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Lahonce

Lahonce est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Lahonce
Lahonce
L'église paroissiale de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie se détachant sur l'Adour.
Blason de Lahonce
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
David Hugla
2020-2026
Code postal 64990
Code commune 64304
Démographie
Gentilé Lahonçais
Population
municipale
2 549 hab. (2020 en augmentation de 14 % par rapport à 2014)
Densité 269 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 00″ nord, 1° 23′ 24″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 96 m
Superficie 9,47 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bayonne (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Bayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Nive-Adour
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Lahonce
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Lahonce
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Lahonce

    Le gentilé est Lahonçais (Lehunztar[1] en basque).

    Géographie

    Localisation

    La commune de Lahonce se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe à 106 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 11 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 4,5 km de Mouguerre[5], bureau centralisateur du canton de Nive-Adour dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Bayonne[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Mouguerre (2,6 km), Urcuit (4,4 km), Briscous (5,3 km), Saint-Pierre-d'Irube (5,5 km), Saint-Barthélemy (6,0 km), Saint-Martin-de-Seignanx (6,7 km), Bayonne (7,0 km), Saint-Pierre-d'Irube (7,1 km).

    Sur le plan historique et culturel, Lahonce fait partie de la province du Labourd, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [7]. Le Labourd est traversé par la vallée alluviale de la Nive et rassemble les plus beaux villages du Pays basque[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9] - [10]. La commune est dans la zone Lapurdi Beherea (Bas-Labourd)[11] au centre-nord de ce territoire.

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Lahonce.

    La commune est drainée par l'Adour, un bras de l'Adour, le Canal Vieux, l’Estey de Lion, l’Estey de Pierras, l’Estey de Puntet, le ruisseau de Condistéguy, le ruisseau des anges, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[13] - [Carte 1].

    L'Adour, d'une longueur totale de 308,8 km, prend sa source dans le massif pyrénéen du pic du Midi de Bigorre, au col du Tourmalet (Hautes-Pyrénées) et se jette dans l'océan Atlantique après Bayonne, à Tarnos (Landes) pour la rive droite et Anglet (Pyrénées-Atlantiques) pour la rive gauche[14].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[15]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat se traduit par des températures douces et une pluviométrie relativement abondante (en liaison avec les perturbations venant de l'Atlantique), répartie tout au long de l'année avec un léger maximum d'octobre à février[16].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[15]

    • Moyenne annuelle de température : 13,8 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,1 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 4,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 12,9 °C
    • Cumuls annuels de précipitation : 1 413 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,3 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8,2 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[18] complétée par des études régionales[19] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Biarritz-Pays-Basque », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956[20] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[21] - [Note 6], où la température moyenne annuelle évolue de 14,1 °C pour la période 1971-2000[22], à 14,3 °C pour 1981-2010[23], puis à 14,6 °C pour 1991-2020[24].

    Réseau Natura 2000

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 7]. Deux sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[26] - [Carte 2] :

    • « l'Adour », d'une superficie de 3 565 ha, un site important pour les poissons migrateurs, l'Angélique des estuaires (espèce endémique) et le Vison d'Europe[27] ;
    • « l'Ardanavy (cours d'eau) », d'une superficie de 626 ha, un cours d'eau des coteaux sud de l'Adour[28] ;

    et une au titre de la « directive Oiseaux »[26] - [Carte 3] :

    • les « barthes de l'Adour », d'une superficie de 15 617 ha, un site de vallées inondables à forte diversité animale et végétale[29].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 8] est recensée sur la commune[30] - [Carte 4] : le « lit mineur et berges de l'adour, des gaves réunis et du Luy » (1 292,03 ha), couvrant 35 communes dont 28 dans les Landes et 7 dans les Pyrénées-Atlantiques[31] et trois ZNIEFF de type 2[Note 9] - [30] - [Carte 5] :

    • « l'Adour d'Aire-sur-l'Adour à la confluence avec la Midouze, tronçon des saligues et gravières » (2 324,27 ha), couvrant 63 communes dont 54 dans les Landes et 9 dans les Pyrénées-Atlantiques[32] ;
    • « l'Adour de la confluence avec la Midouze à la confluence avec la Nive, tronçon des barthes » (13 349,18 ha), couvrant 59 communes dont 52 dans les Landes et 7 dans les Pyrénées-Atlantiques[33] ;
    • le « réseau hydrographique et vallée de l'Ardanavy » (679,96 ha), couvrant 12 communes du département[34].

