Accueil🇫🇷Chercher

Griselles (Loiret)

Griselles est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Griselles
Griselles (Loiret)
La place du village.
Blason de Griselles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Loiret
Arrondissement Montargis
Intercommunalité Communauté de communes des Quatre Vallées
Maire
Mandat
Claude Madec-Cleï
2020-2026
Code postal 45210
Code commune 45161
Démographie
Gentilé Grisellois[1]
Population
municipale
799 hab. (2020 en diminution de 0,87 % par rapport à 2014)
Densité 26 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 04′ 46″ nord, 2° 49′ 46″ est
Altitude Min. 87 m
Max. 107 m
Superficie 30,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Courtenay
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Griselles
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Griselles
Géolocalisation sur la carte : Loiret
Voir sur la carte topographique du Loiret
Griselles
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Griselles
Liens
Site web griselles.fr

    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    Carte de la commune de Griselles (Loiret) et des communes limitrophes

    La commune de Griselles se trouve dans le quadrant nord-est du département du Loiret, dans la région agricole du Gâtinais pauvre[2]. À vol d'oiseau, elle se situe à 71,3 km d'Orléans[3], préfecture du département, à 10,9 km de Montargis[4], sous-préfecture, et à 3,2 km de Ferrières-en-Gâtinais, ancien chef-lieu du canton dont dépendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Ferrières-en-Gâtinais[5].

    Les communes les plus proches sont : Ferrières-en-Gâtinais (3,2 km), Fontenay-sur-Loing (4,9 km), La Selle-sur-le-Bied (5,3 km), Paucourt (5,6 km), Louzouer (6,2 km), Nargis (6,4 km), Chevannes (6,6 km), La Chapelle-Saint-Sépulcre (km), Pers-en-Gâtinais (7,1 km) et Saint-Loup-de-Gonois (7,3 km)[6].

    Lieux-dits et écarts

    Griselles et ses hameaux

    Au nord du centre-bourg : la Grande Ronce, la Petite Ronce, la Sauvagerie, les Chêneaux, les Beaucerons, les Fourneaux, Beaumarchais ;
    à proximité du centre-bourg : les Joncs, les Chassins, la Maison Rouge, le Framage, le Chesnoy, la Boismiletterie, Corbelin, le Moulin des Aulnes, Courvilaine, Beaujarderie, le Liard, la Pente des Renards ;
    au sud du centre-bourg : Bois le Roi (qui est le plus grand des hameaux après le centre-bourg), Champ donné, les Mancelles.

    Climat

    À mi-chemin entre le pôle Nord et l'équateur, 48° 1' de latitude nord, la commune se trouve dans la zone tempérée humide.

    Relief

    La Cléry.

    Le territoire de la commune est situé sur un plateau qui s'incline légèrement vers l'ouest et la vallée du Loing.

    Le point le plus haut est situé à 133 m d'altitude près de Mancelles ; l'altitude du bourg est de 108 m, le point le plus bas à 86 m d'altitude, à l'endroit où la Cléry dans la commune voisine de Ferrières-en-Gâtinais[7].

    Géologie

    La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sédimentaires français. Cette vaste dépression, occupée dans le passé par des mers peu profondes et des lacs, a été comblée, au fur et à mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches géologiques[8].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années, et du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 Ã  −66,0 Ma. La formation la plus ancienne est de la craie blanche à silex remontant à la période Crétacé. La formation la plus récente est des alluvions récentes des lits mineurs remontant à l’époque Holocène de la période Quaternaire. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « n°329 - Château-Landon » et « n°330 - Chéroy » de la carte géologique au 1/50 000ème du département du Loiret[9] - [10] et leurs notices associées[11] - [12].

