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Guiche

Guiche est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Guiche
Guiche
La Bourgade et le chĂąteau de Guiche surplombant la Bidouze.
Blason de Guiche
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Jean Yves Bussiron
2020-2026
Code postal 64520
Code commune 64250
DĂ©mographie
Gentilé Guichot
Population
municipale
1 006 hab. (2020 en augmentation de 6,79 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 40 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 30â€Č 46″ nord, 1° 12â€Č 10″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 177 m
Superficie 24,84 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Nive-Adour
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
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Guiche
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Guiche
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
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Guiche
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Guiche

    Le gentilé est Guichot[1] (Gixundar en basque[2]).

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Guiche se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[3].

    Elle se situe Ă  87 km par la route[Note 1] de Pau[4], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  31 km de Bayonne[5], sous-prĂ©fecture, et Ă  22 km de Mouguerre[6], bureau centralisateur du canton de Nive-Adour dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[3]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Peyrehorade[3].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[7] : Sames (4,1 km), Bardos (4,1 km), Hastingues (5,1 km), Saint-Laurent-de-Gosse (5,7 km), Sainte-Marie-de-Gosse (5,7 km), Bidache (6,0 km), Port-de-Lanne (6,2 km), Orthevielle (6,4 km).

    Sur le plan historique et culturel, Guiche fait partie de la province du Labourd, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [8]. Le Labourd est traversĂ© par la vallĂ©e alluviale de la Nive et rassemble les plus beaux villages du Pays basque[9]. Depuis 1999, l'AcadĂ©mie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[10] - [11]. La commune est dans la zone 'Lapurdi Ekialdea (Labourd-Est)[12], Ă  l’est de ce territoire.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Guiche.

    La commune est drainĂ©e par l'Adour, la Bidouze, un bras de l'Adour, L'Arriougrand, le ruisseau de mondon, le ruisseau du Termi, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 36 km de longueur totale[14] - [Carte 1].

    L'Adour, d'une longueur totale de 308,8 km,prend sa source dans le massif pyrĂ©nĂ©en du pic du Midi de Bigorre, au col du Tourmalet (Hautes-PyrĂ©nĂ©es) et se jette dans l'ocĂ©an Atlantique aprĂšs Bayonne, Ă  Tarnos (Landes) pour la rive droite et Anglet (PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques) pour la rive gauche[15].

    La Bidouze, d'une longueur totale de 82,2 km, prend sa source dans la commune d'Aussurucq et s'Ă©coule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Adour sur le territoire communal, aprĂšs avoir traversĂ© 26 communes[16].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[17]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[18].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[17]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 14,1 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 13,4 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 338 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[20] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[21] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Bidache », sur la commune de Bidache, mise en service en 1985[22] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[23] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 386,8 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[24]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă  26 km[25], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[26], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[27], puis Ă  14,6 °C pour 1991-2020[28].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Trois sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[30] - [Carte 2] :

    • « l'Adour », d'une superficie de 3 565 ha, un site important pour les poissons migrateurs, l'AngĂ©lique des estuaires (espĂšce endĂ©mique) et le Vison d'Europe[31] ;
    • « la Joyeuse (cours d'eau) », d'une superficie de 1 444 ha, un rĂ©seau hydrographique des coteaux basques[32] ;
    • « la Bidouze (cours d'eau) », d'une superficie de 2 570 ha, un vaste rĂ©seau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[33] et une au titre de la « directive Oiseaux »[30] - [Carte 3] :
    • les « barthes de l'Adour », d'une superficie de 15 617 ha, un site de vallĂ©es inondables Ă  forte diversitĂ© animale et vĂ©gĂ©tale[34].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensĂ©e sur la commune[35] - [Carte 4] : le « lit mineur et berges de l'adour, des gaves rĂ©unis et du Luy » (1 292,03 ha), couvrant 35 communes dont 28 dans les Landes et 7 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[36] et quatre ZNIEFF de type 2[Note 9] - [35] - [Carte 5] :

    • « l'Adour d'Aire-sur-l'Adour Ă  la confluence avec la Midouze, tronçon des saligues et graviĂšres » (2 324,27 ha), couvrant 63 communes dont 54 dans les Landes et 9 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[37] ;
    • « l'Adour de la confluence avec la Midouze Ă  la confluence avec la Nive, tronçon des barthes » (13 349,18 ha), couvrant 59 communes dont 52 dans les Landes et 7 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[38] ;
    • « les barthes de la rive gauche de l'Adour » (991,02 ha), couvrant 4 communes du dĂ©partement[39];
    • le « rĂ©seau hydrographique de la Bidouze et annexes hydrauliques » (2 867,4 ha), couvrant 30 communes dont 1 dans les Landes et 29 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[40].

