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Corquilleroy

Corquilleroy [kɔʁkil.ʁwa] est une commune française situĂ©e dans le dĂ©partement du Loiret en rĂ©gion Centre-Val de Loire.

Corquilleroy
Corquilleroy
HĂŽtel de ville
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Montargis
Intercommunalité Agglomération montargoise et rives du Loing
Maire
Mandat
René Béguin
2020-2026
Code postal 45120
Code commune 45104
DĂ©mographie
Gentilé Guillerois[1]
Population
municipale
2 822 hab. (2020 en augmentation de 1,29 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 202 hab./km2
Population
agglomération
68 488 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 02â€Č 44″ nord, 2° 42â€Č 02″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 102 m
Superficie 13,96 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montargis
(banlieue)
Aire d'attraction Montargis
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de ChĂąlette-sur-Loing
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Corquilleroy
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Corquilleroy
Liens
Site web http://www.corquilleroy.fr/

    GĂ©ographie

    Situation

    La commune de Corquilleroy se trouve dans le quadrant nord-est du dĂ©partement du Loiret, dans la rĂ©gion agricole du GĂątinais pauvre[2]. À vol d'oiseau, elle se situe Ă  60,9 km d'OrlĂ©ans[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  6,3 km de Montargis[4], sous-prĂ©fecture, et Ă  4,5 km de ChĂąlette-sur-Loing, ancien chef-lieu du canton dont dĂ©pendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de Montargis[5].

    Les communes les plus proches sont : Girolles (2,3 km), Cepoy (km), Gondreville (3,3 km), Pannes (3,7 km), Treilles-en-GĂątinais (4,5 km), ChĂąlette-sur-Loing (4,5 km), Villevoques (5,5 km), MignĂšres (5,6 km), Villemandeur (km), Montargis (6,3 km)[6].

    GĂ©ologie

    La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sĂ©dimentaires français. Cette vaste dĂ©pression, occupĂ©e dans le passĂ© par des mers peu profondes et des lacs, a Ă©tĂ© comblĂ©e, au fur et Ă  mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches gĂ©ologiques[7].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque, l'Ăšre gĂ©ologique la plus rĂ©cente sur l'Ă©chelle des temps gĂ©ologiques, dĂ©butant il y a 66 millions d'annĂ©es, et du MĂ©sozoĂŻque, anciennement appelĂ© Ère secondaire, qui s'Ă©tend de −252,2 Ă  −66,0 Ma. La formation la plus ancienne est de la craie blanche Ă  silex remontant Ă  la pĂ©riode CrĂ©tacĂ©. La formation la plus rĂ©cente est des alluvions rĂ©centes des lits mineurs remontant Ă  l’époque HolocĂšne de la pĂ©riode Quaternaire. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « n°329 - ChĂąteau-Landon » et « n°365 - Montargis » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000Ăšme du dĂ©partement du Loiret[8] - [9] et leurs notices associĂ©es[10] - [11].

    Carte géologique de la commune
    Ère PĂ©riode Époque Formations gĂ©ologiques
    CĂ©nozoĂŻque
    (0 - 66.0)
    Quaternaire
    (0 - 2.58)
    HolocĂšne
    Fz :alluvions récentes des lits mineurs, HolocÚne
    PléistocÚne
    NĂ©ogĂšne
    (2.58 - 23.03)
    PliocÚne non présent
    MiocÚne non présent
    PaléogÚne
    (23.03 - 66.0)
    OligocĂšne
    g1CEt :calcaire d'Étampes, Stampien supĂ©rieur
    Éocùne
    PaléocÚne
    e1-4Rc :complexe argilo-sableux Ă  silex = argiles Ă  silex, PalĂ©ocĂšne-ÉocĂšne infĂ©rieur
    MĂ©sozoĂŻque
    (66.0 - 252.17)
    Crétacé
    (66.0 - ≃145.0)
    c5Cr :craie blanche Ă  silex, Campanien

    Relief

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l’Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rences dans toutes les statistiques, est de 13,96 km2[12] - [Note 1]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 13,94 km2[9]. Son relief est relativement plat puisque la dĂ©nivelĂ©e maximale atteint 22 mĂštres. L'altitude du territoire varie entre 80 m et 102 m[15].