    Carte géologique de la commune.
    Ère Période Époque Formations géologiques
    Cénozoïque
    (0 - 66.0)
    Quaternaire
    (0 - 2.58)
    Holocène
    Fz :alluvions récentes des lits mineurs, Holocène
    FxSFxSFxS
    Pléistocène FxSFxSFxS
    Néogène
    (2.58 - 23.03)
    Pliocène non présent
    Miocène non présent
    Paléogène
    (23.03 - 66.0)
    Oligocène non présent
    Éocène
    e7-g1CBr :calcaires de Gien et de Briare, Éocène supérieur à Oligocène
    e4PN :poudingue de Nemours, Paléocène-Éocène inférieur
    e4A :argile à faciès sparnacien, Paléocène-Éocène inférieur
    FxSFxSFxS
    Paléocène
    e1-4Rc :complexe argilo-sableux à silex = argiles à silex, Paléocène-Éocène inférieur
    FxSFxSFxS
    Mésozoïque
    (66.0 - 252.17)
    Crétacé
    (66.0 - ≃145.0)
    c5Cr :craie blanche à silex, Campanien
    c4Cr :craie blanche à silex, Santonien
    FxSFxSFxS

    Relief

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 30,32 km2[13] - [Note 1]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 30,11 km2[10]. Son relief est relativement plat puisque la dénivelée maximale atteint 20 mètres. L'altitude du territoire varie entre 87 m et 107 m[16].

    Hydrographie

    La commune est traversée par une seule rivière la Cléry. Celle-ci prend sa source dans le département limitrophe de l'Yonne, sous le nom de Clairis, puis coule sous le nom de Bied près de La Selle-sur-le-Bied, et enfin se nomme Cléry à Griselles.

    Toponymie

    Attesté sous la forme latinisée de Eglisolis en 1251[17].

    Il s'agit d'un dérivé en -eolas du terme ecclesia qui a donné église [18]. Le suffixe -eola a subi l'attraction du suffixe -ella et /l/ est passé à /r/ comme souvent en français. Sa signification exacte est mal éclaircie « petite église » [?][19].

    Homonymie avec Griselles (Côte D'Or), Glisolles (Eure), Grisolles (Aisne), etc.

    Histoire

    À la mort de Clovis en 511, Clotaire Ier fait de Griselles la capitale des Francs.

    Le hameau de Bois-le-Roi a été établi sur un grand domaine en 1068 lors de l'annexion par Philippe Ier du Gâtinais au domaine royal. Il existe alors trois domaines, ceux des Pagani, des Villani, et des Vituli. Après le Paganus de 1068, on trouve un Paganus Puer en 1138, puis en 1202 un Paganus de la Bolle Regis, un Godeffroy de Bois-le-Roi en 1272, et enfin en 1319 un Jean de Bois-le-Roi dont la veuve est Amelone de la Motte. Devant cette modification du nom de Paganus en Bois-le-Roi, signalons que c'est à Griselles qu'apparaît le nom de Bois-le-Roi en 1138 quand le roi Louis VII construit le château royal à côté des Payens et non avec le nom de Bois-le-Roi, en forêt de Fontainebleau, qui n'apparaît qu'en 1163.

    La partie sud du territoire de la commune dépendait directement du roi.

    En 1127, Louis XI fit don aux moines de l'abbaye de Ferrières du fief de Courvilaine.

    À cette époque, il y avait quatre châteaux forts, aujourd'hui détruits. Tous ces châteaux furent très endommagés à la guerre de Cent Ans et notamment en 1358 lors du passage du brigand anglais Robert Knowles qui cantonnait avec ses troupes dans la région. Ils souffrirent également du passage des troupes de Condé, qui se livrèrent au pillage successivement en 1568 et 1569.

    Urbanisme

    Typologie

    Griselles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [20] - [21] - [22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23] - [24].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (56,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,5 %), forêts (43,8 %), zones agricoles hétérogènes (5,4 %), zones urbanisées (1,2 %)[25].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    • Carte orthophotographique de la commune en 2016.
      Carte orthophotographique de la commune en 2016.

    Voies de communication et transports

    Réseau routier principal de la commune de Griselles (avec indication du trafic routier 2014).

    Risques naturels et technologiques

    La commune de Griselles est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicité très faible). Elle est également exposée à un risque technologique : le risque de transport de matières dangereuses[26]. Entre 1989 et 2019, cinq arrêtés ministériels ayant porté reconnaissance de catastrophe naturelle ont été pris pour le territoire de la commune : trois pour des inondations et coulées de boues et deux pour des mouvements de terrains[27].

