La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre
La Chapelle-Saint-Sépulcre est une commune française, située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.
La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre | |||||
La mairie | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Centre-Val de Loire | ||||
DĂ©partement | Loiret | ||||
Arrondissement | Montargis | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de la Cléry, du Betz et de l'Ouanne | ||||
Maire Mandat |
André Duchesne 2020-2026 |
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Code postal | 45210 | ||||
Code commune | 45076 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Capellois, Capelloises[1] | ||||
Population municipale |
228 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 37 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
68 488 hab. | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 48° 01âČ 07âł nord, 2° 50âČ 43âł est | ||||
Altitude | Min. 102 m Max. 137 m |
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Superficie | 6,21 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Montargis (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Courtenay | ||||
LĂ©gislatives | QuatriĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Loiret
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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GĂ©ographie
La Chapelle-Saint-Sépulcre est située dans l'aire urbaine de Montargis.
Situation
La commune de La Chapelle-Saint-Sépulcre se trouve dans le quadrant nord-est du département du Loiret, dans la région agricole du Gùtinais pauvre[2]. à vol d'oiseau, elle se situe à 71,0 km d'Orléans[3], préfecture du département, à 7,7 km de Montargis[4], sous-préfecture, et à 16,0 km de Courtenay, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Montargis[5]
Les communes les plus proches sont : Louzouer (3,5 km), La Selle-en-Hermoy (3,7 km), Thorailles (3,9 km), Paucourt (4,3 km), La Selle-sur-le-Bied (6,3 km), Saint-Germain-des-Prés (6,9 km), Griselles (7 km), Saint-Loup-de-Gonois (7,2 km), Amilly (7,4 km) et Saint-Firmin-des-Bois (7,5 km)[6].
Paysages
La forĂȘt domaniale de Montargis est partiellement situĂ©e sur le territoire de la commune.
GĂ©ologie
La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sĂ©dimentaires français. Cette vaste dĂ©pression, occupĂ©e dans le passĂ© par des mers peu profondes et des lacs, a Ă©tĂ© comblĂ©e, au fur et Ă mesure que son socle sâaffaissait, par des sables et des argiles, issus de lâĂ©rosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires dâorigine biologique, formant ainsi une succession de couches gĂ©ologiques[7].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque, l'Ăšre gĂ©ologique la plus rĂ©cente sur l'Ă©chelle des temps gĂ©ologiques, dĂ©butant il y a 66 millions d'annĂ©es, et du MĂ©sozoĂŻque, anciennement appelĂ© Ăre secondaire, qui s'Ă©tend de â252,2 Ă â66,0 Ma. La formation la plus ancienne est de la craie blanche Ă silex remontant Ă la pĂ©riode CrĂ©tacĂ©. La formation la plus rĂ©cente est du poudingue de Nemours, remontant Ă lâĂ©poque ĂocĂšne de la pĂ©riode ĂocĂšne. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « n°365 - Montargis » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000Ăšme du dĂ©partement du Loiret[8] - [9] et sa notice associĂ©e[10].
Ăre | PĂ©riode | Ăpoque | Formations gĂ©ologiques | |
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CĂ©nozoĂŻque (0 - 66.0) |
Quaternaire (0 - 2.58) |
HolocÚne | non présent | |
PléistocÚne | non présent | |||
NĂ©ogĂšne (2.58 - 23.03) |
PliocÚne | non présent | ||
MiocÚne | non présent | |||
PaléogÚne (23.03 - 66.0) |
OligocÚne | non présent | ||
ĂocĂšne |
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PaléocÚne |
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MĂ©sozoĂŻque (66.0 - 252.17) |
CrĂ©tacĂ© (66.0 - â145.0) |
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Relief
La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par lâInsee, qui sert de rĂ©fĂ©rences dans toutes les statistiques, est de 6,21 km2[11] - [Note 1]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă elle de 6,21 km2[9]. Son relief est relativement plat puisque la dĂ©nivelĂ©e maximale atteint 35 mĂštres. L'altitude du territoire varie entre 102 m et 137 m[14].
