Ibarrolle
Ibarrolle est une commune française située dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine.
Ibarrolle | |||||
La salle d'Etxepare. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Pyrénées-Atlantiques | ||||
Arrondissement | Bayonne | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Pays Basque | ||||
Maire Mandat |
Dominique Poydessus 2020-2026 |
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Code postal | 64120 | ||||
Code commune | 64267 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Ibarrolar | ||||
Population municipale |
75 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 8,5 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 43° 12âČ 03âł nord, 1° 05âČ 38âł ouest | ||||
Altitude | Min. 159 m Max. 764 m |
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Superficie | 8,87 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Atlantiques
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation
La commune d'Ibarrolle se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].
Elle se situe à 106 km par la route[Note 1] de Pau[3], préfecture du département, à 65 km de Bayonne[4], sous-préfecture, et à 21 km de Saint-Palais[5], bureau centralisateur du canton du Pays de Bidache, Amikuze et Ostibarre dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saint-Jean-Pied-de-Port[2].
Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Bunus (2,3 km), Saint-Just-Ibarre (3,2 km), Larceveau-Arros-Cibits (3,6 km), Gamarthe (3,9 km), Hosta (4,7 km), Ainhice-Mongelos (5,0 km), Juxue (5,6 km), Lacarre (5,7 km).
Sur le plan historique et culturel, Ibarrolle fait partie de la province de la Basse-Navarre, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [7]. La Basse-Navarre en est la province la plus variĂ©e en ce qui concerne son patrimoine, mais aussi la plus complexe du fait de son morcellement gĂ©ographique[8]. Depuis 1999, l'AcadĂ©mie de la langue basque ou Euskalzaindia divise la Basse-Navarre en six zones[9] - [10]. La commune est dans le pays dâOstabarret (Oztibarre), Ă lâest de ce territoire[11].
Géologie, sismicité
La région est une région de flyschs du Crétacé supérieur, trÚs épais (plusieurs kilomÚtres) et à fort pendage[Carte 1]. Ce type de terrain est peu propice aux captages d'eau, inexistants sur la commune qui est alimentée par les sources Zahagui et Hastokia à Hosta et Ur Belcha à Musculdy[13].
La rĂ©gion est situĂ©e en zone sismique 4[14] correspondant Ă un risque moyen. L'Ă©vĂšnement rĂ©cent (depuis 1980) le plus important s'est produit en 1987. SituĂ© Ă 5 km de profondeur, sa magnitude Ă©tait ML=2,8[15], donc trop faible pour ĂȘtre ressenti.
Hydrographie
La commune est drainĂ©e par le ruisseau de Laminosine, lâOlloquyko erreka et par divers petits cours d'eau, constituant un rĂ©seau hydrographique de 7 km de longueur totale[16] - [Carte 2].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat des marges montargnardes », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[17]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en premiÚre approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroßt rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[18].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[20] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[21] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Aicirits », sur la commune d'AĂŻcirits-Camou-Suhast, mise en service en 1993[22] et qui se trouve Ă 16 km Ă vol d'oiseau[23] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 14,1 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 1 216,7 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[24]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Biarritz-Anglet », sur la commune d'Anglet, mise en service en 1956 et Ă 47 km[25], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[26], Ă 14,3 °C pour 1981-2010[27], puis Ă 14,6 °C pour 1991-2020[28].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : « la Bidouze (cours d'eau) »[30], d'une superficie de 2 570 ha, un vaste rĂ©seau hydrographique drainant les coteaux du Pays basque[31] - [Carte 3].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Une ZNIEFF de type 2[Note 8] est recensée sur la commune[32] - [Carte 4] : les « landes, bois et prairies du bassin de la Bidouze » (11 263,46 ha), couvrant 25 communes du département[33].
Urbanisme
Typologie
Ibarrolle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 9] - [34] - [35] - [36]. La commune est en outre hors attraction des villes[37] - [38].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (74,1 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (74,8 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (38,7 %), forĂȘts (35,4 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (25,9 %)[39].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 5].
Lieux-dits et hameaux
- Urrutiko Bordaldea
- Iranaba
- Azarka
- Pekotxea
- Etxebestaldea
- Xerra
- Guillabé
- Elizathea
Voies de communication et transports
Ibarolle est accessible par la route départementale D 918.
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Ibarrolle est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© moyenne)[40]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[41].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par une crue torrentielle ou Ă montĂ©e rapide de cours d'eau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 2009 et 2014[42] - [40].