    Urbanisme

    Typologie

    Guiche est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10] - [41] - [42] - [43].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[44] - [45].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (77,9 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (75,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (29,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (28,5 %), prairies (19,8 %), forĂȘts (18,8 %), eaux continentales[Note 12] (3,2 %)[46].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 6].

    Lieux-dits et hameaux

    Sept quartiers composent la commune de Guiche[47] :

    • Aoulouette (L') ;
    • Fontan ;
    • Haches ;
    • Labarte ;
    • Laplace ;
    • Vic-de-Bas ;
    • Vic-de-Haut.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Guiche est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[48]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[49].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par une crue Ă   dĂ©bordement lent de cours d'eau, notamment l'Adour et la Bidouze. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1993, 2009, 2013, 2014, 2018, 2019 et 2021[50] - [48].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Guiche.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[51]. 60,9 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 13] - [52].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1990 et 2003 et par des mouvements de terrain en 2020[48].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Guiche apparaßt[53] sous les formes Guissen (1083, 1100, 1203, 1249), Villa Guissen (XIIe, cartulaire de Bayonne[54]), Guiche (1650, carte du Gouvernement Général de Guienne et Guascogne et Pays circonvoisins, Carte des Pays Basques de France et d'Espagne) et Sanctus Joannes de Guiche (1687, collations du diocÚse de Bayonne[55]).

    Étymologie

    Le nom de Guiche proviendrait de la racine basque gisu, la chaux (issu du grec gypsu, le plĂątre)[56].

    Dauzat et Rostaing rapprochent avec prudence ce nom de celui de Guchan et de Guchen, deux cas d'ailleurs fort diffĂ©rents par leurs formes anciennes. Pour Guchan, ils postulent, Ă  la suite de SĂ©guy, un nom latin d'homme Justius avec suffixe latin -anum[57]. Pour Guchen, dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes PyrĂ©nĂ©es, Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail donnent l'explication suivante : nom de domaine antique formĂ© probablement du nom de personnage aquitain Guish et suffixe -anum[58] (le suffixe -anum pouvant ĂȘtre mis en doute, du fait des attestations anciennes).

    Nom en basque et en occitan gascon

    Le nom basque de Guiche est Gixune. Il fut normalisé par l'Académie de la langue basque le [59].

    Le gentilé correspondant est gixundar, normalisé lui-aussi le [59].

    Son nom occitan gascon est Guishe ['giʃɘ][60].

    Histoire

    Moyen-Âge

    Au XVe siÚcle, durant la campagne française menée par Gaston de Foix[61], vicomte de Béarn, dont Charles VII avait fait son lieutenant général, le chùteau de Guiche, qui du confluent de l'Adour et de la Bidouze, protÚge l'entrée du Labourd, tombe aux mains de ses attaquants (), ouvrant la voix à une équipée guerriÚre qui conduisit Gaston IV à travers le Labourd jusqu'à Saint-Jean-de-Luz.

    Temps Modernes

    La paroisse de Guiche est érigée en comté par Charles IX en 1563 ; outre Guiche ce comté est formé des paroisses de Bardos, Urt, Sames, Came, Saint-Pé-de-Léren et Briscous[62]. Ce comté est en 1648 uni à quatre autres paroisses environnantes pour former le duché-pairie de Gramont[63].

    Époque contemporaine

    Unique gare ferroviaire du canton de Bidache, la gare de Sames - Guiche, sur la ligne de Bayonne à Toulouse, a été inaugurée en 1912 et aura accueilli des voyageurs jusqu'à la deuxiÚme moitié du XXe siÚcle[64].

    Guiche, paroisse du Labourd

    La relation de Guiche au Labourd présente quelques particularités (partagées avec les villages voisins de Bardos et Urt).

