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Cepoy

Cepoy est une commune française située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Cepoy
Cepoy
La mairie.
Blason de Cepoy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Montargis
Intercommunalité Agglomération montargoise et rives du Loing
Maire
Mandat
RĂ©gis Guerin
2020-2026
Code postal 45120
Code commune 45061
DĂ©mographie
Gentilé Cepoyennes, Cepoyens[1]
Population
municipale
2 400 hab. (2020 en augmentation de 2,52 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 282 hab./km2
Population
agglomération
68 488 hab.
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 02â€Č 50″ nord, 2° 44â€Č 16″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 114 m
Superficie 8,52 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Montargis
(banlieue)
Aire d'attraction Montargis
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de ChĂąlette-sur-Loing
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Cepoy

    GĂ©ographie

    Localisation

    Carte de la commune de Cepoy et des communes limitrophes.

    La commune de Cepoy se trouve dans le quadrant nord-est du dĂ©partement du Loiret, dans la rĂ©gion agricole du GĂątinais pauvre[2]. À vol d'oiseau, elle se situe Ă  63,8 km d'OrlĂ©ans[3], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  5,3 km de Montargis[4], sous-prĂ©fecture, et Ă  3,8 km de ChĂąlette-sur-Loing, ancien chef-lieu du canton dont dĂ©pendait la commune avant mars 2015. La commune fait partie du bassin de vie de Montargis[5]

    Les villes les plus proches sont : Girolles (2,3 km), Corquilleroy (km), ChĂąlette-sur-Loing (3,8 km), Paucourt (4,4 km), Montargis (5,3 km), Pannes (6,1 km), Gondreville (6,2 km), FerriĂšres-en-GĂątinais (6,5 km), Villemandeur (6,5 km), Treilles-en-GĂątinais (6,7 km) et Fontenay-sur-Loing (6,9 km)[6].

    Communes limitrophes de Cepoy
    Girolles Fontenay-sur-Loing
    Corquilleroy Cepoy Paucourt
    Chñlette-sur-Loing – Lancy

    GĂ©ologie

    La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sĂ©dimentaires français. Cette vaste dĂ©pression, occupĂ©e dans le passĂ© par des mers peu profondes et des lacs, a Ă©tĂ© comblĂ©e, au fur et Ă  mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches gĂ©ologiques[7].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque, l'Ăšre gĂ©ologique la plus rĂ©cente sur l'Ă©chelle des temps gĂ©ologiques, dĂ©butant il y a 66 millions d'annĂ©es, et du MĂ©sozoĂŻque, anciennement appelĂ© Ère secondaire, qui s'Ă©tend de −252,2 Ă  −66,0 Ma. La formation la plus ancienne est de la craie blanche Ă  silex remontant Ă  la pĂ©riode CrĂ©tacĂ©. La formation la plus rĂ©cente est des alluvions rĂ©centes des lits mineurs remontant Ă  l’époque HolocĂšne de la pĂ©riode Quaternaire. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « n°329 - ChĂąteau-Landon » et « n°365 - Montargis » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000Ăšme du dĂ©partement du Loiret[8] - [9] et leurs notices associĂ©es[10] - [11].

    Carte géologique de la commune
    Ère PĂ©riode Époque Formations gĂ©ologiques
    CĂ©nozoĂŻque
    (0 - 66.0)
    Quaternaire
    (0 - 2.58)
    HolocĂšne
    Fz :alluvions récentes des lits mineurs, HolocÚne
    Fy :alluvions récentes des levées et montilles de la Loire et des basses terrasses du Loing, HolocÚne
    PléistocÚne
    NĂ©ogĂšne
    (2.58 - 23.03)
    PliocÚne non présent
    MiocÚne non présent
    PaléogÚne
    (23.03 - 66.0)
    OligocĂšne
    g1CEt :calcaire d'Étampes, Stampien supĂ©rieur
    Éocùne
    PaléocÚne
    e1-4Rc :complexe argilo-sableux Ă  silex = argiles Ă  silex, PalĂ©ocĂšne-ÉocĂšne infĂ©rieur
    MĂ©sozoĂŻque
    (66.0 - 252.17)
    Crétacé
    (66.0 - ≃145.0)
    c5Cr :craie blanche Ă  silex, Campanien

    Relief

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l’Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rences dans toutes les statistiques, est de 8,52 km2[12] - [Note 1]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 8,44 km2[9]. Son relief est relativement plat puisque la dĂ©nivelĂ©e maximale atteint 37 mĂštres. L'altitude du territoire varie entre 77 m et 114 m[15].

    Hydrographie

    Cepoy est traversée par deux voies d'eau :

    • Ă  la lisiĂšre du bourg historique et au pied de la pente occidentale de la vallĂ©e du Loing, le canal du Loing, qui est navigable ;
    • Ă  l'Ă©cart du bourg, Ă  environ 300 mĂštres Ă  l'Est, le Loing, riviĂšre affluent de la rive gauche de la Seine, aujourd'hui non navigable, franchi par un pont nommĂ© « pont de la Girafe »[16].

