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La Force (Dordogne)

La Force est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. De 1790 à 2015, la commune était le chef-lieu du canton de la Force.

La Force
La Force (Dordogne)
Le chĂąteau de la Force.
Blason de La Force
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
Maire
Mandat
Serge Pradier
2020-2026
Code postal 24130
Code commune 24222
DĂ©mographie
Gentilé Forcelais, Forcelaises[1]
Population
municipale
2 641 hab. (2020 en augmentation de 2,13 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 169 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 52â€Č 10″ nord, 0° 22â€Č 34″ est
Altitude Min. 12 m
Max. 116 m
Superficie 15,60 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bergerac (banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton du Pays de la Force
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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La Force
Liens
Site web http://www.laforce-dordogne.fr/

    GĂ©ographie

    Situation et description

    SituĂ©e dans le PĂ©rigord pourpre et dans l'unitĂ© urbaine de Bergerac, 10 kilomĂštres Ă  l’ouest de Bergerac, la commune a Ă©tĂ© le chef-lieu du canton de la Force jusqu'en 2015. Son accĂšs se fait par trois routes dĂ©partementales : les RD34, RD4, RD16.

    Communes limitrophes

    Carte de La force et des communes avoisinantes.

    La Force est limitrophe de quatre autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. La Force est situĂ©e dans le quatriĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de dĂ©pĂŽts siliceux-grĂ©seux et de calcaires lacustres de l'Ăšre tertiaire[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant du CĂ©nozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e e6-7, se compose d'argiles Ă  Palaeotherium, des argiles carbonatĂ©es silteuses versicolores Ă  niveaux sableux (Bartonien supĂ©rieur Ă  Priabonien infĂ©rieur continental). La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » et « no 806 - Bergerac » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[3] - [4] et leurs notices associĂ©es[5] - [6].

    Carte géologique de La Force.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 12 m et 116 m[7] - [8].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [9]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[10]. La commune est dans le Bergeracois, une rĂ©gion naturelle prĂ©sentant un relief contrastĂ©, avec les deux grandes vallĂ©es de la Dordogne et du Dropt sĂ©parĂ©es par un plateau plus ou moins vallonnĂ©, dont la pente gĂ©nĂ©rale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages pĂ©rigourdins. Il est composĂ© de vignes, vergers et cultures[11] - [12].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 15,60 km2[7] - [13] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 15,61 km2[4].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de la Force.

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[16]. Elle est drainĂ©e par la Dordogne, l'Eyraud, le Barailler, le Leylavet, le ruisseau de Lagardie, le ruisseau de Tulen, le ruisseau du Landet et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 24 km de longueur totale[17] - [Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaĂźne des monts Dore, traverse six dĂ©partements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne Ă  Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[18] - [19]. Elle borde la commune au sud sur prĂšs de deux kilomĂštres et demi, face Ă  Lamonzie-Saint-Martin.

    L'Eyraud, d'une longueur totale de 21,02 km, prend sa source dans la commune d'Eyraud-Crempse-Maurens et se jette en rive droite de la Dordogne Ă  Saint-Pierre-d'Eyraud, face Ă  Gardonne[20] - [21]. Il traverse le territoire communal du nord-est au sud-ouest sur plus de cinq kilomĂštres dont 700 mĂštres en limite avec Prigonrieux.

    Au nord-est, le ruisseau de Lagardie, affluent de rive droite de l'Eyraud, borde la commune sur deux kilomĂštres, face Ă  Saint-Georges-Blancaneix.

    Autre affluent de rive droite de l'Eyraud, le ruisseau de Tulen prend sa source dans le nord du territoire communal et s'Ă©coule vers le sud sur plus de trois kilomĂštres.

    Le Barailler est un défluent de l'Eyraud et un affluent de la Dordogne. Il nait sur la commune au nord-est de Chadeau et l'arrose sur prÚs d'un kilomÚtre et demi.

    Son affluent de rive gauche le Leylavet prend sa source dans le sud-ouest de la commune qu'il arrose sur 250 mĂštres.

