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Guéthary

Guéthary (en basque Getaria) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Guéthary
Mairie et fronton de Guéthary.
Surfeurs. La gare.
Croix des marins. Église Saint-Nicolas.
Panoramique de la terrasse.
Blason de Guéthary
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Bayonne
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays Basque
Maire
Mandat
Marie-Pierre Burre-Cassou
2020-2026
Code postal 64210
Code commune 64249
DĂ©mographie
Gentilé Getariar
Population
municipale
1 328 hab. (2020 en augmentation de 4,24 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 949 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 43° 25â€Č 36″ nord, 1° 36â€Č 28″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 73 m
Superficie 1,40 km2
Type Commune urbaine et littorale
Unité urbaine Bayonne (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Bayonne (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Saint-Jean-de-Luz
LĂ©gislatives SixiĂšme circonscription
Localisation
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Guéthary
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Guéthary
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Guéthary
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Guéthary

    Ancien port baleinier, puis thonier et sardinier, cette petite station balnéaire de style architectural néobasque a aujourd'hui pour activité essentiellement le tourisme grùce à sa situation sur la cÎte basque.

    Le gentilé est Getariar[1].

    GĂ©ographie

    Localisation

    La commune de Guéthary se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[2].

    Elle se situe Ă  126 km par la route[Note 1] de Pau[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  15 km de Bayonne[4], sous-prĂ©fecture, et Ă  6,6 km de Saint-Jean-de-Luz[5], bureau centralisateur du canton de Saint-Jean-de-Luz dont dĂ©pend la commune depuis 2015 pour les Ă©lections dĂ©partementales[2]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Bayonne[2].

    Les communes les plus proches[Note 2] sont[6] : Bidart (1,8 km), Ahetze (3,8 km), Arbonne (4,7 km), Saint-Jean-de-Luz (5,7 km), Ciboure (6,5 km), Arcangues (7,2 km), Biarritz (7,4 km), Bassussarry (8,2 km).

    Sur le plan historique et culturel, Guéthary fait partie de la province du Labourd, un des sept territoires composant le Pays basque[Note 3] - [7]. Le Labourd est traversé par la vallée alluviale de la Nive et rassemble les plus beaux villages du Pays basque[8]. Depuis 1999, l'Académie de la langue basque ou Euskalzaindia divise le territoire du Labourd en six zones[9] - [10]. La commune est dans la zone Lapurdi Itsasegia (CÎte du Labourd)[11]. au sud-ouest de ce territoire, en façade atlantique.

    Communes limitrophes de Guéthary[12]
    Golfe de Gascogne Bidart
    Guéthary
    Saint-Jean-de-Luz

    Le faible nombre de communes limitrophes s'explique par la façade ocĂ©anique et la faible superficie de la commune ; de plus, GuĂ©thary est quasiment limitrophe de la commune d'Ahetze, moins de 200 m au sud-est[12].

    Hydrographie

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Guéthary.

    La commune est drainée par le Baldareta et par deux petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de km de longueur totale[13] - [Carte 1].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[14]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[15].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[14]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 0,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 2,6 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 12,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 1 357 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 13,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 8,3 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[17] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[18] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Socoa », sur la commune de Ciboure, mise en service en 1921[19] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[20] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 14,8 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[21], Ă  14,7 °C pour 1981-2010[22], puis Ă  15 °C pour 1991-2020[23].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[24] - [25]. Un espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : la « baie de Cenitz », un terrain acquis par le Conservatoire du Littoral, d'une superficie de 2 ha[26].

    RĂ©seau Natura 2000

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 7]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les « falaises de Saint-Jean-de-Luz Ă  Biarritz »[28], d'une superficie de 1 384 ha, prĂ©sentant une hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© de faciĂšs et d'Ă©rosion trĂšs favorable au maintien de la prĂ©sence de landes atlantiques aĂ©rohalines rares[29] - [Carte 2].

    Urbanisme

    Typologie

    GuĂ©thary est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 8] - [30] - [31] - [32]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Bayonne (partie française), une agglomĂ©ration internationale dont la partie française regroupe 30 communes[33] et 251 520 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[34] - [35].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bayonne (partie française) dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 56 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[36] - [37].