    Lieux-dits et Ă©carts

    Le Bourg, Montenon, Montigny Rapine, le Moulois, les MurgÚres, le Parc, Puy-la-Laude, le Tranchoir, les Vallées.

    Zones nationales d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Le territoire communal de Cepoy comprend une ZNIEFF[17].

    La ZNIEFF, de deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration et de type 2[Note 2], dĂ©nommĂ©e forĂȘt de Montargis, d'une superficie de 4 598 hectares, est rĂ©pertoriĂ©e depuis 1985-86 pour ses intĂ©rĂȘts Ă©cologiques et faunistiques. Elle s'Ă©tend sur 9 communes, dont Cepoy pour la frange nord-ouest de la ZNIEFF correspondant Ă  la partie est de la commune[18]. Son altitude varie entre 88 et 133 m[19]. Le chĂȘne est l'essence la plus reprĂ©sentĂ©e, toutefois, la chĂȘnaie-hĂȘtraie est prĂ©sente sous forme de stations de faible superficie. La flore se caractĂ©rise par la prĂ©sence de vĂ©gĂ©taux associĂ©s aux sols acides comme la callune (Calluna vulgaris), la violette des chiens (Viola canina) ou la myrtille (vaccinium myrtillus), et aux sols neutres Ă  lĂ©gĂšrement alcalins sur calcaire ou marne (Rosa micrantha, la scille Ă  deux feuilles (Scilla bifolia), le cĂ©phalanthĂšre Ă  longues feuilles (Cephalanthera longifolia), le gaillet odorant (Galium odoratum)[20]. Un rĂ©seau complexe de mares (toutes ne sont pas en eau la mĂȘme annĂ©e) conduit Ă  de notables dĂ©placements d'amphibiens en pĂ©riode de reproduction. Le nord-est du massif est ainsi directement concernĂ©. Le nord du massif, nettement reliĂ© Ă  la vallĂ©e de la Clairis correspond Ă©galement Ă  un secteur de mouvements importants de mammifĂšres grands et petits ainsi que pour l'avifaune. L' intĂ©rĂȘt pour les chiroptĂšres semble s'ĂȘtre dĂ©placĂ© durant les annĂ©es vers la vallĂ©e de la Clairis[20]. La forĂȘt de Montargis est gĂ©rĂ©e par l'Office national des forĂȘts[21].

    Histoire

    La Pierre-aux-FĂ©es

    Avec sa position dans le Bassin Parisien et dans la vallée du Loing, la station de la Pierre-aux-Fées[22] est l'un des sites les plus importants du Paléolithique final pour les contacts entre le nord et le sud de la plaine européenne centrale et occidentale[23]. Son occupation date du Magdalénien supérieur et final[24] mais avec des particularités.

    Bien conservée, elle a fourni une industrie lithique incluant des pointes à cran hambourgiennes, des pointes à dos anguleux trÚs proches des pointes hambourgiennes, des perçoirs de type Zinken (les rares perçoirs trÚs fins étant sur éclats), d'étroits grattoirs sur bout de lame à front trÚs plat. Les silex sont façonnés par débitage laminaire de nucleus aménagés, souvent bipolaires. Il y a trÚs peu de lamelles à dos rabattu, ce qui distingue cet ensemble du Magdalénien final. Mais il se distingue aussi du Hambourgien pur par l'absence de formes microlithiques et le fait que les grattoirs sont plus étroits et leur plan de travail plus plat que celui des grattoirs hambourgiens[23].
    Plusieurs auteurs (Schmider, 1971[25] ; Tromnau, 1981[26] ; Kobusiewicz 1983 ; Allain, 1989[27]) ont proposĂ© l’existence de contacts entre le Hambourgien et notamment le MagdalĂ©nien du Bassin parisien, sur la base de la prĂ©sence rĂ©guliĂšre de pointes lithiques Ă©voquant entre autres les pointes Ă  cran hambourgiennes qui, dans certains inventaires, l'emportent mĂȘme sur les lamelles Ă  dos, armatures typiques du MagdalĂ©nien. L'industrie lithique du locus 7 du Tureau des Gardes (Marolles-sur-Seine[28]) prĂ©sente les mĂȘmes caractĂ©ristique hambourgiennes que celle de la Pierre-aux-FĂ©es[29].

    La mĂȘme Ă©poque a fourni une plaquette gravĂ©e reprĂ©sentant une tĂȘte de cheval dĂ©licatement dessinĂ©e[23] de cm de long[30].

    Deux foyers de la couche IV dans le secteur 2 indiqueraient l'emplacement d'une structure d'habitat[31].

    En 1983 la station de la Pierre-aux-FĂ©es est en cours de fouille[23].

    Sites proches

    Un autre site du PalĂ©olithique supĂ©rieur est dĂ©couvert fin septembre 1974[32] au lieu-dit La Maison Blanche[33] - [34] Ă  2,4 km[33] au nord[32] sur la commune de Fontenay-sur-Loing[35]. MalgrĂ© la proximitĂ© avec la Pierre-aux-FĂ©es, la Maison Blanche est un site du MagdalĂ©nien typique, sans tendances hambourgiennes[32].

