AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Mouguerre

Mouguerre est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.

Mouguerre
Mouguerre
L’église Saint-Jean-Baptiste.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Roland Hirigoyen
2020-2026
Code postal 64990
Code commune 64407
DĂ©mographie
Gentilé Mugertar
Population
municipale
5 299 hab. (2020 en augmentation de 7,94 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 235 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 28â€Č 10″ nord, 1° 24â€Č 54″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 146 m
Superficie 22,57 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bayonne (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Bayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Nive-Adour
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives CinquiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Mouguerre
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Mouguerre
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Atlantiques
Mouguerre
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Mouguerre
Liens
Site web http://www.mouguerre.fr

    Le gentilé est Mugertar[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Mouguerre se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe Ă  106 km par la route[Note 1] de Pau[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, et Ă  11 km de Bayonne[4], sous-prĂ©fecture.

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[5] : Lahonce (2,6 km), Saint-Pierre-d'Irube (3,6 km), Villefranque (4,6 km), Bayonne (5,6 km), Urcuit (6,7 km), Briscous (6,7 km), Bassussarry (8,1 km), Ustaritz (8,3 km).

    Sur le plan historique et culturel, Mouguerre fait partie de la province du Labourd, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [6]. Le Labourd est traversé par la vallée alluviale de la Nive et rassemble les plus beaux villages du Pays basque[7]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[8] - [9]. La commune est dans la zone Lapurdi Beherea (Bas-Labourd)[10]. au centre-nord de ce territoire

    Quartiers

    La mairie de Mouguerre découpe la commune en trois quartiers, nommés Le Bourg, Elizaberry et Le Port.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Mouguerre.

    La commune est drainĂ©e par l'Adour, l'Ardanavy, l’ur Handia, le ruisseau de caudia, le ruisseau de CondistĂ©guy, et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 38 km de longueur totale[12] - [Carte 1].

    L'Adour, d'une longueur totale de 308,8 km,prend sa source dans le massif pyrĂ©nĂ©en du pic du Midi de Bigorre, au col du Tourmalet (Hautes-PyrĂ©nĂ©es) et se jette dans l'ocĂ©an Atlantique aprĂšs Bayonne, Ă  Tarnos (Landes) pour la rive droite et Anglet (PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques) pour la rive gauche[13].

    L'Ardanavy, d'une longueur totale de 25,7 km, prend sa source dans la commune d'Hasparren et s'Ă©coule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans l'Adour Ă  Urcuit, aprĂšs avoir traversĂ© 6 communes[14].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[15]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[16].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[15]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 4,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 12,8 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 388 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[18] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[19] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956[20] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[21] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[22], Ă  14,3 °C pour 1981-2010[23], puis Ă  14,6 °C pour 1991-2020[24].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Trois sites Natura 2000 ont Ă©tĂ© dĂ©finis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[26] - [Carte 2] :

    • « l'Adour », d'une superficie de 3 565 ha, un site important pour les poissons migrateurs, l'AngĂ©lique des estuaires (espĂšce endĂ©mique) et le Vison d'Europe[27] ;
    • « la Nive », d'une superficie de 9 473 ha, un des rares bassins versants Ă  accueillir l'ensemble des espĂšces de poissons migrateurs du territoire français, exceptĂ© l'Esturgeon europĂ©en[28] ;
    • « l'Ardanavy (cours d'eau) », d'une superficie de 626 ha, un cours d'eau des coteaux sud de l'Adour[29].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensĂ©e sur la commune[30] - [Carte 3] : le « lit mineur et berges de l'adour, des gaves rĂ©unis et du Luy » (1 292,03 ha), couvrant 35 communes dont 28 dans les Landes et 7 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[31] et quatre ZNIEFF de type 2[Note 9] - [30] - [Carte 4] :

    • les « bois et landes de Faldaracon-Eguralde et d'Hasparren » (2 636,71 ha), couvrant 6 communes du dĂ©partement[32] ;
    • « l'Adour d'Aire-sur-l'Adour Ă  la confluence avec la Midouze, tronçon des saligues et graviĂšres » (2 324,27 ha), couvrant 63 communes dont 54 dans les Landes et 9 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[33] ;
    • « l'Adour de la confluence avec la Midouze Ă  la confluence avec la Nive, tronçon des barthes » (13 349,18 ha), couvrant 59 communes dont 52 dans les Landes et 7 dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques[34];
    • le « rĂ©seau hydrographique et vallĂ©e de l'Ardanavy » (679,96 ha), couvrant 12 communes du dĂ©partement[35].