    La commune, bordĂ©e par l'ocĂ©an Atlantique, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[38]. Des dispositions spĂ©cifiques d’urbanisme s’y appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prĂ©voit[39] - [40].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires artificialisĂ©s (69,2 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (58,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : zones urbanisĂ©es (57,9 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (11,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (8,8 %), forĂȘts (8,3 %), zones humides cĂŽtiĂšres (7,3 %), prairies (4 %), eaux maritimes (2,4 %)[41].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Historique

    En 1831, la commune est cadastrée, le bourg, dit « La place » situé autour de l'église, et trois hameauxː « Haispoure », « Costa aldia » et « Behereta ».

    Occupation du territoire

    Le territoire de la commune est rĂ©duit (1,40 km2) [Note 10] ; il est en trĂšs grande partie construit de maniĂšre pavillonnaire, ce qui explique la densitĂ© de population Ă©levĂ©e (947,9 habitants par kmÂČ), mais moindre que dans une ville comme Bayonne, par exemple[12].

    Lieux-dits et hameaux

    Quartier Haispoure à Guéthary.

    En 2012, le GĂ©oportail recense les lieux-dits suivants :

    • Behereta (signifie le bas par rapport Ă  l'Ă©glise) ;
    • Brana (signifie bruyĂšre);
    • Costa Aldia (signifie la cĂŽte) ;
    • Elizaldea (signifie cĂŽtĂ© de l'Ă©glise) ;
    • Haispoure (signifie en haut des rochers).

    Quant Ă  Acotz, considĂ©rĂ© Ă  tort comme un quartier getariar, ce dernier est situĂ© dans la commune de Saint-Jean-de-Luz mĂȘme s'il dĂ©pendait historiquement de la paroisse de GuĂ©thary. SituĂ© Ă  seulement un kilomĂštre de GuĂ©thary mais Ă  cinq du centre de Saint-Jean-de-Luz, la proximitĂ© gĂ©ographique a toujours favorisĂ© l'interaction de ses habitants.

    Routes

    La commune était traversée par la Route nationale 10, maintenant déclassée en RD 810, qui se dirige au nord vers Bidart et Bayonne et au sud vers Saint-Jean-de-Luz et Hendaye[12].

    Autoroute

    La commune est également traversée par l'A63 mais il n'y a pas d'échangeur, les plus proches étant ceux de Saint-Jean-de-Luz-Nord (au sud) et Biarritz-la-Négresse (au nord)[12].

    Transport ferroviaire

    La gare de Guéthary.

    La gare de Guéthary se trouve sur la ligne ferroviaire de Bordeaux à Irun. Elle est desservie par des trains TER Nouvelle-Aquitaine vers Bordeaux-Saint-Jean, Dax ou Bayonne au nord et Hendaye au sud[42].

    Transports en commun

    GuĂ©thary est desservie par la ligne ] du Car Express[43], qui fait la liaison entre Bayonne et Hendaye en suivant la dĂ©partementale D810 et en s’arrĂȘtant dans les villes traversĂ©es. Le bus s’arrĂȘte Ă  deux arrĂȘts dans GuĂ©thary : Estalo et Ă©glise.

    La commune est desservie par le transport Ă  la demande d’Hegobus[44] qui permet de rejoindre quelconque arrĂȘt du rĂ©seau Hegobus en partant de l’arrĂȘt de la mairie, de la gare SNCF, du VVF et de Mendi Alde.

    Pendant les mois de juillet et d’aoĂ»t, une navette gratuite qui fait une boucle dans GuĂ©thary, nommĂ©e Ainara, circule en juillet et en aoĂ»t jusqu’à 22h30 avec une navette toutes les trente minutes. La navette dessert deux parking relais gratuits, celui de Mendi Alde et celui de l’école.

    Sentier de randonnée

    Guéthary est traversée par le sentier littoral[12].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de GuĂ©thary est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© modĂ©rĂ©e). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, le transport de matiĂšres dangereuses[45]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[46].