    Risques naturels

    Le territoire de la commune peut être concerné par un risque d'effondrement de cavités souterraines non connues. Une cartographie départementale de l'inventaire des cavités souterraines et des désordres de surface a été réalisée. Il a été recensé sur la commune plusieurs effondrements de cavités[28].

    Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomène de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[29]. Ce phénomène peut provoquer des dégâts très importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particulièrement affecté le Loiret après la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumise à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM)[30].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicité croissante [31]. La commune, à l’instar de l’ensemble du département, est concernée par un risque très faible[27].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque de transport de matières dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'une canalisation de gaz[32] et d'un itinéraire routier structurant supportant un fort trafic (l'autoroute A19)[26] - [33].

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse de Griselles acquiert le statut de municipalité avec le décret du de l'Assemblée Nationale[34] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le décret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[35]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un régime juridique uniforme soit défini pour toutes les communes de France, point de départ de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[36].

    Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[37].

    Localisation de la commune de Griselles dans la communauté de communes des Quatre Vallées.

    La commune est membre de la communauté de communes des Quatre Vallées depuis sa création le . Cette intercommunalité succède au SIVOM de Ferrières-en-Gâtinais, créé en , et au SIVOM de Corbeilles.

    La loi du pour l'accès au logement et un urbanisme rénové, dite loi ALUR, fait évoluer de manière significative les compétences en matière d'urbanisme, dont certaines sont transférées de la commune à la communauté de communes[38].

    La loi du portant nouvelle organisation territoriale de la République (dite loi NOTRe), visant une réduction du nombre d'intercommunalités en France, fait passer de 5 000 à 15 000 habitants, sauf exceptions, le seuil démographique minimal pour constituer une communauté de communes et a un impact sur les périmètres des intercommunalités du département du Loiret dont le nombre passe de 28 à 16. Mais la communauté de communes des Quatre Vallées ne voit pas son périmètre changer[39] et la commune de Griselles en reste donc membre. Cette loi a toutefois un impact sur ses compétences avec l'attribution par exemple de la gestion des milieux aquatiques et de la prévention des inondations à partir du [40].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien Régime, à la veille des États généraux de 1789, la paroisse de Griselles était rattachée sur le plan ecclésiastique de l'ancien diocèse de Sens[41] et sur le plan judiciaire au bailliage de Montargis[42].

    La loi du divise le pays en 83 départements découpés chacun en six à neuf districts eux-mêmes découpés en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les départements, sont le siège d’une administration d’État et constituent à ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Griselles est alors incluse dans le canton de La Selle-sur-le-Bied, le district de Montargis et le département du Loiret[43].

    La recherche d’un équilibre entre la volonté d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exécution et le contrôle des lois d’une part, et la volonté d’accorder une certaine autonomie aux collectivités de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 à 1838[44]. Les découpages territoriaux évoluent ensuite au gré des réformes visant à décentraliser ou recentraliser l'action de l'État. La régionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit à la création de régions[45]. L'acte I de la décentralisation de 1982-1983 constitue une étape importante en donnant l'autonomie aux collectivités territoriales, régions, départements et communes[46]. L'acte II intervient en 2003-2006[47], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Griselles aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom Période Type Évolution du découpage territorial
    DistrictMontargis1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Montargis de 1790 à 1795[37] - [43]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquièrent dès lors plus d'importance[48].
    CantonLa Selle sur le Bied1790-1801Administrative et électoraleLe , la municipalité de Griselles est rattachée au canton de La Selle sur le Bied[49]. Les cantons acquièrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    Ferrières1801-2015Sous le Consulat, un redécoupage territorial visant à réduire le nombre de justices de paix ramène le nombre de cantons dans le Loiret de 59 à 31[50]. Griselles est alors rattachée par arrêté du 9 vendémiaire an X () au canton de Ferrières[51] - [37], qui devient canton de Ferrières-en-Gâtinais en 2001[49].
    Courtenay2015-ÉlectoraleLa loi du [52] et ses décrets d'application publiés en février et [53] introduisent un nouveau découpage territorial pour les élections départementales. La commune est alors rattachée au nouveau canton de Courtenay[53]. Depuis cette réforme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compétence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau découpage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est désormais uniquement une circonscription électorale dédiée à l'élection d'un binôme de conseillers départementaux siégeant au conseil départemental[54].
    ArrondissementMontargis1801-AdministrativeGriselles est rattachée à l'arrondissement de Montargis depuis sa création en 1801[37] - [51].
    Circonscription législative4e circonscription2010-ÉlectoraleLors du découpage législatif de 1986, le nombre de circonscriptions législatives passe dans le Loiret de 4 à 5. Un nouveau redécoupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siège de député « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par département varie désormais de 1 à 21[55] - [56]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq à six[57]. Griselles, initialement rattachée à la cinquième circonscription, est, après 2010, rattachée à la quatrième circonscription[58].

