Alçay-Alçabéhéty-Sunharette
Alçay-Alçabéhéty-Sunharette est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.
Alçay-Alçabéhéty-Sunharette | |||||
L’église Sainte-Agnès et le cimetière d'Alçabéhéty. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Oloron-Sainte-Marie | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Anicet Errecarret 2020-2026 |
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Code postal | 64470 | ||||
Code commune | 64015 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Altzaiar | ||||
Population municipale |
209 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 6,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 05′ 46″ nord, 0° 54′ 27″ ouest | ||||
Altitude | Min. 217 m Max. 1 535 m |
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Superficie | 34,40 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Montagne Basque | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Le nom des habitants est Altzaiar[1] - [2].
Alcay Murat née le 05/09/1983 à Sarreguemines joueur semi pro Dernier transfert non effectué passage en professionnel départ pour le stade rennais
Géographie
Localisation
La commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].
Elle se situe à 66 km par la route[Note 1] de Pau[4], préfecture du département, à 33 km d'Oloron-Sainte-Marie[5], sous-préfecture, et à 18 km de Mauléon-Licharre[6], bureau centralisateur du canton de Montagne Basque dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Mauléon-Licharre[3].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut (1,7 km), Etchebar (2,0 km), Camou-Cihigue (2,3 km), Lichans-Sunhar (2,9 km), Laguinge-Restoue (3,5 km), Alos-Sibas-Abense (3,8 km), Licq-Athérey (4,1 km), Tardets-Sorholus (4,5 km).
Sur le plan historique et culturel, Alçay-Alçabéhéty-Sunharette fait partie de la province de la Soule, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [8]. La Basse-Navarre en est la province la plus variée en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement géographique[9]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[10] - [11]. La Soule, traversée par la vallée du Saison, est restée repliée sur ses traditions (mascarades, pastorales, chasse à la palombe, etc)[12]. Elle se divise en Arbaille, Basse-Soule et Haute-Soule, dont fait partie la commune.
Paysages et relief
Les pics Belhygagne (également appelé pic des Vautours) et Gaztelia culminent sur la commune à, respectivement, 1 072 et 1 345 mètres[14].
Hydrographie
Située dans le bassin versant de l'Adour, la commune est traversée[15] par le Laurhibar, qui se jette plus loin dans la Nive, et par ses affluents, l'Arbaretcharbaretchéko erreka et l'Escalérako erreka et son affluent le Pikettako erreka.
La commune est également arrosée par des affluents du Saison, les ruisseaux l'Apoura[16] (18 km) et ses affluents, le ruisseau d'Azaléguy et d'Ardounc.
Paul Raymond mentionne en 1863, dans son dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[17], l’Arangaïxa, ruisseau qui arrose Alçay et qui rejoint l’Apoura.
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales 117 et 247.
Lieux-dits et hameaux
Sept quartiers composent la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette[18] :
- Altzai (Alçay en français)
- Aphuraerreka
- Arraltea
- Altzabeheti (Alçabéhéty en français)
- Thapia
- Zunharreta (Sunharette en français)
- Athegarre
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[19]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[20].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[22] complétée par des études régionales[23] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Licq-Atherey », sur la commune de Licq-Athérey, mise en service en 1970[24] et qui se trouve à 4 km à vol d'oiseau[25] - [Note 6], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 1 507,1 mm pour la période 1981-2010[26]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Pau-Uzein », sur la commune d'Uzein, mise en service en 1921 et à 51 km[27], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[28], à 13,4 °C pour 1981-2010[29], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[30].