    Risques naturels

    La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[47].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Guéthary.

    Cet alĂ©a est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[48]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (59 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 11] - [49].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1991, 1995 et 2009 et

    Toponymie

    Attestations anciennes

    Le toponyme Guéthary apparaßt[50] sous les formes Cattarie (1193, cartulaire de Bayonne[51]), Gattari (us et coutumes de la mer), Guattary et Sanctus Nicolaus de Guétary (respectivement 1685 et 1761, collations du diocÚse de Bayonne[52]), Guéthary (carte de Cassini), Guétary (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[50]) et Gethari[53] au XIXe siÚcle.

    Étymologie

    GuĂ©thary, en basque Getaria, vient du latin cetaria qui signifie « endroit de salaison », et on sait maintenant que dĂšs l’antiquitĂ©, les Romains ont effectivement construit une usine de traitement de poissons au-dessus du port[54].

    Une autre interprétation laisserait penser que le nom aurait pu se former, lors de la présence médiévale des Gascons sur la CÎte basque jusqu'à son homonyme guipuscoan, du gascon gaytà « guetter » issu du latin captare « épier ». Il faudrait écarter le basque gaitari, « joueur de gaita »[55] - [56].

    Ce qui est certain, c'est que les deux communes de GuĂ©thary et de Getaria (Pays basque espagnol) ont en commun une situation gĂ©ographique semblable, un toponyme basque identique et sont des localitĂ©s cĂŽtiĂšres de longue tradition marine. Au Moyen Âge, plusieurs villages de la cĂŽte basque ont Ă©tĂ© colonisĂ©s par les Gascons et, parmi elles, on trouve les deux « Getaria ».

    Autres toponymes

    Le toponyme Behereta apparaßt[50] sous la forme BéhÚréta (1863, dictionnaire topographique Béarn-Pays basque[50]).

    Le toponyme Haispoure apparaĂźt[50] sous les formes Aispourou et HaĂŻspuru (1863, dictionnaire topographique BĂ©arn-Pays basque[50]).

    Graphie basque

    Son nom basque actuel est Getaria[57].

    Histoire

    Antiquité

    Le peuplement de Guéthary est trÚs ancien : la découverte en 1984, lors de travaux à proximité de la gare, des vestiges d'une usine à garum et à salaisons atteste d'une présence humaine dÚs le Ier siÚcle et de l'importance, déjà, des ressources de la mer[G 2]. Une épitaphe latine fut retrouvée en 1988 dans les bassins de cette usine[G 2].

    Moyen Âge

    GuĂ©thary fait partie de la province basque du Labourd. Le vicomte du Labourd implanta dans ce petit bourg de pĂȘcheurs une population nouvelle d'agriculteurs en 1193[G 3]. GuĂ©thary devint probablement paroisse, mais elle perdit rapidement ce statut en Ă©tant absorbĂ©e par Bidart[58]. GuĂ©thary devint ou redevint paroisse en 1633, ses revenus provenant de la pĂȘche, notamment de la baleine.

    Le sémaphore (une ancienne atalaye), toujours en place, était utilisé comme poste d'observation des baleines dans la baie, et des pirates. Lorsque les Guéthariars apercevaient les baleines, ils descendaient leurs traßniÚres du port et partaient les harponner. Lorsqu'ils étaient attaqués par des pirates ou des bandes de brigands, ils se réfugiaient dans la ferme "Ostolapia" (ancien relais de Saint-Jacques-de-Compostelle, aujourd'hui nommé Ostalapia) sur la route d'Ahetze.

    Comme ses voisins, GuĂ©thary subit de nombreuses guerres et Ă©pidĂ©mies : invasions des Castillans en 1419 et 1438, peste vers 1515, nouvelle invasion espagnole en 1523[G 4]. AprĂšs la dĂ©claration de la guerre de Trente Ans en 1635, l'Espagne envahit Ă  nouveau la rĂ©gion en 1636 : les habitants de GuĂ©thary s'enfuirent comme ceux des villages alentour, laissant habitations et rĂ©coltes ; l'occupation dura un an, provoquant notamment des dommages pour le bĂ©tail et les cultures[G 5]. La commune Ă©tait trĂšs pauvre du fait de ces dĂ©vastations et des faibles ressources, uniquement agricoles et de la pĂȘche[G 6].