    Hydrographie

    RĂ©seau hydrographique de Corquilleroy.

    La commune est traversĂ©e par le Canal d'OrlĂ©ans (1,119 km) et le Canal du Loing (0,434 km). Le rĂ©seau hydrographique communal, d'une longueur totale de 3,8 km, comprend un autre cours d'eau notable, la Bezonde (1,482 km), et un petit cours d'eau dont un bras d'OrlĂ©ans (0,77 km)[16]. Le canal d’OrlĂ©ans court sur 78,65 kilomĂštres entre OrlĂ©ans, oĂč il dĂ©bouche dans la Loire et ChĂąlette-sur-Loing, oĂč il rejoint le canal du Loing et le canal de Briare au niveau du bief de Buges-[17]. Le canal du Loing est un canal construit au XVIIIe siĂšcle qui assurait Ă  l'origine avec le canal d'OrlĂ©ans la jonction entre le bassin fluvial de la Loire et celui de la Seine. Contrairement au canal d'OrlĂ©ans qui a vu son trafic disparaitre au dĂ©but du XXe siĂšcle, l'activitĂ© commerciale a perdurĂ© au-delĂ [18] - [19]. La Bezonde, d'une longueur totale de 33,9 km, prend sa source dans la commune de Nesploy et se jette dans le Canal d'OrlĂ©ans Ă  Pannes, aprĂšs avoir traversĂ© d'ouest en est 10 communes[20]. Sur le plan piscicole, la Bezonde est classĂ©e en deuxiĂšme catĂ©gorie piscicole. L'espĂšce biologique dominante est constituĂ©e essentiellement de poissons blancs (cyprinidĂ©s) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[21].

    Lieux-dits et Ă©carts

    Le hameau de Buges est connu pour ĂȘtre l'extrĂ©mitĂ© du tronçon entre Vieilles-Maisons-sur-Joudry et Buges du canal d'OrlĂ©ans, ouvert en 1678, qui permit sa connexion entre les canaux de Briare et du Loing.

    Milieux naturels et biodiversité

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Le territoire communal de Corquilleroy ne comprend pas de ZNIEFF[22].

    Histoire

    Protohistoire

    Le site de « la Grevasse - le Soy » est à cheval sur Corquilleroy et sur Treilles-en-Gùtinais au nord-ouest[23]. Il a été mis au jour lors des fouilles préventives menées par l'INRAP avant la construction de l'autoroute A19, révélant une occupation agro-pastorale datée de la transition entre le Hallstatt final et La TÚne ancienne[24].

    Temps modernes

    Au cours de la Révolution française, la commune porta provisoirement le nom de Corquille-Libre[25].

    Urbanisme

    Typologie

    Corquilleroy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 2] - [26] - [27] - [28]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Montargis, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 8 communes[29] et 56 233 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[30] - [31].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montargis dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[32] - [33].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (76,1 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (82,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (74,1 %), zones urbanisĂ©es (15,1 %), forĂȘts (4,9 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3,9 %), cultures permanentes (1,9 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,1 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (0,1 %)[34].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    • Carte orthophotographique de la commune en 2016.
      Carte orthophotographique de la commune en 2016.

    Routes et transports

    RĂ©seau routier principal de la commune de Corquilleroy (avec indication du trafic routier 2014).

    Les autoroutes A19 et A77, les routes départementales 40 et 841 traversent le territoire de la commune située dans l'aire urbaine de Montargis.

    La commune est desservie par les transports AMELys lorsque la ligne 1 pousse jusqu'au centre ville. Sinon, c'est à Bûges.

    Risques naturels et technologiques

    La commune de Corquilleroy est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : inondations (par dĂ©bordement du Loing), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicitĂ© faible). Elle est Ă©galement exposĂ©e Ă  un risque technologique : le risque de transport de matiĂšres dangereuses[35]. Entre 1999 et 2019, quatre arrĂȘtĂ©s ministĂ©riels ayant portĂ© reconnaissance de catastrophe naturelle ont Ă©tĂ© pris pour le territoire de la commune de Corquilleroy : trois pour des inondations et coulĂ©es de boues et un pour des mouvements de terrains[36].