    Urbanisme

    Typologie

    Lahonce est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 10] - [35] - [36] - [37]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bayonne (partie française), une agglomération internationale dont la partie française regroupe 30 communes[38] et 251 520 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[39] - [40].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 11]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[41] - [42].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (41,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (51,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,4 %), terres arables (19,2 %), zones agricoles hétérogènes (18,5 %), zones urbanisées (16 %), eaux continentales[Note 12] (9,1 %), prairies (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3 %)[43].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].

    Lieux-dits et hameaux

    Sur le cadastre napoléonien de 1831, la commune est divisée en trois sections :

    • Beheretarra ;
    • l'Église ;
    • Garaitarra.

    Aujourd'hui, le village est partagé en 15 quartiers :

    • Amelkondo ;
    • Argelas ;
    • Artigaus ;
    • Beheretarra ;
    • Bois de la Vierge ;
    • Dorrea ;
    • l'Église ;
    • Garaitarra ;
    • Grazieta ;
    • Harrixurieta ;
    • la Fontaine ;
    • Lhoste ;
    • Naguile ;
    • l'Orée du bois ;
    • Oihanto.

    Voies de communication et transports

    Lahonce est desservie par les routes départementales D 312, D 257, D 831 et D 261.

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Lahonce est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[44]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[45].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) Côtier basque, regroupant 12 communes dans les Pyrénées-Atlantiques et une dans les Landes concernées par un risque de phénomènes fluvio-maritimes pouvant s’avérer dangereux (estuaire Adour et Nive) sur le territoire de Bayonne et de crues rapides dévastatrices de la Nivelle dans sa partie sud (Ciboure, Saint-Jean-de-Luz), un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[46]. La plus forte crue connue est celle de 1952, suivie de celle de 1981. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[47]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1995, 2009, 2014 et 2021[48] - [44].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lahonce.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[49]. 60,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 13] - [50].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002, 2003, 2011 et 2012 et par des mouvements de terrain en 2019[44].

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Lahonce apparaît sous les formes Lefonce (vers 1150[51], cartulaire de Bayonne[52]), Honcia (1227[51]), Lefonsa (1249[53]), Laonça (1264[53]), Le Fonse (XIIIe siècle[51], cartulaire de Bayonne[52]), Conventus Foncie (1302[51], chapitre de Bayonne[54]), Lehonce (1328[51], collection Duchesne volume CXIV[55]), Nostra Domina de Honce (1693[51], collations du diocèse de Bayonne[56]) et Lehontza et Lehuntza[57] au XIXe siècle.

    Étymologie

    Jean-Baptiste Orpustan[53] propose deux étymologies, soit à partir du mot basque lehun(t)z, « liseron », soit de la racine ler ou leher qui donnerait « lieu de pins ».

    Autres toponymes

    Le toponyme Naguile apparaît sous la forme Naguille (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[51]).
    Amelconde, hameau de la commune, est mentionné en 1863[51].

    Graphie en langues locales

    Son nom basque actuel est Lehuntze[1] et son nom occitan gascon actuel est Lahonça[58].

    Histoire

    Paul Raymond[51] note que Lahonce était une ancienne abbaye de prémontrés, fondée en 1227.

    Héraldique

    Ces armes sont celles de l'ordre des chanoines réguliers de Prémontré.

    Blason Blasonnement :
    De France ancien (d'azur semé de fleurs de lys d'or) chargé de deux crosses d'or passées en sautoir brochant sur le tout[59].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1951 ? Jean Mestelan ? Plus jeune maire de France en 1951
    mars 1977 juin 1995 Bruno Guignard DVD
    juin 1995 mars 2001 Jean-Baptiste Landart
    mars 2001 mars 2008 François Bioy DVD[60]
    mars 2008 2020 Pierre Guillemotonia DVG
    EHBAI[61]
    Employé
    Conseiller permanent de la Communauté du Pays Basque (2017 → )
    2020 En cours David Hugla DVG
    Les données manquantes sont à compléter.

    Intercommunalité

    Lahonce fait partie de six structures intercommunales[62] :

    • la communauté de communes Nive-Adour ;
    • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal de protection des berges de l'Adour maritime et de ses affluents (SIPBAMA) ;
    • le syndicat intercommunal pour la gestion du centre Txakurrak ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien à la culture basque ;
    • le syndicat mixte pour l’aménagement du centre européen de fret de Bayonne - Mouguerre - Lahonce.

    La commune fait en outre partie de l'Eurocité basque Bayonne - San Sebastian.

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[64].