    En 1659, Louis XIV, sa cour et l'armĂ©e traversĂšrent la rue de l'Église, aprĂšs avoir empruntĂ© la rue des Écoles, puis ce qui est aujourd'hui le chemin de l'Empereur, en route pour Saint-Jean-de-Luz oĂč devait se cĂ©lĂ©brer le mariage du roi avec l'infante d'Espagne.

    RĂ©volution et XIXe siĂšcle

    La Révolution française ne bouleversa pas la vie de la paroisse qui devint commune en 1790 : le maire-abbé Lafitte devint maire, la commune adopta le calendrier républicain en 1793. La commune subit à nouveau les restrictions dues aux guerres avec celle contre l'Espagne en 1793 ; elle fut occupée par l'armée de Wellington en 1813. Guéthary restait trÚs pauvre, avec un endettement catastrophique[G 6]. Le développement du tourisme et des bains de mer à partir de 1840 ne permit pas une amélioration financiÚre, en raison des dépenses qu'il fallait effectuer pour garder une apparence et des équipements corrects de station balnéaire[G 6]. La ligne Bordeaux-Irun traversa la commune dÚs 1861 mais une halte ne fut accordée qu'en 1879 ; le trafic se développa rapidement[G 7].

    En 1851, GuĂ©thary compte 600 habitants et dĂ©nombre 96 maisons dont 26 fermes agricoles, 122 foyers dont 52 familles de pĂȘcheurs ou marins. Le village comptait 113 marins (on Ă©tait considĂ©rĂ© marin dĂšs l'Ăąge de 13 ans) qui pour la plupart pratiquaient la pĂȘche cĂŽtiĂšre, mais aussi il y avait un grand nombre de Basques s'enrĂŽlaient dans des campagnes de pĂȘche Ă  Terre-Neuve. Le quartier de « La place » comprenait 17 fermes sur 26 et une carriĂšre de pierre, situĂ©e en contrebas au sud de l'Ă©glise. Elle sera exploitĂ©e jusqu'Ă  la seconde guerre mondiale. L'activitĂ© agricole a dĂ©finitivement pris fin en 1978 avec la construction de l'autoroute.

    La vie municipale fut agitĂ©e notamment en raison de la pauvretĂ© de la commune, ce qui posait de nombreux problĂšmes de financement des projets et d'impĂŽt. À partir de 1842, de nombreux scandales furent Ă©galement causĂ©s par le nouveau curĂ©, l'abbĂ© Arcimisgaray, qui Ă©tait dĂ©crit par le maire Dibarboure comme « violent et peu Ă©vangĂ©lique » ; il crĂ©a la polĂ©mique en employant comme « servantes » les deux jeunes et gracieuses sƓurs Dorquela[G 8]. La municipalitĂ© obtint nĂ©anmoins l'Ă©vacuation du presbytĂšre occupĂ©, illĂ©galement selon elle, par l'abbĂ© ; mais elle perdit et fut condamnĂ©e Ă  une forte amende devant le tribunal de grande instance[G 8].

    XXe et XXIe siĂšcles

    L'annĂ©e 1905 fut marquĂ©e par de nombreux incidents au sein du conseil municipal entre un maire devenu minoritaire (M. Suhit) et une opposition dirigĂ©e par M. Archier et M. Estalo ; une sĂ©ance se dĂ©roulant mĂȘme sous la surveillance des forces de l'ordre[G 9]. L'opposition, qui refusait toutes les propositions du maire et rĂ©clamait la dissolution du conseil, obtint satisfaction par dĂ©cret dĂ©but 1906 ; son meneur M. Archier fut Ă©lu maire et M. Estalo devint son adjoint[G 10].