    Affluent de rive droite du Barailler, le ruisseau du Landet sert de limite naturelle au nord-ouest sur deux kilomĂštres entre La Force et Saint-Pierre-d'Eyraud.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - VĂ©zĂšre)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[22]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [23].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[24]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[25].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[24]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 1,8 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 7,9 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 820 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,7 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[28] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[29] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Saint-Laurent Vign », sur la commune de Saint-Laurent-des-Vignes, mise en service en 1962[30] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[31] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 794,4 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[32]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  km[33], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[34], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[35], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[36].

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont La Force[37] - [38]. Seize espÚces animales et une espÚce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[39].

    ZNIEFF

    La Force fait partie des 102 communes concernĂ©es par la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[40] - [41], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[42].

    Urbanisme

    Typologie

    La Force est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 7] - [43] - [44] - [45]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Bergerac, une agglomĂ©ration inter-dĂ©partementale regroupant 22 communes[46] et 64 187 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[47] - [48].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 8]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 50 000 Ă  moins de 200 000 habitants[49] - [50].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (39,7 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (55 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (38,8 %), zones urbanisĂ©es (20,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (18,4 %), prairies (10,7 %), terres arables (5,6 %), cultures permanentes (5 %), eaux continentales[Note 9] (1,2 %)[51].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de La Force est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[52]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[53].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire Ă  risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac, regroupant les 22 communes (15 en Dordogne et 7 en Gironde) concernĂ©es par un risque de dĂ©bordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[54]. Les Ă©vĂ©nements significatifs antĂ©rieurs Ă  2014 sont la crue de 1843 (4 100 m3/s Ă  Bergerac, la crue de rĂ©fĂ©rence historique de pĂ©riode de retour au moins centennale), les crues de 1912, 1944 et 1952 (pĂ©riode de retour de 50 ans) et les crues de 1982 et 1994 (pĂ©riode de retour de 20 ans). Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă  30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă  300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[55]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1996, 1999 et 2018[56] - [52]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dordogne - Bergeracois », couvrant 5 communes et approuvĂ© le , pour les crues de la Dordogne[57] - [58].

    La Force est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[59]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[60] - [61].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Force.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[62]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[63]. 96,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 10] - [64].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1996, 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[52].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 11] situĂ© dans le dĂ©partement de la CorrĂšze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[66].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de La FĂČrça[67].

    Histoire

    Blason : « d'azur à trois léopards couronnés d'or » La seigneurie de Laforce revient en 1554 à la Maison de Caumont, déjà en possession des fiefs de Caumont en Agenais et de Castelnaud en Périgord. Elle est érigée en marquisat en 1609 puis en duché en 1637. La Maison de Caumont conservera Laforce jusqu'à la Révolution et en porte encore le titre aujourd'hui. Durant la période révolutionnaire, Lakanal fait abattre le chùteau de Laforce, siÚge du duché.

    En 1958, la commune de Laforce prend le nom de La Force.