    En 2020, la commune comptait 2 549 habitants[Note 14], en augmentation de 14 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    581620595572626605628623628
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    556561567518530501547524531
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    538502520502505516480466484
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    5816168201 1241 4961 8901 9731 9712 066
    2015 2020 - - - - - - -
    2 3342 549-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[65] puis Insee à partir de 2006[66].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    La commune fait partie de l'aire urbaine de Bayonne.

    Économie

    La commune accueille la société TPM Côte basque (industrie du poisson), et la société Anne Rozes (préparation industrielle de produits à base de viande), qui font partie des cinquante premières[67] entreprises agroalimentaires du département.

    Lahonce fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Culture locale et patrimoine

    • L'abbaye de chanoines de Prémontré, actuellement église paroissiale de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie et mairie, et le fronton place libre.
      L'abbaye de chanoines de Prémontré, actuellement église paroissiale de l'Assomption-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie et mairie, et le fronton place libre.
    • La mairie et la poste.
      La mairie et la poste.

    Langues

    D'après la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Lahonce est le bas-navarrais oriental.

    Patrimoine civil

    • La ferme[68], située au lieu-dit Artigaux, date des XVIIe et XVIIIe siècles.
    • La ferme[69] située au lieu-dit Grazieta, date du XVIIe siècle.
    • Des maisons de maîtres, aux lieux-dits Naguile[70] et Lhoste[71], datent de la fin du XVIIIe siècle et du XIXe siècle alors que celle du lieu-dit Harritchouriéta[72] provient du XVIIe siècle.

    Patrimoine religieux

    Équipements

    Enseignement

    La commune dispose d'une école primaire. Celle-ci comptait à la rentrée scolaire de 195 élèves[76].

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[17].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[25].
    8. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
    9. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    10. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    11. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    12. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    13. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    14. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Lahonce » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Lahonce », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    4. « ZNIEFF de type I sur la commune de Lahonce », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    5. « ZNIEFF de type II sur la commune de Lahonce », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
    6. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    7. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

    1. Euskaltzaindia - Académie de la langue basque
    2. « Métadonnées de la commune de Lahonce », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    3. Stephan Georg, « Distance entre Lahonce et Pau », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    4. Stephan Georg, « Distance entre Lahonce et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    5. Stephan Georg, « Distance entre Lahonce et Mouguerre », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
    6. « Communes les plus proches de Lahonce », sur www.villorama.com (consulté le ).
    7. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
    8. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
    9. « Toponymes », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
    10. (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
    11. Lapurdi Beherea (-a) (Lapurdi) : toponymes sur le site de l'Académie de la langue basque.
    12. Carte IGN sous Géoportail
    13. « Fiche communale de Lahonce », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
    14. Sandre, « l'Adour ».
    15. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le ).
    16. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le ).
    17. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
    18. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
    19. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
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    74. Ministère de la culture, base Mérimée - Notices sur l'abbaye de chanoines de Prémontré
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    76. Mairie de Lahonce, site officiel

    Pour approfondir

    Bibliographie

    • Bulletin bibliographique pour l'année 1934, archéologie, Revue historique et archéologique, Béarn, Pays basque 1934 ;
    • Bernard Ardura, Abbayes, prieurés et monastères de l'ordre de Prémontré en France des origines à nos jours, dictionnaire historique et bibliographique, Paris P.U.F., 1993 ;
    • P. Bayaud, Cahiers de doléances de Lahonce, bulletin de la Société des sciences, lettres et arts, Pau 1949, 3e série, t. X, page 38 ;
    • H. Charbonneau, De quelques sanctuaires basques et béarnais. Dévotions légitimes et supersticieuses, Revue historique et archéologique, Béarn, Pays basque 1936 ;
    • Gilles Coyne, L'art roman dans les Pyréénes-Atlantiques, Bordeaux, CRDP, 1971, page 19 ;
    • Raoul Deloffre et Jean Bonnefous, Pierres des églises romanes et gothiques et Béarn et Pays basque. Itinéraires géologiques et archéologiques, Biarritz, J. et D. éditions, 1992 ;
    • Victor Dubarat et Pierre Haristoy, Le pèlerinage de Saint-Jacques de Compostelle, Études religieuses et historiques du diocèse de Bayonne, 1900, page 253 ;
    • Victor Dubarat et Pierre Haristoy, Les paroisses du Pays basque pendant la période révolutionnaire, Études religieuses et historiques du diocèse de Bayonne, 1894, page 182.

    Articles connexes

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