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Barcus

Barcus (prononcer [baʁkys] ; Barkoxe en basque) est une commune française, situĂ©e dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Barcus
Barcus
Le fronton de Barcus et l’église de l’Ascension.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Jean-Marc Baranthol
2020-2026
Code postal 64130
Code commune 64093
DĂ©mographie
Gentilé Barcusiens
Population
municipale
640 hab. (2020 en diminution de 3,76 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 14 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 11â€Č 23″ nord, 0° 46â€Č 16″ ouest
Altitude Min. 176 m
Max. 793 m
Superficie 46,93 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Oloron-Sainte-Marie
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Montagne Basque
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Barcus
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Barcus

    Le gentilé est Barcusien[1] (ou barkoxtar[2] en basque).

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Barcus se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

    Elle se situe Ă  53 km par la route[Note 1] de Pau[4], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  20 km d'Oloron-Sainte-Marie[5], sous-prĂ©fecture, et Ă  12 km de MaulĂ©on-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de MaulĂ©on-Licharre[3].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Esquiule (5,2 km), Roquiague (5,5 km), L'HĂŽpital-Saint-Blaise (7,0 km), Roquiague (7,7 km), Ance (8,1 km), Aramits (8,4 km), Lanne-en-BarĂ©tous (8,5 km), Saint-Goin (8,7 km).

    Sur le plan historique et culturel, Barcus fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[10] - [11]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[12]. Elle se divise en Arbaille, Basse-Soule et Haute-Soule, dont fait partie la commune.

    Hydrographie

    La commune, situĂ©e dans le bassin versant de l'Adour, est traversĂ©e par le Joos (qui se jette dans le gave d'Oloron) et par ses affluents, le BouhatĂ©ko erreka, l'arrĂšc d'Etchanchu, l'Handia, l'erreka Oyhanart, l'arriou de Soulou, l'erreka Sustaris, le ruisseau Ibarra (km) et ses tributaires, le ruisseau Ibarra (4,4 km, lui-mĂȘme accompagnĂ© sur la commune par l'Askontchilo erreka et le ruisseau Athaketa) et le ruisseau Lecheguita (ainsi que par le tributaire de ce dernier le ruisseau Ilharra).
    Paul Raymond[14] mentionne un autre affluent du Joos traversant le territoire de Barcus, le ruisseau de Guibéléguiet, ainsi que son tributaire, le ruisseau du Paradis.

    Des affluents du Lausset (lequel se jette dans le gave d'Oloron) passent Ă©galement sur les terres de la commune, tels que le ruisseau Ascania et le ruisseau l'Ibarle, ainsi que l'affluent de ce dernier, l'Ambelseko erreka.

    Enfin, le ruisseau de Lacoste, sous-affluent de l'arrÚc de Bitole, est également présent sur la commune.

    Voies de communication et transports

    La commune est desservie par les routes départementales 24, 59, 347, 459 et 859[15].

    Hameaux

    14 quartiers composent la commune de Barcus[16] :

    • Ahargopea
    • Aranbeltz (les Arambeaux sur les cartes IGN)
    • BĂŒrgĂŒa (Burgia sur les cartes IGN, Le Bourg en français)
    • Gaztelondo (Gastellondo sur les cartes IGN)
    • Gaztelondotxipia
    • Jauregiberribarra
    • Kharrika
    • Larreja
    • Larrejazola
    • Maidalenazerra
    • Maisonaba
    • Malta
    • Ollauki
    • Txapela

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[17]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[18].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[17]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 6,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 511 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[20] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[21] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Oloron-Ste-Mari », sur la commune d'Oloron-Sainte-Marie, mise en service en 1964[22] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[23] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 341,2 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[24]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et Ă  36 km[25], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[26], Ă  13,4 °C pour 1981-2010[27], puis Ă  13,8 °C pour 1991-2020[28].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « le gave d'Oloron (cours d'eau) et marais de Labastide-Villefranche »[30], d'une superficie de 2 547 ha, une riviĂšre Ă  saumon et Ă©crevisse Ă  pattes blanches[31] - [Carte 1].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensĂ©e sur la commune[32] - [Carte 2] : le « Lausset amont et zones tourbeuses associĂ©es » (190,06 ha), couvrant 11 communes du dĂ©partement[33] et une ZNIEFF de type 2[Note 9] - [32] - [Carte 3] : le « bassin versant du Lausset et du Joos : bois, landes et zones tourbeuses » (19 519,13 ha), couvrant 23 communes du dĂ©partement[34].

