Oriolles
Oriolles est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Oriolles | |||||
Mairie d'Oriolles. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
DĂ©partement | Charente | ||||
Arrondissement | Cognac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des 4B Sud-Charente | ||||
Maire Mandat |
Isabelle Lagarde 2020-2026 |
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Code postal | 16480 | ||||
Code commune | 16251 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Oriollais | ||||
Population municipale |
250 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 14 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 45° 21âČ 42âł nord, 0° 07âČ 34âł ouest | ||||
Altitude | Min. 84 m Max. 161 m |
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Superficie | 18,30 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Barbezieux-Saint-Hilaire (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de la Charente-Sud | ||||
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Charente
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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GĂ©ographie
Localisation et accĂšs
Oriolles est une commune du canton de Brossac, situĂ©e Ă 39 km au sud-ouest d'AngoulĂȘme et Ă 12 km au sud de Barbezieux.
Oriolles est Ă peu prĂšs au milieu des 3-B, que sont les chefs-lieux de canton Brossac, Barbezieux et Baignes. Le bourg d'Oriolles est Ă 7 km au nord-ouest de Brossac, 9 km au sud-est de Baignes, 17 km de Chalais, 26 km de Jonzac, 40 km de Cognac, 68 km de Bordeaux[2].
Les voies importantes de communication que sont la N 10 AngoulĂȘme-Bordeaux qui passe Ă l'ouest et la D 731 Barbezieux-Chalais qui passe Ă l'est Ă©vitent la commune. Mais les routes dĂ©partementales D 2, D 27, D 131 et D 452 la traversent[3].
La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER Ă destination d'AngoulĂȘme et de Bordeaux.
Hameaux et lieux-dits
L'habitat est dispersé, et le bourg d'Oriolles n'est pas plus important que les nombreux hameaux qui sont dans la commune : Chez Baudut, les Poteries, Chez Boutillet...
Communes limitrophes
GĂ©ologie et relief
Le sol de la commune se compose d'argile blanche, de sable et de galets, dépÎts du Tertiaire, sol pauvre propice au boisement[4] - [5] - [6] - [7].
La commune offre un relief vallonnĂ© propre Ă la forĂȘt de la Double. Le point culminant est Ă une altitude de 161 m, situĂ© au sud, chez Baudut (chĂąteau d'eau), mais un autre sommet prĂšs de la limite nord atteint 160 m (borne IGN). Le point le plus bas est Ă 84 m, situĂ© en limite sud avec Guizengeard. Le bourg, situĂ© sur une hauteur, est Ă 145 m d'altitude[3].
RĂ©seau hydrographique
La commune est située dans le bassin versant de la Charente et le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le Lary, le ruisseau Gourdine, le Petit Lary et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 23 km de longueur totale[9] - [Carte 1].
Le Lary, qui descend vers le sud et se jette dans l'Isle, prend sa source dans la forĂȘt, prĂšs de la limite de commune avec CondĂ©on, et forme la limite ouest de la commune avec TouvĂ©rac. Il est orthographiĂ© Larit dans sa partie amont.
Le Petit Lary qui fait la limite sud-ouest de la commune avec Boisbreteau est son principal affluent. Il prend sa source Ă l'ouest du bourg, au Groleau.
Au sud-est de la commune, naissent de petits affluents du Palais qui prend sa source prĂšs de Brossac, et lui-mĂȘme affluent du Lary.
à l'est du bourg naßt la Gourdine, qui coule vers le nord et fait la limite nord-est de la commune. Elle s'appelle dans sa partie aval le Gabout avant de se jeter dans le Beau, affluent du Né qui passe à l'est de Barbezieux. La commune est donc traversée par la ligne de partage des eaux entre Garonne ou plus exactement Dordogne, et le bassin versant de la Charente.
La commune comporte de nombreux ruisseaux et Ă©tangs, dont certains sont d'anciennes carriĂšres[3].
Gestion des eaux
Le territoire communal est couvert par les schĂ©mas d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente » et « Isle - Dronne ». Le SAGE « Charente», dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin Charente[10]. Le SAGE « Isle - Dronne», dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a Ă©tĂ© approuvĂ© le . La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ćuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[11]. Ils dĂ©finissent chacun sur leur territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux dâutilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [12].