Réseau Natura 2000
Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Quatre sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[32] - [Carte 1] :
- les « montagnes du pic des Escaliers », d'une superficie de 8 600 ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Cependant, les versants exposés au Sud Sud-Est et Est abritent une flore thermophile remarquable[33] ;
- le « massif des Arbailles », d'une superficie de 12 784 ha, présentant une flore très diversifiée marquée par une nette influence atlantique et montagnarde. Cependant, les versants exposés au Sud Sud-Est et Est abritent une flore thermophile remarquable[34] ;
- « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants à accueillir l'ensemble des espèces de poissons migrateurs du territoire français, excepté l'Esturgeon européen[35] ;
- « le Saison (cours d'eau) », d'une superficie de 2 200 ha, un cours d'eau de très bonne qualité à salmonidés[36] et deux au titre de la « directive Oiseaux »[32] - [Carte 2] :
- la « Haute Soule : forêt des Arbailles », d'une superficie de 7 114 ha, présentant une grande diversité de milieux à des altitudes moyennes fournissant gîte et couvert pour la faune ornithologique pyrénéenne[37] ;
- la « Haute Soule : forêt d'Iraty, Orgambidexka et Pic des Escaliers », d'une superficie de 5 584 ha, un massif très vaste à très grande diversité d'habitats et d'espèces. La varité des milieux et l'étagement altitudinal offre de bonnes conditions pour l'accueil de l'avifaune pyrénéenne[38].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 8] sont recensées sur la commune[39] - [Carte 3] :
- les « bordures méridionale et orientale de la forêt des Arbailles » (2 763,19 ha), couvrant 4 communes du département[40] ;
- la « forêt des Arbailles » (6 283,64 ha), couvrant 9 communes du département[41],
- le « pic de Behorlegi et crêtes associées » (1 959,83 ha), couvrant 4 communes du département[42] ;
Urbanisme
Typologie
Alçay-Alçabéhéty-Sunharette est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10] - [46] - [47] - [48]. La commune est en outre hors attraction des villes[49] - [50].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (83,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (42,3 %), forêts (41,5 %), zones agricoles hétérogènes (12 %), prairies (4,1 %)[51].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 5].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[52]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[53].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment l'Aphura et le Laurhibar. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 2003, 2009, 2014 et 2021[54] - [52].
Alçay-Alçabéhéty-Sunharette est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[55]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[56] - [57].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[58]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[59].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[60]. 61,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 11] - [61].
Risque particulier
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[62].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Alçay apparaît sous les formes Aucet Suzon (1337[63]), Alsay (1385[17], collection Duchesne volume CXIV[64]), Ausset-Suson (1479[17], contrats d'Ohix[65]), Alçay (1520[63]), Aucet Suson et Auset Suson (1690[63]) et Alsai (XVIIe siècle[17], chroniques d'Arthez-Lassalle[66]).
Le toponyme Alçabéhéty apparaît sous la forme
Aucet Juson (1337[63]),
Auser-Juson (1385[17], collection Duchesne volume CXIV[64]),
Auset Juson et Auzat Juzon (1385[63]),
Aucet Juzon (1690[63]),
Alcabehety (1793[67] ou an II) et
Alçabehety (1801[67], Bulletin des lois).
Pour Jean-Baptiste Orpustan[63], la base (h)altz ('aulne') s'impose pour les deux toponymes Alcay et Alçabéhéty, beheti signifiant situé en bas.
Le toponyme Sunharette apparaît sous la forme
Sunarte (1337[63]),
Sunharrete (vers 1475[17], contrats d'Ohix[65]),
Sunharrette et Sunarrette (1690[63] pour les deux formes),
Sonharette (1793[68]) et
Sunharrette (1801[68], Bulletin des lois).
Ce toponyme provient du basque zunharr (nom souletin de l'orme ou du peuplier), amplifié du suffixe locatif romanisé ette, et signifie donc lieu d'orme[63].
Autres toponymes
Le col d'Arangaitz doit son nom au ruisseau Arangaïxa[17], qui arrose Alçay et se jette dans l’Apoura. Celui de Burunolatxé joint les communes d’Alçay-Alçabéhéty-Sunharette et d’Aussurucq.
Le bois d'Arhansus est mentionné dans le dictionnaire de 1863[17].