Ibarrolle est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. En 2020, le premier plan de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2020-2030[43]. La rĂ©glementation des usages du feu Ă lâair libre et les obligations lĂ©gales de dĂ©broussaillement dans le dĂ©partement des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[44] - [45].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[46]. 95,3 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 6]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [47].
Toponymie
Attestations anciennes
Le toponyme Ibarrolle provient du basque Ibarrola[48] qui signifie « forge de la vallée »[49]. Il est documenté[50] sous les formes Yvarole et Yvarola (1168 pour les deux formes, collection Duchesne volume CXIV, feuillet 35[51]), Yvarrola (1402, titres de Navarre, E 459[52]), Ibarrole (1441, notaires de Labastide-Villefranche, n°1, feuillet 35[53]), Ybarrole (1477, contrats d'Ohix, feuillet 48[54]), Ibarrola (1513, titres de Pampelune[55]) et Ybarrola (1621, Martin Biscay[56]).
Histoire
Situation
Située en Ostabarret, Ibarolle comme son nom l'indique (« ibar » signifie vallée en basque), se déploie dans une vallée qui lui est propre, entre des monts qui s'élÚvent trÚs rapidement ; un ruisseau mythique serpente le long des maisons, c'est le Laminosin, qui naßt dans le « gouffre des laminak ». De cette vallée, par le col de Gamia (ou col d'Askonzabal)[58], on pouvait rejoindre Saint-Jean-le-Vieux, l'antique capitale du Pays de Cize.
Les maisons nobles
à Ibarrolle se trouve toujours la maison noble Etchepare (Etchegapare[59]), citée en 1350, que l'on peut admirer prÚs de l'église et qui arbore ses armoiries sur son claveau de porte. Vers 1488, Pierre d'Etchepare épouse Jeanne d'Uhart, fille du seigneur d'Uhart et Sorhapuru ; son fils épousera l'héritiÚre d'Uhart d'Aïnhice[60].
En 1763, Catherine d'Etchepare s'allie Ă Jean de Lafaurie, seigneur de Socarro de Zabaltze Ă Saint-Jean-le-Vieux. Leur descendance prendra le nom de Lafaurie d'Etchepare et celui de Lassalle de Saint-Jean-le-Vieux[60].
Uhaldea, autre maison noble, est connue aussi en 1350 Ă Ibarrolle. Au XVIIIe siĂšcle, elle passera entre les mains des familles Lespade, Lassalle, Etcheverry d'Arbouet et Casamajor Salabert de Sauveterre.
Personnalités liées à la commune
Manex Erdozaintzi-Etxart, né le 15 juillet 1934 à Ibarrolle et mort le 29 avril 1984 à Toulouse, est un écrivain, moine franciscain, poÚte et académicien basque. Il a donné son nom à une rue de Saint-Palais.
HĂ©raldique
Dans les armes communales, la chaßne de montagnes est celle qui surplombe la vallée et la traverse d'azur est pour le ruisseau des « laminak ». La croix basque est un symbole identitaire du Pays basque ; la commune revendique ici son appartenance et son attachement à cette communauté. Le troupeau de brebis rappelle le pastoralisme, propre à toute vallée étroite ; l'élevage est la seule activité agricole envisageable sur des piÚces de terre de petite superficie au profil tourmenté. Le pÚlerin évoque bien sûr le pÚlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle ; l'Ostabarret était un des carrefours incontournables de ce phénomÚne spirituel de masse qui touche l'Europe entiÚre à partir du XIIe siÚcle, avec ses innombrables couvents et hÎpitaux qui jalonnaient les chemins jacquaires.
Blasonnement :
TaillĂ©: au 1er de gueules Ă la chaĂźne de montagnes d'argent mouvant d'une cotice en barre d'azur et surmontĂ©e d'une croix basque virgulĂ©e d'or en franc quartier, au 2e de sinople Ă un troupeau de huit brebis au naturel paissantes, posĂ©es sans ordre en pointe, surmontĂ©es d'un bĂ©lier passant au naturel Ă la tĂȘte noire accornĂ©e d'or et accompagnĂ©es en chef d'un pĂšlerin au naturel marchant vĂȘtu et capuchonnĂ© d'or, s'appuyant de la main senestre sur un bĂąton dâor[61]. |
Politique et administration
Administration
Intercommunalité
Ibarrolle appartient Ă sept structures intercommunales[63] :
- lâagence publique de gestion locale ;
- la communauté d'agglomération du Pays Basque ;
- le syndicat AEP de l'Ostabaret ;
- le syndicat dâĂ©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
- le syndicat intercommunal pour l'aménagement et la gestion de l'abattoir de Saint-Jean-Pied-de-Port ;
- le syndicat intercommunal pour le soutien Ă la culture basque ;
- le syndicat pour le fonctionnement des Ă©coles d'Ostibarret.