    Urbanisme

    Typologie

    Mouguerre est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 10] - [36] - [37] - [38]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Bayonne (partie française), une agglomĂ©ration internationale dont la partie française regroupe 30 communes[39] et 251 520 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[40] - [41].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[42] - [43].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (43,2 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (57,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (35,5 %), prairies (24,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,6 %), zones urbanisĂ©es (14,6 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (5,7 %), eaux continentales[Note 12] (0,8 %), terres arables (0,5 %)[44].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 5].

    Lieux-dits et hameaux

    Sur le cadastre napoléonien de 1831, la commune est divisée en six sections :

    • Labarthe
    • Vieux Mouguerre
    • Galhartiry
    • Istiart-Alçou
    • Ourterry-Egurralde
    • Petit Mouguerre.

    Voies de communication

    Les sorties 1.1 (Mouguerre-Bourg) et 2 (Mouguerre-Elizaberri) de l'autoroute A64 donnent accÚs à la commune, tout comme les routes départementales D 22, D 76, D257, D 312 et D 936.

    Une portion de la ligne de Toulouse à Bayonne traverse la commune au niveau du quartier du Port[45]. Il s'agit d'une voie unique et électrifiée située sur une digue pour éviter sa submersion en cas d'inondation. Un embranchement à cette ligne mÚne au Centre européen de fret[46].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Mouguerre est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[47]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[48].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) CĂŽtier basque, regroupant 12 communes dans les PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques et une dans les Landes concernĂ©es par un risque de phĂ©nomĂšnes fluvio-maritimes pouvant s’avĂ©rer dangereux (estuaire Adour et Nive) sur le territoire de Bayonne et de crues rapides dĂ©vastatrices de la Nivelle dans sa partie sud (Ciboure, Saint-Jean-de-Luz), un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[49]. La plus forte crue connue est celle de 1952, suivie de celle de 1981. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[50]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1995, 2007, 2009, 2010 et 2018[51] - [47].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mouguerre.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[52]. 88,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 13] - [53].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1996, 2003 et 2011, par des mouvements de terrain en 2017 et 2018 et par des glissements de terrain en 1996[47].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Mouguerre apparaĂźt sous les formes Biudz (1249[54]), Biuts (1264[54]), Sainct-Johan-de-Buitz (1564[55], titres de Lahonce[56]), Saint-Jean-de-Biutz (1690[55], carte de Cantelli) et Sanctus-Johannes-Vetus vulgĂČ Mouguerre (1763[55], collations du diocĂšse de Bayonne[57]).

    Étymologie

    Jean-Baptiste Orpustan[54] indique que le nom original biuts signifiait 'colline de forme arrondie' et que Mouguerre provient de muga-erre, 'limite, frontiÚre brûlée'.

    Autres toponymes

    Le toponyme Elizaberri apparaüt sous la forme Éliçaberry, tandis que le toponyme Pinaquia apparaüt sous la forme Pinaquiherry[55].

    Graphie en langues locales

    Son nom basque actuel est Mugerre[1] et son nom occitan gascon est Moguerre[58].

    Histoire

    En 1724, à la suite des révoltes de Saint-Jean-le-Vieux (1685), Mouguerre et Saint-Pierre-d'Irube (1696), la population d'Ainhoa se révolta contre la gabelle, révolte d'opposition aux nouvelles taxes, annonciatrice de celles qui soulevÚrent presque tout le Labourd en 1726 (contre l'impÎt dit du 50e), Bayonne et Saint-Jean-Pied-de-Port en 1748[59].

    En 1790, Mouguerre Ă©tait le chef-lieu d'un canton, dans le district d'Ustaritz, comprenant les communes de Lahonce, Mouguerre, Saint-Pierre-d'Irube et Urcuit[55].

    Le , les coteaux de Mouguerre furent le théùtre de combats acharnés entre le maréchal Soult et Wellington (bataille de Saint-Pierre-d'Irube)[60].