    Pendant l'Ancien RĂ©gime, ces trois paroisses ne dĂ©pendaient pas judiciairement des institutions judiciaires labourdines, mais de la sĂ©nĂ©chaussĂ©e de Came[65]. Alors qu'elles avaient cessĂ© de participer aux travaux du Biltzar du Labourd, elles sont admises de nouveau dans cette assemblĂ©e en 1763, Ă  charge de contribuer dĂ©sormais aux travaux de celle-ci[66]. Ces pĂ©ripĂ©ties semblent Ă  Anne Zink de peu de signification : mĂȘme avant ce rattachement, les trois paroisses Ă©taient fiscalement labourdines, et c'Ă©tait la coutume de la province du Labourd qui y rĂ©gissait le droit civil[67].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1995 2001 Maurice Duflot
    2001 En cours Jean-Yves Bussiron
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    La commune fait partie de trois structures intercommunales[68] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    On verra, sur le graphique, la fin de la décroissance correspondant, dans les années 90, à la mise en service du réseau autoroutier local faisant de cette localité la banlieue de la métropole du bord de mer.

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[69]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[70].

    En 2020, la commune comptait 1 006 habitants[Note 14], en augmentation de 6,79 % par rapport Ă  2014 (PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4121 3761 4701 4831 7001 6861 6681 6641 565
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3571 5141 4781 4531 3631 4101 4001 4561 300
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3461 3691 2101 0721 0381 048971854773
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    750684638638670730847864933
    2017 2020 - - - - - - -
    9701 006-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[71] puis Insee Ă  partir de 2006[72].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Enseignement

    La commune dispose d'une Ă©cole primaire publique[73].

    Économie

    L'Ă©conomie est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Une carriÚre de calcaire subsiste sur la commune. Elle alimentait jusqu'en 1993 la cimenterie des Ciments de l'Adour située à Boucau, par des barges descendant l'Adour.

    Une activité de fabrication de meubles existe également à Guiche.

    Entreprises et commerces

    La commune accueille la société SA Montauzer (préparation industrielle de produits à base de viande) qui fait partie des cinquante premiÚres[74] entreprises agroalimentaires du département.

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine linguistique

    Carte des sept provinces basques (1), 1863
    Carte des sept provinces basques (2), 1863

    Les deux versions de la Carte des sept provinces basques montrant la délimitation actuelle de l'euscara en dialectes, sous-dialectes et variétés dressée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte placent Guiche en dehors de l'aire bascophone.

    Le Recueil de linguistique et de toponymie des Pyrénées réalisé en 1887 par Julien Sacaze nous livre pour Guiche une version en gascon, composée d'une traduction de deux textes mythologiques, ainsi que d'une liste des micro-toponymes de la commune.

    Le Recueil des idiomes de la rĂ©gion gasconne rĂ©alisĂ© en 1894 par le linguiste Édouard Bourciez nous livre pour Guiche une version de la parabole de l'enfant prodigue traduite en gascon.

    La carte du Pays basque français dressée en 1943 par Maurice Haulon laisse apparaßtre la "démarcation actuelle entre la langue basque et les dialectes romans", incluant la commune de Guiche dans l'aire gasconophone.

    D'aprÚs la Morfología del verbo auxiliar vasco [Morphologie du verbe auxiliaire basque] établie par Pedro de Yrizar en 1970, Guiche n'est pas située dans l'aire bascophone.

    Lieux et monuments

    Patrimoine civil

    Le chùteau de Guiche[75], demeure des ducs de Gramont également, a une position élevée et ses murs sont d'une épaisseur trÚs importante. AprÚs avoir été incendié, fortifié, reconstruit, pris d'assaut et dévasté, ses ruines sont aujourd'hui en travaux de restauration tout comme le chùteau de Bidache. Le port rénové permet des promenades en galupe.
    Le manoir dit ancienne maison noble de Labadie[76] date du XVIe siĂšcle.
    La ferme du lieu-dit du Grand-Borde[77] date du XVIIe siĂšcle.
    La maison Le Marchand[78] date du XVIIe siĂšcle.
    Guiche possĂšde des maisons de maĂźtre[79] datant du XVIIe siĂšcle.
    Le pigeonnier[80] soutenu par trois colonnes, ayant successivement servi d'Ă©cole puis de mairie, date de 1760.

    Patrimoine religieux
    L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste.
    La croix du cimetiĂšre.

