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Sainte-Marie-de-Gosse

Sainte-Marie-de-Gosse (Senta Maria de GĂČssa, en occitan[1]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des Landes en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.

Sainte-Marie-de-Gosse
Sainte-Marie-de-Gosse
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes de Maremne-Adour-CÎte-Sud
Maire
Mandat
Francis Betbeder
2020-2026
Code postal 40390
Code commune 40271
DĂ©mographie
Gentilé Mariot
Population
municipale
1 201 hab. (2020 en augmentation de 6,38 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 45 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 33â€Č 27″ nord, 1° 14â€Č 13″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 108 m
Superficie 26,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Pays tyrossais
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Sainte-Marie-de-Gosse
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Sainte-Marie-de-Gosse

    Le gentilé est Mariot[2].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune est limitrophe du département des Pyrénées-Atlantiques.

    Communes limitrophes

    OpenStreetMap Limite communale.

    Les communes limitrophes sont Biarrotte, Port-de-Lanne, Saint-Étienne-d'Orthe, Saint-Laurent-de-Gosse, Saint-Martin-de-Hinx, Guiche et Sames.

    Hydrographie

    En bordure de l'Adour (12 km de rives) et au confluent avec les Gaves rĂ©unis (Horgave) le bourg se trouve sur la partie haute, le SĂ©quĂ© (sec). Altitude 100 m environ (point gĂ©odĂ©sique au Tuc Lambert 109 m).

    La partie basse des barthes est large d'environ 3 à 400 mÚtres, et borde l'Adour dans sa partie devenue trÚs large à cause de l'apport des eaux des Gaves réunis dont le débit est plus important que celui du fleuve.

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,8 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,4 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 5,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,5 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 3] : 1 344 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Martin Hinx », sur la commune de Saint-Martin-de-Hinx, mise en service en 1959[10] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 427 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et Ă  22 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[15], puis Ă  14,5 °C pour 1991-2020[16].

    Urbanisme

    Typologie

    Sainte-Marie-de-Gosse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[20] - [21].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (49,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (54,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (49,8 %), terres arables (36,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,8 %), eaux continentales[Note 7] (5,2 %), prairies (1,7 %), zones urbanisĂ©es (1,1 %)[22].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Sainte-Marie-de-Gosse est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e)[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Adour et le Gave de Pau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1988, 1999, 2009, 2014, 2018, 2019 et 2021[25] - [23].

    Sainte-Marie-de-Gosse est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă  mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă  faciliter les interventions des services et Ă  limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[26] - [27].

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[28]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[29].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sainte-Marie-de-Gosse.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 64,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 480 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 288 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 60 %, Ă  comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 2].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[23].

    HĂ©raldique

    Blason de Sainte-Marie-de-Gosse Blason
    Inconnu.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Toponymie

    Il existe plusieurs explications possibles au nom de la commune :

    • La terminaison « osse » proviendrait du suffixe euskarien « otz(a) » qui indique un domaine, un lieu. Ce suffixe basque est restĂ© en gascon (-os(se) \ -ĂČç(a)) et aragonais (-uĂ©s) et a constituĂ© de nombreux noms de village dans l'aire vasconne (Tosse, Seignosse, Biaudos, Angresse, Seyresse, Tarnos, Tyrosse, Biscarosse
). Voir l'article connexe Toponymie basque.
    • Il semblerait que « gosse » vienne de Gosse < Garros < (Goi/garai)-oz, 'lieu en hauteur' (dans la commune, le quartier Gayrosse proviendrait du mĂȘme fond proto-basque).
    • Le mot « gosse » pourrait ĂȘtre une dĂ©formation de l'anglais goose, oie, car ce volatile est trĂšs prĂ©sent dans cette rĂ©gion des Landes, conquise par les Anglais pendant la guerre de Cent Ans

    Fondée par les bénédictins, ancienne halte des pÚlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle.

    Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune porta le nom révolutionnaire de Barra[31].

    Son nom occitan gascon est Senta Maria de GĂČssa[32].

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1921 1932 Bertrand Marmande
    (1877-1941)
    SFIO Artisan carrier, Ă©picier et aubergiste, conseiller d'arrondissement (1919-1925)
    1995 En cours Francis Betbeder PS Agriculteur
    Président du Syndicat Intercommunal de la Basse Vallée de l'Adour
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[34].

    En 2020, la commune comptait 1 201 habitants[Note 8], en augmentation de 6,38 % par rapport Ă  2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1801 1261 2231 3671 5121 4801 4941 5141 559
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5701 5331 4981 5621 4551 4031 4201 1621 462
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 4121 3671 3231 1681 1401 0591 057970897
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    8548217657298158781 0161 0361 057
    2017 2020 - - - - - - -
    1 1841 201-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee Ă  partir de 2006[35].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Monuments

    L'architecture des maisons de la commune est proche du style bas-navarrais (maisons carrées aux murs blanchis, volets peints, pierres d'angle visibles), propre au pays d'Orthe (Peyrehorade) et du Seignanx (Saint-Martin, Saint-André, Tarnos
).

