AccueilđŸ‡«đŸ‡·Chercher

Louzouer

Louzouer est une commune française, située dans le département du Loiret en région Centre-Val de Loire.

Louzouer
Louzouer
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Centre-Val de Loire
DĂ©partement Loiret
Arrondissement Montargis
Intercommunalité Communauté de communes de la Cléry, du Betz et de l'Ouanne
Maire
Mandat
Serge Piat
2020-2026
Code postal 45210
Code commune 45189
DĂ©mographie
Gentilé Oratorien et Oratorienne
Population
municipale
248 hab. (2020 en diminution de 14,19 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 22 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 48° 02â€Č 20″ nord, 2° 52â€Č 56″ est
Altitude Min. 112 m
Max. 138 m
Superficie 11,23 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Montargis
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Courtenay
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Louzouer
GĂ©olocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Louzouer
GĂ©olocalisation sur la carte : Loiret
Voir sur la carte topographique du Loiret
Louzouer
GĂ©olocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Louzouer

    La prononciation gùtinaise de Louzouer est « Louzoir ».

    GĂ©ographie

    Localisation et communes limitrophes

    Carte de la commune de Louzouer et des communes limitrophes

    La commune de Louzouer se trouve dans le quadrant nord-est du dĂ©partement du Loiret, dans l'aire urbaine de Montargis et la rĂ©gion agricole du GĂątinais pauvre[1]. À vol d'oiseau, elle se situe Ă  74,1 km d'OrlĂ©ans[2], prĂ©fecture du dĂ©partement, Ă  11,0 km de Montargis[3], sous-prĂ©fecture, et Ă  13,1 km de Courtenay, ancien chef-lieu du canton dont dĂ©pendait la commune avant . La commune fait partie du bassin de vie de FerriĂšres-en-GĂątinais[4] dont elle est Ă©loignĂ©e de 9,2 km[5].

    Les communes les plus proches sont : Thorailles (km), La Selle-sur-le-Bied (3,1 km), La Selle-en-Hermoy (3,1 km), La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre (3,5 km), Saint-Loup-de-Gonois (3,7 km), Courtemaux (4,3 km), Chantecoq (5,8 km), Griselles (6,2 km), Paucourt (6,6 km) et MĂ©rinville (6,6 km)[6].

    GĂ©ologie

    La commune se situe dans le sud du Bassin parisien, le plus grand des trois bassins sĂ©dimentaires français. Cette vaste dĂ©pression, occupĂ©e dans le passĂ© par des mers peu profondes et des lacs, a Ă©tĂ© comblĂ©e, au fur et Ă  mesure que son socle s’affaissait, par des sables et des argiles, issus de l’érosion des reliefs alentours, ainsi que des calcaires d’origine biologique, formant ainsi une succession de couches gĂ©ologiques[7].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque, l'Ăšre gĂ©ologique la plus rĂ©cente sur l'Ă©chelle des temps gĂ©ologiques, dĂ©butant il y a 66 millions d'annĂ©es, et du MĂ©sozoĂŻque, anciennement appelĂ© Ère secondaire, qui s'Ă©tend de −252,2 Ă  −66,0 Ma. Les plus anciennes sont de la craie blanche Ă  silex remontant Ă  la pĂ©riode CrĂ©tacĂ©. Les plus rĂ©centes sont des alluvions et colluvions du fond des vallĂ©es secondaires remontant Ă  l’époque HolocĂšne de la pĂ©riode Quaternaire. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « n°365 - Montargis » et « n°366 - Courtenay » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000Ăšme du dĂ©partement du Loiret[8] - [9] et leurs notices associĂ©es[10] - [11].

    Carte géologique de la commune.
    Ère PĂ©riode Époque Nature des sols
    CĂ©nozoĂŻque Quaternaire HolocĂšne
    FC :alluvions et colluvions du fond des vallées secondaires, HolocÚne
    PléistocÚne
    NéogÚne PliocÚne non présent
    MiocÚne non présent
    PaléogÚne OligocÚne non présent
    Éocùne
    e4PN :poudingue de Nemours, PalĂ©ocĂšne-ÉocĂšne infĂ©rieur
    e4A :argile Ă  faciĂšs sparnacien, PalĂ©ocĂšne-ÉocĂšne infĂ©rieur
    PaléocÚne
    e1-4Rc :complexe argilo-sableux Ă  silex = argiles Ă  silex, PalĂ©ocĂšne-ÉocĂšne infĂ©rieur
    Mésozoïque Crétacé
    c4Cr :craie blanche Ă  silex, Santonien
    Jurassique non présent
    Trias non présent

    Relief

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l’Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rences dans toutes les statistiques, est de 11,23 km2[12] - [Note 1]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 11,19 km2[9]. Son relief est relativement plat puisque la dĂ©nivelĂ©e maximale atteint 26 mĂštres. L'altitude du territoire varie entre 112 m et 138 m[15].

    Urbanisme

    Typologie

    Louzouer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2] - [16] - [17] - [18].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montargis, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[19] - [20].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (70,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (70,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (63,3 %), forĂȘts (29,8 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (6,9 %)[21].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    • Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
      Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
    • Carte orthophotographique de la commune en 2016.
      Carte orthophotographique de la commune en 2016.