    L'armĂ©e allemande, partie Ă  la conquĂȘte de l'Espagne, traversa GuĂ©thary pour finalement s'arrĂȘter Ă  Hendaye Ă  la suite des accords conclus entre Hitler et Franco.

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    D’argent Ă  la mer d’azur chargĂ©e d’une baleine contournĂ©e d’argent et d’une barque d’or Ă  la voile de gueules brochant sur le champ, la barque chargĂ©e de six pĂȘcheurs au naturel, le premier Ă  dextre contournĂ©, le dernier Ă  senestre harponnant la baleine ; le tout accompagnĂ© au flanc dextre d’une falaise au naturel sur laquelle se tient un guetteur de sable.

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Guéthary fait partie de six structures intercommunales[59] :

    • l’agglomĂ©ration Sud Pays basque ;
    • le syndicat d'Ă©nergie des PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques ;
    • le syndicat intercommunal des collĂšges d'enseignement secondaire de Saint-Jean-de-Luz ;
    • le syndicat intercommunal du centre de secours de Saint-Jean-de-Luz ;
    • le syndicat intercommunal pour le soutien Ă  la culture basque ;
    • le syndicat mixte de l'usine de la Nive.

    La commune adhÚre à l'Eurocité basque Bayonne - San Sebastian.

    Tendances politiques et résultats

    Au premier tour de l'élection présidentielle de 2002, les électeurs guéthariars votÚrent[Note 12] à 25,71 % pour Jacques Chirac (19,88 % au niveau national) et à 16,02 % pour Lionel Jospin (16,18 % au niveau national). Jean-Marie Le Pen obtint 9,15 %, à comparer avec ses 16,86 % nationaux. Au second tour, Jacques Chirac recueillit 90,13 % des suffrages exprimés, plus que les 82,21 % au niveau national[60] - [61].

    Lors du premier tour des élections législatives de 2002, les électeurs guéthariars votÚrent à 50,36 % pour MichÚle Alliot-Marie (UMP) (49,00 % dans la circonscription), et à 26,27 % pour Sylviane Alaux (22,85 % dans la circonscription). Au second tour, MichÚle Alliot-Marie obtint 59,74 % (60,89 % dans la circonscription)[62] - [63].

    Les électeurs guéthariars répondirent positivement au référendum sur le traité établissant une Constitution pour l'Europe, contrairement au résultat général (59,07 % pour à Guéthary, 45,33 % sur toute la France)[64] - [65].

    Au premier tour de l'élection présidentielle de 2007, Nicolas Sarkozy obtint 30,77 % des voix guéthariardes, score proche du niveau national (31,18 %). François Bayrou réalisa un score important à Guéthary (27,33 %, 18,57 % sur toute la France) et SégolÚne Royal obtint à Guéthary 24,09 % des voix (25,87 % sur le plan national). Au second tour, l'écart entre les candidats fut moins marqué que sur le plan national puisque Nicolas Sarkozy obtint 50,42 % à Guéthary et 53,06 % sur tout le territoire[66] - [67].

    Lors du premier tour des élections législatives de 2007, les électeurs guéthariars votÚrent à 47,81 % pour MichÚle Alliot-Marie (UMP) (48,88 % dans la circonscription), et à 21,06 % pour Sylviane Alaux (20,61 % dans la circonscription). Au second tour, MichÚle Alliot-Marie obtint 56,65 % (58,37 % dans la circonscription)[68] - [69].

    L'abstention est gĂ©nĂ©ralement plus faible Ă  GuĂ©thary qu'au niveau national ; comme pour celui-ci, la participation est bien plus importante pour les Ă©lections prĂ©sidentielles que pour les scrutins locaux. À l'Ă©lection prĂ©sidentielle de 2007, l'abstention fut Ă  GuĂ©thary de 12,42 % au second tour (national 16,03 %) ; aux lĂ©gislatives de 39,44 % (40,02 % national).

    Administration municipale

    La commune de GuĂ©thary ayant entre 500 et 1 499 habitants, le nombre de conseilleurs municipaux est de 15 (y compris le maire)[70].