    Liste des seigneurs, marquis et ducs de La Force depuis 1554

    • 1554 Ă  1572 François de Caumont (1524-1572), seigneur de La Force. TuĂ© lors du massacre de la Saint-BarthĂ©lemy.
    • 1572 Ă  1652 Jacques Nompar Ier de Caumont (1558-1652), 1er marquis en 1609, 1er duc de La Force en 1637, marĂ©chal de France, son fils
    • 1652 Ă  1675 Armand Nompar Ier de Caumont (1580-1675), 2e duc de La Force, marĂ©chal de France, son fils
    • 1675 Ă  1678 Henri Nompar de Caumont (1582-1678), 3e duc de La Force, son frĂšre
    • 1678 Ă  1699 Jacques-Nompar II de Caumont (1632-1699), 4e duc de La Force, son petit-fils
    • 1699 Ă  1726 Henri Jacques Ier de Caumont (1675-1726), 5e duc de La Force, acadĂ©micien, son fils
    • 1726 Ă  1764 Armand Nompar II de Caumont (1679-1764), 6e duc de La Force, son frĂšre. À sa mort, le titre ducal s'Ă©teint.
    • 1764 Ă  1773 Bertrand Nompar de Caumont (1724-1773), marquis de La Force, son cousin
    • 1773 Ă  1838 Louis-Joseph de Caumont (1768-1838), marquis puis 7e duc de La Force en 1784, son fils et arriĂšre-petit-fils en ligne fĂ©minine du 6e duc. Le titre ducal est rĂ©tabli en sa faveur
    • 1838 Ă  1854 François-Philibert de Caumont (1772-1854), 8e duc de La Force, son frĂšre
    • 1854 Ă  1857 Edmond Nompar de Caumont (1818-1857), 9e duc de La Force, son petit-fils
    • 1857 Ă  1882 Auguste Nompar Ier de Caumont (1803-1882), 10e duc de La Force, son oncle
    • 1882 Ă  1909 Olivier Nompar de Caumont (1839-1908), 11e duc de La Force, son fils
    • 1909 Ă  1961 Auguste Nompar II de Caumont (1878-1961), 12e duc de La Force, acadĂ©micien, son fils
    • 1961 Ă  1985 Jacques Nompar III de Caumont (1912-1985), 13e duc de La Force, son fils
    • depuis 1985 Henri-Jacques II de Caumont, nĂ© en 1944, 14e duc de La Force, son fils

    Les asiles de Laforce

    En août 1844, le pasteur John Bost est appelé par les paroissiens du village de Laforce. Les habitants protestants ont refusé de suivre le pasteur désigné par le Consistoire de Bergerac, car pour eux, il n'était pas « évangélique ». Le ministÚre pastoral de John Bost est reconnu le à Orléans.

    Le , grùce aux recommandations des professeurs de la faculté protestante de Montauban et aux souscriptions recueillies à Paris et à l'étranger, ce pasteur ouvre un orphelinat pour jeunes filles dénommé « La Famille évangélique ». Cette création sera suivie par sept autres pavillons généralement dénommés sous le terme d'« asiles » et qui se dénomment « Bethel », « Bethesda », « Eben-Hézer », « la Miséricorde », « le Repos », « la Retraite » et « Siloé »

    En 1861, le compositeur Franz Liszt apprend alors qu'il est installĂ© Ă  Weimar que son ancien Ă©lĂšve John Bost avait abandonnĂ© la musique pour devenir pasteur et consacrer sa vie Ă  crĂ©er et Ă  diriger des asiles de charité lance cette premiĂšre phrase[68] : « Eh bien, il a fait ce qu'il y a de mieux Ă  faire », puis se reprend, en ajoutant : « Il a fait ce qu'il y a Ă  faire. »

    En 1877, dans un ouvrage publiĂ© pour prĂ©senter les divers Ă©tablissements de son institution, le pasteur John Bost prĂ©sente l'ensemble de cette Ɠuvre qui prĂ©figure l'action mĂ©dico-sociale publique en ces termes[69] :

    « L'enfance abandonnĂ©e, les infirmes, les incurables, les aveugles, les sourds-muets, les idiots, les Ă©pileptiques, les veuves, les institutrices malades, l'humble servante infirme, usĂ©es par le travail, viennent vous raconter leurs souffrances, vous bĂ©nir pour tout le bien que dĂ©jĂ  vous leur avez fait et se recommander Ă  votre sympathie, votre charitĂ© — ne soyez pas sourd Ă  leurs cris. Leur histoire se rĂ©sume en un mot : souffrir et la vĂŽtre en deux mots : soulager, consoler, n'est-ce pas ? »

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    DÚs 1790, la commune de La Force est rattachée au canton de la Force qui dépend du district de Bergerac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton dépend de l'arrondissement de Bergerac[7].

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaßt aux élections départementales de mars 2015[70]. La commune est alors rattachée au canton du Pays de la Force, dont le bureau centralisateur est localisé à Prigonrieux.