    La carte Levasseur du département des Basses-Pyrénées de 1850 indique le chef-lieu du village, dénommé Mouguerre comme aujourd'hui, à l'emplacement actuel du quartier Elizaberri[61].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Jean Disée
    Les données manquantes sont à compléter.
    Jean Baptiste Diesse
    Pierre Darquin
    Jean Baptiste Garat
    Pierre Darquin
    Salvat Saint-Germain Notaire
    ca. 1923 Alfred Celhay[62]
    Les données manquantes sont à compléter.
    ca. 1962 Edmond Celhay[63]
    Gilbert Larcebeau[64] DVD Dirigeant d'une entreprise de maçonnerie
    En cours
    (au 29 mai 2020)
    Roland Hirigoyen DVD[65] Cadre de banque retraitĂ©, adjoint au maire (1995 → 2001)
    PrĂ©sident de la CC Nive-Adour (2008 → 2016)
    8e vice-prĂ©sident de la CommunautĂ© Pays Basque (2020 → )
    RĂ©Ă©lu pour le mandat 2020-2026[66]

    Intercommunalité

    Mouguerre fait partie de six structures intercommunales[67] :

    • la communautĂ© de communes Nive-Adour ;
    • le syndicat d'Ă©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal de protection des berges de l'Adour maritime et de ses affluents (SIPBAMA) ;
    • le syndicat intercommunal pour la gestion du centre Txakurrak ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien Ă  la culture basque ;
    • le syndicat mixte pour l'amĂ©nagement du centre europĂ©en de fret de Bayonne - Mouguerre - Lahonce.

    Mouguerre accueille le siÚge de la communauté de communes Nive-Adour.

    Politique environnementale

    Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[68].

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[69]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[70].

    En 2020, la commune comptait 5 299 habitants[Note 14], en augmentation de 7,94 % par rapport Ă  2014 (PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2001 0691 1171 1221 3631 3131 3901 4561 400
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 3551 3061 3341 3361 3291 3271 3121 2501 217
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 3331 2441 2861 2861 3881 3331 2551 2471 374
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    1 5421 5931 8092 2903 0213 7654 2804 3594 656
    2014 2019 2020 - - - - - -
    4 9095 2945 299------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[71] puis Insee Ă  partir de 2006[72].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  32,0 %, soit au-dessus de la moyenne dĂ©partementale (30,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 25,1 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 30,5 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 2 570 hommes pour 2 631 femmes, soit un taux de 50,59 % de femmes, lĂ©gĂšrement infĂ©rieur au taux dĂ©partemental (52,08 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[73]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,4
    90 ou +
    0,9
    6,0
    75-89 ans
    7,0
    18,3
    60-74 ans
    17,7
    23,5
    45-59 ans
    24,0
    19,0
    30-44 ans
    19,3
    15,9
    15-29 ans
    13,5
    17,0
    0-14 ans
    17,6
    Pyramide des ùges du département des Pyrénées-Atlantiques en 2018 en pourcentage[74]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    2,5
    8,6
    75-89 ans
    11,7
    18,2
    60-74 ans
    19
    21,3
    45-59 ans
    20,6
    18,1
    30-44 ans
    17,3
    16,4
    15-29 ans
    14,2
    16,7
    0-14 ans
    14,7

    Économie

    L'extraction de sel gemme était encore pratiquée à Mouguerre au XXe siÚcle[75] jusqu'à la fermeture du site Cérébos en 2010[76] et sa vente aux enchÚres par le commissaire-priseur industriel Roux Troostwijk[77].

    Le Centre européen de fret (CEF)[46] de Bayonne est situé sur la commune de Mouguerre.

    BMS Circuits, à Mouguerre, est la seule usine de France à fabriquer des téléphones portables. Depuis 2016, elle bénéficie de la relocalisation de Kapsys, concepteur français d'appareils pour aveugles et malvoyants, qui jusque-là confiait ses fabrications à des sous-traitants chinois[78] - [79] - [80].

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    Langues

    D'aprÚs la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Mouguerre est le bas-navarrais oriental.