    Liste des maires[71]

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1944 1957 Adrien Lahourcade
    1957 1959 Michel Estalo
    1959 1971 Pierre Lious
    1971 1983 Solange Larchus-Beaudon
    1983 1985 Jean-Claude Scholle
    1985 1995 Jean-Luc Lataillade
    1995 2017 Albert Larrousset
    2017 En cours Marie-Pierre Burre-Cassou

    Instances judiciaires et administratives

    Guéthary relÚve des juridictions des tribunaux d'instance et de grande instance de Bayonne, dans le ressort de la cour d'appel de Pau[72].

    Jumelages

    Le , à l'unanimité, le conseil municipal décida d'établir un contrat préliminaire à un jumelage avec la commune des Trois-Pistoles, située dans la MRC des Basques, au Canada[73].

    Population et société

    Évolution dĂ©mographique

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[74]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[75].

    En 2020, la commune comptait 1 328 habitants[Note 13], en augmentation de 4,24 % par rapport Ă  2014 (PyrĂ©nĂ©es-Atlantiques : +3 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    355308306348436522600602605
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    606682613604576585612591584
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    649669719724789866856893903
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 0361 0349651 0421 1051 2841 3221 3321 281
    2018 2020 - - - - - - -
    1 3291 328-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[76] puis Insee Ă  partir de 2006[77].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Pyramide des Ăąges

    En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă  30 ans s'Ă©lĂšve Ă  26,3 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (30,9 %). À l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă  60 ans est de 35,9 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 30,5 % au niveau dĂ©partemental.

    En 2018, la commune comptait 613 hommes pour 716 femmes, soit un taux de 53,88 % de femmes, légÚrement supérieur au taux départemental (52,08 %).

    Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.

    Pyramide des Ăąges de la commune en 2018 en pourcentage[78]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    1,5
    90 ou +
    6,1
    7,3
    75-89 ans
    12,7
    22,0
    60-74 ans
    21,5
    21,0
    45-59 ans
    20,4
    18,3
    30-44 ans
    16,1
    12,9
    15-29 ans
    11,2
    17,0
    0-14 ans
    12,0
    Pyramide des ùges du département des Pyrénées-Atlantiques en 2018 en pourcentage[79]
    HommesClasse d’ñgeFemmes
    0,9
    90 ou +
    2,5
    8,6
    75-89 ans
    11,7
    18,2
    60-74 ans
    19
    21,3
    45-59 ans
    20,6
    18,1
    30-44 ans
    17,3
    16,4
    15-29 ans
    14,2
    16,7
    0-14 ans
    14,7

    Enseignement

    La commune dispose d'une école primaire, l'école publique Uhanderea[80]. Cette école propose un enseignement bilingue français-basque à parité horaire[81].

    Santé

    L'hĂŽpital public le plus proche est le centre hospitalier de la CĂŽte Basque (CHCB), qui dispose d'un site Ă  Saint-Jean-de-Luz mais dont les urgences sont Ă  Bayonne ; il existe Ă©galement plusieurs cliniques Ă  Saint-Jean-de-Luz.

    Sports

    Surfeurs sur la vague.
    Surf à Guéthary

    Il y a à Guéthary plusieurs spots de surf : Parlementia, Avalanche et Cénitz.

    Il est Ă©galement possible d'y pratiquer la pelote sur le fronton situĂ© au centre du village, ou au trinquet, situĂ© non loin des tennis. L’Olharroa (« la pieuvre » en basque), crĂ©Ă© en 1922 et surnommĂ© « La Mecque du Grand chistera », est l’un des clubs les plus anciens de la FĂ©dĂ©ration française de pelote basque.

    Le tennis-club de Guéthary propose 4 courts de tennis (3 en quick, et 1 en synthétique/Classic-Clay), ainsi que 2 terrains de Padel.

    Les 2 terrains de pétanque se situent à cÎté du siÚge de l'Olharroa.

    MĂ©dias

    Il n'existe pas de média local traitant uniquement de Guéthary, excepté le bulletin municipal édité par la mairie, disponible sur le site de cette derniÚre[82].