    Planification

    Louzouer fait partie de la communauté de communes du Betz et de la Cléry créée le et entrée en vigueur le . Parmi les diverses compétences attribuées à cette intercommunalité figure l'élaboration et le suivi du Plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) portant sur l'ensemble du territoire de la communauté de communes[22]. Le document est approuvé par le conseil communautaire le . Pour répondre à l'obligation de mettre en conformité le PLUi avec la loi du dite « Grenelle II » et la loi pour l'accÚs au logement et un urbanisme rénové du , dite loi « Alur » mais aussi avec le schéma de cohérence territoriale du Montargois en Gùtinais et pour tenir compte de l'évolution du périmÚtre (Intégration de la commune de Saint-Loup-d'Ordon au ), l'assemblée prescrit la révision du PLUi par délibération du [23].

    Voies de communication et transports

    RĂ©seau routier principal de la commune de Louzouer (avec indication du trafic routier 2014).

    Infrastructures routiĂšres

    La commune est traversée par l'autoroute A19 et trois routes départementales : la RD36, la RD 115 et la RD 128.

    L'autoroute A19, mise en service en 2009[24], traverse la commune dans sa partie nord mais n'a aucun Ă©change avec son territoire. L'accĂšs le plus proche Ă  cette autoroute est l'Ă©changeur de St Hilaire les AndrĂ©sis (L'entrĂ©e-sortie no 4 de la A19 est sur la commune de St Hilaire les AndrĂ©sis ) situĂ© Ă  12 km[25].

    La RD 36 relie ChĂąteau-Renard Ă  Bazoches-sur-le-Betz et supporte en 2014 un trafic de 1 585 vĂ©hicules/jour[26]. Les RD 115 et 128 sont des routes Ă  faible trafic[Note 4] : La RD 115 (712 vĂ©hicules/jour) relie Thorailles Ă  Fontenay-sur-Loing[26] et la RD 128 (538 vĂ©hicules/jour) relie la commune Ă  La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre[26].

    Transports en commun

    Aucune ligne rĂ©guliĂšre du rĂ©seau Ulys, le rĂ©seau interurbain de transport par autocar du Conseil dĂ©partemental du Loiret, ne dessert la commune. Par contre la commune bĂ©nĂ©ficie du service Ulys ProximitĂ© qui emmĂšne les usagers de la commune vers un arrĂȘt desservi par la ligne rĂ©guliĂšre la plus proche[27]. À compter du , la compĂ©tence des services de transports routiers interurbains, rĂ©guliers et Ă  la demande est transfĂ©rĂ©e des dĂ©partements aux rĂ©gions, et donc localement du dĂ©partement du Loiret Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire, consĂ©cutivement Ă  la loi NOTRe du [28].

    Risques majeurs

    La commune de Louzouer est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), mouvements de terrains ou sismique (sismicitĂ© trĂšs faible). Elle est Ă©galement exposĂ©e Ă  un risque technologique : le risque de transport de matiĂšres dangereuses[29]. Entre 1989 et 2019, cinq arrĂȘtĂ©s ministĂ©riels ayant portĂ© reconnaissance de catastrophe naturelle ont Ă©tĂ© pris pour le territoire de la commune : deux pour des inondations et coulĂ©es de boues et trois pour des mouvements de terrains[30].

    Risques naturels

    Le territoire de la commune peut ĂȘtre concernĂ© par un risque d'effondrement de cavitĂ©s souterraines non connues. Une cartographie dĂ©partementale de l'inventaire des cavitĂ©s souterraines et des dĂ©sordres de surface a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e. Il a Ă©tĂ© recensĂ© sur la commune plusieurs effondrements de cavitĂ©s[31].

    Par ailleurs le sol du territoire communal peut faire l'objet de mouvements de terrain liés à la sécheresse. Le phénomÚne de retrait-gonflement des argiles est la conséquence d'un changement d'humidité des sols argileux. Les argiles sont capables de fixer l'eau disponible mais aussi de la perdre en se rétractant en cas de sécheresse[32]. Ce phénomÚne peut provoquer des dégùts trÚs importants sur les constructions (fissures, déformations des ouvertures) pouvant rendre inhabitables certains locaux. Celui-ci a particuliÚrement affecté le Loiret aprÚs la canicule de l'été 2003. La quasi-totalité du territoire de la commune est soumise à un aléa « moyen » face à ce risque, selon l'échelle définie par le Bureau de recherches géologiques et miniÚres (BRGM)[33].

    Depuis le , la France dispose d’un nouveau zonage sismique divisant le territoire national en cinq zones de sismicitĂ© croissante [34]. La commune, Ă  l’instar de l’ensemble du dĂ©partement, est concernĂ©e par un risque trĂšs faible[30].

    Risques technologiques

    La commune est exposée au risque de transport de matiÚres dangereuses, en raison du passage sur son territoire d'un itinéraire routier structurant supportant un fort trafic (l'autoroute A19)[29] - [35].

    Politique et administration

    Bloc communal : Commune et intercommunalités

    La paroisse et bourg de Louzouer acquiert le statut de municipalitĂ© avec le dĂ©cret du de l'AssemblĂ©e Nationale[36] puis celui de « commune », au sens de l'administration territoriale actuelle, par le dĂ©cret de la Convention nationale du 10 brumaire an II ()[37]. Il faut toutefois attendre la loi du sur l'organisation municipale pour qu'un rĂ©gime juridique uniforme soit dĂ©fini pour toutes les communes de France, point de dĂ©part de l’affirmation progressive des communes face au pouvoir central[38].

    Aucun événement de restructuration majeure du territoire, de type suppression, cession ou réception de territoire, n'a affecté la commune depuis sa création[39].

    La commune de Louzouer n'appartient Ă  aucune intercommunalitĂ© Ă  fiscalitĂ© propre jusqu'en 2011 et fait partie, Ă  cette date, des 68 communes du Loiret dites « isolĂ©es »[40]. Elle adhĂšre Ă  la communautĂ© de communes du Betz et de la ClĂ©ry lors de la crĂ©ation de cette intercommunalitĂ© par arrĂȘtĂ© du avec effet au [41] - [42]. La commune appartient Ă  d'autres Ă©tablissements publics de coopĂ©ration intercommunale, de type syndicats ou autres regroupements intercommunaux. Le dĂ©coupage territorial de ces structures est en constante Ă©volution dans une perspective de rationalisation et d'efficience des services[Note 5].

    Le , la communautĂ© de communes du Betz et de la ClĂ©ry (CCBC) et la communautĂ© de communes de ChĂąteau-Renard (CCCR) fusionnent pour donner naissance Ă  la communautĂ© de communes de la ClĂ©ry, du Betz et de l'Ouanne (3CBO). À l’occasion de cette fusion, le Syndicat d’AmĂ©nagement Rural (SAR) de ChĂąteau-Renard et Courtenay, totalement inclus dans le pĂ©rimĂštre de la 3CBO, fait partie intĂ©grante de la nouvelle entitĂ© crĂ©Ă©e[43].

    Circonscriptions de rattachement

    Sous l'Ancien RĂ©gime, Ă  la veille des États gĂ©nĂ©raux de 1789, la paroisse de Louzouer Ă©tait rattachĂ©e sur le plan ecclĂ©siastique de l'ancien diocĂšse de Sens[44] et sur le plan judiciaire au bailliage de Montargis[45].

    La loi du divise le pays en 83 dĂ©partements dĂ©coupĂ©s chacun en six Ă  neuf districts eux-mĂȘmes dĂ©coupĂ©s en cantons regroupant des communes. Les districts, tout comme les dĂ©partements, sont le siĂšge d’une administration d’État et constituent Ă  ce titre des circonscriptions administratives. La commune de Louzouer est alors incluse dans le canton de La Selle-sur-le-Bied, le district de Montargis et le dĂ©partement du Loiret[46].

    La recherche d’un Ă©quilibre entre la volontĂ© d’organiser une administration dont les cadres permettent l’exĂ©cution et le contrĂŽle des lois d’une part, et la volontĂ© d’accorder une certaine autonomie aux collectivitĂ©s de base (paroisses, bourgs, villes) d’autre part, s’étale de 1789 Ă  1838[47]. Les dĂ©coupages territoriaux Ă©voluent ensuite au grĂ© des rĂ©formes visant Ă  dĂ©centraliser ou recentraliser l'action de l'État. La rĂ©gionalisation fonctionnelle des services de l'État (1945-1971) aboutit Ă  la crĂ©ation de rĂ©gions[48]. L'acte I de la dĂ©centralisation de 1982-1983 constitue une Ă©tape importante en donnant l'autonomie aux collectivitĂ©s territoriales, rĂ©gions, dĂ©partements et communes[49]. L'acte II intervient en 2003-2006[50], puis l'acte III en 2012-2015. ParallĂšlement l'État se rĂ©forme pĂ©riodiquement. La rĂ©forme de l’administration territoriale de l’État (RĂ©ATE), entrĂ©e en vigueur au et issue de la rĂ©vision gĂ©nĂ©rale des politiques publiques (RGPP) est une des grandes rĂ©formes visant Ă  simplifier l'organisation de l’État.

    Le tableau suivant présente les rattachements, au niveau infra-départemental, de la commune de Louzouer aux différentes circonscriptions administratives et électorales ainsi que l'historique de l'évolution de leurs territoires.

    Circonscription Nom DerniĂšre pĂ©riode Type de circonscription Évolution du dĂ©coupage territorial
    DistrictMontargis1790-1795AdministrativeLa commune est rattachée au district de Montargis de 1790 à 1795[39] - [46]. La Constitution du 5 fructidor an III, appliquée à partir de vendémiaire an IV (1795) supprime les districts, rouages administratifs liés à la Terreur, mais maintient les cantons qui acquiÚrent dÚs lors plus d'importance[51].
    CantonLa Selle-sur-le-Bied1790-1801Administrative et Ă©lectoraleEn 1790, lors de la crĂ©ation des cantons, districts et dĂ©partements, la commune de Louzouer est rattachĂ©e au canton de La Selle sur le Bied[39]. Les cantons sont supprimĂ©s, en tant que dĂ©coupage administratif, par une loi du , et ne conservent qu'un rĂŽle Ă©lectoral[51]. Ils permettent l’élection des Ă©lecteurs du second degrĂ© chargĂ©s de dĂ©signer les dĂ©putĂ©s[52]. Ils acquiĂšrent une fonction administrative avec la disparition des districts en 1795.
    Courtenay1801-2015Sous le Consulat, un redĂ©coupage territorial visant Ă  rĂ©duire le nombre de justices de paix ramĂšne le nombre de cantons dans le Loiret de 59 Ă  31[53]. Louzouer est alors rattachĂ©e au canton de Courtenay par arrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X ()[54] - [39].
    Courtenay2015-ÉlectoraleLa loi du [55] et ses dĂ©crets d'application publiĂ©s en fĂ©vrier et [56] introduisent un nouveau dĂ©coupage territorial pour les Ă©lections dĂ©partementales. La commune est alors rattachĂ©e au canton de Courtenay[56]. Depuis cette rĂ©forme, plus aucun service de l'État n'exerce sa compĂ©tence sur un territoire s'appuyant sur le nouveau dĂ©coupage cantonal. Le canton a disparu en tant que circonscription administrative de l'État ; il est dĂ©sormais uniquement une circonscription Ă©lectorale dĂ©diĂ©e Ă  l'Ă©lection d'un binĂŽme de conseillers dĂ©partementaux siĂ©geant au conseil dĂ©partemental[57].
    ArrondissementMontargis1801-AdministrativeLouzouer est rattachée à l'arrondissement de Montargis depuis sa création en 1801[39] - [54].
    Circonscription lĂ©gislative4e circonscription2010-ÉlectoraleLors du dĂ©coupage lĂ©gislatif de 1986, le nombre de circonscriptions lĂ©gislatives passe dans le Loiret de 4 Ă  5. Un nouveau redĂ©coupage intervient en 2010 avec la loi du . En attribuant un siĂšge de dĂ©putĂ© « par tranche » de 125 000 habitants, le nombre de circonscriptions par dĂ©partement varie dĂ©sormais de 1 Ă  21[58] - [59]. Dans le Loiret, le nombre de circonscriptions passe de cinq Ă  six[60]. La rĂ©forme n'affecte pas Louzouer qui reste rattachĂ©e Ă  la quatriĂšme circonscription[61].

    Collectivités de rattachement

    La commune de Louzouer est rattachĂ©e au dĂ©partement du Loiret et Ă  la rĂ©gion Centre-Val de Loire[62], Ă  la fois circonscriptions administratives de l'État et collectivitĂ©s territoriales.

    Conseil municipal et maire

    Depuis les Ă©lections municipales de 2014, le conseil municipal de Louzouer, commune de moins de 1 000 habitants, est Ă©lu au scrutin majoritaire plurinominal Ă  deux tours, les Ă©lecteurs pouvant modifier les listes, panacher, ajouter ou supprimer des candidats sans que le vote soit nul[63], pour un mandat de six ans renouvelable[64]. Il est composĂ© de 11 membres [65]. L'exĂ©cutif communal, est constituĂ© par le maire, Ă©lu par le conseil municipal, parmi ses membres, pour un mandat de six ans, c'est-Ă -dire pour la durĂ©e du mandat du conseil.

    Liste des derniers maires
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    2020 En cours Serge Piat[66]
    2014 2020 Denise Konneradt
    2001 ? Marcel Dumas
    1977 ? André Quetu
    19?? ? M. Berger
    18?? ? M. Bellenger

    Équipements et services

    Gestion des déchets

    En 2016, la commune est membre du syndicat d'amĂ©nagement rural (SAR) des cantons de Courtenay et ChĂąteau-Renard. Celui-ci assure la collecte et le traitement des ordures mĂ©nagĂšres rĂ©siduelles[Note 6] en porte Ă  porte, des emballages mĂ©nagers recyclables, des journaux-magazines et du verre en points d’apport volontaire[67]. Un rĂ©seau de trois dĂ©chĂšteries accueille les encombrants et autres dĂ©chets spĂ©cifiques (dĂ©chets verts, dĂ©chets dangereux, gravats, ferrailles, cartons, cartouches/capsules, dĂ©chets dangereux). La dĂ©chĂšterie la plus proche est situĂ©e sur la commune de La Selle-sur-le-Bied[68]. Le SAR n’assure pas le traitement, ni la valorisation des dĂ©chets collectĂ©s qui sont effectuĂ©s par le SMIRTOM et diffĂ©rents prestataires. Le SMIRTOM de Montargis procĂšde Ă  l'Ă©limination et la valorisation Ă©nergĂ©tique des dĂ©chets mĂ©nagers dans l'unitĂ© d'Amilly, construite en 1969. Une convention de dĂ©lĂ©gation du service public de traitement a Ă©tĂ© conclue en 2013 avec la sociĂ©tĂ© Novergie Centre, filiale Ă©nergie du Groupe Suez pour la valorisation Ă©nergĂ©tique des dĂ©chets[69].

    Depuis le , la « gestion des dĂ©chets mĂ©nagers » ne fait plus partie des compĂ©tences de la commune mais est une compĂ©tence obligatoire de la communautĂ© de communes de la ClĂ©ry, du Betz et de l'Ouanne (3CBO) en application de la loi NOTRe du [70]. À l'occasion de la crĂ©ation de la 3CBO, le Syndicat d’AmĂ©nagement Rural (SAR) de ChĂąteau-Renard et Courtenay, totalement inclus dans le pĂ©rimĂštre de cette nouvelle structure, est dissout par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du et les personnels, biens et Ă©quipements font dĂ©sormais partie intĂ©grante de la nouvelle communautĂ© de communes[43].

    Production et distribution d'eau

    Le service public d’eau potable est une compĂ©tence obligatoire des communes depuis l’adoption de la loi du 30 dĂ©cembre 2006 sur l’eau et les milieux aquatiques[71]. Au , la production et la distribution de l'eau potable sur le territoire communal sont assurĂ©es par le syndicat des eaux de la ClĂ©ry et du Betz, un syndicat crĂ©Ă© en 2013 desservant quinze communes : Bazoches-sur-le-Betz, Le Bignon-Mirabeau, Chantecoq, La Chapelle-Saint-SĂ©pulcre, Chevannes, Chevry-sous-le-Bignon, Chuelles, Courtemaux, Ervauville, Foucherolles, Griselles, Louzouer, MĂ©rinville, Pers-en-GĂątinais, Rosoy-le-Vieil, Saint-Hilaire-les-AndrĂ©sis, Saint-Loup-de-Gonois, La Selle-en-Hermoy, La Selle-sur-le-Bied, Thorailles[72] - [73] - [74]. La loi NOTRe du 7 aoĂ»t 2015 prĂ©voit que le transfert des compĂ©tences « eau et assainissement » vers les communautĂ©s de communes sera obligatoire Ă  compter du . Le transfert d’une compĂ©tence entraĂźne de facto la mise Ă  disposition gratuite de plein droit des biens, Ă©quipements et services publics utilisĂ©s, Ă  la date du transfert, pour l'exercice de ces compĂ©tences et la substitution de la communautĂ© dans les droits et obligations des communes[75] - [76].

    Le « prix de l’eau » doit permettre de financer l’ensemble des investissements (mise en place de nouveaux ouvrages, mise aux normes du patrimoine existant, renouvellement du patrimoine, etc.) mais aussi les frais de fonctionnement du service (frais de personnel du service, Ă©lectricitĂ©, produits de traitement, renouvellement du matĂ©riel, analyses, Ă©limination des dĂ©chets, etc.)[77]. L'observatoire national des services d'eau et d'assainissement publie la description actualisĂ©e des services publics d'eau potable et d'assainissement, qu’il s’agisse de leur organisation, de leur tarif ou de leur performance[78]. Le prix au m3 est calculĂ© pour une consommation annuelle de 120 m3 (rĂ©fĂ©rence INSEE)[79].

    DomaineCommune201020112012201320142015
    Eau potableLouzouer1,74[80]1,82[81]1,87[82]1,89[83]1,89[84]1,90[85]
    Loiret1,76[86]1,7[87]1,66[88]1,69[89]
    France1,93[86]1,96[87]2,00[88]2,03[89]

    Assainissement

    L’assainissement non collectif (ANC) dĂ©signe les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un rĂ©seau public de collecte des eaux usĂ©es et qui doivent en consĂ©quence traiter elles-mĂȘmes leurs eaux usĂ©es avant de les rejeter dans le milieu naturel[90]. Le Syndicat mixte d'AmĂ©nagement Rural des cantons de Courtenay et de ChĂąteau-Renard a crĂ©Ă© un service public d'assainissement non collectif (SPANC) qui a pour missions la vĂ©rification de la conception et de l’exĂ©cution des ouvrages pour les installations neuves ou rĂ©habilitĂ©es et la vĂ©rification pĂ©riodique du bon fonctionnement et de l’entretien des installations existantes[91] - [92]. Depuis le , le SPANC est assurĂ© par la 3CBO, dont la crĂ©ation a Ă©tĂ© accompagnĂ©e de la dissolution du Syndicat d’AmĂ©nagement Rural (SAR) de ChĂąteau-Renard et Courtenay[43].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[93]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[94].

    En 2020, la commune comptait 248 habitants[Note 7], en diminution de 14,19 % par rapport Ă  2014 (Loiret : +1,88 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    274271251283262301371390370
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    356330350349324304300286266
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    231248238190186182177160184
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    151154147182226277271269288
    2018 2020 - - - - - - -
    254248-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[95] puis Insee Ă  partir de 2006[96].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Patrimoine

    Lieux et monuments

    Le menhir de la Chaise[97], qui mesure environ quatre mĂštres de hauteur, est l'un des plus grands mĂ©galithes de la rĂ©gion Centre[98]. Il prĂ©sente de nombreuses protubĂ©rances. Cette pierre a reçu plusieurs noms : La Chaise, le menhir formant le dossier d’une chaise et la pierre de calage le siĂšge (cette pierre de calage de 40 cm de hauteur est situĂ© au nord). Ce nom est restĂ© celui du lieu-dit ; La Grande Pierre, celle-ci Ă©tant la plus grande des rĂ©gions Centre, Bourgogne et Île-de-France ; La Pierre de Minuit, d’aprĂšs une lĂ©gende, le menhir ferait un tour sur lui-mĂȘme, Ă  minuit, la nuit de NoĂ«l ; Pierrefitte, sous Philippe VI au XIVe siĂšcle.

    La forĂȘt domaniale de Montargis est partiellement situĂ©e sur le territoire de la commune.

    Patrimoine naturel

    Carte des ZNIEFF de la commune et de ses abords.

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Le territoire communal de Louzouer comprend une ZNIEFF[99].

    La ZNIEFF, de deuxiĂšme gĂ©nĂ©ration et de type 2[Note 8], dĂ©nommĂ©e forĂȘt de Montargis, d'une superficie de 4 598 hectares, est rĂ©pertoriĂ©e depuis 1985-86 pour ses intĂ©rĂȘts Ă©cologiques et faunistiques. Elle s'Ă©tend sur 9 communes, dont Louzouer pour une petite partie est de la ZNIEFF correspondant Ă  la partie ouest de la commune[100]. Son altitude varie entre 88 et 133 m[101]. Le chĂȘne est l'essence la plus reprĂ©sentĂ©e, toutefois, la chĂȘnaie-hĂȘtraie est prĂ©sente sous forme de stations de faible superficie. La flore se caractĂ©rise par la prĂ©sence de vĂ©gĂ©taux associĂ©s aux sols acides comme la callune (Calluna vulgaris), la violette des chiens (Viola canina) ou la myrtille (vaccinium myrtillus), et aux sols neutres Ă  lĂ©gĂšrement alcalins sur calcaire ou marne (Rosa micrantha, la scille Ă  deux feuilles (Scilla bifolia), le cĂ©phalanthĂšre Ă  longues feuilles (Cephalanthera longifolia), le gaillet odorant (Galium odoratum)[102]. Un rĂ©seau complexe de mares (toutes ne sont pas en eau la mĂȘme annĂ©e) conduit Ă  de notables dĂ©placements d'amphibiens en pĂ©riode de reproduction. Le nord-est du massif est ainsi directement concernĂ©. Le nord du massif, nettement reliĂ© Ă  la vallĂ©e de la Clairis correspond Ă©galement Ă  un secteur de mouvements importants de mammifĂšres grands et petits ainsi que pour l'avifaune. L' intĂ©rĂȘt pour les chiroptĂšres semble s'ĂȘtre dĂ©placĂ© durant les annĂ©es vers la vallĂ©e de la Clairis[102]. La forĂȘt de Montargis est gĂ©rĂ©e par l'Office national des forĂȘts[103].

    Culture

    L'association « Louzou'art » propose des cours collectifs de peinture sur porcelaine et sur bois, de mosaïque et d'encadrement.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[13] - [14]
    2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    4. Une route est dite Ă  faible trafic lorsqu'elle supporte un trafic infĂ©rieur Ă  1 500 vĂ©hicules/jour.
    5. La commune peut faire partie de diverses autres intercommunalitĂ©s qui ne sont pas reprĂ©sentĂ©es : des syndicats (syndicats intercommunaux Ă  vocation unique(SIVU), (syndicats intercommunaux Ă  vocation multiple(SIVOM), syndicats mixtes) ou d’autres regroupements intercommunaux (programme local de l'habitat (PLH), contrat local de santĂ© (CLS), centre intercommunal d'action sociale (CIAS).
    6. Les déchets ménagers résiduels comprennent les déchets obtenus aprÚs extraction des autres fractions, valorisables, de déchets.
    7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    8. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).

    Références

    1. « Zonage en petites régions agricoles », sur http://agreste.agriculture.gouv.fr/ (consulté le ).
    2. « Orthodromie entre "Louzouer" et "Orléans », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    3. « Orthodromie entre "Louzouer" et "Montargis" », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    4. « Fiche communale », sur http://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Orthodromie entre "Louzouer" et "FerriÚres-en-Gùtinais », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    6. « Villes les plus proches de Louzouer », sur le site lion1906 de Lionel Delvarre (consulté le ).
    7. « Histoire gĂ©ologique du Bassin parisien », sur le site du SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie (consultĂ© le ).
    8. « Carte géologique de Louzouer » sur Géoportail (consulté le 29 mai 2022).
    9. « CaractĂ©ristiques gĂ©ologiques et hydrogĂ©ologiques de la commune de Louzouer », sur le SystĂšme d’information pour la gestion des eaux souterraines (SIGES) en Occitanie (consultĂ© le )
    10. « Notice associée à la feuille n°365 - Montargis de la carte géologique harmonisée au 1/50 000Úme de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    11. « Notice associée à la feuille n°366 - Courtenay de la carte géologique harmonisée au 1/50 000Úme de la France métropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consulté le )
    12. Insee, « Comparateur de territoire - Commune de Louzouer », sur le site de l'Insee (consulté le )
    13. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Indicateurs en données ouvertes (superficie) », sur l'Observatoire des territoires (consulté le )
    14. Agence nationale de la cohĂ©sion des territoires, « RĂ©pertoire gĂ©ographique des communes d'Île-de-France - dĂ©finition de certains champs (dont la superficie) », sur data.iledefrance.fr (consultĂ© le )
    15. IGN, « Répertoire géographique des communes (RGC) 2014 », sur drive.google.com
    16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    17. « Commune rurale - dĂ©finition », sur le site de l’Insee (consultĂ© le ).
    18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
    21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
    22. « Fiche descriptive de la communauté de communes du Betz et de la Cléry », sur http://www.loiret.gouv.fr/, (consulté le ).
    23. « Avis de lancement de la révision n° 1 du plan local d'urbanisme intercommunal de la communauté de communes du Betz et de la Cléry », sur http://www.centreofficielles.com/, (consulté le ).
    24. « Autoroute A19 - Bilan environnemental final », sur http://www.vinci-autoroutes.com/, (consulté le ), p. 5.
    25. « Google Maps » (consulté le ).
    26. « Carte du trafic 2014 sur le réseau routier du Loiret », sur le site d'information géographique du Loiret, (consulté le ).
    27. « Plan du réseau Ulys », sur http://www.ulys-loiret.com/ (consulté le ).
    28. Aloïs Ramel, Alexandra Aderno, « Loi NOTRe et transports publics », sur http://web.lexisnexis.fr/, (consulté le ).
    29. [PDF]« Le Dossier Départemental des Risques Majeurs (DDRM) du Loiret- Liste des risques par commune », sur http://www.loiret.gouv.fr/ (consulté le ).
    30. « Risques recensés sur la commune de Louzouer », sur http://www.georisques.gouv.fr/.
    31. « Louzouer - Recensement des cavités souterraines », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le ).
    32. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Description du phénomÚne », sur le site « Géorisques » du ministÚre de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    33. « Argiles - Aléa retrait-gonflement des argiles - Carte d'aléa pour le secteur de Louzouer », sur le site « Géorisques » du ministÚre de la transition écologique et solidaire (consulté le ).
    34. Décret no n°2010-1255 du 22 octobre 2010 portant délimitation des zones de sismicité du territoire français
    35. « Dossier départemental des risques majeurs - le risque de transport de matiÚres dangereuses. », sur http://www.loiret.gouv.fr/ (consulté le ).
    36. Motte 2003, p. 24.
    37. Motte 2003, p. 23.
    38. « Les grands principes de la loi municipale de 1884 », sur le site du sénat, (consulté le ).
    39. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Louzouer », sur ehess.fr, École des hautes Ă©tudes en sciences sociales (consultĂ© le ).
    40. « État de l’intercommunalitĂ© dans le Loiret », sur http://www.adcf.org/, (consultĂ© le ).
    41. « Communauté de Communes du Betz et de la Cléry - fiche de présentation », sur le site de la préfecture du Loiret (consulté le ).
    42. « Fiche de l'EPCI Communauté de communes du Betz et de la Cléry », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le ).
    43. « IntercommunalitĂ© : Courtenay, membre de la CommunautĂ© de Communes de la ClĂ©ry, du Betz et de l’Ouanne (3CBO) », sur http://www.courtenay45.fr/ (consultĂ© le ).
    44. « Ancien diocÚse de Sens », sur http://www.francegenweb.org/ (consulté le ).
    45. « Bailliages de la région Centre », sur Dictionnaire toponymique de la région Centre - Val de Loire (consulté le ).
    46. Prudhomme 1798, p. 162.
    47. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 3.
    48. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 41-46.
    49. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 61-72.
    50. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/, p. 118-138.
    51. GĂ©rard Lang, « Le Code officiel gĂ©ographique (COG) - 4.3. : l’Ɠuvre rĂ©volutionnaire », sur http://projetbabel.org/, (consultĂ© le ).
    52. « Historique de la décentralisation », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr/ (consulté le ), p. 6.
    53. Gérard Lang, « Le Code officiel géographique (COG) - 4.4. : le Consulat et l'Empire », sur http://projetbabel.org/, (consulté le ).
    54. « ArrĂȘtĂ© du 9 vendĂ©miaire an X portant rĂ©duction des justices de paix du dĂ©partement du Loiret - Bulletin des lois de 1801 - page 43 », sur https://gallica.bnf.fr (consultĂ© le ).
    55. « LOI no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral », JORF no 0114 du 18 mai 2013 p. 8242, (consulté le ).
    56. « Décret n° 2014-244 du 25 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Loiret », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
    57. « Question no 460 de M. Jean-Jacques Cottel », sur http://questions.assemblee-nationale.fr/, (consulté le ).
    58. « Législatives 2012 : élections selon des modalités révisées. », sur http://www.vie-publique.fr/ (consulté le ).
    59. « Délimitation des circonscriptions législatives - Loi ratifiant l'ordonnance n° 2009-935 du 29 juillet 2009 portant répartition des siÚges et délimitation des circonscriptions pour l'élection des députés », sur le site du sénat (consulté le ).
    60. « Carte du découpage législatif du Loiret », sur http://www.elections-legislatives.fr/ (consulté le ).
    61. « Rattachements dans le Loiret avant et aprÚs la réforme de 2010 », sur http://www.politiquemania.com/ (consulté le ).
    62. « Rattachements administratifs de la commune de Louzouer », sur le site de l'Insee (consulté le ).
    63. Loi no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral, article 51 et son décret d'application no 2013-938 du 18 octobre 2013.
    64. « Election des conseillers municipaux et du maire », sur le site de la DGCL (consulté le ).
    65. Article L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales
    66. Premier mandat de maire pour Serge Piat Ă  Louzouer, La RĂ©publique du Centre, 12 juin 2020
    67. « Rapport d'activités 2015 du SAR des cantons de Courtenay et Chùteau-Renard. », sur http://www.sar45.fr/ (consulté le ), p. 7.
    68. « Rapport d'activités 2015 du SAR des cantons de Courtenay et Chùteau-Renard. », sur http://www.sar45.fr/ (consulté le ), p. 14.
    69. « UIOM d'Amilly - Valorisation énergétique : les Ordures MénagÚres », sur http://www.smirtom.fr/ (consulté le ).
    70. « Schéma de coopération intercommunale du Loiret », sur http://www.loiret.gouv.fr/, (consulté le ), p. 4.
    71. [PDF]« Les services publics d'eau et d'assainissement. », sur http://www.collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
    72. « Syndicat des eaux de la Cléry et du Betz », sur https://www.banatic.interieur.gouv.fr/ (consulté le ).
    73. « Syndicat des eaux de la Cléry et du Betz », sur http://www.services.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    74. « composition communale des services d'eau potable pour l'année 2016 », sur http://www.services.eaufrance.fr, (consulté le ).
    75. Article L1321-1 du Code général des collectivités territoriales et suivants
    76. AMF, « Loi NOTRe : transfert des compétences « eau et assainissement » aux EPCI à fiscalité propre », sur http://amf83.fr/, (consulté le ).
    77. « Note sur la tarification des services de l’eau et de l’assainissement », sur http://www.loiret.gouv.fr/, (consultĂ© le ).
    78. « Observatoire national des services d'eau et d'assainissement », sur http://www.services.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    79. « Prix TTC du service au m³ pour 120 m³ », sur http://www.services.eaufrance.fr/ (consulté le ).
    80. Prix de l'eau en 2010 Ă  Louzouer.
    81. Prix de l'eau en 2011 Ă  Louzouer.
    82. Prix de l'eau en 2012 Ă  Louzouer.
    83. Prix de l'eau en 2013 Ă  Louzouer.
    84. Prix de l'eau en 2014 Ă  Louzouer.
    85. Prix de l'eau en 2015 Ă  Louzouer.
    86. Prix de l'eau en 2010 dans le Loiret.
    87. Prix de l'eau en 2011 dans le Loiret.
    88. Prix de l'eau en 2012 dans le Loiret.
    89. Prix de l'eau en 2013 dans le Loiret.
    90. « Tout savoir sur l’assainissement non collectif », sur le portail ministĂ©riel de l'assainissement non collectif (consultĂ© le ).
    91. « composition communale des services d'assainissement non collectif pour l'année 2016 », sur http://www.services.eaufrance.fr, (consulté le ).
    92. « SAR des cantons de Courtenay et de Chùteau-Renard - SPANC », sur http://www.sar45.fr (consulté le ).
    93. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    94. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    95. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
    96. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    97. Cce mégalithe est utilisé lors de la fixation des limites féodales au cours de la moitié du XIVe siÚcle. Pour séparer les chùtellenies de Montargis et de Courtenay, les commissaires choisirent le menhir de « La Chaise » comme borne stable et facilement identifiable. Ce mégalithe est désigné dans les lettres de juin 1336 par lesquelles Philippe VI entérina le travail de délimitation sous le nom de « Pierrefitte » (pierre figée) - Archives Nationales.J.167. Cette derniÚre dénomination se rencontre dans des actes bien plus récents, mais elle est quelque peu tombée en désuétude : sur les plans de la seconde moitié du XVIIIe siÚcle, elle porte le nom de « la Grande Pierre ».
    98. Répertoire des mégalithes, Christian Laroze, 1989.
    99. « Liste des ZNIEFF de la commune de Louzouer », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
    100. « DĂ©coupage communal de la ZNIEFF 240003882 - ForĂȘt de Montargis », sur le site des zonages du domaine de la BiodiversitĂ©, publiĂ© par la DREAL Centre. (consultĂ© le ).
    101. « ZNIEFF 240003882 - ForĂȘt de Montargis - fiche de synthĂšse », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
    102. « ZNIEFF 240003882 - ForĂȘt de Montargis - fiche descriptive. », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
    103. « Carte - guide de la forĂȘt domaniale de Montargis », sur le site de l'ONF (consultĂ© le ).

    Voir aussi

    Articles connexes

    Bibliographie

    • Louis Marie Prudhomme, Dictionnaire gĂ©ographique et mĂ©thodique de la RĂ©publique française en 120 dĂ©partements, volume 1, Paris, Louis Marie Prudhomme, , 673 p. (lire en ligne).
    • Collectif, Loiret : un dĂ©partement Ă  l'Ă©lĂ©gance naturelle, Paris, Christine Bonneton, , 319 p. (ISBN 978-2-86253-234-9)
    • AbbĂ© Patron, DĂ©partement du Loiret : Dictionnaire des communes, Paris, ComĂ©dit, 1991, rĂ©Ă©dition de 1870 (ISBN 978-2-909112-01-5 et 2-909112-01-2)
    • Claude Motte, Isabelle SĂ©guy & Christine ThĂ©rĂ©, avec la collaboration de Dominique Tixier-Basse, Communes d’hier, communes d’aujourd’hui : Les communes de la France mĂ©tropolitaine, 1801-2001. Dictionnaire d’histoire administrative, Paris, Institut National d’Études DĂ©mographiques,, , 408 p. (ISBN 978-2-7332-1028-4, lire en ligne)
    Cet article est issu de wikipedia. Text licence: CC BY-SA 4.0, Des conditions supplĂ©mentaires peuvent s’appliquer aux fichiers multimĂ©dias.