Aussurucq
Aussurucq (basque souletin : AltzĂŒrĂŒkĂŒ) est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.
Aussurucq | |||||
La mairie dans le chùteau, cÎté cour. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marie Queheille 2020-2026 |
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Code postal | 64130 | ||||
Code commune | 64081 | ||||
DĂ©mographie | |||||
GentilĂ© | AltzĂŒrĂŒkĂŒtar | ||||
Population municipale |
238 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 5,1 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 09âČ 01âł nord, 0° 55âČ 57âł ouest | ||||
Altitude | Min. 191 m Max. 1 284 m |
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Superficie | 47,12 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Mauléon-Licharre (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Montagne Basque | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune d'Aussurucq se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].
Elle se situe à 69 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, à 39 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture, et à 11 km de Mauléon-Licharre[4], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[1].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Menditte (2,9 km), Ossas-Suhare (3,6 km), Sauguis-Saint-Ătienne (3,7 km), Idaux-Mendy (3,8 km), Ordiarp (4,1 km), Camou-Cihigue (4,3 km), Trois-Villes (5,0 km), Gotein-Libarrenx (5,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Aussurucq fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [6]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[7]. Elle se divise en Haute-Soule, Basse-Soule et Arbaille, dont fait partie la commune.
Hydrographie
La commune est drainée par la Bidouze, le Laurhibar, le ruisseau Apouhoura, azalegiko erreka, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 20 km de longueur totale[9] - [10].
La Bidouze, d'une longueur totale de 82,2 km, prend sa source dans la commune et s'écoule du sud vers le nord en direction de Saint-Just-Ibarre. Elle se jette dans l'Adour à Guiche, aprÚs avoir traversé 26 communes[11].
Le Laurhibar, d'une longueur totale de 28,1 km, prend sa source dans la commune de Mendive et s'écoule vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Nive à Saint-Jean-Pied-de-Port, aprÚs avoir traversé 8 communes[12].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[14].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[16] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[17] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Licq-Atherey », sur la commune de Licq-AthĂ©rey, mise en service en 1970[18] et qui se trouve Ă 10 km Ă vol d'oiseau[19] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 507,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[20]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă 49 km[21], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[22], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[23], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[24].
Milieux naturels
Ă la fin du XIXe siĂšcle, la forĂȘt des Arbailles couvrait en partie les territoires des communes d'Aussurucq, BĂ©horlĂ©guy, Camou-Cihigue, Musculdy, Ordiarp et Saint-Just-Ibarre.
L'une des richesses patrimoniales de la commune d'Aussurucq est constituée par son sous-sol. En effet, une grande partie sinon la totalité du territoire de la commune s'étend en milieu karstique.
Ce milieu se caractérise notamment par la présence de cavités naturelles de formes complexes qui ne sont pas encore toutes découvertes ni a fortiori explorées à ce jour.
Les spéléologues du département et d'ailleurs ont entrepris l'exploration, la description et la publication de ce patrimoine, dans le respect de l'environnement et des populations locales.
L'une des plus belles cavités de cette commune est le Nébélé, qui fait l'objet de travaux et explorations réguliers depuis 1972.
Le pic d'Ascune se dresse à 860 mÚtres[8], l'Echagorry à 935 mÚtres[8], le pic d'Elsarré à 1 153 mÚtres, le pic Sihigue à 1 193 mÚtres et le pic Etchecortia à 1 204 mÚtres[8]. Au sud-ouest du territoire, le Bohorcortia s'élÚve à 1 214 mÚtres[8].
La Bidouze prend sa source au nord-ouest du territoire de la commune[8], avant de couler sur Saint-Just-Ibarre.
Urbanisme
Typologie
Aussurucq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [25] - [26] - [27].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mauléon-Licharre, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[28] - [29].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (85,7 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (86,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (57,2 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (27 %), prairies (8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de vĂ©gĂ©tation (1,5 %), zones urbanisĂ©es (0,5 %)[30].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
La route pastorale de Béhorléguy à Alçay ou Aussurucq, qui passe par le col d'Aphanize (sans le traverser), franchit la ligne de partage des eaux non loin du col de Burdin Olatzé mais en le surplombant légÚrement.
La commune est desservie par les routes départementales 117, 147 et 348[8].
Lieux-dits et hameaux
12 quartiers composent la commune d'Aussurucq[31] :
- AjerbĂŒrgĂŒa
- AhĂŒzki (AhĂŒzkia sur les cartes IGN)
- Arabehera
- ArantzetabĂŒrgĂŒa
- ArkĂŒrĂŒtxea
- Barnetxborda (Barnexborda sur les cartes IGN)
- Barrikata
- Garraibi
- Gesalea
- Kharrika
- Latsebarria
- Ăxia.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Aussurucq est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[32]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[33].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue torrentielle ou Ă montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment l'Aphurhura, l'Arangoreneko erreka et la Bidouze. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 2003, 2009, 2014 et 2021[34] - [32].
Aussurucq est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[35]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă lâair libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[36] - [37].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines)[38]. Afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[39].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[40]. 62,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [41].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Aussurucq apparaĂźt sous les formes Auçuruc (1189[42]), Auzuruc (1337[42]), Aussuruc (1385[42]), Aussuruc (1455[43], collection Duchesne volume CXIV[44]), Ausseruc (1412[43], notaires de Navarrenx[45]), et dans les titres de Bayonne[46] : Ausuruc (1454[43]), Sent-Martin d'Auçuruc (1471[43]) et Auserucus (1471[43]). Dâautres graphies sont Ă©galement mentionnĂ©es, telles que Ausuruc (1520[42]), Dassurucq, Ausuruc et Aussurucq (1690 pour ces trois formes[42]),
Ătymologie
Jean-Baptiste Orpustan[42] indique que le toponyme provient du basque altzu, « aulne », qui sâexplique par la position de vallĂ©e arrosĂ©e, apprĂ©ciĂ©e des aulnaies. La seconde partie du composĂ© est plus Ă©nigmatique. Il sâagirait, suivant le mĂȘme auteur, soit du mot urru (« de lâautre cĂŽtĂ© »), ou iri donnant alzu-(i)ri-ku, « lieu du domaine de lâaulnaie ».