    Collectivités de rattachement

    La commune de Griselles est rattachée au département du Loiret et à la région Centre-Val de Loire[59], à la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivités territoriales.

    Conseil municipal et maire

    La mairie.

    Depuis les élections municipales de 2014, le conseil municipal de Griselles, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours, les électeurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[60], pour un mandat de six ans renouvelable[61]. Il est composé de 15 membres [62]. L'exécutif communal, est constitué par le maire, élu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-à-dire pour la durée du mandat du conseil.

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1915 Jules Huguet
    1818 François-Joseph Laplace
    1848 1860? Joseph de Villeneuve-Bargemon
    1863 1866 Charles-Ernest Comte De Brosses Magistrat puis propriétaire
    Conseiller général du canton de Ferrières
    1871 1876 François Besnault
    1876 1878 Charles Deroin
    1878 1884 Pierre Lebert
    1884 1891 Édouard Lamotte
    1899 1902 Alphonse Drouet
    1902 1910 Calixte Gabanelle
    1910 1921 René De Reviers
    1921 1924 Ernest Pichon
    1924 1926 Maurice Lefevre
    1926 1945 Désiré Lebert
    1945 1958 Louis Noret
    1958 1972 Jean Daveau agriculteur
    1972 1984 Maurice Bougrat
    1984 1995 Pierre Maisons agriculteur
    1995 2010 Jean-François Lepetit avocat
    2010 2020 Gérard Guidat
    2020 En cours Claude Madec-Cleï

    Économie

    Griselles, commune céréalière.

    La principale activité du village est l'agriculture céréalière.

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de ramassage et de traitement des ordures ménagères (SMIRTOM) de Montargis, créé en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures ménagères résiduelles[Note 3], des emballages ménagers recyclables et des encombrants en porte à porte et du verre en points d’apport volontaire[63]. Un réseau de trois déchèteries accueille les encombrants et autres déchets spécifiques (déchets verts, déchets dangereux, gravats, ferraille, cartons…). La déchèterie la plus proche est située sur la commune de Corquilleroy[64]. Le SMIRTOM de Montargis procède également à l'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective dans l'unité d'Amilly, construite en 1969. Une convention de délégation du service public de traitement a été conclue en 2013 avec la société Novergie Centre, filiale énergie du Groupe Suez pour la valorisation énergétique des déchets[65].

    Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté de communes des Quatre Vallées en application de la loi NOTRe du [66].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d’eau potable est une compétence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 décembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[67]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurées par le syndicat des eaux de la Cléry et du Betz, un syndicat créé en 2013 desservant quinze communes : Bazoches-sur-le-Betz, Le Bignon-Mirabeau, Chantecoq, La Chapelle-Saint-Sépulcre, Chevannes, Chevry-sous-le-Bignon, Chuelles, Courtemaux, Ervauville, Foucherolles, Griselles, Louzouer, Mérinville, Pers-en-Gâtinais, Rosoy-le-Vieil, Saint-Hilaire-les-Andrésis, Saint-Loup-de-Gonois, La Selle-en-Hermoy, La Selle-sur-le-Bied et Thorailles[68] - [69] - [70]. La loi NOTRe du 7 août 2015 prévoit que le transfert des compétences « eau et assainissement » vers les communautés de communes sera obligatoire à compter du . Le transfert d’une compétence entraîne de facto la mise à disposition gratuite de plein droit des biens, équipements et services publics utilisés, à la date du transfert, pour l'exercice de ces compétences et la substitution de la communauté dans les droits et obligations des communes[71] - [72].