    Patrimoine civil

    La croix de Mouguerre
    • le chĂąteau de Mouguerre[81], au lieu-dit Aguerria, date de 1728 ;
    • la ferme, situĂ©e au lieu-dit Souhigaray[82], date du XVIIe siĂšcle, tout comme celle du lieu-dit KikotĂ©guy[83], alors que celle du lieu-dit Pinaquia[84] fut construite en 1768 ;
    • dans le chemin rural de l'Ă©glise, une maison[85] date du XVIIIe siĂšcle ;
    • la maison de maĂźtre[86], au lieu-dit LĂ©kuĂ©der, date de la deuxiĂšme moitiĂ© du XVIIIe siĂšcle ;
    • le monument aux morts[87], du dĂ©but du XXe siĂšcle, est inventoriĂ© par le ministĂšre de la Culture ;
    • l'obĂ©lisque, dit croix de Mouguerre[88], de 1917, est Ă©rigĂ© en l'honneur du marĂ©chal Soult ;
    • la route impĂ©riale des Cimes (RD 22) entre Bayonne et Hasparren traverse la commune.
    • Maison du XVIe siĂšcle quartier Elizaberri : Trinquet Ibar actuel.

    Patrimoine religieux

    • l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste de Mouguerre[89] (au bourg), date du XVIIe siĂšcle. Elle recĂšle un riche mobilier[90] inventoriĂ© par le ministĂšre de la Culture.
    • Église Saint-Jean-Baptiste d'Elizaberri.
    • Église Saint-Joseph du Port.

    Équipements

    Rugby Ă  XV

    L'Union sportive de Mouguerre, club de rugby Ă  XV de la commune, qui a Ă©volue en FĂ©dĂ©rale 2 et engagĂ© en championnat de France de rugby Ă  XV de 3e division fĂ©dĂ©rale 2017-2018. Les verts et blancs Ă©voluent au stade d'Ibusty, situĂ© dans le quartier du port, Ă  proximitĂ© du centre europĂ©en de fret. Le groupe punk/thrash Aggressive Agricultor a rendu hommage Ă  l'USM dans sa chanson Mouguerre. Ce stade de rugby est Ă©quipĂ© d'une tribune couverte (Edmond-Celhay) pouvant accueillir le public d'Ibusty. On y trouve Ă©galement une salle de musculation ainsi qu'une salle des fĂȘtes.

    Pelote basque

    Mouguerre est également une terre de pelote basque. La commune possÚde pas moins de 5 frontons à l'air libre : à Ibusty au port, 2 au bourg (à cÎté du presbytÚre et en face de l'ancienne mairie, 2 à Elizaberri). Le club de pelote Pilota Hutxa évolue notamment au mur à gauche couvert d'Elizaberry. On trouve également 2 trinquets, à Elizaberry et au port.

    Tennis

    Le Tennis Club de Mouguerre, fondé en 1985, compte quatre cours en dur.

    Enseignement

    Mouguerre dispose de trois écoles primaires publiques (bourg, Elizaberry et port) et de deux écoles primaires privées (Sainte-Marie et Saint-Joseph). Un centre de formation d'apprentis (transports - logistiques - voyageurs) est situé au Centre européen de fret de Mouguerre

    Personnalités liées à la commune

    Gilbert Larréguy, né en 1931 à Mouguerre et décédé en 2006 à Bayonne, est un joueur français de rugby à XV, qui a évolué avec l'équipe de France et l'Aviron bayonnais ;