    L'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste[81], qui date du XIIIe siĂšcle, a Ă©tĂ© agrandie durant le siĂšcle suivant Ă  cause de la population grandissante. Elle recĂšle quatre verriĂšres[82] et un ensemble de mobiliers (une Vierge Ă  l'Enfant[83], une chaire Ă  prĂȘcher[84], un ensemble du maĂźtre-autel[85], un autel[86] du XIXe siĂšcle et autres piĂšces diverses[87]) inventoriĂ© par le ministĂšre de la Culture
    Le cimetiĂšre renferme une croix[88] remarquable datant de 1775.

    Patrimoine culturel

    Langues

    La langue qui prédominait jusqu'à la fin du XIXe siÚcle était l'occitan dans sa variété gasconne. En effet, la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte nous montre que Guiche ne se situe pas dans l'aire linguistique basque, comme l'atteste d'ailleurs la toponymie du village.

    Festivités

    Le ComitĂ© des FĂȘtes anime principalement les fĂȘtes patronales, mais aussi divers bals et autres soirĂ©es (tĂ©lĂ©thon...).

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique, logotype et devise

    Blason de Guiche Blason
    CoupĂ© de gueules Ă  une construction couverte en appentis, le tout d'or, Ă  un large escalier de six marches du mĂȘme convergeant vers une ouverture du champ grillagĂ©e de sable, Ă  un Ă©tage soutenue par quatre piliers du second ajourĂ©s de sable ; et d'azur Ă  une onde d'argent en pointe brochant sur une barque flottante et contournĂ©e du mĂȘme, au chef du mĂȘme chargĂ© de quatre arbres au naturel rangĂ©s en fasce.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • BĂ©nĂ©dicte Boyrie-FĂ©niĂ©, Dictionnaire toponymique des communes : Landes et Bas-Adour, Pau, Éditions Cairn, , 285 p. (ISBN 2-35068-011-8)
    • Albert Dauzat & Charles Rostaing, Dictionnaire Ă©tymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie GuĂ©nĂ©gaud, (ISBN 2-85023-076-6)
    • EugĂšne Goyheneche, Onomastique du nord du Pays basque (XIĂš-XVĂš siĂšcles, Iker-27, (ISBN 978-84-95438-85-0)
    • Pierre Haristoy, Recherches historiques sur le Pays Basque, Laffitte Reprints Marseille,
    • GĂ©rard Moutche, Que disent les maisons basques ?, Biarritz, Atlantica, , 286 p. (ISBN 978-2-7588-0177-1)
    • Jean-Baptiste Orpustan, Les noms des maisons mĂ©diĂ©vales en Labourd, Basse-Navarre et Soule, Saint-Étienne-de-BaĂŻgorry, Éditions Izpegi Baigorri, , 496 p. (ISBN 2-909262-23-5)
    • Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallĂ©es, communes et hameaux de Labourd, Basse-Navarre et Soule, Pessac, Presses universitaires de Bordeaux, , 244 p. (ISBN 2-86781-396-4, lire en ligne)
    • Thierry Truffaut, Joaldun et Kaskarot : des carnavals en Pays Basque, Elkar, (ISBN 84-9783-303-1)

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[19].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[29].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    12. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    13. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Guiche » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
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    3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
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    5. « ZNIEFF de type II sur la commune de Guiche », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    6. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
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    Références

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    72. {{http://www.education.gouv.fr/pid24302/annuaire-resultat-recherche.html?ecole=1&lycee_name=&localisation=1&ville_name=Guiche%20%2864%29}}.
    73. Classement des 50 premiĂšres entreprises agro-alimentaires, paru dans le journal Sud-Ouest
    74. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notices sur le chùteau de Guiche
    75. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison de Labadie
    76. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme du Grand-Borde
    77. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison Le Marchand
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    80. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Jean-Baptiste
    81. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur les verriĂšres de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste
    82. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur la Vierge Ă  l'Enfant de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste
    83. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur la chaire Ă  prĂȘcher de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste
    84. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur l'ensemble du maĂźtre-autel de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste
    85. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur l'autel du XIXe siĂšcle de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste
    86. MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notice sur le mobilier de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste
    87. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur la croix de cimetiÚre
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