    Les journaux régionaux et locaux, comme le quotidien Sud Ouest[83] ou Le Journal du Pays basque, traitent réguliÚrement de Guéthary dans leurs rubriques locales. L'actualité de la commune est également couverte par la radio France Bleu Pays Basque ou les décrochages régionaux de certains médias nationaux (France 3 par exemple).

    On relÚvera néanmoins l'existence d'un bulletin satirique réguliÚrement publié sur internet dénommé Le Guérafy[84], pendant gétariar du Le Gorafi.

    Enfin, une radio musicale diffusĂ©e sur internet, dirigĂ©e par Jules-Édouard Moustic et dĂ©nommĂ©e "I have a dream", Ă©met depuis le village.

    Cultes

    Guéthary relÚve de la paroisse Saint-Joseph-des-Falaises - Bidart au sein du diocÚse de Bayonne dont dépend l'église Saint-Nicolas[85].

    Économie

    Revenus de la population et fiscalité

    L'activitĂ© autrefois essentiellement tournĂ©e vers la pĂȘche Ă  la baleine, au thon puis Ă  la sardine, est aujourd'hui principalement soutenue par le statut de station climatique et balnĂ©aire de la commune.

    En 2007, le revenu fiscal mĂ©dian par mĂ©nage Ă©tait de 17 524 â‚Ź, ce qui plaçait GuĂ©thary au 10 712e rang parmi les 30 714 communes de plus de 50 mĂ©nages en mĂ©tropole[86].

    La commune fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

    Emploi

    En 2007, les chÎmeurs représentaient 11,6 % de la population active, soit 8,3 % de la population de 15 à 64 ans[87].

    Entreprises et commerces

    Guéthary dispose de plusieurs commerces; de nombreux autres se situent dans la commune voisine de Bidart[88]. L'industrie textile y est représentée par la société 64, qui possÚde son siÚge social dans la commune.

    Tourisme

    L'activité de la commune est essentiellement touristique grùce à sa situation sur la cÎte basque (plages [Cenitz, Arrotzen-Costa et Parlementia], spots de surf), son patrimoine (église du XVIe siÚcle, village); elle dispose d'hébergements touristiques sur son territoire et à proximité.

    Culture locale et patrimoine

    La mairie de style néobasque et le fronton.

    Langues

    D'aprÚs la Carte des Sept Provinces Basques éditée en 1863 par le prince Louis-Lucien Bonaparte, le dialecte basque parlé à Guéthary est le labourdin.

    Festivités

    Les fĂȘtes patronales (Saint-Nicolas), se dĂ©roulent chaque annĂ©e en dĂ©cembre. Les fĂȘtes locales se dĂ©roulent fin aoĂ»t.

    Patrimoine civil

    • Le musĂ©e de GuĂ©thary, installĂ© au rez-de-chaussĂ©e de la villa SaralĂ©guinĂ©a, recĂšle les vestiges romains trouvĂ©s dans la commune et les Ɠuvres du sculpteur Swiecinski. Il abrite Ă©galement des expositions d'artistes contemporains.
    • La passerelle « Itsasoan » de l'architecte Godbarge date de 1927 ;
    • Le port, fortement inclinĂ© pour hisser les baleines ;
    • Le monument aux morts de Maxime Real del Sarte ;
    • La mairie[89] de l'architecte Ferdinand Brana. Elle contient une trĂšs belle peinture du port de GuĂ©thary par Ramiro Arrue, peintre basque fortement influencĂ© par l'Art dĂ©co, ainsi que deux autres reprĂ©sentations de scĂšnes basques (visibles dans la salle d'honneur Irintzina) ;
    • La villa SaralĂ©guinĂ©a[90] est inscrite aux monuments historiques.
    • La commune a Ă©rigĂ© en 1989 une stĂšle des Ă©vadĂ©s de France, Ă  la mĂ©moire des rĂ©sistants qui quittĂšrent la France pour rejoindre l'ArmĂ©e de la libĂ©ration via l'Espagne durant la Seconde Guerre mondiale.
    L'Ă©glise Saint-Nicolas.