    Un peu plus Ă©loignĂ©s, Ă  50 km au nord se trouvent le grand site magdalĂ©nien de Pincevent et ceux de Marolles-sur-Seine (Seine-et-Marne). Le site de Marsangy (Yonne) est Ă  un peu moins de 50 km Ă  l'est.

    Antiquité

    Le Chalat

    Établissement rural occupĂ© entre le Ier siĂšcle avant notre Ăšre et le Ier siĂšcle de notre Ăšre[36].

    Moyen-Âge

    Cepoy fut, jusqu'au milieu du XIVe siÚcle, le siÚge d'un bailliage qui fut transféré à Montargis en raison de l'essor pris par cette cité, en raison de la fréquentation royale de son chùteau.

    Temps modernes

    Un relais de poste a existĂ© jusque dans la seconde moitiĂ© du XVIIIe siĂšcle au hameau de Puy la Laude, en contrebas du tracĂ© actuel de la route nationale 7, Ă  la lisiĂšre ouest de la forĂȘt de Montargis.

    En 1743, Cepoy fut érigée en marquisat sous Louis XV, au profit de Guillaume Bouvier de La Motte (1686-1759), petit-neveu de Madame Guyon, célÚbre mystique amie et correspondante de Fénelon.

    La physionomie du chùteau de Cepoy (qui héberge aujourd'hui une école des Compagnons du devoir), date à peu prÚs de cette époque, la construction d'origine, datant du rÚgne de François Ier, ayant été fortement remaniée.

    La gare de Cepoy sur la ligne de Moret - Veneux-les-Sablons à Lyon-Perrache est mise en service vers 1888 par la Compagnie des chemins de fer de Paris à Lyon et à la Méditerranée (PLM). Elle était encore en service en 1975, elle a été fermée et détruite depuis.

    HĂ©raldique

    Blason de Cepoy

    Les armes de Cepoy se blasonnent ainsi :

    De gueules Ă  un chevron d'or accompagnĂ© de trois trĂšfles du mĂȘme[37].

    (armoiries de la famille Bouvier de La Motte, marquis de Cepoy)[38]

    Urbanisme

    Typologie

    Cepoy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 3] - [39] - [40] - [41]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Montargis, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 8 communes[42] et 56 233 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[43] - [44].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montargis dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[45] - [46].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (43,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (53,9 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (43,7 %), zones urbanisĂ©es (23,3 %), forĂȘts (20,1 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (8,5 %), eaux continentales[Note 5] (4,4 %)[47].

    L’évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    • Carte orthophotographique de la commune en 2016.
      Carte orthophotographique de la commune en 2016.

    Organisation urbaine

    La commune est traversée par la vallée du Loing qui est limitée en rive gauche par le canal du Loing, et en rive droite par la RD 240 et la voie S.N.C.F. et mitée par diverses anciennes sabliÚres. L'urbanisation s'est développée des deux cÎtés de la vallée, quelques équipements dont la mairie étant cependant implantés sur une ßle entre deux bras de la riviÚre.

    Voies de communication et transports

    RĂ©seau routier principal de la commune de Cepoy (avec indication du trafic routier 2014).

    La commune est desservie par les transports en commun de l'agglomération montargoise.

    Risques naturels et technologiques

    La commune de Cepoy est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : inondations (par dĂ©bordement du Loing), climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicitĂ© faible). Elle est Ă©galement exposĂ©e Ă  un risque technologique : le risque de transport de matiĂšres dangereuses [48]. Entre 1999 et 2019, quatre arrĂȘtĂ©s ministĂ©riels ayant portĂ© reconnaissance de catastrophe naturelle ont Ă©tĂ© pris pour le territoire de la commune de Cepoy : trois pour des inondations et coulĂ©es de boues et un pour des mouvements de terrains[49].

    Carte de l'aléa retrait-gonflement des argiles concernant la commune de Cepoy

    Risques naturels

    Les constructions exposĂ©es au risque d'inondation pour une crue centennale reprĂ©sentaient en 2007 environ 40 logements, soit prĂšs de 110 habitants, quelques bĂątiments Ă  usage d’activitĂ©s (commerce, moulin), des Ă©tablissements recevant du public et plusieurs Ă©quipements sensibles (mairie, camping, avenue du ChĂąteau
)[50]. Les crues du Loing ont essentiellement lieu aux mois de dĂ©cembre, janvier et fĂ©vrier, qui concentrent l’ensemble des crues majeures, plus rarement en automne (octobre 1896), et au printemps (mai 1836). Les deux crues de rĂ©fĂ©rence sont celles de janvier 1910 (3,16 m Ă  Montargis) et de mai-juin 2016 (3,36 m Ă  la mĂȘme station)[51] - [52]. Le risque d'inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prĂ©vention du risque inondation (PPRI) AgglomĂ©ration montargoise et Loing Aval approuvĂ© le par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral et modifiĂ© en 2013 pour la commune de Dordives[53].

    Le territoire de la commune peut Ă©galement ĂȘtre concernĂ© par un risque d'effondrement de cavitĂ©s souterraines non connues. Une cartographie dĂ©partementale de l'inventaire des cavitĂ©s souterraines et des dĂ©sordres de surface a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Il a Ă©tĂ© recensĂ© sur la commune plusieurs effondrements de cavitĂ©s[54].

    Par ailleurs, le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomÚne de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[55]. Ce phénomÚne peut provoquer des dégùts trÚs importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particuliÚrement affecté le Loiret aprÚs la canicule de l'été 2003. Une grande partie du territoire de la commune est soumis à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM)[56].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicitĂ© croissante[57]. La commune, Ă  l’instar de l’ensemble du dĂ©partement, est concernĂ©e par un risque trĂšs faible[49].

    Risques technologiques

    La commune est concernée par le risque de transport de matiÚres dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'itinéraires routiers structurants supportant un fort trafic (l'autoroute A77 et la route départementale D740)[48] - [58].

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse et bourg de Cepoy acquiert le statut de municipalitĂ© avec le dĂ©cret du de l'AssemblĂ©e Nationale[59] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le dĂ©cret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[60]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un rĂ©gime juridique uniforme soit dĂ©fini pour toutes les communes de France, point de dĂ©part de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[61].

    Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[62].

    Localisation de la commune de Cepoy dans la communauté d'agglomération Agglomération Montargoise et Rives du Loing.

    Initialement constituĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le , le district urbain de l’agglomĂ©ration Montargoise, le plus ancien district de France, regroupait huit communes dont la commune de Cepoy. Celui-ci avait des compĂ©tences rĂ©duites : ordures mĂ©nagĂšres, transports, service dĂ©partemental d’incendie et de secours (SDIS) et assainissement. La communautĂ© d’agglomĂ©ration a Ă©tĂ© crĂ©Ă©e dans l’optique d’avoir une mutualisation des moyens. En application des dispositions de la loi no 99-586 du relative au renforcement et Ă  la simplification de la coopĂ©ration intercommunale, le district s’est transformĂ© en communautĂ© d’agglomĂ©ration qui a pris le nom de « AgglomĂ©ration Montargoise et Rives du Loing » par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du . Les statuts dont Ă©tĂ© adoptĂ©s le [63]. La commune appartient Ă  d'autres Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale, de type syndicats ou autres regroupements intercommunaux. Le dĂ©coupage territorial de ces structures est en constante Ă©volution dans une perspective de rationalisation et d'efficience des services[Note 6].

    La loi du portant nouvelle organisation territoriale de la RĂ©publique (dite loi NOTRe), visant une rĂ©duction du nombre d'intercommunalitĂ©s en France, fait passer de 5 000 Ă  15 000 habitants, sauf exceptions, le seuil dĂ©mographique minimal pour constituer une intercommunalitĂ© et a un impact sur les pĂ©rimĂštres des intercommunalitĂ©s du dĂ©partement du Loiret dont le nombre passe de 28 Ă  16. Mais la communautĂ© d'agglomĂ©ration AgglomĂ©ration Montargoise et Rives du Loing, dont la population totale dĂ©passe le nouveau seuil minimal, ne voit pas son pĂ©rimĂštre changer[64] et la commune de Cepoy en reste donc membre. Cette loi a toutefois un impact sur ses compĂ©tences avec l'attribution de nouvelles comptĂ©nces comme de la gestion des milieux aquatiques et de la prĂ©vention des inondations Ă  partir du [65].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien RĂ©gime, Ă  la veille des États gĂ©nĂ©raux de 1789, la paroisse de Cepoy Ă©tait rattachĂ©e sur le plan ecclĂ©siastique Ă  l'ancien diocĂšse de Sens[66] et sur le plan judiciaire au bailliage de Montargis[67].

    La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă  neuf districts eux-mĂȘmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siĂšge d’une administration d’État et constituent Ă  ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Cepoy est alors incluse dans le canton de Montargis, le district de Montargis et le dĂ©partement du Loiret[68].

    La recherche d’un Ă©quilibre entre la volontĂ© d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exĂ©cution et le contrĂŽle des lois d’une part, et la volontĂ© d’accorder une certaine autonomie aux collectivitĂ©s de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 Ă  1838[69]. Les dĂ©coupages territoriaux Ă©voluent ensuite au grĂ© des rĂ©formes visant Ă  dĂ©centraliser ou recentraliser l'action de l'État. La rĂ©gionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit Ă  la crĂ©ation de rĂ©gions[70]. L'acte I de la dĂ©centralisation de 1982-1983 constitue une Ă©tape importante en donnant l'autonomie aux collectivitĂ©s territoriales, rĂ©gions, dĂ©partements et communes[71]. L'acte II intervient en 2003-2006[72], puis l'acte III en 2012-2015.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Cepoy aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom PĂ©riode Type Évolution du dĂ©coupage territorial
    DistrictMontargis1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Montargis de 1790 à 1795[62] - [68]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquiÚrent dÚs lors plus d'importance[73].
    CantonMontargis1790-1801Administrative et Ă©lectoraleEn 1790, lors de la crĂ©ation des cantons, districts et dĂ©partements, la commune de Cepoy est rattachĂ©e au canton de Montargis[62]. Les cantons sont supprimĂ©s, en tant que dĂ©coupage administratif, par une loi du 26 juin 1793, et ne conservent qu'un rĂŽle Ă©lectoral[73]. Ils permettent l’élection des Ă©lecteurs du second degrĂ© chargĂ©s de dĂ©signer les dĂ©putĂ©s[74]. Ils acquiĂšrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    Montargis1801-1973Sous le Consulat, un redĂ©coupage territorial visant Ă  rĂ©duire le nombre de justices de paix ramĂšne le nombre de cantons dans le Loiret de 59 Ă  31[75]. Cepoy est alors rattachĂ©e au canton de Montargis par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X (30 septembre 1801)[76] - [62].
    Chùlette-sur-Loing1973-2015En 1973, la commune est rattachée au canton de Chùlette-sur-Loing, un canton issu de la division de l'ancien cantonde Montargis[77] - [78].
    ChĂąlette-sur-Loing2015-ÉlectoraleLa loi du [79] et ses dĂ©crets d'application publiĂ©s en fĂ©vrier et [80] introduisent un nouveau dĂ©coupage territorial pour les Ă©lections dĂ©partementales. La commune est alors rattachĂ©e au canton de ChĂąlette-sur-Loing[80]. Depuis cette rĂ©forme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compĂ©tence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau dĂ©coupage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est dĂ©sormais uniquement une circonscription Ă©lectorale dĂ©diĂ©e Ă  l'Ă©lection d'un binĂŽme de conseillers dĂ©partementaux siĂ©geant au conseil dĂ©partemental[81].
    ArrondissementMontargis1801-AdministrativeCepoy est rattachée à l'arrondissement de Montargis depuis sa création en 1801[62] - [76].
    Circonscription lĂ©gislative4e circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siĂšge de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[82] - [83]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[84]. La rĂ©forme n'affecte pas Cepoy qui reste rattachĂ©e Ă  la quatriĂšme circonscription[85].

    Collectivités de rattachement

    La commune de Cepoy est rattachĂ©e au dĂ©partement du Loiret et Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire[86], Ă  la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivitĂ©s territoriales.

    Conseil municipal et maire

    Depuis les Ă©lections municipales de 2014, le conseil municipal de Cepoy, commune de plus de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin proportionnel de liste Ă  deux tours (sans aucune modification possible de la liste)[87], pour un mandat de six ans renouvelable[88]. Il est composĂ© de 19 membres[89]. L'exĂ©cutif communal, est constituĂ© par le maire, Ă©lu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-Ă -dire pour la durĂ©e du mandat du conseil.

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    1791 ? Pierre Bizieux
    1871 ? Guillaume Lacroix Gauche radicale Entrepreneur en travaux publics
    Conseiller général du canton de FerriÚres (1877-1901)
    1955 mars 1977 Georges Petit
    mars 1977 mars 1989 Jean Bezeault
    mars 1989 juin 1995 Jean Lamy
    juin 1995 mars 2008 Paul Ferrari DVD MĂ©decin
    Vice-prĂ©sident de la communautĂ© d’agglomĂ©ration montargoise (2001-2008)
    mars 2014 mai 2020 Jean-Paul Schouleur[90] retraité
    mai 2020 En cours RĂ©gis Guerin[90] - [91] Ancien cadre
    Les données manquantes sont à compléter.

    En 2008, la commune a reçu le label « Ville Internet »[92].

    Jumelages

    Drapeau de la SuĂšde Dals-Ed (SuĂšde).

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    En 2016, la commune est membre du syndicat mixte de ramassage et de traitement des ordures mĂ©nagĂšres (SMIRTOM) de Montargis, crĂ©Ă© en 1968. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres rĂ©siduelles[Note 7], des emballages mĂ©nagers recyclables et des encombrants en porte Ă  porte et du verre en points d’apport volontaire[93]. Un rĂ©seau de trois dĂ©chĂšteries accueille les encombrants et autres dĂ©chets spĂ©cifiques (dĂ©chets verts, dĂ©chets dangereux, gravats, ferraille, cartons
). La dĂ©chĂšterie la plus proche de la commune est situĂ©e sur la commune d'Amilly[94].

    Le SMIRTOM de Montargis procÚde également à l'élimination et la valorisation énergétique des déchets ménagers et de ceux issus de la collecte sélective dans l'unité d'Amilly, construite en 1969. Une convention de délégation du service public de traitement a été conclue en 2013 avec la société Novergie Centre, filiale énergie du Groupe Suez pour la valorisation énergétique des déchets[95].

    Depuis le , la « gestion des déchets ménagers » ne fait plus partie des compétences de la commune mais est une compétence obligatoire de la communauté d'agglomération Agglomération montargoise et rives du Loing en application de la loi NOTRe du [96].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d’eau potable est une compĂ©tence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 dĂ©cembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[97]. La commune de Cepoy a dĂ©lĂ©guĂ© la gestion du service au syndicat intercommunal d'alimentation en eau potable de la rĂ©gion du Puy la Laude, un syndicat crĂ©Ă© en 1957 desservant cinq communes : Cepoy, Corquilleroy, Fontenay-sur-Loing, Girolles et Paucourt[98] - [99] - [100]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal relĂšvent dĂ©sormais de la compĂ©tence de la communautĂ© de l'agglomĂ©ration montargoise et des rives du Loing (A.M.E.) qui assure la reprĂ©sentation-substitution des communes adhĂ©rentes au SIAEP, dont Cepoy, au sein de celui-ci. 7 497 habitants Ă©taient desservis par le syndicat en 2015 (7 473 au 31/12/2014)[101]. Les trois ressources sont les deux forages situĂ©s sur la commune de Cepoy et le puits de l’Abymes sur la commune de Paucourt. Le volume prĂ©levĂ© en 2015 atteint 588 064 m3 d'eaux brutes. Le volume d'eau consommĂ©e s'Ă©lĂšve en 2015 Ă  369 215 m3 et est distribuĂ©e Ă  4 197 abonnĂ©s dont 1 424 sur la commune de Cepoy[102].

    Assainissement

    La compĂ©tence assainissement, qui recouvre obligatoirement la collecte, le transport et l’épuration des eaux usĂ©es, l’élimination des boues produites, ainsi que le contrĂŽle des raccordements aux rĂ©seaux publics de collecte[103], est Ă©galement assurĂ©e par l'A.M.E.[104] - [105] - [106] qui dispose ainsi en 2015 d’un rĂ©seau de 384,8 km, de 11 737 regards de visite et de 145 postes de relevage et de trois stations d’épuration principales situĂ©es Ă  Chalette-sur-Loing, Ă  Amilly et Ă  Vimory[107]. La commune est raccordĂ©e Ă  la station d'Ă©puration situĂ©e sur le territoire de la commune de Chalette-sur-Loing, mise en service le et dont la capacitĂ© nominale de traitement est de 85 000 EH, soit 16 700 m3/jour. Cet Ă©quipement utilise un procĂ©dĂ© d'Ă©puration biologique dit « Ă  boues activĂ©es ». Son exploitation est assurĂ©e en 2017 par la Lyonnaise des Eaux Amilly[108] - [109].

    Certaines rues de la commune ne sont pas desservies par le rĂ©seau d’eaux usĂ©es (rĂ©seau d’assainissement collectif) de l’AgglomĂ©ration montargoise et les habitations doivent dĂšs lors ĂȘtre pourvues d’un systĂšme d’assainissement individuel. L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe ces installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[110]. L'agglomĂ©ration montargoise assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vĂ©rifier la bonne exĂ©cution des travaux de rĂ©alisation et de rĂ©habilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[111] - [107].

    Prix de l'eau

    Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, Ă©lectricitĂ©, produits de traitement, renouvellement du matĂ©riel, analyses, Ă©limination des dĂ©chets, etc.)[112]. L'observatoire national des services d'eau et d'assainissement publie la description actualisĂ©e des services publics d'eau potable et d'assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[113]. Le prix au m3 est calculĂ© pour une consommation annuelle de 120 m3 (rĂ©fĂ©rence INSEE)[114].

    DomaineCommune201020112012201320142015
    Eau potableCepoy1,70[115]1,72[116]1,77[117]1,84[118]1,95[119]1,96[120]
    Loiret1,76[121]1,7[122]1,66[123]1,69[124]
    France1,93[121]1,96[122]2[123]2,03[124]
    AssainissementCepoyNC[115]2,51[116]2,56[117]3,24[118]2,38[119]1,94[120]
    Loiret2,07[121]2,19[122]2,25[123]2,38[124]
    France1,73[121]1,82[122]1,85[123]1,89[124]

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[125]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[126].

    En 2020, la commune comptait 2 400 habitants[Note 8], en augmentation de 2,52 % par rapport Ă  2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    7758647988659259729491 0201 029
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9711 0121 0111 0031 0019879431 021954
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    9109159911 1311 3711 3651 3681 4811 723
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 6641 5841 5431 8561 9932 0642 2922 3442 366
    2020 - - - - - - - -
    2 400--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[127] puis Insee Ă  partir de 2006[128].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Elle est située dans l'aire urbaine de Montargis.

    Économie

    Comme dans la majeure partie de l'Orléanais et du Gùtinais, la survenue du phylloxéra, à la fin du XIXe siÚcle, a profondément modifié la sociologie de la commune. Aux XVIIe et XVIIIe siÚcles, une bonne moitié des chefs de famille étaient qualifiés de vignerons (activité sans doute non exclusive). Aujourd'hui, l'activité viticole a complÚtement disparu, hormis pour de rares usages domestiques.

    ParallÚlement, le développement des établissements Hutchinson, dans la commune voisine de Chùlette-sur-Loing, a parachevé le déclin des activités agricoles dans la commune.

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L’église Saint-Loup datant de la fin du XIe siĂšcle et de la premiĂšre moitiĂ© du XIIe siĂšcle, fut restaurĂ©e Ă  la fin du XIXe siĂšcle.
      Inscription sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques le 29 décembre 1981.[129] ;
    • Le gisement prĂ©historique de la Pierre-aux-FĂ©es de 2 000 m2, du palĂ©olithique supĂ©rieur, au lieu-dit la Grosse-Pierre.
      Inscription sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques le 26 octobre 1977.[130] ;
    • L’ancienne maison du directeur gĂ©nĂ©ral des canaux d'OrlĂ©ans et du Loing ou maison des seigneurs du canal, commandĂ©e avant 1692 par Nicolas Cadot et construite dans les deux ou trois dĂ©cennies suivantes. Elle abrite aujourd'hui l'auberge de jeunesse.
      Inscription sur l'Inventaire supplémentaire des monuments historiques le 3 mai 1999.[131]
    • ChĂąteau, dĂ©truit en 1358 pendant la guerre de Cent Ans et reconstruit Ă  la fin des XIVe et XVIIe siĂšcles[132] ;
    • Le moulin de l'Écluse datant de 1530 et le moulin Neuf de 1830 ;
    • Plusieurs Ă©cluses ;
    • La forĂȘt domaniale de Montargis ;
    • Les rives du Loing ;
    • Une citĂ© ouvriĂšre de Cepoy, construite par les architectes Raguenet et Maillard, a fait l'objet d'un article dans la revue L'Architecture en 1923[133] ;
    • Le viaduc du Loing, pont mĂ©tallique de type bipoutre franchissant le Loing entre la commune et Fontenay-sur-Loing.
    • Aperçu de Cepoy
    • Ecluse de Cepoy - Canal du Loing
      Ecluse de Cepoy - Canal du Loing
    • Église Saint Loup
      Église Saint Loup
    • ChĂąteau de Cepoy
      ChĂąteau de Cepoy
    • Pierre aux fĂ©es
      Pierre aux fées
    • Canal du Loing
      Canal du Loing
    • Isle - Parc de Cepoy
      Isle - Parc de Cepoy
    • Etang de la Grosse Pierre - Base nautique
      Etang de la Grosse Pierre - Base nautique
    • Etang de Vaussel
      Etang de Vaussel
    • Maison de la SuĂšde
      Maison de la SuĂšde
    • Centre-ville
      Centre-ville

    Personnalités liées à la commune

    • Raoul Nordling (1881-1962), consul de SuĂšde Ă  Paris sous l'occupation, est enterrĂ© Ă  Cepoy[134], oĂč il sĂ©journait frĂ©quemment et oĂč sa sƓur Alice FiĂ©vet vivait dĂšs avant la PremiĂšre Guerre mondiale ;
    • RĂ©my Julienne, cascadeur français, nĂ© Ă  Cepoy le et enterrĂ© au cimetiĂšre de Cepoy;
    • Franck Gava, ancien joueur international de football nĂ© en 1970, est originaire de Cepoy oĂč il a commencĂ© sa carriĂšre ;
    • StĂ©phane Robert, joueur de tennis professionnel, nĂ© en 1980, ayant atteint la 61e place mondiale en 2010.

    Manifestations

    FĂȘte du village : fĂȘte Saint-Loup le premier week-end de septembre. Spectacles, retraite aux flambeaux, feu d'artifice, etc.

    Divers

    Le nom « Cepoy », habituellement prononcĂ© /se.pwa/ jusque dans la premiĂšre moitiĂ© du XXe siĂšcle, a inspirĂ© l'un des noms de plume – « Jacques CĂ©poy » (avec un accent) – du journaliste Pierre Pujo, qui avait quelques racines maternelles Ă  FerriĂšres-en-GĂątinais, mais aussi Ă  MignĂšres et Pannes ; le nom du « haras de Cepoy », un Ă©levage de chevaux lipizzan situĂ©s Ă  Loches (Indre-et-Loire), propriĂ©tĂ© de Chantal Bouvier de Lamotte, Miss France 1972.

    La commune possĂšde plusieurs labels :

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[13] - [14]
    2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    5. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    6. La commune peut faire partie de diverses autres intercommunalitĂ©s qui ne sont pas reprĂ©sentĂ©es : des syndicats (syndicats intercommunaux Ă  vocation unique(SIVU), (syndicats intercommunaux Ă  vocation multiple(SIVOM), syndicats mixtes) ou d’autres regroupements intercommunaux (programme local de l'habitat (PLH), contrat local de santĂ© (CLS), centre intercommunal d'action sociale (CIAS).
    7. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus aprÚs extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).