    Urbanisme

    Typologie

    Barcus est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10] - [35] - [36] - [37].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Oloron-Sainte-Marie, dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 44 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[38] - [39].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (52,9 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (52,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (34,2 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (28 %), prairies (24,9 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (12,3 %), zones urbanisĂ©es (0,6 %)[40].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 4].

    Lieux-dits

    • Agaras
    • Agor (border)
    • Agorria
    • Aguerborda
    • Aguerret
    • Aistor
    • Alkkatia
    • Ahargo (mont)
    • Ainus
    • Alhorchar
    • Arambeaux
    • Aramburu
    • AranĂ©der
    • Arangaray
    • Arhanchet
    • Arthaxet
    • Artheguiet
    • ArtzanĂŒthĂŒrry
    • Askain
    • Askonobiet
    • Askoz
    • Askozborda
    • Athaket
    • AthakĂ©ta
    • Ayscar
    • Bagardikoborda
    • Baralegne
    • Barbieborda
    • Barbieko EyhĂ©ra
    • Barcardats
    • Barcochbide
    • Barnetche
    • Barrenkia
    • Belloya
    • Beltchun
    • Beltzantzuburu
    • Berhaburu
    • Berho
    • Bermaillou
    • Betan
    • Beteria
    • Bidau
    • Bigne
    • Biscay
    • Bohogu
    • BordabegoĂŻty
    • Bordaburia
    • Bordacharia
    • Bordagay
    • Bordagoyhen
    • Bordetta
    • Burgia
    • Cabana
    • Cachau
    • Chiloua
    • Choko
    • Chourikoborro
    • Cocutchia
    • Cotabaren
    • Cotiart
    • Coyos
    • Coyosborda
    • La Croix Blanche
    • Curutchiga
    • Doronda
    • Duque
    • EihartzĂ©ta
    • Elhar
    • Elhurdoy
    • Eperrape
    • Eperregagne
    • Erguillota
    • Errande
    • ErrĂ©kartĂ©a
    • Espel
    • Espelia
    • Estecondo
    • Etchahoun
    • Etchanchu
    • Etchandy
    • EtchartĂ©a
    • Etchebarne
    • Etcheberriborda
    • Etcheberry (2 places)
    • Etchecopaberria
    • Etchegoren
    • Eyharche
    • Eyhartzet
    • Eyheregaray (2 places)
    • EyhĂ©ramendy
    • Fabiania
    • GagnĂ©ko Borda
    • Galharetborda
    • Garay
    • Garrat
    • Gastellondo
    • Gorostordoy
    • Gorrostibar
    • Goyheneix
    • Goyheski
    • Goyhetsia
    • Goytolia
    • GuibelhĂ©guiet
    • Haritchast
    • Haritchelhar
    • Harritchilondo
    • Haubiga
    • HĂ©goburu
    • HĂ©guiapal
    • HĂ©guilla
    • HĂ©guitchoussy
    • Ibar
    • Ibarrondo
    • Idiart
    • Ihitzaga
    • Ilharra
    • Itchal
    • Jacobia
    • Jaureguiberry
    • Lagune
    • Lapitz
    • Lapitzia
    • Larragorry
    • Larranda
    • Larrandabuia
    • Larrasquet
    • Larrorry
    • Laxague
    • Laxagueborda
    • Lecheguita
    • Legegaray
    • LĂ©pazka
    • LescarpĂ©
    • Logeborde
    • Lohidoy
    • Lohidoyborda
    • Lojaborda
    • Malobra
    • Maysonnave
    • Menusketa
    • Mercaptpide
    • Mercaptpide Borda
    • Mignaborda
    • Miranda
    • Mocho
    • MontokoaltĂ©a
    • Muskogorry
    • Nissibart
    • OholĂ©guy
    • Oilher
    • Ondarzuhia
    • Ordanoulet
    • Ostallaborda
    • Oyhanart
    • Paradis
    • Pelento
    • Pellen
    • Perkain
    • Petchia
    • Petillon
    • Picochet
    • Pinka
    • Pordoy
    • Potho
    • Princi
    • Princiborda
    • Puchulu
    • Restoy
    • SagardoyhĂ©gui
    • Salaber
    • Salazar
    • Salazarborda
    • Salhanka
    • Sapiula
    • Sardo
    • Saruborda
    • Seceneguiet
    • Sinto
    • Sorhotus
    • Suhatsola
    • Thias
    • Topet
    • Udoy
    • Uhalt
    • Uhaltborda
    • Uhart
    • Urrustoy
    • Urruty
    • UthuĂšre
    • Uthurralt
    • Uthurry
    • Zatzoury

