Sainte-Marie-de-Gosse
Sainte-Marie-de-Gosse (Senta Maria de GĂČssa, en occitan[1]) est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement des Landes en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.
Sainte-Marie-de-Gosse | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Landes | ||||
Arrondissement | Dax | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Maremne-Adour-CÎte-Sud | ||||
Maire Mandat |
Francis Betbeder 2020-2026 |
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Code postal | 40390 | ||||
Code commune | 40271 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Mariot | ||||
Population municipale |
1 201 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 45 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 33âČ 27âł nord, 1° 14âČ 13âł ouest | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 108 m |
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Superficie | 26,54 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Bayonne (partie française) (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Pays tyrossais | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Landes
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune est limitrophe du département des Pyrénées-Atlantiques.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Biarrotte, Port-de-Lanne, Saint-Ătienne-d'Orthe, Saint-Laurent-de-Gosse, Saint-Martin-de-Hinx, Guiche et Sames.
Hydrographie
En bordure de l'Adour (12 km de rives) et au confluent avec les Gaves réunis (Horgave) le bourg se trouve sur la partie haute, le Séqué (sec). Altitude 100 m environ (point géodésique au Tuc Lambert 109 m).
La partie basse des barthes est large d'environ 3 à 400 mÚtres, et borde l'Adour dans sa partie devenue trÚs large à cause de l'apport des eaux des Gaves réunis dont le débit est plus important que celui du fleuve.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[5].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[8] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[9] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Martin Hinx », sur la commune de Saint-Martin-de-Hinx, mise en service en 1959[10] et qui se trouve Ă 4 km Ă vol d'oiseau[11] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 427 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[12]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Dax », sur la commune de Dax, mise en service en 1958 et Ă 22 km[13], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[14], Ă 14,3 °C pour 1981-2010[15], puis Ă 14,5 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Sainte-Marie-de-Gosse est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [17] - [18] - [19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[20] - [21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (49,8 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (54,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (49,8 %), terres arables (36,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (5,8 %), eaux continentales[Note 7] (5,2 %), prairies (1,7 %), zones urbanisĂ©es (1,1 %)[22].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Sainte-Marie-de-Gosse est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e)[23]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[24].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment l'Adour et le Gave de Pau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1988, 1999, 2009, 2014, 2018, 2019 et 2021[25] - [23].
Sainte-Marie-de-Gosse est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Depuis le , les dĂ©partements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent dâun rĂšglement interdĂ©partemental de protection de la forĂȘt contre les incendies. Ce rĂšglement vise Ă mieux prĂ©venir les incendies de forĂȘt, Ă faciliter les interventions des services et Ă limiter les consĂ©quences, que ce soit par le dĂ©broussaillement, la limitation de lâapport du feu ou la rĂ©glementation des activitĂ©s en forĂȘt. Il dĂ©finit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associĂ©s diffĂ©rentes mesures[26] - [27].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines) et des tassements diffĂ©rentiels[28]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les Ă©ventuelles cavitĂ©s souterraines sur la commune[29].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 64,2 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (19,2 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 480 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 288 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 60 %, Ă comparer aux 17 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30] - [Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[23].
HĂ©raldique
Blason | Inconnu. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Toponymie
Il existe plusieurs explications possibles au nom de la commune :
- La terminaison « osse » proviendrait du suffixe euskarien « otz(a) » qui indique un domaine, un lieu. Ce suffixe basque est restĂ© en gascon (-os(se) \ -ĂČç(a)) et aragonais (-uĂ©s) et a constituĂ© de nombreux noms de village dans l'aire vasconne (Tosse, Seignosse, Biaudos, Angresse, Seyresse, Tarnos, Tyrosse, BiscarosseâŠ). Voir l'article connexe Toponymie basque.
- Il semblerait que « gosse » vienne de Gosse < Garros < (Goi/garai)-oz, 'lieu en hauteur' (dans la commune, le quartier Gayrosse proviendrait du mĂȘme fond proto-basque).
- Le mot « gosse » pourrait ĂȘtre une dĂ©formation de l'anglais goose, oie, car ce volatile est trĂšs prĂ©sent dans cette rĂ©gion des Landes, conquise par les Anglais pendant la guerre de Cent Ans
Fondée par les bénédictins, ancienne halte des pÚlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle.
Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune porta le nom révolutionnaire de Barra[31].
Politique et administration
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[34].
En 2020, la commune comptait 1 201 habitants[Note 8], en augmentation de 6,38 % par rapport Ă 2014 (Landes : +4,41 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Monuments
L'architecture des maisons de la commune est proche du style bas-navarrais (maisons carrĂ©es aux murs blanchis, volets peints, pierres d'angle visibles), propre au pays d'Orthe (Peyrehorade) et du Seignanx (Saint-Martin, Saint-AndrĂ©, TarnosâŠ).
- Ăglise Notre-Dame de Sainte-Marie-de-Gosse, fortifiĂ©e. FondĂ©e par les bĂ©nĂ©dictins (XIIe siĂšcle). De style roman Ă l'origine, elle a Ă©tĂ© modifiĂ©e au XVIe siĂšcle en adoptant le style gothique. On y dĂ©couvre un beau tableau de la nativitĂ© qui aurait Ă©tĂ© offert par NapolĂ©on III. Ăglise inscrite Ă lâInv. suppl. des Monuments historiques le .