    Risques naturels

    La limite sĂ©parant les territoires communaux de Corquilleroy et de ChĂąlette-sur-Loing suit le tracĂ© du canal d'OrlĂ©ans. Pour une crue centennale, des pavillons situĂ©s en rive gauche de ce canal, rue R. Piochon, seraient inondĂ©s, ainsi que la RD 40 au niveau du franchissement du canal. La liaison entre les deux communes citĂ©es serait alors coupĂ©e)[37]. Les deux crues de rĂ©fĂ©rence sont celles de (3,16 m Ă  Montargis) et de (3,36 m Ă  la mĂȘme station)[38] - [39]. Le risque d'inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prĂ©vention du risque inondation (PPRI) AgglomĂ©ration montargoise et Loing Aval approuvĂ© le par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral et modifiĂ© en 2013 pour la commune de Dordives[40].

    Le territoire de la commune peut Ă©galement ĂȘtre concernĂ© par un risque d'effondrement de cavitĂ©s souterraines non connues. Une cartographie dĂ©partementale de l'inventaire des cavitĂ©s souterraines et des dĂ©sordres de surface a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Il a Ă©tĂ© recensĂ© sur la commune plusieurs effondrements de cavitĂ©s[41].

    Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomÚne de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[42]. Ce phénomÚne peut provoquer des dégùts trÚs importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particuliÚrement affecté le Loiret aprÚs la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM)[43].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicitĂ© croissante[44]. La commune, Ă  l’instar de l’ensemble du dĂ©partement, est concernĂ©e par un risque trĂšs faible[36].

    Risques technologiques

    La commune est concernée par le risque de transport de matiÚres dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'une canalisation de gaz[45] et d'itinéraires routiers structurants supportant un fort trafic (les autoroutes A77 et A19[35] - [46].

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse et bourg de Corquilleroy acquiert le statut de municipalitĂ© avec le dĂ©cret du de l'AssemblĂ©e Nationale[47] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le dĂ©cret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[48]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un rĂ©gime juridique uniforme soit dĂ©fini pour toutes les communes de France, point de dĂ©part de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[49].

    Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[50].

    Localisation de la commune de Corquilleroy dans la communauté d'agglomération Agglomération Montargoise et Rives du Loing.

    Initialement constituĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le , le district urbain de l’agglomĂ©ration Montargoise, le plus ancien district de France, regroupait huit communes dont la commune de Corquilleroy. Celui-ci avait des compĂ©tences rĂ©duites : ordures mĂ©nagĂšres, transports, service dĂ©partemental d’incendie et de secours (SDIS) et assainissement. La communautĂ© d’agglomĂ©ration a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e dans l’optique d’avoir une mutualisation des moyens. En application des dispositions de la loi no 99-586 du relative au renforcement et Ă  la simplification de la coopĂ©ration intercommunale, le district s’est transformĂ© en communautĂ© d’agglomĂ©ration qui a pris le nom de « AgglomĂ©ration Montargoise et Rives du Loing » par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du . Les statuts dont Ă©tĂ© adoptĂ©s le [51]. La commune appartient Ă  d'autres Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale, de type syndicats ou autres regroupements intercommunaux. Le dĂ©coupage territorial de ces structures est en constante Ă©volution dans une perspective de rationalisation et d'efficience des services[Note 4].