    • Église Notre-Dame de Sainte-Marie-de-Gosse, fortifiĂ©e. FondĂ©e par les bĂ©nĂ©dictins (XIIe siĂšcle). De style roman Ă  l'origine, elle a Ă©tĂ© modifiĂ©e au XVIe siĂšcle en adoptant le style gothique. On y dĂ©couvre un beau tableau de la nativitĂ© qui aurait Ă©tĂ© offert par NapolĂ©on III. Église inscrite Ă  l’Inv. suppl. des Monuments historiques le .
    • ChĂąteau d'Aranguiche.
    • ChĂąteau de Bordus.
    • ChĂąteau de Routger.
    • Moulin de Gayrosse. BĂątiment surmontĂ© d’une croix bĂ©nĂ©dictine. Ancienne possession de l'abbaye de Sorde (mentionnĂ© dans le cartulaire de l’abbaye de Sorde, XIIe siĂšcle[36] - [37]). Le moulin Ă  eau figure sur la carte de Cassini. Inventaire gĂ©nĂ©ral.
    • Moulin de Lorta.
    • Maysoun Blanque (maison blanche). Maison natale d'Isidore Salles.
    • Maysoun du Rey (maison du roi, sur les rives de l'Adour) oĂč serait passĂ© Henri IV pour des rendez-vous galants.
    • Domaine de Miradour. Maison construite vers 1930 par les architectes Louis et Benjamin Gomez pour Alfred EluĂšre maire de Soorts-Hossegor de 1935 Ă  1972. RĂ©sidence du Dr Delay, ancien maire de Bayonne. (XIXe siĂšcle), Inventaire gĂ©nĂ©ral.
    • Maison Lacoste (actuellement poste), maison construite vers 1782 pour ou par A. Lacoste, Inventaire gĂ©nĂ©ral.
    • Mairie, maison portant au-dessus d'une porte de l'Ă©lĂ©vation antĂ©rieure, l'inscription : Fait par Charles Galtier 1748. Inventaire gĂ©nĂ©ral.
    • Domaine de LabĂ©gorre, Inventaire gĂ©nĂ©ral.
    • Ferme de Campet, Inventaire gĂ©nĂ©ral.

    Paysages pittoresques

    • Barthes de l'Adour.
    • Site de Horgave (ou Bec du Gave) avec de belles maisons anciennes.
    • Île de Mirepech (sur l'Adour, desservie par un accĂšs Ă  dĂ©couvert seulement Ă  marĂ©e basse).
    • Tuc Lambert (sommet de la commune).
    • Tuc de Luc (belle vue sur les PyrĂ©nĂ©es).
    • Cascade de Lorta (moulin de Lorta).
    • Étang de Gayrosse (moulin de Gayrosse).

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[6].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
    4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Benoit, « Dictionnaire toponymique occitan des Landes et du Bas-Adour », sur locongres.org, Lo CongrÚs, (consulté le ).
    2. « Le nom des habitants du 40 », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    3. Carte IGN sous GĂ©oportail
    4. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
    5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
    6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    7. Glossaire – PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
    8. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
    10. « Station Météo-France Saint-Martin Hinx - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
    11. « Orthodromie entre Sainte-Marie-de-Gosse et Saint-Martin-de-Hinx », sur fr.distance.to (consulté le ).
    12. « Station Météo-France Saint-Martin Hinx - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    13. « Orthodromie entre Sainte-Marie-de-Gosse et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
    14. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    15. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    16. « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
    17. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    18. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    19. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    20. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
    23. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Sainte-Marie-de-Gosse », sur Géorisques (consulté le )
    24. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    25. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    26. « RĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le )
    27. « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
    28. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
    29. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Sainte-Marie-de-Gosse », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
    30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    32. « Toponymes occitans », sur www.locongres.org (consulté le ).
    33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    36. Cartulaire de l'abbaye de Saint-Jean de Sorde XLVIII - De Ferran de Somsec
    37. Bulletin de la SociĂ©tĂ© des sciences, lettres et arts de Pau et du BĂ©arn 1889-1890 « Le cartulaire de Sorde nous apprend que Ferran de Somsec, entre 1072 et 1105, avait donnĂ© Ă  l’abbaye de Saint-Jean-de-Sorde un casal et ses aleux pour le repos de son Ăąme et de celles de ses parents, et que GĂ©rald, abbĂ© de Sorde, le donna Ă  son tour Ă  Raymond Fort de Gayrosse [
], moyennant la redevance de deux aloses et qu’à sa mort cette propriĂ©tĂ© rentrerait Ă  l’abbaye. L’Adour coule au pied du coteau de Somsec, un peu en amont de sa jonction avec le gave, au lieu-dit de Hourgave, oĂč l’on prend en la saison quantitĂ© d’aloses et de saumons. La redevance s’explique par la situation mĂȘme du casal de Somsec et sa cession par l’abbĂ© au seigneur de Gayrosse a pour raison que, sur le versant opposĂ© du coteau de Somsec et au pied nord-ouest de la colline, se trouve un moulin qui autrefois a appartenu Ă  la maison de Gayrosse et porte encore le nom de moulin de Gayrosse, bien que situĂ© Ă  7 ou 8 km du chĂąteau de ce nom. Le moulin de Gayrosse et Somsec sont dans Sainte-Marie-de-Gosse, dont l’anciennetĂ© comme paroisse paraĂźt remonter beaucoup moins haut que les paroisses voisines. »

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • [Cuvillier & Schoeffler 1946] Jean Cuvillier et Jacques Schoeffler, « Esquisse gĂ©ologique de la commune de Sainte-Marie-de-Gosse (Landes) », Bulletin De La SociĂ©tĂ© GĂ©ologique De France, vol. 16, sĂ©rie 5, nos 1-3,‎ , p. 91–94 (DOI 10.2113/gssgfbull.S5-XVI.1-3.91, rĂ©sumĂ©).

    Liens externes

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