    Assainissement

    L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[73]. En 2017, la communauté de communes des Quatre Vallées assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[74] - [75].

    Prix de l'eau

    Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, électricité, produits de traitement, renouvellement du matériel, analyses, élimination des déchets, etc.)[76]. L'observatoire national des services d'eau et d'assainissement publie la description actualisée des services publics d'eau potable et d'assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[77]. Le prix au m3 est calculé pour une consommation annuelle de 120 m3 (référence INSEE)[78].

    DomaineCommune201020112012201320142015
    Eau potableGriselles1,74[79]1,82[80]1,87[81]1,89[82]1,89[83]1,90[84]
    Loiret1,76[85]1,7[86]1,66[87]1,69[88]
    France1,93[85]1,96[86]2[87]2,03[88]
    AssainissementGrisellesNC[79]NC[80]NC[81]
    Loiret2,07[85]2,19[86]2,25[87]2,38[88]
    France1,73[85]1,82[86]1,85[87]1,89[88]

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[89]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[90].

    En 2020, la commune comptait 799 habitants[Note 4], en diminution de 0,87 % par rapport à 2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    536463542582677710802843894
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    897903897933921853825810757
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    686716671561561562554541519
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    464420392481532620747783800
    2018 2020 - - - - - - -
    786799-------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[91] puis Insee à partir de 2006[92].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Pont du Gril de Corbelin.

    Patrimoine naturel

    Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Le territoire communal de Griselles comprend une ZNIEFF[95].

    La ZNIEFF, de deuxième génération et de type 2[Note 5], dénommée forêt de Montargis, d'une superficie de 4 598 hectares, est répertoriée depuis 1985-86 pour ses intérêts écologiques et faunistiques. Elle s'étend sur 9 communes, dont Griselles pour la frange nord-est de la ZNIEFF correspondant à la partie sud-ouest de la commune[96]. Son altitude varie entre 88 et 133 m[97]. Le chêne est l'essence la plus représentée, toutefois, la chênaie-hêtraie est présente sous forme de stations de faible superficie. La flore se caractérise par la présence de végétaux associés aux sols acides comme la callune (Calluna vulgaris), la violette des chiens (Viola canina) ou la myrtille (vaccinium myrtillus), et aux sols neutres à légèrement alcalins sur calcaire ou marne (Rosa micrantha, la scille à deux feuilles (Scilla bifolia), le céphalanthère à longues feuilles (Cephalanthera longifolia), le gaillet odorant (Galium odoratum)[98]. Un réseau complexe de mares (toutes ne sont pas en eau la même année) conduit à de notables déplacements d'amphibiens en période de reproduction. Le nord-est du massif est ainsi directement concerné. Le nord du massif, nettement relié à la vallée de la Clairis correspond également à un secteur de mouvements importants de mammifères grands et petits ainsi que pour l'avifaune. L' intérêt pour les chiroptères semble s'être déplacé durant les années vers la vallée de la Clairis[98]. La forêt de Montargis est gérée par l'Office national des forêts[99].

