Béhorléguy
Béhorléguy (en basque : Behorlegi) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Béhorléguy | |||||
L’église de l'Assomption. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Pascal Néguelouart 2020-2026 |
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Code postal | 64220 | ||||
Code commune | 64107 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Behorlegitar | ||||
Population municipale |
71 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 3,4 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 07′ 45″ nord, 1° 07′ 03″ ouest | ||||
Altitude | Min. 299 m Max. 1 267 m |
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Superficie | 20,58 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Saint-Jean-Pied-de-Port (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montagne Basque | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
Localisation
La commune de Béhorléguy se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 84 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 71 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 31 km de Mauléon-Licharre[5], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Mendive (1,1 km), Lecumberry (2,1 km), Hosta (4,1 km), Ahaxe-Alciette-Bascassan (4,5 km), Bussunarits-Sarrasquette (5,9 km), Aincille (6,5 km), Estérençuby (6,8 km), Ahaxe-Alciette-Bascassan (7,3 km).
Sur le plan historique et culturel, Béhorléguy fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9] - [10]. La commune est dans le Pays de Cize (Garazi), au sud-est de ce territoire.
Paysages et relief
À la fin du XIXe siècle, la forêt des Arbailles couvrait en partie les territoires des communes d'Aussurucq, Béhorléguy, Camou-Cihigue, Musculdy, Ordiarp et Saint-Just-Ibarre.
Le col d'Aphanize est un col de montagne situé au-dessus de Béhorléguy. Il se situe à la limite des bassins de la Bidouze et de la Nive. Il domine au nord Eltzarreko ordokia et la source de la Bidouze, au sud la vallée du Laurhibar.Le col est adossé au pic de Béhorléguy (1 265 m).
L'Hauzkoa (1 268 m), est un sommet situé au sud-est de Béhorléguy.
Hydrographie
La commune est drainée par le ruisseau le Béhorléguy, Olhazarreko erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 10 km de longueur totale[12] - [Carte 1].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[13]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[14].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[16] complétée par des études régionales[17] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Irouleguy », sur la commune d'Irouléguy, mise en service en 1963[18] et qui se trouve à 16 km à vol d'oiseau[19] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 1 398,2 mm pour la période 1981-2010[20]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et à 51 km[21], la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[22], à 14,3 °C pour 1981-2010[23], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[24].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[26] - [Carte 2] :
- « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[27] ;
- le « massif des Arbailles », d'une superficie de 12 784 ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Cependant, les versants exposés au Sud Sud-Est et Est abritent une flore thermophile remarquable[28] ;
et une au titre de la « directive Oiseaux »[26] - [Carte 3] :
- la « Haute Soule : forêt des Arbailles », d'une superficie de 7 114 ha, présentant une grande diversité de milieux à des altitudes moyennes fournissant gîte et couvert pour la faune ornithologique pyrénéenne[29].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 8] sont recensées sur la commune[30] - [Carte 4] :
Urbanisme
Typologie
Béhorléguy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10] - [36] - [37] - [38].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Jean-Pied-de-Port, dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[39] - [40].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (88 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (64,6 %), forêts (21,8 %), prairies (7,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,6 %)[41].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].
Lieux-dits et hameaux
- Aphanize ;
- Cayolar d'Istaurdy ;
- Etchebérriborda ;(etxeberriborda =ferme de la maison neuve)
- Ihidoya ;
- Inthasendarragiratzeburukoharria (le rocher du sentier boueux du bout de la fougeraie)[42].
Voies de communication et transports
Béhorléguy est desservie par la route départementale D 117.
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Béhorléguy est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne)[43]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[44].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2021[45] - [43].
Béhorléguy est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[46]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[47] - [48].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[49]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[50].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[51]. 81,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 12] - [52].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 2021[43].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Béhorléguy apparaît sous les formes
Beorrleguy (1264[53]),
Behorleguy (1292[53]),
Beorrlegui (1350[53]),
Beorlegui (1513[54], titres de Pampelune[55]),
Vehorlegui (1621[54], Martin Biscay[56]) et
Notre-Dame de Béhorléguy (XVIIIe siècle[54], visites du diocèse de Bayonne[57]).
Issue du basque behor (« jument ») accompagné du suffixe locatif -gui.
Autres toponymes
Aphanize, désignant un mont, est attesté en 1863[54] dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque sous la forme Aphanice.
Héraldique
Blasonnement :
D'argent à cinq fleurs de lys d'azur posées en sautoir[58].
Commentaires : Cette terre de Béhorleguy fut érigée en baronnie en 1391 par Charles III, roi de Navarre pour Jean de Béarn, gouverneur du château de Lourdes, qui avait épousé une sœur naturelle du roi[59]. |
Politique et administration
Intercommunalité
La commune appartient à cinq structures intercommunales :
- la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
- le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
- le syndicat du RPI Hergaray ;
- le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque.
Population et société
Démographie
Le recensement de la population de Basse-Navarre de 1695[61] dénombre 30 feux à Béhorléguy.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[62]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[63].
En 2020, la commune comptait 71 habitants[Note 13], en diminution de 7,79 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Économie
L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
- La croix de carrefour dite croix Harispe[66] est inscrite aux monuments historiques ;
- la ferme Ihidoia[67] date du XVIIIe siècle.
Patrimoine religieux
- La chapelle Saint-Engrace date des XVIIe et XVIIIe siècles ;
- L'église de l'Assomption[68] date des XVIIe et XVIIIe siècles. Elle recèle une Vierge à l'Enfant[69] en bois du XIIIe siècle, une statue en bois de la Vierge[70] du XVIe siècle, un christ en croix[71] du XVIe siècle, une statue de Vierge[72] du XVIIIe siècle et un banc[73] creusé de quatre troncs d'aumônes ;
Évocation artistique
la première partie des Paysages euskariens pour orgue, écrit par Ermend-Bonnal en 1930, est intitulé La vallée de Béhorléguy.
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
Blog sur l'histoire et le patrimoine de Béhorléguy
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[15].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte hydrographique de Béhorléguy » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Béhorléguy », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type I sur la commune de Béhorléguy », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune de Béhorléguy », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- - Académie de la langue basque
- « Métadonnées de la commune de Béhorléguy », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Béhorléguy et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Béhorléguy et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Béhorléguy et Mauléon-Licharre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches de Béhorléguy », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Carte IGN sous Géoportail
- « Fiche communale de Béhorléguy », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
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- Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
- Derecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°
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- Guy Ascarat
- Armorial des communes basques
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- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « la croix Harispe », notice no PA00084350, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « la ferme Ihidoia », notice no IA64000852, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « l'église de l'Assomption », notice no IA64000841, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la Vierge à l'Enfant
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la Vierge du XVIe siècle
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le Christ en croix
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur la statue de Vierge du XVIIIe siècle
- Ministère de la Culture, base Palissy - Notice sur le banc de l'église de l'Assomption