- ChĂąteau d'Aranguiche.
- ChĂąteau de Bordus.
- ChĂąteau de Routger.
- Moulin de Gayrosse. BĂątiment surmontĂ© dâune croix bĂ©nĂ©dictine. Ancienne possession de l'abbaye de Sorde (mentionnĂ© dans le cartulaire de lâabbaye de Sorde, XIIe siĂšcle[36] - [37]). Le moulin Ă eau figure sur la carte de Cassini. Inventaire gĂ©nĂ©ral.
- Moulin de Lorta.
- Maysoun Blanque (maison blanche). Maison natale d'Isidore Salles.
- Maysoun du Rey (maison du roi, sur les rives de l'Adour) oĂč serait passĂ© Henri IV pour des rendez-vous galants.
- Domaine de Miradour. Maison construite vers 1930 par les architectes Louis et Benjamin Gomez pour Alfred EluÚre maire de Soorts-Hossegor de 1935 à 1972. Résidence du Dr Delay, ancien maire de Bayonne. (XIXe siÚcle), Inventaire général.
- Maison Lacoste (actuellement poste), maison construite vers 1782 pour ou par A. Lacoste, Inventaire général.
- Mairie, maison portant au-dessus d'une porte de l'élévation antérieure, l'inscription : Fait par Charles Galtier 1748. Inventaire général.
- Domaine de Labégorre, Inventaire général.
- Ferme de Campet, Inventaire général.
Paysages pittoresques
- Barthes de l'Adour.
- Site de Horgave (ou Bec du Gave) avec de belles maisons anciennes.
- Ăle de Mirepech (sur l'Adour, desservie par un accĂšs Ă dĂ©couvert seulement Ă marĂ©e basse).
- Tuc Lambert (sommet de la commune).
- Tuc de Luc (belle vue sur les Pyrénées).
- Cascade de Lorta (moulin de Lorta).
- Ătang de Gayrosse (moulin de Gayrosse).
Personnalités liées à la commune
- Isidore Salles, poĂšte gascon.
- Ferdinand CorrĂšges, peintre bayonnais qui immortalisa les plus belles vues du village.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Benoit, « Dictionnaire toponymique occitan des Landes et du Bas-Adour », sur locongres.org, Lo CongrÚs, (consulté le ).
- « Le nom des habitants du 40 », sur www.habitants.fr (consulté le ).
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Martin Hinx - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Sainte-Marie-de-Gosse et Saint-Martin-de-Hinx », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Martin Hinx - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Sainte-Marie-de-Gosse et Dax », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Dax - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
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- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Sainte-Marie-de-Gosse », sur Géorisques (consulté le )
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- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
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- « Dossier dĂ©partemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consultĂ© le ), chapitre Feux de forĂȘts.
- « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur www.landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
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- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- « Toponymes occitans », sur www.locongres.org (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Cartulaire de l'abbaye de Saint-Jean de Sorde XLVIII - De Ferran de Somsec
- Bulletin de la SociĂ©tĂ© des sciences, lettres et arts de Pau et du BĂ©arn 1889-1890 « Le cartulaire de Sorde nous apprend que Ferran de Somsec, entre 1072 et 1105, avait donnĂ© Ă lâabbaye de Saint-Jean-de-Sorde un casal et ses aleux pour le repos de son Ăąme et de celles de ses parents, et que GĂ©rald, abbĂ© de Sorde, le donna Ă son tour Ă Raymond Fort de Gayrosse [âŠ], moyennant la redevance de deux aloses et quâĂ sa mort cette propriĂ©tĂ© rentrerait Ă lâabbaye. LâAdour coule au pied du coteau de Somsec, un peu en amont de sa jonction avec le gave, au lieu-dit de Hourgave, oĂč lâon prend en la saison quantitĂ© dâaloses et de saumons. La redevance sâexplique par la situation mĂȘme du casal de Somsec et sa cession par lâabbĂ© au seigneur de Gayrosse a pour raison que, sur le versant opposĂ© du coteau de Somsec et au pied nord-ouest de la colline, se trouve un moulin qui autrefois a appartenu Ă la maison de Gayrosse et porte encore le nom de moulin de Gayrosse, bien que situĂ© Ă 7 ou 8 km du chĂąteau de ce nom. Le moulin de Gayrosse et Somsec sont dans Sainte-Marie-de-Gosse, dont lâanciennetĂ© comme paroisse paraĂźt remonter beaucoup moins haut que les paroisses voisines. »
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- [Cuvillier & Schoeffler 1946] Jean Cuvillier et Jacques Schoeffler, « Esquisse gĂ©ologique de la commune de Sainte-Marie-de-Gosse (Landes) », Bulletin De La SociĂ©tĂ© GĂ©ologique De France, vol. 16, sĂ©rie 5, nos 1-3,â , p. 91â94 (DOI 10.2113/gssgfbull.S5-XVI.1-3.91, rĂ©sumĂ©).
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Site de la mairie
- Sainte-Marie-de-Gosse sur le site de l'Institut géographique national
- Sainte-Marie-de-Gosse sur le site de l'Insee
- « Sainte-Marie-de-Gosse », sur sigesaqi.brgm.fr, SIGES Aquitaine (consulté en ).