    La loi du portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (dite loi NOTRe), visant une rĂ©duction du nombre d'intercommunalitĂ©s en France, fait passer de 5 000 Ă  15 000 habitants, sauf exceptions, le seuil dĂ©mographique minimal pour constituer une intercommunalitĂ© et a un impact sur les pĂ©rimĂštres des intercommunalitĂ©s du dĂ©partement du Loiret dont le nombre passe de 28 Ă  16. Mais la communautĂ© d'agglomĂ©ration AgglomĂ©ration Montargoise et Rives du Loing, dont la population totale dĂ©passe le nouveau seuil minimal, ne voit pas son pĂ©rimĂštre changer[52] et la commune de Corquilleroy en reste donc membre. Cette loi a toutefois un impact sur ses compĂ©tences avec l'attribution de nouvelles comptĂ©nces comme de la gestion des milieux aquatiques et de la prĂ©vention des inondations Ă  partir du [53].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien RĂ©gime, Ă  la veille des États gĂ©nĂ©raux de 1789, la paroisse de Corquilleroy Ă©tait rattachĂ©e sur le plan ecclĂ©siastique de l'ancien diocĂšse de Sens[54] et sur le plan judiciaire au bailliage de Montargis[55].

    La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă  neuf districts eux-mĂȘmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siĂšge d’une administration d’État et constituent Ă  ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Corquilleroy est alors incluse dans le canton de Corbeilles, le district de Montargis et le dĂ©partement du Loiret[56].

    La recherche d’un Ă©quilibre entre la volontĂ© d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exĂ©cution et le contrĂŽle des lois d’une part, et la volontĂ© d’accorder une certaine autonomie aux collectivitĂ©s de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 Ă  1838[57]. Les dĂ©coupages territoriaux Ă©voluent ensuite au grĂ© des rĂ©formes visant Ă  dĂ©centraliser ou recentraliser l'action de l'État. La rĂ©gionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit Ă  la crĂ©ation de rĂ©gions[58]. L'acte I de la dĂ©centralisation de 1982-1983 constitue une Ă©tape importante en donnant l'autonomie aux collectivitĂ©s territoriales, rĂ©gions, dĂ©partements et communes[59]. L'acte II intervient en 2003-2006[60], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Corquilleroy aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom PĂ©riode Type Évolution du dĂ©coupage territorial
    DistrictMontargis1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Montargis de 1790 à 1795[50] - [56]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquiÚrent dÚs lors plus d'importance[61].
    CantonCorbeilles1790-1801Administrative et Ă©lectoraleEn 1790, lors de la crĂ©ation des cantons, districts et dĂ©partements, la commune de Corquilleroy est rattachĂ©e au canton de Corbeilles[50]. Les cantons sont supprimĂ©s, en tant que dĂ©coupage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rĂŽle Ă©lectoral[61]. Ils permettent l’élection des Ă©lecteurs du second degrĂ© chargĂ©s de dĂ©signer les dĂ©putĂ©s[62]. Ils acquiĂšrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    Montargis1801-1973Sous le Consulat, un redĂ©coupage territorial visant Ă  rĂ©duire le nombre de justices de paix ramĂšne le nombre de cantons dans le Loiret de 59 Ă  31[63]. Corquilleroy est alors rattachĂ©e au canton de Montargis par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X ()[64] - [50].
    Chùlette-sur-Loing1973-2015En 1973, la commune est rattachée au canton de Chùlette-sur-Loing, un canton issu de la division de l'ancien cantonde Montargis[65].
    ChĂąlette-sur-Loing2015-ÉlectoraleLa loi du [66] et ses dĂ©crets d'application publiĂ©s en fĂ©vrier et [67] introduisent un nouveau dĂ©coupage territorial pour les Ă©lections dĂ©partementales. La commune est alors rattachĂ©e au canton de ChĂąlette-sur-Loing[67]. Depuis cette rĂ©forme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compĂ©tence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau dĂ©coupage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est dĂ©sormais uniquement une circonscription Ă©lectorale dĂ©diĂ©e Ă  l'Ă©lection d'un binĂŽme de conseillers dĂ©partementaux siĂ©geant au conseil dĂ©partemental[68].
    ArrondissementMontargis1801-AdministrativeCorquilleroy est rattachée à l'arrondissement de Montargis depuis sa création en 1801[50] - [64].
    Circonscription lĂ©gislative4e circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siĂšge de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[69] - [70]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[71]. La rĂ©forme n'affecte pas Corquilleroy qui reste rattachĂ©e Ă  la quatriĂšme circonscription[72].