Milieux naturels et biodiversité
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Le territoire communal de La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre comprend une ZNIEFF[15].
La ZNIEFF, de deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration et de type 2[Note 2], dĂ©nommĂ©e "forĂȘt de Montargis", d'une superficie de 4 598 hectares, est rĂ©pertoriĂ©e depuis 1985-86 pour ses intĂ©rĂȘts Ă©cologiques et faunistiques. Elle s'Ă©tend sur 9 communes, dont La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre pour une partie sud-est de la ZNIEFF correspondant Ă la partie nord-ouest de la commune[16]. Son altitude varie entre 88 et 133 m[17]. Le chĂȘne est l'essence la plus reprĂ©sentĂ©e, toutefois, la chĂȘnaie-hĂȘtraie est prĂ©sente sous forme de stations de faible superficie. La flore se caractĂ©rise par la prĂ©sence de vĂ©gĂ©taux associĂ©s aux sols acides comme la callune (Calluna vulgaris), la violette des chiens (Viola canina) ou la myrtille (vaccinium myrtillus), et aux sols neutres Ă lĂ©gĂšrement alcalins sur calcaire ou marne (Rosa micrantha, la scille Ă deux feuilles (Scilla bifolia), le cĂ©phalanthĂšre Ă longues feuilles (Cephalanthera longifolia), le gaillet odorant (Galium odoratum)[18]. Un rĂ©seau complexe de mares (toutes ne sont pas en eau la mĂȘme annĂ©e) conduit Ă de notables dĂ©placements d'amphibiens en pĂ©riode de reproduction. Le nord-est du massif est ainsi directement concernĂ©. Le nord du massif, nettement reliĂ© Ă la vallĂ©e de la Clairis correspond Ă©galement Ă un secteur de mouvements importants de mammifĂšres grands et petits ainsi que pour l'avifaune. L' intĂ©rĂȘt pour les chiroptĂšres semble s'ĂȘtre dĂ©placĂ© durant les annĂ©es vers la vallĂ©e de la Clairis[18]. La forĂȘt de Montargis est gĂ©rĂ©e par l'Office national des forĂȘts[19].
Histoire
On a retrouvĂ©, Ă quelques centaines de mĂštres de l'actuel bourg, tout un ensemble de haches datant de l'Ăąge de bronze, mais il semble que Louis IX soit Ă l'origine de l'histoire moderne du village. En effet, l'ancienne route de Courtenay Ă Montargis passait alors dans le creux de la vallĂ©e et reprĂ©sentait un axe routier utilisĂ© depuis des siĂšcles (il semble qu'un menhir, dĂ©placĂ© pour construire l'axe moderne, mais ayant disparu depuis, se trouvait au bord de cet axe). PrĂšs de cette route, Ă©tait une fontaine dĂ©diĂ©e Ă saint Marcoult, Ă qui l'on attribuait la facultĂ© de guĂ©rir les Ă©crouelles. Un jour, rejoignant Montargis, le roi dĂ©cida de s'arrĂȘter prĂšs de cette source pour rendre grĂące au Saint. Ă peine arrĂȘtĂ©, le cheval du roi se cabra. Devant ce signe, saint Louis dĂ©cida de construire une chapelle Ă cet endroit. Ce fut le dĂ©but de l'histoire moderne du village.
Urbanisme
Typologie
La Chapelle-Saint-Sépulcre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3] - [20] - [21] - [22].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montargis, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23] - [24].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (61,6 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (61,5 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (61,6 %), terres arables (24,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (13,6 %)[25].
LâĂ©volution de lâoccupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
- Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
- Carte orthophotographique de la commune en 2016.
Planification
La Chapelle-Saint-Sépulcre fait partie de la communauté de communes du Betz et de la Cléry créée le et entrée en vigueur le . Parmi les diverses compétences attribuées à cette intercommunalité figure l'élaboration et le suivi du Plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) portant sur l'ensemble du territoire de la communauté de communes[26]. Le document est approuvé par le conseil communautaire le . Pour répondre à l'obligation de mettre en conformité le PLUi avec la loi du dite « Grenelle II » et la loi pour l'accÚs au logement et un urbanisme rénové du , dite loi « Alur » mais aussi avec le schéma de cohérence territoriale du Montargois en Gùtinais et pour tenir compte de l'évolution du périmÚtre (Intégration de la commune de Saint-Loup-d'Ordon au ), l'assemblée prescrit la révision du PLUi par délibération du [27].