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Barcus est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[41]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[42].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou Ă  montĂ©e rapide de cours d'eau, notamment le Joz erreka. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1992, 2008, 2009, 2014 et 2021[43] - [41].

    Barcus est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[44]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă  l’air libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[45] - [46].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Barcus.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[47]. 98,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 5]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 12] - [48].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Barcus apparaßt sous les formes Barcuys (1384[14], notaires de Navarrenx[49]), Barcuix (1462[14], notaires d'Oloron[50]), Sent-Saubador de Barcuix (vers 1470[14], contrats d'Ohix[51]), Barcoys (1520[14], coutume de Soule[52]), Barcois (1520[53]), Barcux (1580[14], titres de Luxe[54]), Barcinx (1650[14], carte du Gouvernement Général de Guienne et Guascogne et Pays circonvoisins), barcuix (1690[53]) et Bareus (1801[55], Bulletin des lois).

    Étymologie

    Jean-Baptiste Orpustan[53] propose une construction Ă©tymologique basque en deux parties. D’une part l’élĂ©ment barr, signifiant « situĂ© Ă  l’intĂ©rieur, au fond », est complĂ©tĂ©, d’autre part, de -koiz, Ă  rapprocher du basque goiz, « matin, est ». Barcus s’est dĂ©veloppĂ© dans une basse vallĂ©e, Ă  l’est, justifiant l’analyse d’Orpustan.

    Autres toponymes

    Agaras, ferme de la commune, est mentionnée sous la forme Agarassi en 1479[14] (contrats d'Ohix[51]).
    Le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque de 1863[14] mentionne les fermes Alicq, Bilapu et Charritet (les deux derniÚres étant déjà citées en 1520[14] dans la coutume de Soule[52]).
    La ferme
    Biscay est citée en 1479[14] (Biscaya, contrats d'Ohix[51]).
    Gastellondo est un hameau de Barcus, mentionné sous la graphie Gastélondo en 1863[14].
    Guibelhéguiet était également un écart de Barcus qui apparaßt sous les formes Guibelleguiet (1479[14], contrats d'Ohix[51]) et Guibéléguiet-Ibarra (1863[14], dictionnaire topographique Béarn-Pays basque).
    HĂ©goburu est le nom d’une ferme, connue en 1479[14] (HĂ©goaburu, contrats d'Ohix[51]) et 1863[14] (HĂ©gobure).
    La ferme
    Iriard apparaĂźt en 1520[14] dans la coutume de Soule[52].
    Le hameau
    Jaureguiberry apparaĂźt dans le dictionnaire de 1863[14] sous la graphie JaurĂ©guiberry-Harra, tout comme l’écart LarrĂ©ja.

    La chapelle le Paradis est Ă©galement mentionnĂ©e par le mĂȘme dictionnaire.
    La ferme Udoy fait l’objet d’une mention en 1479[14] dans les contrats d’Ohix[51].
    Le toponyme Uhart est le nom d'une ferme citée en 1520[14] (coutume de Soule[52]).

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Barkoxe[2].