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[17].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[25].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    12. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    13. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Mouguerre » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Mouguerre », sur www.geoportail.gouv.fr (consultĂ© le ).
    3. « ZNIEFF de type I sur la commune de Mouguerre », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type II sur la commune de Mouguerre », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    6. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Euskaltzaindia - Académie de la langue basque.
    2. « Métadonnées de la commune de Mouguerre », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Mouguerre et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Mouguerre et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. « Communes les plus proches de Mouguerre », sur www.villorama.com (consulté le ).
    6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    8. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    9. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    10. Lapurdi Beherea (-a) (Lapurdi) : toponymes sur le site de l'Académie de la langue basque.
    11. Carte IGN sous GĂ©oportail
    12. « Fiche communale de Mouguerre », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    13. Sandre, « l'Adour ».
    14. Sandre, « l'Ardanavy ».
    15. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le ).
    16. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    17. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    18. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
    19. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
    20. « Station météofrance Biarritz-Pays-Basque - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
    21. « Orthodromie entre Mouguerre et Anglet », sur fr.distance.to (consulté le ).
    22. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    23. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    24. « Station météorologique de Biarritz-Pays-Basque - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le ).
    25. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
    26. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Mouguerre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    27. « site Natura 2000 FR7200724 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    28. « site Natura 2000 FR7200786 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    29. « site Natura 2000 FR7200787 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    30. « Liste des ZNIEFF de la commune de Mouguerre », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    31. « ZNIEFF le « lit mineur et berges de l'adour, des gaves réunis et du Luy » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    32. « ZNIEFF les « bois et landes de Faldaracon-Eguralde et d'Hasparren » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    33. « ZNIEFF « l'Adour d'Aire-sur-l'Adour à la confluence avec la Midouze, tronçon des saligues et graviÚres » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    34. « ZNIEFF « l'Adour de la confluence avec la Midouze à la confluence avec la Nive, tronçon des barthes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    35. « ZNIEFF le « réseau hydrographique et vallée de l'Ardanavy » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    36. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    37. « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    38. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    39. « Unité urbaine 2020 de Bayonne (partie française) », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    40. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    41. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    42. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Bayonne (partie française) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
    43. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des Ă©tudes Ă©conomiques, (consultĂ© le ).
    44. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le ).
    45. Carte IGN, consultée le 02/05/2010 sur Géoportail (Consulter.
    46. Site du Centre européen de fret de Bayonne
    47. « Les risques prÚs de chez moi - commune de Mouguerre », sur Géorisques (consulté le )
    48. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
    49. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
    50. « Cartographie des risques d'inondations du TRI CÎtier basque », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
    51. « Dossier départemental des risques majeurs des Pyrénées-Atlantiques », sur www.pyrenees-atlantiques.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
    52. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
    53. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
    54. Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux de Labourd, Basse-Navarre et Soule, Pessac, Presses universitaires de Bordeaux 2006, , 244 p. (ISBN 978-2-86781-396-2 et 2-86781-396-4, lire en ligne).
    55. Paul Raymond, Dictionnaire topographique du département des Basses-Pyrénées, Paris, Imprimerie Impériale, , 208 p. (BNF 31182570, lire en ligne)..
    56. Titres de l'abbaye de Lahonce - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
    57. Manuscrits des XVIIe et XVIIIe siÚcles - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques.
    58. « Toponymes occitans », sur Lo CongrÚs (consulté le ).
    59. Philippe Veyrin, Les Basques : de Labourd, de Soule et de Basse-Navarre, leur histoire et leurs traditions, Grenoble, Arthaud 1975, , 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3 et 2-7003-0038-6), page 179.
    60. Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975, , 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3 et 2-7003-0038-6), page 192.
    61. Carte Levasseur en ligne, consultée le 11/05/2010.
    62. Marc Van Loey, « Gilbert Larcebeau nous a quittĂ©s », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
    63. « Les données des élections », sur Data.gouv, (consulté le ).
    64. Fabienne Gorostegui, « Mouguerre : Roland Hirigoyen a lancĂ© son quatriĂšme mandat : Le maire de Mouguerre a Ă©tĂ© Ă©lu, jeudi 28 mai, sans surprise, Ă  la tĂȘte de la municipalitĂ© pour la quatriĂšme fois. », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
    65. Cellule informatique préfecture 64, « Base communale des Pyrénées-Atlantiques - Intercommunalité » (consulté le ).
    66. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    67. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    68. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    69. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    70. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    71. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mouguerre (64407) », (consultĂ© le ).
    72. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques (64) », (consultĂ© le ).
    73. Philippe Veyrin, Les Basques, Arthaud 1975, , 366 p. (ISBN 978-2-7003-0038-3 et 2-7003-0038-6), page 23.
    74. , article sur la fermeture de Cérébos Mouguerre
    75. , vente sur le site Troostwijk en avril 2011.
    76. « Un smartphone adapté 100 % français », sur Le Parisien, (consulté le ).
    77. « Kapsys traslada de China a BMS de Mugerre la fabricación de smartphones », sur NAIZ, (consulté le ).
    78. « Des portables pour malvoyants pensés et assemblés en France », sur Le Parisien, (consulté le ).
    79. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur le chùteau de Mouguerre.
    80. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme du lieu-dit Souhigaray.
    81. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Kikotéguy.
    82. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur la ferme Pinaquia
    83. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison du chemin rural de l'église.
    84. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur la maison de maßtre du lieu-dit Lékuéder.
    85. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur le monument aux morts.
    86. MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notice sur la croix de Mouguerre.
    87. , MinistÚre de la Culture, base Mérimée - Notices sur l'église Saint-Jean-Baptiste.
    88. , , , , , , , , , , , , , , , , , , MinistĂšre de la Culture, base Palissy - Notices sur le mobilier de l'Ă©glise Saint-Jean-Baptiste