Voies de communication et transports
Infrastructures routiĂšres
La commune est traversĂ©e par une routes dĂ©partementales : la RD 2060, qui traverse la partie centrale de la commune. Cet axe est l'ancienne RN 60 qui, Ă sa crĂ©ation, en 1824, succĂšde Ă la Route impĂ©riale 172 et relie Briare Ă Angers par la rive droite de la Loire[28]. En 2005, elle est dĂ©classĂ©e dans sa totalitĂ© et transfĂ©rĂ©e au dĂ©partement du Loiret par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du [29], consĂ©cutivement au dĂ©cret du [30] qui dĂ©finit la nouvelle consistance du rĂ©seau routier national et qui prĂ©voit de maintenir dans le rĂ©seau routier national un nombre restreint de routes nationales. Elle est classĂ©e route Ă grande circulation[31] et supporte en 2014, dans la section traversant la commune, un trafic de 8 103 vĂ©hicules/jour dont 2 172 poids lourds (27 %)[32].
La commune est par ailleurs sillonnée de plusieurs voies communales et chemins ruraux desservant ses fermes et hameaux et les bourgs environnants.
Transports en commun
En 2016, La Chapelle-Saint-Sépulcre est desservie par la ligne réguliÚre n°4 du réseau d'autocars interurbains Ulys qui relie Courtenay à Montargis[33]. Cette ligne propose un nombre de dessertes variable en fonction des jours ouvrables de la semaine[34]. Des correspondances SNCF avec le Transilien et le réseau Amelys sont assurées à la gare de Montargis. à compter du , la compétence des services de transports routiers interurbains, réguliers et à la demande est transférée des départements aux régions, et donc localement du département du Loiret à la région Centre-Val de Loire, consécutivement à la loi NOTRe du [35].
Risques naturels et technologiques
La commune de la Chapelle-Saint-SĂ©pulcre est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicitĂ© trĂšs faible). Elle est Ă©galement exposĂ©e Ă un risque technologique : le risque de transport de matiĂšres dangereuses [36]. Entre 1989 et 2019, cinq arrĂȘtĂ©s ministĂ©riels ayant portĂ© reconnaissance de catastrophe naturelle ont Ă©tĂ© pris pour le territoire de la commune : deux pour des inondations et coulĂ©es de boues et trois pour des mouvements de terrains[37].
Risques naturels
Le territoire de la commune peut ĂȘtre concernĂ© par un risque d'effondrement de cavitĂ©s souterraines non connues. Une cartographie dĂ©partementale de l'inventaire des cavitĂ©s souterraines et des dĂ©sordres de surface a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Il a Ă©tĂ© recensĂ© sur la commune plusieurs effondrements de cavitĂ©s[38].
Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomÚne de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[39]. Ce phénomÚne peut provoquer des dégùts trÚs importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particuliÚrement affecté le Loiret aprÚs la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumise à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM)[40].
Depuis le , la France dispose dâun nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicitĂ© croissante[41]. La commune, Ă lâinstar de lâensemble du dĂ©partement, est concernĂ©e par un risque trĂšs faible[37].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque de transport de matiÚres dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'itinéraires structurants supportant un fort trafic (la route départementale D2060)[36] - [42].
Politique et administration
Bloc communal : Commune et intercommunalités
La paroisse et bourg de La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre acquiert le statut de municipalitĂ© avec le dĂ©cret du de l'AssemblĂ©e Nationale[43] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le dĂ©cret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[44]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un rĂ©gime juridique uniforme soit dĂ©fini pour toutes les communes de France, point de dĂ©part de lâaffirmation progressive des communes face au pouvoir central[45].
Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[46].