    Héraldique

    Blason de Griselles Blason
    Coupé : au 1er d'azur à un pont de quatre arches ogivales d'argent maçonné de sable et surmonté en flancs de deux fleurs de lys d'or, au 2d d'or à une crosse contournée de gueules accostée de deux feuilles de chêne de sinople[100].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[14] - [15]
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus après extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    5. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

    Références

    1. « Gentilés des communes du Loiret », sur www.habitants.fr (consulté le ).
    2. « Zonage en petites régions agricoles », sur http://agreste.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre "Griselles" et "Orléans », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre "Griselles" et "Montargis" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    5. « Fiche communale », sur http://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Villes les plus proches de Griselles », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    7. référence, citation ou lien
    8. « Histoire géologique du Bassin parisien », sur le site du Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie (consulté le ).
    9. « Carte géologique de Griselles » sur Géoportail (consulté le 29 mai 2022).
    10. « Caractéristiques géologiques et hydrogéologiques de la commune de Griselles », sur le Système d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consulté le )
    11. « Notice associée à la feuille n°329 - Château-Landon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    12. « Notice associée à la feuille n°330 - Chéroy de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    13. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Griselles », sur le site de l'Insee (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    15. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Répertoire géographique des communes d'Île-de-France - définition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consulté le )
    16. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud 1979. p. 322.
    18. A. Dauzat et Ch. Rostaing, Op. cité.
    19. François de Beaurepaire, Les noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, éditions Picard 1981. p. 117.
    20. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    26. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) du Loiret- Liste des risques par commune », sur http://www.loiret.gouv.fr/ (consulté le ).
    27. « Risques recensés sur la commune de Griselles », sur http://www.georisques.gouv.fr/.
    28. « Griselles - Recensement des cavités souterraines », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le ).
    29. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Description du phénomène », sur le site « Géorisques » du ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    30. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Carte d'aléa pour le secteur de Griselles », sur le site « Géorisques » du ministère de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    31. Décret no n°2010-1255 du 22 octobre 2010 portant délimitation des zones de sismicité du territoire français
    32. « Cartographie des canalisations de gaz et d'hydrocarbures dans le Loiret », sur http://cartelie.application.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le ).
    33. « Dossier départemental des risques majeurs - le risque de transport de matières dangereuses. », sur http://www.loiret.gouv.fr/ (consulté le ).
    34. Motte 2003, p. 24.
    35. Motte 2003, p. 23.
    36. « Les grands principes de la loi municipale de 1884 », sur le site du sénat, (consulté le ).
    37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Griselles », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
    38. EPF de l'Ain, « Loi ALUR : impact sur les documents et les compétences en matière d'urbanisme », sur http://www.epf01.fr/ (consulté le ).
    39. « Schéma départemental de coopération intercommunale du Loiret », sur http://www.loiret.gouv.fr/, (consulté le ).
    40. « L’intercommunalité et la Loi NOTRe du 7 août 2015 », sur http://www.mairieconseils.net/, (consulté le ).
    41. « Ancien diocèse de Sens », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
    42. « Bailliages de la région Centre », sur Dictionnaire toponymique de la région Centre - Val de Loire (consulté le ).
    43. Prudhomme 1798, p. 162.
    44. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 3.
    45. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 41-46.
    46. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 61-72.
    47. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 118-138.
    48. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.3. : l’œuvre révolutionnaire », sur http://projetbabel.org/, (consulté le ).
    49. Denis Jeanson, « Cantons de la région Centre-Val de Loire », sur Dictionnaire toponymique de la région Centre - Val de Loire (consulté le ), p. 6.
    50. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.4. : le Consulat et l'Empire », sur http://projetbabel.org/, (consulté le ).
    51. « Arrêté du 9 vendémiaire an X portant réduction des justices de paix du département du Loiret - Bulletin des lois de 1801 - page 44 », sur https://gallica.bnf.fr (consulté le ).
    52. « LOI no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral », JORF no 0114 du 18 mai 2013 p. 8242, (consulté le ).