    Intercommunalité

    Fin 2001, La Force intÚgre dÚs sa création la communauté de communes Dordogne-Eyraud-Lidoire dont elle est le siÚge. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de SigoulÚs au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 2 500 et 3 499 habitants au recensement de 2017, vingt-trois conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[71] - [72].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1944 mars 1977 Jean Miquel SE Jardinier
    mars 1977 mars 1983 Jean-Jacques Révillé SE Médecin généraliste
    mars 1983 mars 2001 Jean-Paul Chaume SE Professeur de collĂšge
    mars 2001 mai 2020 Armand Zaccaron PCF[73] Instituteur retraité
    Vice-président de la communauté de communes
    Conseiller général du canton de La Force (2004-2015)
    Conseiller départemental du canton du Pays de la Force (2015-2021)
    mai 2020[74] En cours Serge Pradier

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, La Force relĂšve[75] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[76]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2005[77].

    En 2020, la commune comptait 2 641 habitants[Note 12], en augmentation de 2,13 % par rapport Ă  2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    695768836944957891893765812
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    9108978949021 1611 2411 2281 2481 162
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 2221 2951 2061 0261 0601 0681 1881 2401 396
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    1 5731 8031 8462 1012 2612 3362 4912 4652 520
    2015 2020 - - - - - - -
    2 6032 641-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[7] puis Insee Ă  partir de 2006[78].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Sports

    Club de softball/baseball les « Alouettes ».

    Manifestations culturelles et festivités

    Économie

    Emploi

    L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de La Force ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

    L'emploi des habitants

    En 2018[79], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 1 129 personnes, soit 42,4 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (116) a fortement diminuĂ© par rapport Ă  2013 (168) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  10,3 %.

    L'emploi sur la commune

    En 2018, la commune offre 1 393 emplois pour une population de 2 665 habitants[80]. Le secteur administratif (administration publique, enseignement, santĂ©, action sociale) est ultra-majoritaire avec 75,7 % des emplois.

    Répartition des emplois par domaines d'activité

    Agriculture, sylviculture ou pĂȘche Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santĂ©, action sociale
    Nombre d'emplois 20 109 67 143 1 055
    Pourcentage 1,4 % 7,8 % 4,8 % 10,3 % 75,7 %
    Source des données[80].

    Établissements

    Fin 2018, la commune compte 48 Ă©tablissements actifs employeurs[81], dont vingt-cinq au niveau des commerces, transports ou services, quinze relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, six dans la construction, et deux dans l'industrie[82].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Les vestiges du chĂąteau de La Force.
      Les vestiges du
      chĂąteau de La Force.
    • Le temple protestant de La Force.
      Le temple protestant
      de La Force.
    • L'Ă©glise Saint-Victor.
      L'Ă©glise Saint-Victor.

    Patrimoine culturel

    • Foyer Socio-culturel.
    • Place des monuments aux morts.

    Activités culturelles

    Un concert organisĂ© Ă  l'occasion du centenaire de l'armistice de 1918 par l'association Paroles et musiques dans le temple protestant John Bost a permis d'aborder un aspect de la vie des poilus lors de la Grande Guerre. Pierre Hamel, premier violon Ă  l'Orchestre Colonne de Paris a jouĂ© d'un instrument peu commun : un violon en mĂ©tal utilisĂ© par les soldats dans les tranchĂ©es pour se distraire. FabriquĂ© par un maĂźtre-luthier de Mirecourt avec des bidons de margarine et des plaques de mĂ©tal assemblĂ©es et soudĂ©es, le violon possĂšde un systĂšme de chevilles qui fait qu'il peut ĂȘtre accordĂ© et qu'on peut en jouer, mĂȘme s'il est plus lourd et si le son est un peu mĂ©tallique. C'est un instrument dont il n'existe que cinq ou six exemplaires connus[84].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Armes de La Force

    Les armes de La Force se blasonnent ainsi : « D'azur Ă  trois lĂ©opards couronnĂ©s d'or, l’un sur l’autre. »

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[14] - [15]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[26].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[27].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    9. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    10. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    11. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[65].
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
    3. IGN, « Évolution comparĂ©e de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ).
    4. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

    Références

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    6. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 806 - Bergerac de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
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