La commune de La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre n'appartient Ă aucune intercommunalitĂ© Ă fiscalitĂ© propre jusqu'en 2011 et fait partie, Ă cette date, des 68 communes du Loiret dites « isolĂ©es »[47]. Elle adhĂšre Ă la communautĂ© de communes du Betz et de la ClĂ©ry lors de la crĂ©ation de cette intercommunalitĂ© par arrĂȘtĂ© du avec effet au [48] - [49]. La commune appartient Ă d'autres Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale, de type syndicats ou autres regroupements intercommunaux. Le dĂ©coupage territorial de ces structures est en constante Ă©volution dans une perspective de rationalisation et d'efficience des services[Note 5].
Le , la communautĂ© de communes du Betz et de la ClĂ©ry (CCBC) et la communautĂ© de communes de ChĂąteau-Renard (CCCR) fusionnent pour donner naissance Ă la communautĂ© de communes de la ClĂ©ry, du Betz et de l'Ouanne (3CBO). Ă lâoccasion de cette fusion, le Syndicat dâAmĂ©nagement Rural (SAR) de ChĂąteau-Renard et Courtenay, totalement inclus dans le pĂ©rimĂštre de la 3CBO, fait partie intĂ©grante de la nouvelle entitĂ© crĂ©Ă©e[50].
Circonscriptions de rattachement
Sous l'Ancien RĂ©gime, Ă la veille des Ătats gĂ©nĂ©raux de 1789, la paroisse de La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre Ă©tait rattachĂ©e sur le plan ecclĂ©siastique de l'ancien diocĂšse de Sens[51] et sur le plan judiciaire au bailliage de Montargis[52].
La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă neuf districts eux-mĂȘmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siĂšge dâune administration dâĂtat et constituent Ă ce titre des circonscriptions administratives. La commune de La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre est alors incluse dans le canton de La Selle-sur-le-Bied, le district de Montargis et le dĂ©partement du Loiret[53].
La recherche dâun Ă©quilibre entre la volontĂ© dâorganiser une administration dont les cadres permettent lâexĂ©cution et le contrĂŽle des lois dâune part, et la volontĂ© dâaccorder une certaine autonomie aux collectivitĂ©s de base (paroisses, bourgs, villes) dâautre part, sâĂ©tale de 1789 Ă 1838[54]. Les dĂ©coupages territoriaux Ă©voluent ensuite au grĂ© des rĂ©formes visant Ă dĂ©centraliser ou recentraliser l'action de l'Ătat. La rĂ©gionalisation fonctionnelle des services de l'Ătat (1945-1971) aboutit Ă la crĂ©ation de rĂ©gions[55]. L'acte I de la dĂ©centralisation de 1982-1983 constitue une Ă©tape importante en donnant l'autonomie aux collectivitĂ©s territoriales, rĂ©gions, dĂ©partements et communes[56]. L'acte II intervient en 2003-2006[57], puis l'acte III en 2012-2015. ParallĂšlement l'Ătat se rĂ©forme pĂ©riodiquement. La rĂ©forme de lâadministration territoriale de lâĂtat (RĂ©ATE), entrĂ©e en vigueur au et issue de la rĂ©vision gĂ©nĂ©rale des politiques publiques (RGPP) est une des grandes rĂ©formes visant Ă simplifier l'organisation de lâĂtat.
Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de La Chapelle-Saint-Sépulcre aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.