    Histoire

    Protohistoire

    Trésor de Barcus

    Ce trĂ©sor de Barcus est un ensemble d'environ 1 750 piĂšces en argent ibĂ©riques trouvĂ©es en 1879. Il a Ă©tĂ© minutieusement publiĂ© par Émile Taillebois[56]. J.-B. Daranatz reprend ensuite les donnĂ©es de Taillebois mais y ajoute la premiĂšre illustration de l'une des monnaies : le revers d'un denier de Turiasu[57]. En 1957 J. Babelon publie une nouvelle Ă©tude sur le trĂ©sor[58], dans lequel il donne les reproductions des moulages de 46 piĂšces. Plusieurs publications citent le trĂ©sor, sans apporter de nouveautĂ©. En 1997 Gozalbes et RipollĂšs publient cinq piĂšces inĂ©dites de la collection du musĂ©e des antiquitĂ©s nationales Ă  Saint-Germain-en-Laye[59].

    Cet important pécule est considéré comme celui d'un corps de troupe fuyant l'armée de Pompée au temps de la guerre de Sertorius (-80 à -72)[60] - [61].

    En 1997 c'est encore le seul ensemble de monnaies ibériques trouvé hors de la péninsule Ibérique[62] - [63] et, avec les inscriptions sur phiales du tumulus de Vielle-Aubagnan (Landes), les seuls témoignages connus de l'utilisation de caractÚres celtibériens en Aquitaine (le pays Basque a fourni deux petits trésors monétaires)[60].

    Moyen-Âge

    Paul Raymond[14] note que la commune était le siÚge d'un bailliage royal dont les appels étaient portés à la cour de Licharre.

    Elle accueillait également une abbaye laïque vassale de la vicomté de Soule.
    En 1790, Barcus était le chef-lieu d'un canton dépendant du district de Mauléon-Licharre et comprenant Barcus, L'HÎpital-Saint-Blaise et Roquiague.

    Temps modernes

    On appelait messagerie" des Arbailles[64] la partie centrale de la Soule, entre Haute et Basse-Soule (rĂ©gion de Sauguis-Saint-Étienne, Aussurucq et Barcus).

    En 1844, LĂ©on Iturburu, marchand originaire de Barcus et diplomate en Équateur, proposa au roi des français Louis-Philippe Ier d'acheter les Îles Galagos Ă  l'Équateur, alors en manque de financement. La proposition fut rejetĂ©e, mais le gĂ©nĂ©ral Villamil cĂ©da la Isla Floreana Ă  Iturburu, qui lui mĂȘme cĂ©da tous ses biens dont l'Ăźle (surnommĂ©e Ăźle des pauvres de Barcus) Ă  la commune, ainsi l'Ăźle Floreana est toujours revendiquĂ©e Ă  chaque renouvellement des mandats des maires de la commune.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1935 1954 Ambroise Bethular
    1954 1989 Jean Baptiste Jaureguiberry
    1989 1995 François Uthurry
    1995 2001 Jean Barneix
    2001 En cours
    (au avril 2014)
    Jean-Marc Baranthol DVD[65]

    Intercommunalité

    Barcus appartient Ă  cinq structures intercommunales[66] :

    • la communautĂ© de communes de Soule-Xiberoa ;
    • le syndicat AEP du Pays de Soule ;
    • le syndicat d'assainissement du Pays de Soule ;
    • le syndicat d'Ă©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien Ă  la culture basque.

    Population et société

    DĂ©mographie

    Le Journal[67] de Pierre Casalivetery, notaire Ă  MaulĂ©on, dĂ©nombre pour les annĂ©es 1460-1481 26 feux Ă  Barcus, et 210 pour les annĂ©es 1540-1548, signe d'une dĂ©mographie en forte croissance. L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[69].

    En 2020, la commune comptait 640 habitants[Note 13], en diminution de 3,76 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    2 2992 2292 3701 9212 4972 4722 3722 3032 341
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    2 1192 0912 0071 8071 7401 7811 7401 6921 614
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5911 5491 6021 3501 3651 3221 3401 2001 113
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 101990957916788774741732673
    2018 2020 - - - - - - -
    636640-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[55] puis Insee Ă  partir de 2006[70].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une école, l'école élémentaire publique Bourg[71]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[72].

    Économie

    L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (polyculture et élevage d'ovins). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Sports

    Rugby Ă  XV rugby Ă  XV

    L'Avenir de Barcus engagé en championnat de France de rugby à XV de 3e division fédérale 2017-2018

    Culture locale et patrimoine

    Représentation de la mascarade 2009 à Barcus sur le fronton du village.