Autres toponymes
La fontaine d'Ahusquy et ses eaux minérales sont mentionnées en 1863 dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[43].
ArabĂ©hĂšre, Aran, Arhanset, Ariadar et Arsusqui, toponymes dĂ©signant des anciennes fermes, sont mentionnĂ©s en 1520[43] (coutume de Soule[47]), tout comme les fermes BĂ©herĂ©garay (BĂ©hĂšregaray en 1863[43]), Carricart, Carrica, Carriquiri (peut-ĂȘtre la Carriquiborda actuelle), Goyen, Gotti, iribanne, Lapistoy (Lapitztoy en 1863[43]), Mendiburu, NĂ©col (peut-ĂȘtre le NĂ©kolha actuel), Sagarspe et Urruchoro.
Le col de BurunolatxĂ© joint les communes dâAlçay-AlçabĂ©hĂ©ty-Sunharette et dâAussurucq.
Escuré était un bois de la commune, mentionné en 1863[43].
Histoire
Au paléolithique moyen, la Soule était déjà peuplée, car on a trouvé des restes préhistoriques de l'homme de Néanderthal dans les grottes Xaxixiloaga à Aussurucq[49]. Au Néolithique, un ensemble de tumulus funéraires sont édifiés au fond de la vallée des Arbailles, les deux dolmens d'Ithe y sont encore visibles.
On appelait « messagerie » des Arbailles[50] la partie centrale de la Soule, entre BasabĂŒrĂŒ et Pettarra (rĂ©gion de Sauguis-Saint-Ătienne, Aussurucq et Barcus).
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
Aussurucq appartient Ă six structures intercommunales[53] :
- la communauté de communes de Soule-Xiberoa ;
- le syndicat d'assainissement du Pays de Soule ;
- le syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal Arbailla ;
- le syndicat intercommunal de transport de Musculdy - Ordiarp ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien Ă la culture basque.
Population et société
DĂ©mographie
Le nom des habitants est AltzĂŒrĂŒkĂŒtar[48].
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[54]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[55].
En 2020, la commune comptait 238 habitants[Note 10], en diminution de 4,8 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
L'activité est essentiellement centrée sur l'agriculture (élevage et pùturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église au clocher trinitaire, façade et escalier d'honneur.
En 2002, Aussurucq a accueilli une pastorale, sur le thĂšme de ĂrrĂŒti Jauregiko Peirot, Ă©crite par Niko Etxart.
Le chùteau de Ruthie héberge une bibliothÚque. Depuis le début de l'année 2017, dans le hall du chùteau se trouve une boite à livre. Le chùteau accueille réguliÚrement des expositions.
Une fois par an la commune organise un concert lyrique qui rassemble des artistes de renom au cours d'une soirĂ©e, GaĂŒ-IzartsĂŒ ou SoirĂ©e Ă©toilĂ©e
Patrimoine civil
Une enceinte Ă gradins se dresse au lieu-dit GaztelĂŒ, Ă 582 mĂštres d'altitude.
Le chùteau de Ruthie, dont les origines[58] remontent au XIe siÚcle, remanié aux XVe, XVIIe et XVIIIe siÚcles, et inscrit aux monuments historiques le 30 avril 1925, est érigé sur le territoire de la commune.
Patrimoine religieux
La commune dispose d'une Ă©glise possĂ©dant un clocher-mur dit « trinitaire » ou souletin, c'est-Ă -dire que la crĂȘte du mur, percĂ© de baies oĂč tintent les cloches, s'y achĂšvent par trois grandes pointes Ă peu prĂšs d'Ă©gale hauteur, figurant la TrinitĂ©[59]. L'Ă©glise recĂšle une croix de procession en bois du XVIIe siĂšcle[60], classĂ©e par les monuments historiques.
NĂ©es au XVe siĂšcle
- Pierre V de Charritte de Ruthie, né à Aussurucq, aumÎnier de François Ier[61].
NĂ©es au XXe siĂšcle
- Gilen Epherre, nĂ© Ă Aussurucq en 1911 et mort Ă Bayonne en 1974, est un Ă©crivain, prĂȘtre, acadĂ©micien et acteur culturel important de la pĂ©riode de l'aprĂšs-guerre.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative Ă la musique :
- Ressource relative aux organisations :
- (es) Aussurucq sur l'encyclopédie Auñamendi
- Aussurucq sur le site de la communauté de communes Soule-Xiberoa
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[15].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
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- Stephan Georg, « Distance entre Aussurucq et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Aussurucq et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Aussurucq », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
- Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- « Fiche communale d'Aussurucq », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- « Carte hydrographique d'Aussurucq » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- Sandre, « la Bidouze ».
- Sandre, « le Laurhibar ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
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- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 978-2-86781-396-2 et 9782867813962, BNF 40190262).
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothÚque impériale - BibliothÚque nationale de France
- Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Titres de Bayonne - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques et de la mairie de Bayonne
- Coutume de Soule de 1520, imprimée à Pau en 1760
- Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
- Voir l'article Histoire de la Soule
- La charge du messager, sorte de procureur royal, était la surveillance d'une zone géographique définie - Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
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