Circonscription | Nom | DerniĂšre pĂ©riode | Type de circonscription | Ăvolution du dĂ©coupage territorial |
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District | Montargis | 1790-1795 | Administrative | La commune est rattachée au district de Montargis de 1790 à 1795[46] - [53]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquiÚrent dÚs lors plus d'importance[58]. |
Canton | La Selle-sur-le-Bied | 1790-1801 | Administrative et Ă©lectorale | En 1790, lors de la crĂ©ation des cantons, districts et dĂ©partements, la commune de La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre est rattachĂ©e au canton de La Selle sur le Bied[46]. Les cantons sont supprimĂ©s, en tant que dĂ©coupage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rĂŽle Ă©lectoral[58]. Ils permettent lâĂ©lection des Ă©lecteurs du second degrĂ© chargĂ©s de dĂ©signer les dĂ©putĂ©s[59]. Ils acquiĂšrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795. |
Courtenay | 1801-2015 | Sous le Consulat, un redĂ©coupage territorial visant Ă rĂ©duire le nombre de justices de paix ramĂšne le nombre de cantons dans le Loiret de 59 Ă 31[60]. La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre est alors rattachĂ©e au canton de Courtenay par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X ()[61] - [46]. | ||
Courtenay | 2015- | Ălectorale | La loi du [62] et ses dĂ©crets d'application publiĂ©s en fĂ©vrier et [63] introduisent un nouveau dĂ©coupage territorial pour les Ă©lections dĂ©partementales. La commune est alors rattachĂ©e au canton de Courtenay[63]. Depuis cette rĂ©forme, plus aucun service de l'Ătat n'exerce sa compĂ©tence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau dĂ©coupage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'Ătat ; il est dĂ©sormais uniquement une circonscription Ă©lectorale dĂ©diĂ©e Ă l'Ă©lection d'un binĂŽme de conseillers dĂ©partementaux siĂ©geant au conseil dĂ©partemental[64]. | |
Arrondissement | Montargis | 1801- | Administrative | La Chapelle-Saint-Sépulcre est rattachée à l'arrondissement de Montargis depuis sa création en 1801[46] - [61]. |
Circonscription lĂ©gislative | 4e circonscription | 2010- | Ălectorale | Lors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă 5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siĂšge de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă 21[65] - [66]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă six[67]. La rĂ©forme n'affecte pas La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre qui reste rattachĂ©e Ă la quatriĂšme circonscription[68]. |
Collectivités de rattachement
La commune de La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre est rattachĂ©e au dĂ©partement du Loiret et Ă la rĂ©gion Centre-Val de Loire[69], Ă la fois circonscriptions administratives de l'Ătat et collectivitĂ©s territoriales.
Conseil municipal et maire
Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de La Chapelle-Saint-Sépulcre, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours, les électeurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[70], pour un mandat de six ans renouvelable[71]. Il est composé de 11 membres[72]. L'exécutif communal, est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-à -dire pour la durée du mandat du conseil.
Ăquipements et services
Gestion des déchets
En 2016, la commune est membre du syndicat d'amĂ©nagement rural (SAR) des cantons de Courtenay et ChĂąteau-Renard. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres rĂ©siduelles[Note 6] en porte Ă porte, des emballages mĂ©nagers recyclables, des journaux-magazines et du verre en points dâapport volontaire[75]. Un rĂ©seau de trois dĂ©chĂšteries accueille les encombrants et autres dĂ©chets spĂ©cifiques (dĂ©chets verts, dĂ©chets dangereux, gravats, ferrailles, cartons, cartouches/capsules, dĂ©chets dangereux). La dĂ©chĂšterie la plus proche est situĂ©e sur la commune de La Selle-sur-le-Bied[76]. Le SAR nâassure pas le traitement, ni la valorisation des dĂ©chets collectĂ©s qui sont effectuĂ©s par le SMIRTOM et diffĂ©rents prestataires. Le SMIRTOM de Montargis procĂšde Ă l'Ă©limination et la valorisation Ă©nergĂ©tique des dĂ©chets mĂ©nagers dans l'unitĂ© d'Amilly, construite en 1969. Une convention de dĂ©lĂ©gation du service public de traitement a Ă©tĂ© conclue en 2013 avec la sociĂ©tĂ© Novergie Centre, filiale Ă©nergie du Groupe Suez pour la valorisation Ă©nergĂ©tique des dĂ©chets[77].
Depuis le , la « gestion des dĂ©chets mĂ©nagers » ne fait plus partie des compĂ©tences de la commune mais est une compĂ©tence obligatoire de la communautĂ© de communes de la ClĂ©ry, du Betz et de l'Ouanne (3CBO) en application de la loi NOTRe du [78]. Ă l'occasion de la crĂ©ation de la 3CBO, le Syndicat dâAmĂ©nagement Rural (SAR) de ChĂąteau-Renard et Courtenay, totalement inclus dans le pĂ©rimĂštre de cette nouvelle structure, est dissout par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du et les personnels, biens et Ă©quipements font dĂ©sormais partie intĂ©grante de la nouvelle communautĂ© de communes[50].