Population et société
DĂ©mographie
Au recensement fiscal de 1350 Ibarolle compte 17 feux (on compte environ 5,5 personnes par foyer)[64]. Ce chiffre passe à 11 dans le recensement de 1412-1413[65] réalisé sur ordre de Charles III de Navarre[66]. Cette forte baisse est générale dans la région qui s'est largement dépeuplée durant cette période à cause de la peste noire.
Le recensement de 1551 des hommes et des armes qui sont dans le présent royaume de Navarre d'en deçà les ports[67], révÚle une démographie en forte croissance : il indique à Ibarolle la présence de 31 feux.
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[69].
En 2020, la commune comptait 75 habitants[Note 11], en diminution de 16,67 % par rapport à 2014 (Pyrénées-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Ăconomie
L'activité est principalement agricole. La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.
Culture locale et patrimoine
Patrimoine civil
La maison dite la salle d'Etchepare[72] date du XVIIe siĂšcle ;
Des maisons datant du XVIIe siÚcle[73], sont répertoriées par les monuments historiques.
Patrimoine religieux
L'Ă©glise Saint-BarthĂ©lemy[74] date en partie du Moyen Ăge.
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
- Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
- Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[19].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[29].
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Carte géologique de France », sur Géoportail
- « Carte hydrographique d'Ibarrolle » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
- « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune d'Ibarrolle », sur www.geoportail.gouv.fr.
- « ZNIEFF de type II sur la commune d'Ibarrolle », sur www.geoportail.gouv.fr (consulté le ).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- - Académie de la langue basque
- « Métadonnées de la commune d'Ibarrolle », sur le site de l'Insee (consulté le ).
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- Stephan Georg, « Distance entre Ibarrolle et Bayonne », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- Stephan Georg, « Distance entre Ibarrolle et Saint-Palais », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
- « Communes les plus proches d'Ibarrolle », sur www.villorama.com (consulté le ).
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 22.
- Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 25.
- « Toponymes Nafarroa Beherea », sur le site de l'Académie de la langue basque (consulté le ).
- (eu) Euskal Herriko udalerrien zerrenda alfabetikoa (Liste alphabétique des communes du Pays basque).
- Nafarroa Beherea : toponymes (noms de lieux) sur le site de l'Académie de la langue basque.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- « Qualité de l'eau sur l'unité de distribution : région de l'Ostabarret. SynthÚse de l'année 2018 », sur Agence Régionale de Santé Nouvelle-Aquitaine
- « IRSN : le zonage sismique de la France »
- « Nouvelle Aquitaine : mon environnement »
- « Fiche communale d'Ibarrolle », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
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- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- « site Natura 2000 FR7200789 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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- Jean-Baptiste Orpustan, Nouvelle toponymie basque : noms des pays, vallées, communes et hameaux, Pessac, Presses Universitaires de Bordeaux, coll. « Centre d'études linguistiques et littéraires basques », , 246 p. (ISBN 2-86781-396-4 et 9782867813962, lire en ligne).
- « Notice portant sur l'inventaire général du patrimoine culturel d'Ibarrolle », notice no IA64000796, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Paul Raymond, Dictionnaire topographique BĂ©arn-Pays basque
- Collection Duchesne, volumes 99 à 114, renfermant les papier d'Oihenart, ancienne bibliothÚque impériale - BibliothÚque nationale de France
- Notaires de Labastide-Villefranche - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Contrats retenus par Ohix, notaire de Soule - Manuscrit du XVe siÚcle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- Titres publiés par don José Yanguas y Miranda
- Derecho de naturaleza que la merindad de San-Juan-del-pie-del-puerto, una de las seys de Navarra, tiene en Castilla - 1622 petit in-4°
- Pierre Lhande, Dictionnaire basque-français, 1926
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- Jean-Baptiste Orpustan, Les noms des maisons médiévales en Labourd, Basse-Navarre et Soule, Izpegi,
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Pour approfondir
Article connexe
Liens externes
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- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
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