    Voir aussi

    Bibliographie

    • J. Gardelles, Guyenne, Gascogne, BĂ©arn, Pays basque, Paris, Berger-Levrault, collection Dictionnaire des chĂąteaux de France, 1981, page 253 ;
    • Jean-Marie Larre, La constitution civile du clergĂ© et ses consĂ©quences Ă  Mouguerre (1791-1794), bulletin de la SociĂ©tĂ© des sciences, lettres et arts de Bayonne, 1990, no 146 ;
    • Jean-Marie Larre, Mouguerre en 1789. L'ancien rĂ©gime, bulletin de la SociĂ©tĂ© des sciences, lettres et arts, 1990, no 146 ;
    • Jean-Marie Larre, Mouguerre autrefois, bulletins municipaux de Mouguerre, 1986 Ă  2000 ;
    • Patrick JobbĂ©-Duval, Un peu d'histoire, bulletins municipaux de Mouguerre, 1985, 1991 ;
    • Gilbert Desport, Mouguerre : pages d'histoire locale, la lettre du canton, 1991, no 9 ;
    • Gilbert Desport, Les noms de Mouguerre, Ekaina, 1987, no 23, page 175 ;
    • Gilbert Desport, Troubles Ă  Mouguerre sous la RĂ©volution, Ekaina, 1989, no 30, page 115 ;
    • Gilbert Desport, Aux portes du Labourd : Saint-Pierre-d'Irube, Ekaina, 2e Ă©dition 1992 ;
    • Gilbert Desport, Le canton de Saint-Pierre-d'Irube racontĂ©, revue faits et projets, no 1, 1998 ;
    • Gilbert Desport, Le lac d'Escoutepluye, journal Sud-Ouest, 19 et ;
    • Gilbert Desport, Le tumulus de Kurruia Ă  Mouguerre, Ekaina, 2000 ;
    • Francis Gaudeul, La bataille de Saint-Pierre-d'Irube, bulletin de la SociĂ©tĂ© des sciences, lettres et arts de Bayonne, 1979, no 135 ;
    • EugĂšne Goyheneche, Le Pays basque, notice Mouguerre, page 628 ;
    • Éric DuprĂ©, Note sur le site prĂ©historique de plein-air de Galharreta Ă  Mouguerre, Ikuska, 3e trimestre 1995, page 65 ;
    • Jean Puchulu, Le Monument de Mouguerre, bulletin de la SociĂ©tĂ© des sciences, lettres et arts de Bayonne, 1946, no 115 ;
    • Jean de La Nive, Mouguerre, monographie, 1934 ;
    • Henri LĂ©on, Mouguerre - Bayonne, imprimerie LamaignĂšre, Biarritz, 1886, pages 81 Ă  87 ;
    • Henri LĂ©on, Autour de Bayonne : Mouguerre, imprimerie LamaignĂšre, Biarritz, 1898, extrait de Biarritz-Thermal ;
    • Édouard DucĂ©rĂ©, Les Environs de Bayonne, imprimerie LamaignĂšre, Biarritz, 1895 ;
    • Pierre Haristoy, Les Paroisses du Pays basque durant la pĂ©riode rĂ©volutionnaire, 3 tomes, Pau 1895 - 1899 ;
    • SociĂ©tĂ© des salines de Mouguerre, Les Salines de l'Adour, 1968.

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.