    Il existe à Barcus le Lamiñen ziloa (« la grotte des lamiñak » en basque, petits lutins de la mythologie basque).

    En 2009, Barcus organise la mascarade[73], spectacle traditionnel souletin mélangeant théùtre, danses et chants. Durant tout l'hiver jusqu'en avril, la mascarade est représentée le dimanche dans les autres villages de Soule.

    Patrimoine civil

    Un trĂ©sor de monnaies celtibĂ©riennes (400-100 av. J.-C.) fut dĂ©couvert en 1879[74]. ComposĂ© de 1 750 deniers d'argent provenant de diffĂ©rentes citĂ©s de Navarre et d'Aragon, leur prĂ©sence Ă  Barcus reste discutĂ©e.

    Un gaztelu zahar se dresse Ă  440 mĂštres d'altitude au lieu-dit Haitzhandia.

    Patrimoine religieux

    La commune possĂšde une Ă©glise (Ă©glise de l'Ascension) dont l'origine remonte au Moyen Âge, qui a Ă©tĂ© en grande partie reconstruite au XIXe siĂšcle et restaurĂ©e au XXe siĂšcle[75]. Elle est inscrite Ă  l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel. Elle recĂšle une cloche[76] datant de la fin du XVIIe siĂšcle, classĂ©e Ă  titre d'objet par les monuments historiques.

    Le village de Barcus.