    Collectivités de rattachement

    La commune de Corquilleroy est rattachĂ©e au dĂ©partement du Loiret et Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire[73], Ă  la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivitĂ©s territoriales.

    Conseil municipal et maire

    Depuis les Ă©lections municipales de 2014, le conseil municipal de Corquilleroy, commune de plus de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin proportionnel de liste Ă  deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[74], pour un mandat de six ans renouvelable[75]. Il est composĂ© de 23 membres[76]. L'exĂ©cutif communal, est constituĂ© par le maire, Ă©lu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-Ă -dire pour la durĂ©e du mandat du conseil.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    mars 2001 mars 2008 Jean-Claude Le Danvic DVD
    mars 2008 En cours
    (au 27 mai 2020)
    René Béguin[77] - [78] Cadre administratif et commercial d'entreprise

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de ramassage et de traitement des ordures mĂ©nagĂšres (SMIRTOM) de Montargis, crĂ©Ă© en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres rĂ©siduelles[Note 5], des emballages mĂ©nagers recyclables et des encombrants en porte Ă  porte et du verre en points d’apport volontaire[79]. Un rĂ©seau de trois dĂ©chĂšteries, dont une est situĂ©e sur le territoire communal, accueille les encombrants et autres dĂ©chets spĂ©cifiques (dĂ©chets verts, dĂ©chets dangereux, gravats, ferraille, cartons
)[80].

    Le SMIRTOM de Montargis procÚde également à l'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective dans l'unité d'Amilly, construite en 1969. Une convention de délégation du service public de traitement a été conclue en 2013 avec la société Novergie Centre, filiale énergie du Groupe Suez pour la valorisation énergétique des déchets[81].

    Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté d'agglomération Agglomération montargoise et rives du Loing en application de la loi NOTRe du [82].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d’eau potable est une compĂ©tence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du sur l’eau et les milieux aquatiques[83]. La commune de Corquilleroy a dĂ©lĂ©guĂ© la gestion du service au syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable de la rĂ©gion du Puy la Laude, un syndicat crĂ©Ă© en 1957 desservant cinq communes : Cepoy, Corquilleroy, Fontenay-sur-Loing, Girolles et Paucourt[84] - [85] - [86]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal relĂšvent dĂ©sormais de la compĂ©tence de la communautĂ© de l'agglomĂ©ration montargoise et des rives du Loing (A.M.E.) qui assure la reprĂ©sentation-substitution des communes adhĂ©rentes au syndicat, dont Corquilleroy, au sein de celui-ci. 7 497 habitants Ă©taient desservis par le syndicat en 2015 (7 473 au )[87]. Les trois ressources sont les deux forages situĂ©s sur la commune de Cepoy et le puits de l’Abymes sur la commune de Paucourt. Le volume prĂ©levĂ© en 2015 atteint 588 064 m3 d'eaux brutes. Le volume d'eau consommĂ©e s'Ă©lĂšve en 2015 Ă  369 215 m3 et est distribuĂ©e Ă  4 197 abonnĂ©s dont 1 564 sur la commune de Corquilleroy[88].

    Assainissement

    La compĂ©tence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usĂ©es, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrĂŽle des raccordements aux rĂ©seaux publics de collecte[89], est Ă©galement assurĂ©e par l'A.M.E.[90] - [91] - [92] qui dispose ainsi en 2015 d’un rĂ©seau de 384,8 km, de 11 737 regards de visite et de 145 postes de relevage et de trois stations d’épuration principales situĂ©es Ă  Chalette-sur-Loing, Ă  Amilly et Ă  Vimory[93]. La commune est raccordĂ©e Ă  une station d'Ă©puration situĂ©e sur le territoire de la commune de ChĂąlette-sur-Loing, mise en service le et dont la capacitĂ© nominale de traitement est de 85 000 EH, soit 16 700 m3/jour. Cet Ă©quipement utilise un procĂ©dĂ© d'Ă©puration biologique dit « Ă  boues activĂ©es ». Son exploitation est assurĂ©e en 2017 par Lyonnaise des Eaux Amilly[94] - [95].