    Architecture sacrée

    L'Ă©glise Saint-Nicolas[91] - [92] date des XVIe, XVIIe et XIXe siĂšcles. Elle recĂšle une croix de procession[93] datant du XVe siĂšcle. La commune compte Ă©galement deux chapelles, la chapelle Saint-Joseph et la chapelle de Koskenia.

    Personnalités liées à la commune

    NĂ©es au XIXe siĂšcle

    NĂ©es au XXe siĂšcle

    • Georges GuĂ©tary, le chanteur d'opĂ©rette et comĂ©dien grec naturalisĂ© français au dĂ©but des annĂ©es 1950, emprunte Ă  GuĂ©thary son nom d'artiste. Son vĂ©ritable nom est LĂĄmbros VorlĂłou.
    • FrĂ©dĂ©ric Beigbeder, nĂ© en 1965 Ă  Neuilly-sur-Seine, venait en vacances chez ses grands-parents Ă  GuĂ©thary pendant son enfance. Il y possĂšde une maison et y a Ă©crit « Un roman français », sorti en 2009. Une partie de son film L'amour dure trois ans se passe Ă  GuĂ©thary.
    • Christian Borde dit Jules-Edouard Moustic, nĂ© en 1951 Ă  Antony, est le prĂ©sentateur de Bienvenue au Groland, il habite la commune et possĂšde une radio locale, I have a dream.
    • Vincent Cassel, nĂ© en 1966 Ă  Paris, est un acteur, rĂ©alisateur et producteur de cinĂ©ma français. Il possĂšde une maison Ă  GuĂ©thary.
    • Felipe Cazals, nĂ© en 1937 Ă  GuĂ©thary, est un rĂ©alisateur, scĂ©nariste, producteur, acteur, directeur de la photographie et monteur mexicain.
    • Pierre Daninos, nĂ© en 1913 Ă  Paris et dĂ©cĂ©dĂ© en 2005 dans cette mĂȘme ville, est un Ă©crivain. Il possĂ©dait une villa Ă  GuĂ©thary.
    • Matthieu Diesse, artiste peintre et affichiste, nĂ© Ă  Bordeaux en 1926, dĂ©cĂ©dĂ© en 2009.
    • Jean-Baptiste Hirigoyen (1930-2012), star Ă  grand chistera des annĂ©es 1960 et chanteur. Il a gagnĂ© sept titres de champion de France.
    • Marielle et Katia LabĂšque, les sƓurs LabĂšque, pianistes mondialement connues. Elles possĂšdent une maison Ă  GuĂ©thary.
    • Georges Lunghini, nĂ© en 1953 Ă  Paris, est un comĂ©dien, photographe, compositeur. Il possĂšde une maison Ă  GuĂ©thary.
    • On peut Ă©galement apercevoir GuĂ©thary dans le clip de Zaz reprenant Tous les cris les SOS de Daniel Balavoine.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routiÚre et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
    2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
    3. Le Pays basque comprend sept provinces dont trois au nord qui forment le pays basque français : le Labourd, la Soule et la Basse-Navarre.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[16].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[27].
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. 140 hectares selon l'IGN, 142 selon d'autres sources[G 1].
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    12. Les données exprimées en pourcentages se rapportent aux votes exprimés.
    13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. « Carte hydrographique de Guéthary » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
    2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intĂ©rĂȘt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de GuĂ©thary », sur www.geoportail.gouv.fr.
    3. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

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    Bibliographie

    • Collectif, GuĂ©thary, Ekaina, 1991, 315 pages.
    1. section Guéthary en quelques chiffres, page 15.
    2. Jean-Luc Tobie, section Aux origines de Guéthary, page 141.
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    8. Monique Salaber, section La vie municipale, page 215.
    9. page 223.
    10. pages 225 et 226.
    • Gil Reicher, La vie d'un village basque, GuĂ©thary, Ă©ditions FĂ©ret & Fils, 9 rue de Grassi, Bordeaux, 1936.

    Voir aussi

    Articles connexes

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