    Personnalités liées à la commune

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[19].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[29].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    12. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Barcus », sur www.geoportail.gouv.fr.
    2. « ZNIEFF de type I sur la commune de Barcus », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « ZNIEFF de type II sur la commune de Barcus », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    5. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Gentilé sur habitants.fr
    2. Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
    3. « Métadonnées de la commune de Barcus », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Barcus et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Barcus et Oloron-Sainte-Marie », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. Stephan Georg, « Distance entre Barcus et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    7. « Communes les plus proches de Barcus », sur www.villorama.com (consulté le ).
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 23.
    9. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
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    11. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    12. Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
    13. Carte IGN sous GĂ©oportail
    14. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
    15. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
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    17. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
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    28. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
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    50. Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVe siÚcle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    51. Coutume de Soule de 1520, imprimée à Pau en 1760
    52. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 2-86781-396-4 et 9782867813962, présentation en ligne), p. 205.
    53. titres de Luxe - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
    54. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    55. [Taillebois 1880] Émile Taillebois, « Le trĂ©sor de Barcus. DĂ©couverte de 1750 deniers celtibĂ©riens en argent », Bulletin de la SociĂ©tĂ© de Borda, vol. 5,‎ , p. 243-267. CitĂ© dans Gozalbes & RipollĂšs 1997, p. 93, qui prĂ©cise que l'abbĂ© Taillebois a fait une autre publication sur le sujet en 1883 dans les MĂ©moires du CongrĂšs scientifique de Dax mais que les auteurs n'ont pas pu retrouver cette publication.
    56. [Daranatz 1907] Jean-Baptiste Daranatz, « Importantes dĂ©couvertes de monnaies romaines au Pays Basque », Revue internationale des Études Basques, vol. 1,‎ , p. 262-283 et 499-528 (suite et fin) (lire en ligne [sur docplayer.fr], consultĂ© en ) : voir p. 268, photo, 2e rangĂ©e, no 3 pour la reproduction du revers de denier de Turiasu provenant de Barcus. CitĂ© dans Gozalbes & RipollĂšs 1997, p. 93.
    57. [Babelon 1957] Jean Babelon, « Le trĂ©sor de Barcus », Numario Hispanico, vol. 6,‎ , p. 157-162. CitĂ© dans Gozalbes & RipollĂšs 1997, p. 93, qui prĂ©cise aussi que dans ce mĂȘme article Babelon fait mention aussi de l'existence d'un autre travail (par lui-mĂȘme) prĂ©sentĂ© au printemps 1957 au CongrĂšs des SociĂ©tĂ©s savantes de Bordeaux.
    58. [Gozalbes & RipollĂšs 1997] Manuel Gozalbes et Pere Pau RipollĂšs Alegre, « Nouvelles piĂšces provenant du trĂ©sor de Barcus (PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques) », AntiquitĂ©s nationales, no 29,‎ , p. 93-98 (lire en ligne [sur academia.edu], consultĂ© en ). Voir p. 93.
    59. [HĂ©bert 1990] Jean-Claude HĂ©bert, « Les deux phiales Ă  inscriptions ibĂ©riques du tumulus n° 3 de la lande « MesplĂšde » Ă  Vielle-Aubagnan (Landes) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© de Borda, no 417,‎ , p. 1-40 (lire en ligne [PDF] sur archeolandes.com, consultĂ© en ). Voir p. 5 du compteur pdf, page de gauche.
    60. Pour quelques dĂ©tails sur le contexte du trĂ©sor de Barcus (guerre de Sertorius), voir [Bost 2009] « BĂ©arn et Aragon : communications et Ă©changes dans l'AntiquitĂ© (IIIe siĂšcle av. J.-C. - Ve siĂšcle ap. J.-C.) », dans Jean-Pierre Bost, L'Empire romain et les sociĂ©tĂ©s provinciales, Pessac, Ausonius Éditions, coll. « Scripta Antiqua » (no 22), , sur books.openedition.org (lire en ligne), p. 127-150, paragr. 10.
    61. Gozalbes & RipollĂšs 1997, p. 97.
    62. [Gorrochategui 2013] JoaquĂ­n Gorrochategui, « Linguistique et peuplement en Aquitania », dans Anne Colin & Florence Verdin, L'Ăąge du Fer en Aquitaine et sur ses marges. MobilitĂ© des hommes, diffusion des idĂ©es, circulation des biens dans l'espace europĂ©en Ă  l'Ăąge du Fer (Actes du 35e colloque de l'Association Française pour l'Étude de l'Âge du Fer, Bordeaux, 2-5 juin 2011), Ă©d. Ausonius, coll. « Aquitania » (no 30 (supplĂ©ment)), , sur academia.edu (lire en ligne), p. 17-32 (voir fig. 1, p. 19 : Carte de distribution des inscriptions ibĂ©riques).
    63. La charge du messager, sorte de procureur royal, était la surveillance d'une zone géographique définie - Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
    64. « Annuaire des Mairies des Pyrénées-Atlantiques », sur Annuaire des Mairies et Institutions de France, 2006-2007 (consulté le ).
    65. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    66. Journal de Pierris Casalivetery, transcrit et publiĂ© par Jean de Jaurgain dans les Archives historiques de la Gascogne, 1909, citĂ© par Manex Goyhenetche, Histoire gĂ©nĂ©rale du Pays basque III : Évolution Ă©conomique et sociale du XVIe au XVIIIe siĂšcle, t. 3, Donostia / Bayonne, Elkarlanean, , 411 p. (ISBN 8483317443 et 9788483317440, OCLC 466971263), p. 24. Le mĂȘme ouvrage de Manex Goyhenetche indique (page 284) qu'il faut compter une moyenne dĂ©mographique de 5.5 par feu.
    67. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    68. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    69. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    70. {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Barcus%20%2864%29}}.
    71. {{http://www.mintzaira.fr/fr/services-en-basque/ecoles.html?tx_ecoles_pi1[commune]=55&tx_ecoles_pi1[cdc]=0&tx_ecoles_pi1[province]=0&tx_ecoles_pi1[category]=16&tx_ecoles_pi1[type]=0&tx_ecoles_pi1[education_mode]=0&tx_ecoles_pi1[submit]=Rechercher&id=183&L=0}}.
    72. Programme 2009 de la mascarade sur eke.org
    73. Vincent Mistrot et Christophe Sirieix (préf. Alain Juppé), Au temps des Gaulois : L'Aquitaine avant César, éditions errance, , p. 76-77 (catalogue de l'exposition).
    74. « L'église de l'Ascension », notice no IA64000735, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
    75. « La cloche de l'église de l'Ascension », notice no PM64000553, base Palissy, ministÚre français de la Culture.
    76. Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud, 20 décembre 1975, , 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3 et 2-7003-0038-6), p. 76.
    77. MEDIABASK, « Une placette au nom de Jean-Michel Larrasquet », sur www.mediabask.eus, (consulté le ).
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