    53. « Décret n° 2014-244 du 25 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Loiret », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    54. « Question no 460 de M. Jean-Jacques Cottel », sur http://questions.assemblee-nationale.fr/, (consulté le ).
    55. « Législatives 2012 : élections selon des modalités révisées. », sur http://www.vie-publique.fr/ (consulté le ).
    56. « Délimitation des circonscriptions législatives - Loi ratifiant l'ordonnance n° 2009-935 du 29 juillet 2009 portant répartition des sièges et délimitation des circonscriptions pour l'élection des députés », sur le site du sénat (consulté le ).
    57. « Carte du découpage législatif du Loiret », sur http://www.elections-legislatives.fr/ (consulté le ).
    58. « Rattachements dans le Loiret avant et après la réforme de 2010 », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    59. « Rattachements administratifs de la commune de Griselles », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    60. Loi no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51 et son décret d'application no 2013-938 du 18 octobre 2013.
    61. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL (consulté le ).
    62. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
    63. « Rapport d'activités 2015 du SMIRTOM de Montargis », sur http://www.smirtom.fr/ (consulté le ).
    64. « SMIRTOM de Montargis - déchèteries », sur http://www.smirtom.fr/ (consulté le ).
    65. « UIOM d'Amilly - Valorisation énergétique : les Ordures Ménagères », sur http://www.smirtom.fr/ (consulté le ).
    66. « Schéma de coopération intercommunale du Loiret », sur http://www.loiret.gouv.fr/, (consulté le ), p. 4.
    67. [PDF]« Les services publics d'eau et d'assainissement. », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    68. « Syndicat des eaux de la Cléry et du Betz », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le ).
    69. « Syndicat des eaux de la Cléry et du Betz », sur http://www.services.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    70. « composition communale des services d'eau potable pour l'année 2016 », sur http://www.services.eaufrance.fr, (consulté le ).
    71. Article L1321-1 du Code général des collectivités territoriales et suivants
    72. AMF, « Loi NOTRe : transfert des compétences « eau et assainissement » aux EPCI à fiscalité propre », sur http://amf83.fr/, (consulté le ).
    73. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministériel de l'assainissement non collectif (consulté le ).
    74. « composition communale des services d'assainissement non collectif pour l'année 2016 », sur http://www.services.eaufrance.fr, (consulté le ).
    75. « CC des Quatre Vallées - SPANC », sur http://www.cc4v.fr (consulté le ).
    76. « Note sur la tarification des services de l’eau et de l’assainissement », sur http://www.loiret.gouv.fr/, (consulté le ).
    77. « Observatoire national des services d'eau et d'assainissement », sur http://www.services.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    78. « Prix TTC du service au m³ pour 120 m³ », sur http://www.services.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    79. Prix de l'eau en 2010 à Griselles.
    80. Prix de l'eau en 2011 à Griselles.
    81. Prix de l'eau en 2012 à Griselles.
    82. Prix de l'eau en 2013 à Griselles.
    83. Prix de l'eau en 2014 à Griselles.
    84. Prix de l'eau en 2015 à Griselles.
    85. Prix de l'eau en 2010 dans le Loiret.
    86. Prix de l'eau en 2011 dans le Loiret.
    87. Prix de l'eau en 2012 dans le Loiret.
    88. Prix de l'eau en 2013 dans le Loiret.
    89. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    90. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    91. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    92. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    93. « Le pont du Gril de Corbelin », notice no PA00098791, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    94. « Le moulin Tosset », notice no PA00099052, base Mérimée, ministère français de la Culture.
    95. « Liste des ZNIEFF de la commune de Griselles », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    96. « Découpage communal de la ZNIEFF 240003882 - Forêt de Montargis », sur le site des zonages du domaine de la Biodiversité, publié par la DREAL Centre. (consulté le ).
    97. « ZNIEFF 240003882 - Forêt de Montargis - fiche de synthèse », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    98. « ZNIEFF 240003882 - Forêt de Montargis - fiche descriptive. », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    99. « Carte - guide de la forêt domaniale de Montargis », sur le site de l'ONF (consulté le ).
    100. « 45161 Griselles (Loiret) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).

    Reneaud. Histoire de Griselles.
    Violas. Août et . L'Éclaireur.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire géographique et méthodique de la République française en 120 départements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Collectif, Loiret : un département à l'élégance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • Abbé Patron, Département du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, Comédit, 1991, réédition de 1870, 511 p. (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle Séguy & Christine Théré, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France métropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études Démographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)

    Articles connexes

    Liens externes

    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplémentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimédias.