FĂ©nelon
François de Salignac de La Mothe-FĂ©nelon, dit couramment FĂ©nelon, surnommĂ© « le Cygne de Cambrai », est un homme d'Ăglise, thĂ©ologien, pĂ©dagogue et Ă©crivain français, nĂ© le au chĂąteau de FĂ©nelon Ă Sainte-Mondane (Quercy, aujourd'hui la Dordogne) et mort le Ă Cambrai.
Nom de naissance | François de Salignac de La Mothe-Fénelon |
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Naissance |
Sainte-Mondane |
DĂ©cĂšs |
Cambrai |
Activité principale | |
Distinctions |
Académicien (1693) |
Langue dâĂ©criture | Français |
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Mouvement |
Classicisme français Quiétisme |
Ćuvres principales
- Traité de l'éducation des filles (1687)
- Lettre Ă Louis XIV (1693)
- Les Aventures de Télémaque (1699)
FĂ©nelon | ||
Biographie | ||
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Ordination sacerdotale | Ă Sarlat | |
ĂvĂȘque de l'Ăglise catholique | ||
Ordination Ă©piscopale | par Jacques-BĂ©nigne Bossuet Ă Saint-Cyr-l'Ăcole | |
ArchevĂȘque de Cambrai | ||
â | ||
(en) Notice sur www.catholic-hierarchy.org | ||
PrĂ©cepteur du duc de Bourgogne â petit-fils de Louis XIV â, archevĂȘque de Cambrai (1695-1715), il s'opposa Ă Bossuet et tomba en disgrĂące lors de la querelle du quiĂ©tisme, et surtout, aprĂšs la publication de son roman, Les Aventures de TĂ©lĂ©maque (1699), considĂ©rĂ© comme une critique de la politique de Louis XIV et dont l'influence littĂ©raire fut considĂ©rable pendant plus de deux siĂšcles[1]. FĂ©nelon a Ă©galement Ă©crit plusieurs autres ouvrages concernant la pĂ©dagogie ou bien didactiques (TraitĂ© de l'Ă©ducation des filles, Recueil des fables, Dialogues des morts, notamment)[2].
Biographie
Origine et parcours
FĂ©nelon, nĂ© le au chĂąteau de FĂ©nelon Ă Sainte-Mondane, Ă©tait issu d'une famille noble du PĂ©rigord, ancienne mais appauvrie. Il est le fils de Pons de Salignac (1601-1663)[3], marquis de La Mothe-FĂ©nelon et de la seconde Ă©pouse de ce dernier, Louise de La Cropte de ChantĂ©rac. Plusieurs des ancĂȘtres de FĂ©nelon s'Ă©taient occupĂ©s de politique, et sur plusieurs gĂ©nĂ©rations certains avaient servi comme Ă©vĂȘques de Sarlat. Comme il Ă©tait un cadet (son pĂšre ayant eu neuf enfants de sa premiĂšre Ă©pouse, Isabeau d'Esparbes de Lussan, et trois de sa seconde, dont FĂ©nelon), il fut destinĂ© de bonne heure Ă une carriĂšre ecclĂ©siastique, tout comme son demi-frĂšre homonyme issu du premier lit, François Pons de Salignac comte de La Mothe-FĂ©nelon, sulpicien et missionnaire au Canada.
Dans son enfance, FĂ©nelon reçut l'enseignement d'un tuteur au chĂąteau de FĂ©nelon, qui lui donna une solide connaissance du grec ancien et des classiques. En 1667, Ă l'Ăąge de seize ans, on l'envoya Ă l'universitĂ© de Cahors oĂč il Ă©tudia la rhĂ©torique et la philosophie. Quand le jeune homme exprima son attirance pour une carriĂšre dans l'Ăglise, son oncle, le marquis Antoine de FĂ©nelon (ami de Jean-Jacques Olier et de saint Vincent de Paul, il avait participĂ© Ă la fondation de la Compagnie du Saint-Sacrement dont les principes influenceront profondĂ©ment son neveu) l'envoya Ă©tudier au collĂšge du Plessis, dont les Ă©tudiants en thĂ©ologie recevaient le mĂȘme enseignement que ceux de la Sorbonne. Il s'y lia avec Louis Antoine de Noailles, qui plus tard devint cardinal et archevĂȘque de Paris. FĂ©nelon montra un tel talent au collĂšge du Plessis qu'il y prĂȘcha avec succĂšs dĂšs l'Ăąge de quinze ans[4].
AprĂšs avoir, Ă partir de 1672, Ă©tudiĂ© au sĂ©minaire Saint-Sulpice, Ă©galement proche des jĂ©suites, il fut reçu docteur en thĂ©ologie Ă l'universitĂ© de Cahors le et ordonnĂ© prĂȘtre Ă Sarlat, le [5]. Attirant lâattention sur lui par de belles prĂ©dications, il fut nommĂ© en juin 1679 par l'archevĂȘque de Paris supĂ©rieur de lâInstitut des nouvelles catholiques, un internat parisien consacrĂ© Ă la « rĂ©Ă©ducation » de jeunes filles de bonne famille dont les parents, dâabord protestants, avaient Ă©tĂ© convertis au catholicisme[6].
Une ascension remarquable
Ses fonctions l'inspirĂšrent et, dĂšs 1681, il consigna son expĂ©rience pĂ©dagogique dans son TraitĂ© de l'Ă©ducation des filles (qui ne fut publiĂ© quâen 1687) initialement pour l'usage du duc et de la duchesse de Beauvilliers. Ă la fin de 1685, aprĂšs la rĂ©vocation de l'Ădit de Nantes de 1598, sur la recommandation de Bossuet, Louis XIV lui confia la direction d'une mission en Aunis et Saintonge : convertir les protestants[7].
Pendant ces annĂ©es-lĂ , il fit partie du cercle qui entourait Bossuet, le fougueux porte-parole de lâĂ©piscopat français. En 1688, il fut prĂ©sentĂ© Ă Madame de Maintenon, seconde Ă©pouse de Louis XIV. Celle-ci sympathisait Ă lâĂ©poque avec Madame Guyon, femme mystique et pieuse, et avec son quiĂ©tisme. Elle lâimpressionna profondĂ©ment quand ils firent connaissance.
Saint-Simon le décrit ainsi :
« Plus coquet que toutes les femmes, mais en solide, et non à misÚres, sa passion était de plaire, et il avait autant de soin de captiver les valets que les maßtres, et les plus petites gens que les personnages. Il avait pour cela des talents faits exprÚs : une douceur, une insinuation, des grùces naturelles et qui coulaient de source, un esprit facile, ingénieux, fleuri, agréable, dont il tenait, pour ainsi dire, le robinet pour en verser la qualité et la quantité exactement convenable à chaque chose et à chaque personne ; il se proportionnait et se faisait tout à tous. »
Dans lâĂ©tĂ© 1689, sur la proposition de Madame de Maintenon dont il Ă©tait entretemps devenu le conseiller spirituel, il fut nommĂ© prĂ©cepteur du duc de Bourgogne, ĂągĂ© de sept ans, petit-fils de Louis XIV et son Ă©ventuel hĂ©ritier. Il sut enseigner Ă son Ă©lĂšve « toutes les vertus d'un chrĂ©tien et d'un prince », et lui inspira pour sa personne une affection qui ne se dĂ©mentit jamais. En 1690, il fut Ă©galement chargĂ© de l'Ă©ducation des deux frĂšres du duc de Bourgogne, le duc d'Anjou et le duc de Berry[8].
Il acquit ainsi une position influente Ă la cour et fut admis Ă lâAcadĂ©mie française (1693) comme les autres prĂ©cepteurs princiers.
La disgrĂące
Mais en 1694, lâaffaire du quiĂ©tisme, querelle thĂ©ologique, l'opposa Ă Bossuet, qui lâavait dâabord soutenu. Dans son Explication des maximes des saints sur la vie intĂ©rieure, il prit la dĂ©fense de Madame Guyon arrĂȘtĂ©e en 1695 et condamnĂ©e Ă de longues annĂ©es d'enfermement. Tous deux constituent des rĂ©fĂ©rences majeures de ce que l'on appelait au XVIIe siĂšcle « le christianisme intĂ©rieur, la vie du chrĂ©tien intĂ©rieur ».
En 1695, il fut Ă©cartĂ© de l'Ă©ducation princiĂšre d'abord par un Ă©loignement temporaire Ă l'archevĂȘchĂ© de Cambrai (nommĂ© le , confirmĂ© le et ordonnĂ© le [9]) avant d'ĂȘtre disgraciĂ©. Il fut alors surnommĂ© « le Cygne de Cambrai ».
En 1697, Bossuet et d'autres dont Mme de Maintenon obtinrent que le Roi demande au pape de condamner Explication des maximes des saints sur la vie intérieure. Ce fut chose faite en 1699. Fénelon se soumit avec humilité et abjura publiquement ses erreurs.
Télémaque
Pour son Ă©lĂšve royal (qui cependant devait mourir en 1712 sans ĂȘtre devenu roi, pas plus que son pĂšre mort lâannĂ©e prĂ©cĂ©dente), FĂ©nelon Ă©crivit plusieurs Ćuvres amusantes et en mĂȘme temps instructives : d'abord une suite de fables, les Aventures d'AristonoĂŒs et les Dialogues des morts modernes, mais surtout, en 1694-1696, un roman Ă©ducatif d'aventures et de voyages Les Aventures de TĂ©lĂ©maque, fils d'Ulysse.
Dans ce roman Ă la fois pseudo-historique et utopique, il conduit le jeune TĂ©lĂ©maque, fils dâUlysse, flanquĂ© de son prĂ©cepteur Mentor (manifestement le porte-parole de FĂ©nelon) Ă travers diffĂ©rents Ătats de lâAntiquitĂ©, qui la plupart du temps, par la faute des mauvais conseillers qui entourent les dirigeants, connaissent des problĂšmes semblables Ă ceux de la France des annĂ©es 1690, plongĂ©e dans des guerres qui lâappauvrissent, problĂšmes qui cependant peuvent se rĂ©soudre (au moins dans le roman) grĂące aux conseils de Mentor par le moyen dâune entente pacifique avec les voisins, de rĂ©formes Ă©conomiques qui permettraient la croissance, et surtout de la promotion de l'agriculture et lâarrĂȘt de la production dâobjets de luxe.
à partir de 1698, Télémaque commença à circuler à la cour sous forme de copies, et on y vit tout de suite une critique à peine voilée contre la maniÚre autoritaire du gouvernement de Louis XIV, contre sa politique étrangÚre agressive et belliqueuse et contre sa politique économique mercantiliste, orientée vers l'exportation. Cet ouvrage, que Fénelon n'avait pas voulu rendre public, lui avait été soustrait par un domestique infidÚle.
Au dĂ©but de 1699, FĂ©nelon perdit son poste de prĂ©cepteur et quand, en avril, son TĂ©lĂ©maque fut publiĂ© (d'abord anonymement et sans son autorisation), Louis XIV y vit une satire de son rĂšgne, arrĂȘta l'impression et disgracia l'auteur : FĂ©nelon fut banni de la cour.
Le bannissement
par David d'Angers (1826)
dans la cathédrale de Cambrai.
avec ses trois bas-reliefs
Ă la Galerie David d'Angers, Ă Angers.
Vers 1700, il habita quelque temps en Belgique dans une demeure, longtemps appelĂ©e « la Belle Maison », se trouvant aux limites des communes de PĂąturages et dâEugies, puis il se retira dans son archevĂȘchĂ© de Cambrai oĂč, cessant toute activitĂ© en thĂ©ologie et en politique, il essaya de se conduire de façon exemplaire, conformĂ©ment aux enseignements de son personnage de Mentor (qui, dans le roman, nâĂ©tait autre que Minerve alias AthĂ©na, dĂ©esse de la Sagesse qui sâĂ©tait ainsi dĂ©guisĂ©e).
Pendant le cruel hiver de 1709, il se dépouilla de tout pour nourrir l'armée française qui campait prÚs de chez lui. La réputation de ses vertus attira à Cambrai nombre d'étrangers de distinction, entre autres Andrew Michael Ramsay qu'il convertit et qui ne le quitta plus. Il mourut en 1715 à l'ùge de 63 ans.
Un chapitre des Mémoires de Saint-Simon est consacré à sa mort, en des termes plutÎt élogieux.
Son dessein
Il a Ă©galement Ă©tĂ© le prĂ©cepteur du duc de Bourgogne, petit-fils de Louis XIV, auquel il tentera d'inculquer une Ă©ducation Ă©clairĂ©e sur les rĂ©alitĂ©s du pouvoir, en lutte contre « l'excĂšs de guerre » notamment. Il dĂ©finit pour le jour oĂč celui-ci deviendra roi de France un programme de gouvernement, les Tables de Chaulnes. Celles-ci, rĂ©digĂ©es avec le duc de Chevreuse, prĂŽnaient la monarchie, seule capable de maintenir l'unitĂ© et la cohĂ©sion d'un grand Ătat comme la France. Mais cette monarchie devait selon lui confier Ă la noblesse un large pouvoir : le roi gouverne certes, mais entourĂ© de conseils reconstituant l'ancienne curia mĂ©diĂ©vale telle que se l'imaginaient FĂ©nelon et Chevreuse ; le roi devait vivre des revenus de son domaine. Les Ătats gĂ©nĂ©raux doivent ĂȘtre rĂ©unis rĂ©guliĂšrement ; composĂ©s des « meilleurs », ils sont seuls habilitĂ©s Ă voter l'impĂŽt, d'ailleurs modĂ©rĂ© car les dĂ©penses de lâĂtat doivent ĂȘtre modĂ©rĂ©es, notamment par la limitation maximale de la guerre. L'administration du royaume doit ĂȘtre unifiĂ©e et en mĂȘme temps dĂ©centralisĂ©e grĂące Ă la suppression des commissaires et des intendants et par le rĂ©tablissement des pouvoirs des officiers et des assemblĂ©es locales. La vĂ©nalitĂ© des offices doit ĂȘtre abolie : officiers et magistrats doivent ĂȘtre nommĂ©s selon leur mĂ©rite et selon leur naissance. FĂ©nelon veut, tout comme Saint-Simon, mettre un terme Ă l'ascension de la bourgeoisie en limitant drastiquement les possibilitĂ©s d'anoblissement. Le commerce doit ĂȘtre libre. Enfin la France, abandonnant tout gallicanisme, rend autonomie et pouvoirs aux Ă©vĂȘques. Les Tables de Chaulnes dĂ©veloppent la pensĂ©e politique du TĂ©lĂ©maque.
FĂ©nelon sera lâauteur prĂ©fĂ©rĂ© de Louis XVI qui retiendra de sa doctrine que si « le pĂ©chĂ© originel a rendu lâinĂ©galitĂ© nĂ©cessaire pour empĂȘcher que chacun ne veuille ĂȘtre le maĂźtre et le tyran de tous les autres » et donc justifie la primautĂ© du roi, dans les faits « tous les hommes, y compris le roi, sont Ă©gaux de nature[10] ».
Citation célÚbre
« Sur-tout ne vous laissez point ensorceler par les attraits diaboliques de la géométrie. »
Ćuvres complĂštes De François de Salignac De La Mothe FĂ©nĂ©lon. TOME V Briand 1810 LETTRE CXLII (142) p. 106
Analyse littéraire
Dans la France des XVIIIe et XIXe siÚcles, Télémaque fut un des livres pour les jeunes les plus lus (Aragon et Sartre l'avaient lu dans leur jeunesse). On le considÚre parfois comme un précurseur de l'esprit des LumiÚres.
On lui doit un assez grand nombre d'ouvrages, dont quelques uns sont perdus, Louis XIV ayant fait brûler, à la mort du duc de Bourgogne, plusieurs de ses écrits qui se trouvaient dans les papiers du prince.
Ćuvres de FĂ©nelon
- Traité de l'éducation des filles[11] (1687) ;
- Traité du ministÚre des pasteurs, (1688) ;
- RĂ©futation du systĂšme du pĂšre Malebranche sur la nature et la grĂące (1688) ;
- Lettre Ă Louis XIV (1693) (sur le site recherche-fenelon.com).
- Explication des maximes des saints sur la vie intérieure (1697) ;
- Les Aventures de Télémaque (1699) ; sur Gutenberg.org
- Fables composées pour l'éducation du duc de Bourgogne (1700) ;
- Dialogues des morts (1712) ;
- Lettre sur les occupations de l'Académie (1714) ;
- Démonstration de l'existence de Dieu, tirée de la connaissance de la Nature et proportionnée à la faible intelligence des plus simples (1712), et avec une deuxiÚme partie, 1718, souvent réimprimé, notamment en 1810 avec notes de Louis-Aimé Martin ;
- Fables et opuscules pédagogiques (1718).
- Dialogues sur l'éloquence en général et sur celle de la chaire en particulier avec une lettre écrite à l'Académie française, (1718)[12] ;
- Examen de la conscience d'un roi (pour le duc de Bourgogne), imprimé seulement en 1734 ;
- des Sermons, qui pour la plupart furent prĂȘches d'abondance ;
- Ćuvres spirituelles , 2 volumes Anvers 1718 (Post mortem dont lettres spirituelles, T2).
Publications anciennes
Les Ćuvres de FĂ©nelon ont Ă©tĂ© publiĂ©es par l'abbĂ© Querbeuf aux frais du clergĂ© de France, Paris, 1787-1792, 9 volumes in-4; mais cette publication fut interrompue par la RĂ©volution.
La seule édition vraiment complÚte est celle qu'ont donnée Gosselin et Caron, d'aprÚs les manuscrits de l'auteur et avec sa Correspondance, 1830, 36 volumes in-8.
Ădition rĂ©cente
FĂ©nelon, Ćuvres, deux tomes (1983 et 1997), BibliothĂšque de la PlĂ©iade, Gallimard. (Ă©dition prĂ©sentĂ©e, Ă©tablie et annotĂ©e par Jacques Le Brun)
Famille
- L'abbé de Fénelon (1714-1794) était son petit-neveu. On connaßt encore au XVIe siÚcle, dans cette famille, Bertrand de Salignac de Lamothe Fénelon.
- La famille Salignac Fénelon existe encore bien que le chùteau de Salignac ait été vendu en 2006.
Notes et références
- « Les Aventures de TĂ©lĂ©maque : destins dâun best-seller », sur cairn.info
- Gabriel Compayré, « Fénelon », sur www.inrp.fr (consulté le )
- Sabine Melchior-Bonnet, FĂ©nelon, Perrin, , p. 28.
- Sabine Melchior-Bonnet, op. cit., p. 31.
- Catalogues régionaux des incunables des bibliothÚques publiques de France : BibliothÚques de la Région Basse-Normandie, Librairie Droz, 1984, 186 pages, [lire en ligne], p. 228.
- Henri Gouhier, FĂ©nelon philosophe, Vrin, , p. 10.
- Sabine Melchior-Bonnet, op. cit., p. 59.
- Henri Gouhier, op. cit., p. 11.
- (en) « Archbishop François de Salignac de La Mothe-FĂ©nelon â », Catholic-Hierarchy.
- « Entretien avec Jean de Viguerie », La Nouvelle Revue d'histoire, n°14 septembre 2004
- François de Fénelon, De l'éducation des filles, dixiÚme édition, texte collationné sur l'édition de 1687, avec une introduction et des notes pédagogiques et explicatives, à l'usage des institutrices et des instituteurs, par Charles Defodon, Librairie Hachette et Cie, Paris, 1909 [https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5496987b (lire en ligne)
- Pierre Larousse, « Ăloquence de la chaire (dialogues sur lâ) », Grand Dictionnaire universel du XIXe siĂšcle, vol. 7e,â , p. 386-387 (lire en ligne).
Annexes
Sources archivistiques
Les Archives nationales de France conservent, sous la cote MC/ET/LXXI/79, la minute de lâinventaire des titres et papiers de la famille FĂ©nelon datĂ©e du (environ 20 pages manuscrites).
Sources et bibliographie
- (de) Cet article est partiellement ou en totalitĂ© issu de lâarticle de WikipĂ©dia en allemand intitulĂ© « François FĂ©nelon » (voir la liste des auteurs).
Bibliographie ancienne
- Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), « FĂ©nelon » dans Dictionnaire universel dâhistoire et de gĂ©ographie, (lire sur Wikisource)
- Son Ăloge a Ă©tĂ© composĂ© par Jean-François de La Harpe, d'Alembert et l'abbĂ© Maury.
- Andrew Michael Ramsay (Chevalier de Ramsay), Histoire De La Vie Et Des Ouvrages De Messire François De Salignac de la Mothe-FĂ©nelon, ArchevĂȘque de Cambray, Amsterdam, François L'HonorĂ©, 1727
- Louis-François de Bausset: Histoire de FĂ©nelon, archevĂȘque de Cambrai, composĂ©e sur les manuscrits originaux, Paris, Giguet & Michaud, 1808, 3 volumes, 1817, 4 volumes in-8.
- Jean-Edme-Auguste Gosselin, Histoire littéraire de Fénelon, 1843.
- P.-Louis Lainé, « Lamothe-Fénelon », dans Archives généalogiques et historiques de la nobless de France, t. 9, Paris, L'auteur, (lire en ligne), p. 401-445
- Emmanuel de Broglie, FĂ©nelon Ă Cambrai. D'aprĂšs sa Correspondance 1699â1715. â Paris: Plon, 1884
- Masson, Pierre-Maurice, Fénelon & Mme Guyon, documents nouveaux et inédits, Paris, Hachette, 1907.
- Abbé Querbeuf, Vie de Fénélon.
- FĂ©nelon, politique tirĂ©e de l'Evangile / Chanoise MoiÍÌse Cagnac, 1912 - Prix d'AcadĂ©mie
- Jean Maubourguet, « Fénelon, prieur de Saint-Avit-Sénieur », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1928, tome 55, p. 218-221 (lire en ligne)
Bibliographie récente
- Lucien BĂ©ly (dir.), Dictionnaire Louis XIV, Paris, Robert Laffont, 2015.
- Michel Dussart, Visages de Fénelon, Cambrai, Société d'émulation de Cambrai, 2015.
- Michel Dussart, FĂ©nelon, Grez, Ă©ditions PardĂšs, 2018.
- S. Gendry, « Fénelon en Saintonge. L'affaire du Ministre Mariocheau », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1960, tome 87, 3e livraison, p. 184-186 (lire en ligne)
- Philippe Loiseleur des Longchamps Deville, "FĂ©nelon et le Quercy", Actes du Colloque international francophone de Payrac, sept. 1995.
- Jeanne-Lydie Goré, La Notion d'indifférence chez Fénelon, PUF, 1956
- Marguerite Haillant, FĂ©nelon et la prĂ©dication, Ăd. Klincksieck, 1969.
- Sabine Melchior-Bonnet, FĂ©nelon, Paris, Perrin, 2008.
- Jean Orcibal, FĂ©nelon, sa famille et ses dĂ©buts, Ăd. Klincksieck, 1972
- Aimé Richardt, Fénelon, Paris, In fine, 1994.
- François Varillon, Ćuvres spirituelles de FĂ©nelon, Paris, Aubier, 1954
Articles
- Docteur Charles Lafon, « FĂ©nelon et sa famille », Bulletin de la SociĂ©tĂ© historique et archĂ©ologique du PĂ©rigord, no 3,â , p. 159-196 (lire en ligne)
- N. Becquart, « Le contrat de mariage des pĂšre et mĂšre de FĂ©nelon (1647) », Bulletin de la SociĂ©tĂ© historique et archĂ©ologique du PĂ©rigord, no 3,â , p. 197-200 (lire en ligne)
- P. BarriĂšre, « FĂ©nelon romancier sarladais », Bulletin de la SociĂ©tĂ© historique et archĂ©ologique du PĂ©rigord, t. 78, no 3,â , p. 222-236 (lire en ligne)
- R. BĂ©zac, « Ă propos du sermon sur la vocation des gentils », Bulletin de la SociĂ©tĂ© historique et archĂ©ologique du PĂ©rigord, t. 78, no 3,â , p. 237-240 (lire en ligne)
- Joseph Durieux, « FĂ©nelon et Chactas », Bulletin de la SociĂ©tĂ© historique et archĂ©ologique du PĂ©rigord, t. 78, no 3,â , p. 241-243 (lire en ligne)
- AndrĂ© Chastel, « FĂ©nelon et l'art classique », Bulletin de la SociĂ©tĂ© historique et archĂ©ologique du PĂ©rigord, t. 78, no 3,â , p. 244-249 (lire en ligne)
- Jean Secret, « Notes sur quelques portraits de FĂ©nelon », Bulletin de la SociĂ©tĂ© historique et archĂ©ologique du PĂ©rigord, t. 78, no 3,â , p. 250-252 (lire en ligne)
- Denise Humbert, « Introduction au catalogue de l'exposition « FĂ©nelon et son temps » », Bulletin de la SociĂ©tĂ© historique et archĂ©ologique du PĂ©rigord, t. 78, no 3,â , p. 253-256 (lire en ligne)
Articles connexes
- ChĂąteau de FĂ©nelon
- Il a donné son nom à plusieurs lycées Fénelon en France.
- Giovanni Bona
- 1712 en littérature
- FĂ©nelon a sa statue parmi celles des hommes illustres ornant le palais du Louvre Ă Paris.
- Familles subsistantes de la noblesse française
Liens externes
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