    Certaines rues de la commune ne sont pas desservies par le rĂ©seau d’eaux usĂ©es (rĂ©seau d’assainissement collectif) de l’AgglomĂ©ration montargoise et les habitations doivent dĂšs lors ĂȘtre pourvues d’un systĂšme d’assainissement individuel. L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe ces installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[96]. L'agglomĂ©ration montargoise assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[97] - [93].

    Prix de l'eau

    Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, Ă©lectricitĂ©, produits de traitement, renouvellement du matĂ©riel, analyses, Ă©limination des dĂ©chets, etc.)[98]. L'observatoire national des services d'eau et d'assainissement publie la description actualisĂ©e des services publics d'eau potable et d'assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[99]. Le prix au m3 est calculĂ© pour une consommation annuelle de 120 m3 (rĂ©fĂ©rence INSEE)[100].

    DomaineCommune201020112012201320142015
    Eau potableCorquilleroy1,70[101]1,72[102]1,77[103]1,84[104]1,95[105]1,96[106]
    Loiret1,76[107]1,7[108]1,66[109]1,69[110]
    France1,93[107]1,96[108]2[109]2,03[110]
    AssainissementCorquilleroyNC[101]2,51[102]2,56[103]3,24[104]2,38[105]1,94[106]
    Loiret2,07[107]2,19[108]2,25[109]2,38[110]
    France1,73[107]1,82[108]1,85[109]1,89[110]

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[111]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[112].

    En 2020, la commune comptait 2 822 habitants[Note 6], en augmentation de 1,29 % par rapport Ă  2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    892914994804758769745788825
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    820846877866839872872886860
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9429419581 0651 1031 3981 4441 4051 590
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 5031 6501 7881 8421 8932 1082 3952 6822 797
    2020 - - - - - - - -
    2 822--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee Ă  partir de 2006[113].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    • Services : boulangerie faisant dĂ©pĂŽt postal depuis 2010, Ă©bĂ©nisterie, pharmacie (agence postale fermĂ©e en 2010).
    • Zone artisanale du Bigot.

    Patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église, dont le fronton date de 1863, et qui contient de trĂšs belles scĂšnes de la Passion.
    • Vieille chapelle.

    Enseignement

    Corquilleroy est située dans l'académie d'Orléans-Tours et dans la circonscription de Montargis-ouest. La commune possÚde une école primaire[114] sur 2 localisations : le bourg et Buges.

    Culture

    • BibliothĂšque municipale.

    Manifestations

    • Exposition gĂ©nĂ©alogique : depuis 1990, fin mars ou dĂ©but avril, durant trois jours ;
    • Vide-greniers : aprĂšs la mi-juin ;
    • Bourse aux cousins : Ă  la mi-octobre, depuis 1996 ;
    • Exposition de peinture : chaque annĂ©e, le premier week-end de septembre, dans la petite chapelle ;
    • Chorale de noĂ«l des enfants de l'Ă©cole : aprĂšs la mi-dĂ©cembre, depuis 2008.

    Personnalités liées à la commune

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[13] - [14]
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. La commune peut faire partie de diverses autres intercommunalitĂ©s qui ne sont pas reprĂ©sentĂ©es : des syndicats (syndicats intercommunaux Ă  vocation unique(SIVU), (syndicats intercommunaux Ă  vocation multiple(SIVOM), syndicats mixtes) ou d’autres regroupements intercommunaux (programme local de l'habitat (PLH), contrat local de santĂ© (CLS), centre intercommunal d'action sociale (CIAS).
    5. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus aprÚs extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    Références

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    111. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    112. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    113. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    114. « liste des écoles de la circonscription de Montargis-ouest », sur www.ac-orleans-tours.fr (consulté le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire gĂ©ographique et mĂ©thodique de la RĂ©publique française en 120 dĂ©partements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Collectif, Loiret : un dĂ©partement Ă  l'Ă©lĂ©gance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • AbbĂ© Patron, DĂ©partement du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870, 511 p. (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)
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