    Références

    1. Gentilés des communes du Loiret
    2. « Zonage en petites régions agricoles », sur http://agreste.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre "Cepoy" et "Orléans », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    4. « Orthodromie entre "Cepoy" et "Montargis" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    5. « Fiche communale », sur http://www.insee.fr/ (consulté le ).
    6. « Villes les plus proches de Cepoy », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    7. « Histoire gĂ©ologique du Bassin parisien », sur le site du SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie (consultĂ© le ).
    8. « Carte géologique de Cepoy » sur Géoportail (consulté le 29 mai 2022).
    9. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Cepoy », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    10. « Notice associée à la feuille n°329 - Chùteau-Landon de la carte géologique harmonisée au 1/50 000Úme de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    11. « Notice associée à la feuille n°365 - Montargis de la carte géologique harmonisée au 1/50 000Úme de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Cepoy », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Île-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
    15. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    16. On ne dispose pas de preuve tangible d'un lien entre le nom de ce pont et le voyage retentissant, au printemps 1827, du convoi pédestre conduisant la girafe offerte à Charles X par Méhémet Ali de Marseille à Paris, mais il n'existe également aucune preuve rendant plausible toute autre explication sur le nom de ce pont.
    17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Cepoy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    18. « DĂ©coupage communal de la ZNIEFF 240003882 - ForĂȘt de Montargis », sur le site des zonages du domaine de la BiodiversitĂ©, publiĂ© par la DREAL Centre. (consultĂ© le ).
    19. « ZNIEFF 240003882 - ForĂȘt de Montargis - fiche de synthĂšse », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
    20. « ZNIEFF 240003882 - ForĂȘt de Montargis - fiche descriptive. », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
    21. « Carte - guide de la forĂȘt domaniale de Montargis », sur le site de l'ONF (consultĂ© le ).
    22. « La Pierre-aux-Fées à Cepoy, carte interactive » sur Géoportail.
    23. [Kobusiewicz 1983] Michel Kobusiewicz, « Le problĂšme des contacts des peuples du PalĂ©olithique final de la plaine europĂ©enne avec le territoire français », Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique française, vol. 80, nos 10-12 « Études & Travaux »,‎ , p. 308-321 (lire en ligne [sur persee], consultĂ© en ), p. 312.
    24. [Despriée & Duvialard 1994] Jackie Despriée et Jean Duvialard, Préhistoire en région Centre, t. 2 : Les Hommes modernes, Centre départemental de documentation pédagogique du Loir-et-Cher, DRAC du Centre, , 160 p. (présentation en ligne), « Le Magdalénien supérieur et final - Le site de la Roche-aux-Fées à Cepoy, Loiret », p. 75-86.
    25. [Schmider 1971] BĂ©atrice Schmider, « Les industries lithiques du PalĂ©olithique supĂ©rieur en Île-de-France », VIe supplĂ©ment Ă  Gallia PrĂ©histoire, Paris, CNRS,‎ (prĂ©sentation en ligne).
    26. [Tromnau 1981] G. Tromnau, « Die Hamburger Kultur » (Actes du Colloque international organisĂ© dans le cadre du Xe CongrĂšs U.I.S.S.S. Ă  Mexico, Ă©d. J.K. KozƂowski & S.K. KozƂowski), Archaeologia Interregionals, Cracow-Warsaw, no 1 « PrĂ©histoire de la Grande Plaine de l'Europe »,‎ , p. 131-141.
    27. [Allain 1989] Jacques Allain, « La Fin du Paléolithique supérieur en région Centre », dans Jean-P. Rigaud, Le Magdalénien en Europe. La structuration du Magdalénien (Actes du colloque de Mayence 1987), LiÚge, université de LiÚge, coll. « ERAUL » (no 38), , p. 197-217.
    28. [Lang 1998] L. Lang, Marolles-sur-Seine : « Le Tureau des Gardes » (Seine-et-Marne). Site n° 77 279 027 AP. Vestiges d’implantations du PalĂ©olithique supĂ©rieur. Fouilles de sauvetage urgent. Campagnes du 01.03.97 au 30.04.97, du 01.09.97 au 31.10.97 et du 01.03.98 au 31.03.98 (Document final de synthĂšse, Bazoches-lĂšs-Bray, Saint-Denis), . CitĂ© dans Valentin, Bodu & Julien 2004, p. 67.
    29. [Valentin, Bodu & Julien 2004] Boris Valentin, Pierre Bodu et MichĂšle Julien, Habitats et peuplements tardiglaciaires du Bassin parisien (Projet collectif de recherche 2003-2005. Rapport d’activitĂ© pour 2004), CNRS, Équipe ethnologie PrĂ©historique UMR 7041, , 187 p. (lire en ligne [PDF] sur hal-lara.archives-ouvertes.fr), p. 67.
    30. [Allain et al. 1978] Jacques Allain, AndrĂ© Aubourg, Michel Grattier et Jean-Marie Lorain, « Site prĂ©historique de la Pierre-aux-FĂ©es (Cepoy, Loiret) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© d'Émulation de Montargis, no 1 « SpĂ©cial »,‎ (lire en ligne [sur gallica]), p. 19.
    31. [Wenzel & Jagu 2010] Stefan Wenzel et Dominique Jagu, « L’habitat autour du foyer T5/T6 dans le gisement du MagdalĂ©nien final de Cepoy (Loiret, France) » (Colloque RzeszĂłw, 20-22 septembre 2005), Archaeologica Ressoviensis, no 15 « The Magdalenian in Central Europe. New finds and concepts »,‎ (lire en ligne [PDF] sur hal.archives-ouvertes.fr, consultĂ© en ).
    32. Allain et al. 1978, p. 20.
    33. « La Maison Blanche à Fontenay-sur-Loing, carte interactive » sur Géoportail.
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    Voir aussi

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    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)

    Articles connexes

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