Production et distribution d'eau
Le service public dâeau potable est une compĂ©tence obligatoire des communes depuis lâadoption de la loi du 30 dĂ©cembre 2006 sur lâeau et les milieux aquatiques[79]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurĂ©es par le syndicat des eaux de la ClĂ©ry et du Betz, un syndicat crĂ©Ă© en 2013 desservant quinze communes : Bazoches-sur-le-Betz, Le Bignon-Mirabeau, Chantecoq, La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre, Chevannes, Chevry-sous-le-Bignon, Chuelles, Courtemaux, Ervauville, Foucherolles, Griselles, Louzouer, MĂ©rinville, Pers-en-GĂątinais, Rosoy-le-Vieil, Saint-Hilaire-les-AndrĂ©sis, Saint-Loup-de-Gonois, La Selle-en-Hermoy, La Selle-sur-le-Bied et Thorailles[80] - [81] - [82]. La loi NOTRe du 7 aoĂ»t 2015 prĂ©voit que le transfert des compĂ©tences « eau et assainissement » vers les communautĂ©s de communes sera obligatoire Ă compter du . Le transfert dâune compĂ©tence entraĂźne de facto la mise Ă disposition gratuite de plein droit des biens, Ă©quipements et services publics utilisĂ©s, Ă la date du transfert, pour l'exercice de ces compĂ©tences et la substitution de la communautĂ© dans les droits et obligations des communes[83] - [84].
Assainissement
Lâassainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[85]. Le Syndicat mixte d'AmĂ©nagement Rural des cantons de Courtenay et de ChĂąteau-Renard a crĂ©Ă© un service public d'assainissement non collectif (SPANC) qui a pour missions la vĂ©rification de la conception et de lâexĂ©cution des ouvrages pour les installations neuves ou rĂ©habilitĂ©es et la vĂ©rification pĂ©riodique du bon fonctionnement et de lâentretien des installations existantes[86] - [87]. Depuis le , le SPANC est assurĂ© par la 3CBO, dont la crĂ©ation a Ă©tĂ© accompagnĂ©e de la dissolution du Syndicat dâAmĂ©nagement Rural (SAR) de ChĂąteau-Renard et Courtenay[50].
Prix de l'eau
Le « prix de lâeau » doit permettre de financer lâensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, Ă©lectricitĂ©, produits de traitement, renouvellement du matĂ©riel, analyses, Ă©limination des dĂ©chets, etc.)[88]. L'observatoire national des services d'eau et d'assainissement publie la description actualisĂ©e des services publics d'eau potable et d'assainissement, quâil sâagisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[89]. Le prix au m3 est calculĂ© pour une consommation annuelle de 120 m3 (rĂ©fĂ©rence INSEE)[90].
Population et société
DĂ©mographie
Avant la Révolution française, on comptabilisait le nombre de feux ; aprÚs la Révolution, le nombre d'habitants.
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[101]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[102].
En 2020, la commune comptait 228 habitants[Note 7], en diminution de 7,69 % par rapport Ă 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- La superficie publiĂ©e par lâInsee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă la surface gĂ©ographique[12] - [13]
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- La commune peut faire partie de diverses autres intercommunalitĂ©s qui ne sont pas reprĂ©sentĂ©es : des syndicats (syndicats intercommunaux Ă vocation unique(SIVU), (syndicats intercommunaux Ă vocation multiple(SIVOM), syndicats mixtes) ou dâautres regroupements intercommunaux (programme local de l'habitat (PLH), contrat local de santĂ© (CLS), centre intercommunal d'action sociale (CIAS).
- Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus aprÚs extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
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Références
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- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en 120 départements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
- Collectif, Loiret : un département à l'élégance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
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- Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes dâhier, communes dâaujourdâhui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire dâhistoire administrative, Paris, Institut National dâĂtudes DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)