arros-Cibits »
    8. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
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    Références

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    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
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    12. Carte IGN sous GĂ©oportail
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    15. « Nouvelle Aquitaine : mon environnement »
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