Paul Raymond, signale en 1863, une ferme du nom d’Athaguy, du village d’Alçay, dont la coutume de Soule[69] fait mention en 1520[17], sous les graphies Athagui et Atagui.
Belhy, tout comme Handiague et Esquirassy, désignent des monts situés sur la commune[17].
Couhourre était en 1863[17], un bois de la commune.
Etcheverry est un ancien fief de la commune, relevant de la vicomté de Soule et mentionné au XVIIe siècle[17] dans les titres d’Arthez-Lassalle[66].
Histoire
En 1790, Sunharette était le chef-lieu d'un canton qui dépendait du district de Mauléon. Ce canton comprenait les communes d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette, Alos-Sibas-Abense, Camou-Cihigue, Etchebar, Lacarry-Arhan-Charritte-de-Haut, Lichans-Sunhar et Ossas-Suhare.
Le , les trois communes d'Alçay, Alçabéhéty et Sunharette fusionnent pour ne plus former qu'une seule commune.
Politique et administration
Liste des maires
Intercommunalité
La commune appartient à la communauté d'agglomération du Pays Basque. Elle est membre du syndicat d'énergie des Pyrénées-Atlantiques, de l'Agence publique de gestion locale, du SIVOM du canton de Tardets, du SIVU de l'école de Tardets et du SIVU chargé du tourisme en Haute-Soule et Barétous[70].
Population et société
Avant 1833
Après 1833
Alçay-Alçabéhéty-Sunharette
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[72]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[73].
En 2020, la commune comptait 209 habitants[Note 12], en diminution de 7,93 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune dispose d'une école, l'école primaire privée Saint-Louis-de-Gonzague[76]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire.
Économie
L'activité est essentiellement tournée vers l'agriculture (élevage et pâturages). La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Le classement 2006 de l'Insee, indiquant le revenu fiscal médian par ménage, pour chaque commune de plus de 50 ménages (30 687 communes parmi les 36 681 communes recensées)[77], classe Alçay-Alçabéhéty-Sunharette au rang 20 901, pour un revenu de 14 927 €.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
Dix tumuli, dits d'Ibarletta[78], sont situés dans le quartier Esquirassy et inscrits aux monuments historiques depuis 1960.
Dans le même quartier, on relève sept autres tumuli, dits d'Ibarnaba[79] également inscrits aux monuments historiques depuis 1960.
Le gaztelu zahar Maide korralea « l'enclos des Maide » est attribué aux Maidé, des êtres mythologiques reprenant certains traits des Jentils et des Laminak.
Patrimoine religieux
La commune dispose d'une église romane dédiée à l'apôtre saint Pierre[80] dont l'origine remonte au milieu du Moyen Âge, possédant un clocher-tour construit au XVIIe siècle. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[80]. L'église a été restaurée au XIXe siècle. Elle recèle une croix de procession[81] du début du XVIe siècle, classée à titre d'objet aux monuments historiques.
- Église Saint-André de Sunharette. L'église est dédiée à l'apôtre saint André.
- Église Sainte-Agnès d'Alçabéhéty. L'église est dédiée à sainte Agnès de Rome.
- Église Saint-Pierre d'Alçay.
Héraldique
Blasonnement :
D'azur au loup d'argent sortant d'une ruche d'or, accompagné d'abeilles d'or sans nombre[82]. |
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays Basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[21].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[31].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Sites Natura2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « Sites Natura2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) de la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type I sur la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
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- Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
- « Métadonnées de la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Alçay-Alçabéhéty-Sunharette et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
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- « Communes les plus proches d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette », sur www.villorama.com (consulté le ).
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- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Frédéric Zégierman 1999, p. 23.
- Carte IGN sous Géoportail
- Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
- Fiche du Sandre sur la commune d'Alçay-Alçabéhéty-Sunharette
- L'Apoura apparaît sous la graphie Aphourra dans le dictionnaire topographique Béarn-Pays basque de Paul Raymond
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
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- Guy Ascarat