Tonneins
Tonneins [tonÉÌs] est une commune du Sud-Ouest de la France, situĂ©e dans le dĂ©partement de Lot-et-Garonne, en rĂ©gion Nouvelle-Aquitaine.
Tonneins | |||||
L'hĂŽtel de ville. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Marmande | ||||
Intercommunalité | Val de Garonne Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Dante Rinaudo 2020-2026 |
||||
Code postal | 47400 | ||||
Code commune | 47310 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Tonneinquais | ||||
Population municipale |
9 213 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 265 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
10 073 hab. (2020) | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 23âČ 26âł nord, 0° 18âČ 33âł est | ||||
Altitude | 39 m Min. 21 m Max. 166 m |
||||
Superficie | 34,78 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Tonneins (ville-centre) |
||||
Aire d'attraction | Tonneins (commune-centre) |
||||
Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Tonneins (bureau centralisateur) |
||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | https://www.mairie-tonneins.fr/ | ||||
GĂ©ographie
Située entre Agen et Marmande sur la rive droite de la Garonne, sur un rocher élevé qui domine le fleuve et son autre rive.
Traversée par la route départementale 813, ancienne route nationale 113, et au début de la route nationale 111.
Desservie par la SNCF gare de Tonneins sur la ligne de chemin de fer Bordeaux-Toulouse.
Les communications avec la rive gauche de la Garonne s'effectuaient jusqu'au début des années 1920 par un pont suspendu construit en 1835[1]. De 1919 à 1922 fut construit le pont en béton armé actuellement utilisé par la route départementale 120[2] - [3]. Entre 1923 et 1933, ce pont fut également emprunté par le réseau de chemins de fer secondaires des voies ferrées départementales du Midi[4].
Localisation
La commune de Tonneins est située sur la rive droite de la Garonne à l'exception du lieu-dit Saint-Germain en rive gauche. Les communes de Monheurt, Villeton et LagruÚre sont aussi sur la rive gauche.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Fauillet, Nicole, Clairac, Grateloup-Saint-Gayrand, LagruĂšre, Monheurt, VarĂšs et Villeton.
Distances kilométriques avec villes françaises
Ville | Agen | Toulouse | Bordeaux | Biarritz | Paris | Auch | Pau | PĂ©rigueux | Montpellier | Nantes |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Distance
Orientation |
40 km
(SE) |
147 km
(SE) |
100 km
(NO) |
207 km
(SO) |
590 km
(N-NE) |
99 km
(S-SE) |
159 km
(S-SO) |
112 km
(N-NE) |
375 km
(SE) |
402 km
(N-NO) |
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[6]. En 2020, la commune ressort du type « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© » dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[7].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
|
Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[10] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[11] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Fauillet », sur la commune de Fauillet, mise en service en 1992[12] et qui se trouve Ă 4 km Ă vol d'oiseau[13] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 763,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[14]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et Ă 33 km[15], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[16], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[17], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[18].
Urbanisme
Typologie
Tonneins est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [19] - [20] - [21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tonneins, une agglomération intra-départementale regroupant deux communes[22] et 10 073 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[23] - [24].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tonneins, dont elle est la commune-centre[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25] - [26].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (76,9 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (80,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (52,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (22,9 %), zones urbanisĂ©es (12,8 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (3,9 %), eaux continentales[Note 7] (3,3 %), forĂȘts (1,7 %), cultures permanentes (1,4 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (1,4 %)[27].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Tonneins est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă trois risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et le risque industriel et la rupture d'un barrage[28]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[29].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire Ă risques importants d'inondation (TRI) de Tonneins et Marmande, regroupant 19 communes concernĂ©es par un risque de dĂ©bordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[30]. Les Ă©vĂ©nements antĂ©rieurs Ă 2014 les plus significatifs sont les crues de 1770, 1875, 1930 et 1952. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă 300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[31]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1993, 1999, 2009, 2014, 2018, 2019 et 2021[32] - [28].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[33].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[34]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (91,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [35].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[28].
Risques technologiques
La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO, classée seuil haut[36] : Curia France (notamment pour le stockage de liquides comburants et de produits de toxicité aiguë)[37].
La commune est en outre situĂ©e en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe A[Note 9]. Ă ce titre elle est susceptible dâĂȘtre touchĂ©e par lâonde de submersion consĂ©cutive Ă la rupture de cet ouvrage[39].
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Tonnencs en 1197[40] et Tonninge en 1253[41] - [40].
Alphonse Lagarde, dans sa note historique sur la ville de Tonneins[42] écrit : « Au Ve siÚcle, Tonnantius Ferreolus fut préfet des Gaules, et son fils Tonnantius Ferreolus II, sénateur des Gaules. De Tonnantius on a fait Tonnance puis Thonenx et enfin Tonneins. » Cette étymologie est aujourd'hui considérée comme fantaisiste.
Il s'agit d'une formation toponymique médiévale basée sur le nom de personne germanique Tunno[41] - [40], suivi du suffixe germanique -ing[41], romanisé en -ingos[40].
Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune porta le nom révolutionnaire de Tonneins-la-Montagne[43].
Le français Tonneins (prononcée localement « Toninsse ») est une transposition de l'occitan Tonens (prononcé « Tounén » ou « Tounéns »). La forme occitane ancienne Tonencs a servi à former le gentilé Tonenqués qui a donné Tonneinquais en français.
Histoire
Comme l'Agenais, Tonneins a fait partie de la Gaule celtique, puis du duché de Gascogne, et du comté de Toulouse (l'Agenais est disputé entre Toulouse (comté puis parlement) et Bordeaux/Gascogne).
Du XIIe siĂšcle jusquâen 1790, la ville fut partagĂ©e en deux seigneuries distinctes[44] - [45] - [46] sĂ©parĂ©es par « lâentre-deux-bourgs » : Tonneins-Dessus (le Petit-Tonneins, le bourg St-Pierre) en amont de la Garonne, et Tonneins-Dessous (le Grand-Tonneins, le bourg Notre-Dame) en aval. Chaque citĂ© avait son seigneur, son chĂąteau, son Ă©glise, ses fortifications, ses coutumes, libertĂ©s et franchises et sa monnaie[47], mais la baronnie de Tonneins-Dessous Ă©tait la plus importante, et Tonneins-Dessus en dĂ©pendait fĂ©odalement, lui devant foi et hommage.
- Aux XIIIe et XIVe siĂšcles, les Rovinha/Rovignan avaient Tonneins-Dessus[48], qu'en 1261 Raimond-Bernard de Rovignan, aussi seigneur de Casteljaloux et de Caumont, dota d'une coutume. Vers 1352, Hugues de Rovignan Ă©tait seigneur de Tonneins-Dessus. Ensuite, les Caumont-La Force en furent les maĂźtres depuis la mi-xve siĂšcle.
- Les FerrĂ©ol/Ferriol furent les seigneurs de Tonneins-Dessous jusqu'Ă Isabelle FerrĂ©ol, aussi dame de Montastruc, qui vendit vers 1450 Ă Amanieu de Madaillan. Charles VII, finalement victorieux de la Guerre de Cent Ans, mit sous sĂ©questre et donna au marĂ©chal Poton de Xaintrailles en 1452. Sa veuve hĂ©ritiĂšre, Catherine Brachet de VendĂŽme, se remaria avec Jehan III de Stuer, issu d'une famille bretonne (Stuer en PorhoĂ«t). Puis le frĂšre de Jehan, Guillaume de Stuer de St-Maigrin, Ă©poux de Catherine de Caussade, hĂ©rita. Vers 1576/1579, son descendant Louis de Stuer de Caussade (1554-1634), dernier fils de François de Stuer de Caussade, Ă©pousa Diane de PĂ©russe des Cars (â 1611 ; voir des prĂ©cisions et des rĂ©fĂ©rences gĂ©nĂ©alogiques Ă cet article), fille hĂ©ritiĂšre de Jean d'Escars, comtesse de Lavauguyon et princesse de Carency. Leur postĂ©ritĂ© garda Tonneins-dessous, notamment les QuĂ©len de Stuer de Caussade (autre famille bretonne) qui devinrent ducs de La Vauguyon (Ă Tonneins rĂ©unie et Calonges) en aoĂ»t 1758, avec pairie en 1759 : cf. les ducs Antoine (qui acquit Calonges, et aussi, du duc de La Force, Tonneins-Dessus) puis son fils Paul-François.
Tonneins a souffert de la guerre de Cent Ans entre le roi d'Angleterre et le roi de France, ainsi que des guerres de religion. AndrĂ© MĂ©lanchthon, recteur des Ă©coles de Tonneins, prĂȘcha la RĂ©fome en Agenais dĂšs 1541.
Tonneins, comme nombre de villes et bourgades voisines (Clairac, Lafitte, Monheurt, Casteljaloux, NĂ©racâŠ), se convertit massivement au protestantisme, le seigneur de Tonneins-Dessus Ă©tant un huguenot (Jacques-Nompar de Caumont), alors que celui de Tonneins-Dessous (les de Stuer de Caussade) restait catholique..
Elle a Ă©tĂ© trĂšs disputĂ©e entre les protestants et l'armĂ©e royale, maintes fois envahie, pillĂ©eâŠ, et fut rançonnĂ©e par Monluc.
Charles IX passe dans la ville lors de son tour de France royal (1564-1566), accompagnĂ© de la cour et des Grands du royaume : son frĂšre le duc dâAnjou, Henri de Navarre, les cardinaux de Bourbon et de Lorraine[49].
Les consuls de Tonneins refusent leur demande de rétablir le culte catholique.
L'édit de Nantes (1598) fait de Tonneins une « place de mariage » puis, en 1606, une « place de sûreté » des protestants.
Tonneins, devenue un centre du protestantisme français, va souffrir des accrocs de plus en plus graves à la paix organisée par cet édit. En 1622 et 1623, elle est, deux fois de suite, rasée par l'armée royale, puis reconstruite par les Tonneinquais[50].
La révocation de l'édit de Nantes, en 1685, force les protestants à se convertir au catholicisme.
Ceux qui refusent, risquant l'exécution ou l'emprisonnement, tentent de s'exiler, principalement en Europe du Nord. Cet exil d'environ 10 % de la population affaiblit l'économie locale[50]. Pendant un siÚcle, jusqu'à ce que l'esprit des LumiÚres et la Révolution française instaurent la liberté religieuse, les protestants tentent de maintenir en secret leur pratique religieuse, malgré les persécutions royales.
Elle fut le chef-lieu de district de 1790 Ă 1795.
En l'an 2000, on comptait environ 300 familles protestantes Ă Tonneins.
Comme La Réole, Marmande, Aiguillon, Port-Sainte-Marie, à Tonneins on a parlé jusqu'au début du XXe siÚcle le gascon garonnais.
La culture du chanvre puis celle du tabac, dans la campagne avoisinante, ont permis le développement d'une corderie et d'une manufacture de tabac. Cette derniÚre entreprise a duré jusqu'à la fin du XXe siÚcle. 20 % des emplois locaux, directement et indirectement, en dépendaient[51].
Le port sur la Garonne a été un moteur pour l'activité économique de Tonneins, jusqu'à ce qu'il soit concurrencé par le canal latéral à la Garonne, puis mis hors service par le chemin de fer.
Tonneins reste le lieu d'activités industrielles (menuiserie, outillage de levage) et un centre commercial actif, mais qui s'est largement délocalisé hors du centre-ville.
Politique et administration
Liste des maires
RĂ©sultats Ă©lectoraux Ă Tonneins
- Référendum de 1992[52] : NON 53,17 % / OUI 46,83 % / Abstention : 21,33 %
- Référendum de 2000[53] : OUI 75,08 % / NON 24,92 % / Abstention : 65,73 %
- Ălection prĂ©sidentielle de 2002, second tour[54] : Jacques Chirac (UMP) 76,43 % / Jean-Marie Le Pen (FN) 23,57 % / Abstention : 18,46 %
- Ălections lĂ©gislatives de 2002, second tour[55] : Michel Diefenbacher (UMP) 54,74 % / GĂ©rard Gouzes (PS) 45,26 % / Abstention : 36,01 %
- Ălections rĂ©gionales de 2004, second tour[56] : Alain Rousset (PS) 48,83 % / Xavier Darcos (UMP) 30,12 % / Jacques Colombier (FN) 21,05 % / Abstention : 30,28 %
- Ălections cantonales de 2004, second tour[57]: Jean-Pierre Moga (Divers droite) 42,91 % / Françoise Bize (PS) 41,7 % / Richard Sanchis (FN) 15,39 % / Abstention : 29,91 %
- Ălections europĂ©ennes de 2004[58] : Liste Kader Arif (PS) 28,98 % / Liste Jean-Claude Martinez (FN) 13,82 % / Liste Alain Lamassoure (UMP) 12,21 % / Liste Jean-Marie Cavada (UDF) 11,09 % / Abstention : 58,35 %
- Référendum de 2005[59] : NON 65,39 % / OUI 34,61 % / Abstention : 31,77 %
- Ălection prĂ©sidentielle de 2007, second tour[60] : Nicolas Sarkozy 51,12 % / SĂ©golĂšne Royal (PS) 48,88 % / Abstention : 16,17 %
- Ălections lĂ©gislatives de 2007, second tour[61] : Michel Diefenbacher (UMP) 53,97 % / GĂ©rard Gouzes (PS) 46,03 % / Abstention : 40,13 %
- Ălections municipales de 2008, premier tour : Liste « Pour Tonneins, avec vous » Jean-Pierre Moga (Divers droite) 60,06 % / Liste « Changeons Tonneins » François Daunis (PS) 39,94 % / Abstention : 30,54 %
- Ălections europĂ©ennes de 2009[62] : Liste « Quand l'Europe veut, l'Europe peut » Dominique Baudis (UMP) 25,03 % / Liste « Changer l'Europe, maintenant » Kader Arif (PS) 15,91 % / Liste « Europe Ăcologie » JosĂ© BovĂ© 13,42 % / Liste « Front National » Louis Aliot 9,33 % / Abstention : 61,11 %
- Ălections rĂ©gionales de 2010, second tour[63] : Alain Rousset (PS) 56,16 % / Xavier Darcos (UMP) 28,27 % / Jean Lassalle (MoDem) 15,57 % / Abstention : 47,12 %
- Ălections cantonales de 2011, second tour[64] : Jean-Pierre Moga (Divers droite) 52,84 % / Françoise Bize (PS) 47,16 % / Abstention : 49,9 %.
- Ălection prĂ©sidentielle de 2012, second tour[65] : François Hollande (PS) 55,45 % / Nicolas Sarkozy (UMP) 44,55 % / Abstention : 20,78 %.
- Ălections lĂ©gislatives 2012, second tour[66] : Matthias Fekl (PS) 57,66 % / Michel Diefenbacher (UMP) 42,34 % / Abstention : 43,65 %.
- Ălections municipales françaises de 2014, second tour[67] : Liste « Avec vous pour Tonneins » Dante Rinaudo (Divers droite) 47,07 % / Liste « Ensemble, RĂ©veillons Tonneins » Eric Bouchaud (Parti socialiste) 31,28 % / Liste « Tonneins Bleu Marine » Maryse Aubert (Front national) 21,63 % / Abstention : 33,80 %.
Population et société
Les habitants sont appelés les Tonneinquais.
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[68]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[69].
En 2020, la commune comptait 9 213 habitants[Note 10], en augmentation de 2,67 % par rapport Ă 2014 (Lot-et-Garonne : â0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Service public
- Poste de police, 3 avenue Charles-de-Gaulle ;
- Mairie, place Zoppola.
Enseignement
- Ăcoles maternelles :
- Publiques : école Marie-Curie, école Françoise-Dolto, école Jean-Macé
- privée : école Notre-Dame
- Ăcoles primaires :
- publiques : école Jules-Ferry, école Victor-Hugo, école Jean-Macé
- privée : école Notre-Dame
- CollĂšges :
- public : collĂšge Germillac
- privé : collÚge Saint-Jean
- Lycée agricole :
- public : lycée Fazanis[71], options : Services aux personnes et au territoire, Productions horticoles, Technicien-conseil vente en produits de jardin
Santé
Centre hospitalier intercommunal Marmande-Tonneins.
Cultes
- Ăglise Protestante Unie de Tonneins[72].
- Assemblée chrétienne de Tonneins[73].
Sports
La principale association sportive de la ville est le club de rugby Ă XIII, appelĂ© Tonneins Lot et Garonne XIII et Ă©voluant en Ălite 2 pour la saison 2013/2014.
Tonneins bénéficie de nombreuses installations sportives :
- 2 gymnases
- 6 aires de grands jeux, dont le stade municipal "Jean-BernĂšge" (en l'honneur d'un ancien grand dirigeant de Tonneins XIII)
- 1 piste de bi-cross
- 1 piscine d'été
- 5 boulodromes dont un couvert
- 6 terrains de basket-ball
- 2 terrains de handball
- 2 plateaux de basket des rues
- 1 mur naturel d'escalade
- 1 pas de tir Ă l'arc en plein air
- 1 piste d'athlétisme
- 1 aire de jeux gazonnée
- 1 skate-parc.
- 6 courts de tennis dont 1 couvert
Par la Voie Verte et les diffĂ©rentes liaisons douces : cyclotourisme, VTC, VTT, marche, canoĂ«-kayakâŠ
Ăconomie
Les fermes d'exploitations agricoles sont au nombre de soixante-cinq sur cette commune.
Culture locale et patrimoine
Les Ă©glises
- Ăglise Saint-Pierre de Tonneins. Elle est inscrite Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[74].
- Ăglise Notre-Dame de Tonneins. Elle est inscrite Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[75].
- Ăglise Saint-Saturnin d'Unet. Elle est inscrite Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[76].
- Ăglise Saint-Germain de Tonneins. Elle est inscrite Ă l'Inventaire gĂ©nĂ©ral du patrimoine culturel[77].
- Ăglise du couvent de LatanĂ© de LatanĂ©.
Les quais sur le bord de Garonne et la maison de passeur en bord de Garonne.
- L'Ă©glise Notre-Dame.
- L'Ă©glise Saint-Pierre.
- Front de Garonne.
- Vue du pont sur la Garonne.
- Le monument aux morts.
Ăquipements culturels
- Nouvelle France et La Contre-RĂ©volution : anciennes revues.
- Centre culturel Paul-Dumail : médiathÚque municipale, école des Arts (musique, théùtre, danse).
- Cinéma Rex.
- Musée Garonna.
- Complexe culturel La Manoque avec théùtre de verdure.
- Plusieurs films et séries ont été tournés dans la commune en particulier :
- 2012 : La Dune de Yossi Aviram.
- Kiosque Ă musique en bord de Garonne.
- Le complexe culturel La Manoque.
- Entrée de La Manoque.
- Le théùtre de verdure.
- Le théùtre de verdure.
Patrimoine environnemental
Dans son palmarÚs 2012, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[78].
Personnalités nées à Tonneins
- Antoine de Quélen de Stuer de Caussade, né en 1706, duc de La Vauguyon (à Tonneins et ), homme politique français.
- Sophie Cottin, née Risteau le , écrivain française, morte à Paris le .
- Jean Lanusse. Né en 1805, aumÎnier de l'Ecole spéciale militaire de Saint-Cyr de 1871 à sa mort en 1905.
- Maurice David, né en 1891, pédagogue, un conférencier, un critique littéraire et un ancien résistant français, mort à Paris en 1974.
- Albert Ferrasse, né le , président de la Fédération française de rugby, président d'honneur du SU Agen, mort à Agen le .
- Patrick Maucouvert, né le , entraßneur de basket-ball professionnel français.
- Philippe Sella, né le , joueur de rugby à XV français.
- Philippe Tourret, né le , athlÚte français spécialiste du 110 mÚtres haies.
- Marouane Chamakh, né le , footballeur international marocain.
- Paulette BernÚge (1896-1973), journaliste, pionniÚre de l'application des principes scientifiques à l'étude des arts ménagers
- Jean-Théodore Joyeux (1865-1938), coureur cycliste, auteur d'un tour de France de 5 500 km en 19 jours en 1895.
Personnalités décédées à Tonneins
- Guillaume du Vair, mort le , prélat, homme politique et écrivain moraliste français, né à Paris le .
- Henry-EugÚne Delacroix, mort le , peintre français, né à Solesmes (Nord) le .
- Jean Guyon, mort le , homme politique, né à Libourne (Gironde) le
L'étrange polémique autour de la rue Paul Voivenel
Fin des années 2010, un historien local, passionné de rugby à XIII, Alain Glayroux, porte à la connaissance du public le fait qu'il existe à Tonneins une rue Paul Voivenel.
Or il s'agit d'une personnalité controversée, puisque Paul Voivenel a fait preuve pendant la deuxiÚme guerre mondiale d'un indéfectible pétainisme[79] et contribua à faire bannir le rugby à XIII par le régime de Vichy
L'historien demande alors Ă la municipalitĂ© de rebaptiser la rue, son combat ayant mĂȘme un Ă©cho dans la presse britannique treiziste qui a en tĂȘte l'intediction du rugby Ă XIII par le rĂ©gime de Vichy[80].
Néanmoins, la municipalité conservatrice décide d'assumer la décision prise dans les années 1960 de baptiser la rue ainsi indiquant que modifier la rue « créerait des problÚmes administratifs pour les habitants de la rue »[81].
HĂ©raldique
Blason | CoupĂ© : au premier de sinople au croissant d'or surmontĂ© de trois Ă©toiles mal ordonnĂ©es du mĂȘme; au second d'azur aux deux tours d'or surmontĂ©es d'une fleur de lys du mĂȘme. |
|
---|---|---|
DĂ©tails | En 1699, le Roi Soleil, Louis XIV, inventa un nouvel impĂŽt sur les armoiries pour financer les nouvelles constructions du ChĂąteau de Versailles. Les Tonneinquais ne pensaient pas payer cet impĂŽt car ils nâavaient pas dâarmoiries. Mais on leur en attribua dâoffice.
Tonneins-Dessous reçut un blason dâazur Ă trois tours dâor rangĂ©es sur une terrasse de sable et Tonneins-Dessus reçut un autre blason de couleur sable et Ă trois coquilles dâor. Mais les consuls des deux citĂ©s nâen voulurent point et en choisirent dâautres.
|
Voir aussi
Bibliographie
- Alphonse Lagarde, Commencement de reconstruction de la ville de Tonneins en 1622, p. 346-355, Revue de l'Agenais, année 1880, tome 7 (lire en ligne)
- Jean-Pierre Capdeville, Alain Turq, A. Dautant, A. Reginato, Carte gĂ©ologique de la France Ă 1/50 000 - Tonneins, Ăditions du BRGM Service gĂ©ologique national, OrlĂ©ans, 1996, (ISBN 2-7159-1877-1) (lire en ligne)
- Alain Glayroux, Les Ălus de Tonneins de 1778 Ă 2021, La MĂ©moire du fleuve (Tonneins, Lot-et-Garonne), revue « La MĂ©moire du fleuve : bulletin d'Ă©tude et de recherche sur l'histoire de Tonneins et du Tonneinquais (no 65) », Tonneins, 2021
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[8].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[9].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[38].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- « Pont suspendu de Tonneins sur la Garonne », sur le site internet de la Région Aquitaine (consulté le ).
- « Pont en béton de Tonneins sur la Garonne », sur le site internet de la Région Aquitaine (consulté le ).
- « Pont de Tonneins », sur Structurae (consulté le ).
- Henri Domengie, Les petits Trains de jadis : Sud-Ouest de la France, Breil-sur-Roya, Ăditions du Cabri, , 251 p. (ISBN 2-903310-48-3), p. 179.
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Fauillet - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Tonneins et Fauillet », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Fauillet - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Tonneins et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine - dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Tonneins », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus dâhabitants dans les unitĂ©s urbaines », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune de Tonneins », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
- « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne », sur https://www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr/ (consulté le )
- « Cartographie des risques d'inondations du TRI de Tonneins et Marmande », sur www.nouvelle-aquitaine.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
- « Sites classés Seveso seuil haut en Lot-et-Garonne », sur www.georisques.gouv.fr (consulté le )
- Article R214-112 du code de lâenvironnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France, volume III, errata et addenda, Librairie Droz, GenÚve, 1998
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 679a
- Alphonse (1810-188 ) Auteur du texte Lagarde, Note historique sur la ville de Tonneins : par Alphonse Lagarde,..., (lire en ligne).
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- « En Guienne : Tonneins, p. 498-501 », sur Histoire des villes de France, t. II, par Aristide Guilbert, à Paris, 1845.
- « Tonneins, p. 38 sq. », sur Recherches historiques sur Tonneins, par Louis-Florimond Lagarde, chez Prosper Noubel, à Agen, 1833.
- « Tonneins, p. 461-474, par Alphonse Lagarde », sur Revue de l'Agenais, t. IX, 1882.
- Tonneins et son Histoire sur le site de la mairie, consulté le 24 avril 2015.
- « Famille de Rovignan », sur Geneawiki.
- Pierre Miquel, Les Guerres de Religion, Paris, Fayard, , 596 p. (ISBN 978-2-21300-826-4, OCLC 299354152, présentation en ligne)., p. 258.
- Vers la tolérance⊠et la liberté, éditeur ville de Tonneins, 1999. (ISBN 29514338-0-8).
- Vincent Jolly, « Avec les gendarmes de Tonneins : chroniques de la violence ordinaire », Le Figaro Magazine,â , p. 52-60 (lire en ligne).
- Résultats du référendum de 1992
- Résultats du référendum de 2000
- Résultats de l'élection présidentielle 2002
- Résultats des législatives 2002
- Résultats des élections régionales 2004
- résultats des cantonales 2004
- Résultats des élections européennes 2004
- Résultats du référendum 2005
- Résultat de l'élection présidentielle 2007
- Résultats des élections législatives 2007
- Résultats des élections européennes 2009
- Résultats des élections régionales 2010
- RĂ©sultats des Ă©lections cantonales 2011
- Résultat de l'élection présidentielle 2012
- Résultats des élections législatives 2012
- RĂ©sultats des Ă©lections municipales 2014
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- « AgroCampus 47 », sur educagri.fr (consulté le ).
- « Eglise Protestante Unie de Tonneins et Marmande »
- « Assemblée chrétienne de Tonneins »
- « Ăglise paroissiale Saint-Pierre », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Ăglise paroissiale Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Ăglise paroissiale Saint-Saturnin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
- « Ăglise paroissiale Saint-Germain », sur www.pop.culture.gouv.fr (consultĂ© le )
- Site des Villes et Villages Fleuris, consulté le 21 février 2013.
- Paul Voivenel, L'ùme de la France, nos trois couleurs, en relisant l'histoire de France. [Discours du maréchal Pétain pour l'inauguration du monument aux morts de Capoulet-Junac, le 17 novembre 1935], Toulouse, Ed. de L'HéraklÚs, , 138 p
- Amandine Gasparotto, « Lot-et-Garonne : un magazine de rugby relaie le combat dâAlain Glayroux », sur SudOuest.fr, (consultĂ© le )
- Lucie Vigué, « Lot-et-Garonne. La rue Voivenel de Tonneins ne devrait pas changer de nom », sur actu.fr, (consulté le )
- Cercle Héraldique Généalogique Historique du Lot-et-Garonne