Climat
Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Végétation
La commune est sur la bordure nord-est de la forĂȘt de la Double saintongeaise, grande forĂȘt de pins maritimes, ou landes, qui s'Ă©tend de la Dordogne Ă la Charente-Maritime, appelĂ©e aussi localement forĂȘt de Chaux ou Petit Angoumois, et dans laquelle se trouve une grande partie du canton.
Urbanisme
Typologie
Oriolles est une commune rurale[Note 1] - [13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14] - [15].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Barbezieux-Saint-Hilaire, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 25 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16] - [17].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (54,3 % en 2018), en augmentation par rapport Ă 1990 (51,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (43,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (37,5 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (10,4 %), terres arables (6,9 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (1,4 %)[18].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
Le territoire de la commune d'Oriolles est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© faible)[19]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[20].
Oriolles est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PDPFCI) a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© pour la pĂ©riode 2017-2026, faisant suite Ă un plan 2007-2016[21]. Les mesures individuelles de prĂ©vention contre les incendies sont prĂ©cisĂ©es par divers arrĂȘtĂ©s prĂ©fectoraux et sâappliquent dans les zones exposĂ©es aux incendies de forĂȘt et Ă moins de 200 mĂštres de celles-ci. LâarrĂȘtĂ© du rĂšglemente l'emploi du feu en interdisant notamment dâapporter du feu, de fumer et de jeter des mĂ©gots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrĂȘtĂ© du rend le dĂ©broussaillement obligatoire, incombant au propriĂ©taire ou ayant droit[Note 3] - [21] - [22] - [23].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 89,8 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,4 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 143 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 99 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 69 %, Ă comparer aux 81 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24] - [Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[25].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].
Toponymie
Une forme ancienne est Auriola en 1100[26].
L'origine du nom d'Oriolles pourrait remonter à un nom de personne gallo-romain Auriola, féminin d'Auriol provenant du latin aureolus qui signifie loriot, mais aussi à Aureolam [terram], « la terre d'or », qui peut provenir des pierres précieuses, calcédoines pseudomorphiques, de couleur blonde, qu'on y a trouvées[27] - [28].
Histoire
Sous l'Ancien RĂ©gime, une partie de la paroisse dĂ©pendait, avec Boisbreteau, de la seigneurie puis marquisat de TouvĂ©rac, terre elle-mĂȘme dĂ©pendant de la baronnie puis duchĂ© de Montausier Ă partir de la fin du XVIIe siĂšcle. Ce dernier faisait partie du Petit Angoumois, enclave de l'Angoumois en Saintonge dont Baignes Ă©tait le centre[29].
En 1786, Oriolles était le chef-lieu de la paroisse; la cure d'Oriolles avec ses annexes rapportait 2 000 livres, puis l'église a été annexée à Boisbreteau.
Au bourg, le logis appartenait Ă la famille de Sainte-Maure, de Chaux. En 1747, le comte Louis Marie de Sainte-Maure, premier Ă©cuyer commandant la grande Ă©curie du roi, en fit don Ă son fidĂšle serviteur et intendant Jean-Joseph LĂ©onard, qui s'y Ă©tablit avec sa famille.
Le domaine de Coiffard appartint pendant prĂšs de trois siĂšcles aux du Busson. Cette famille, originaire des environs de Mantoue (Italie), vient en France au XVIe siĂšcle et se fixa Ă Coiffard sous Louis XIV. Le dernier descendant de cette famille, qui fut longtemps juge de paix Ă Brossac, mourut Ă Coiffard en 1886[30].
Entre 1975 et 1996, l'argile blanche kaolinique a été exploitée par la société AGS, comme à Guizengeard, Condéon, Touvérac et Clérac. En 1999, le site de l'ancienne carriÚre a été repris par une société de traitement des déchets, mais AGS était toujours implanté à Oriolles en 2014, succursale de Clérac, avec production de chamotte[31].
Administration
DĂ©mographie
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2007[33].
En 2020, la commune comptait 250 habitants[Note 4], en diminution de 12,89 % par rapport Ă 2014 (Charente : â0,6 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
En 2008, Oriolles comptait 247 habitants (soit une augmentation de 12,8 % par rapport à 1999). La commune occupait le 24 581e rang au niveau national, alors qu'elle était au 24 943e en 1999, et le 279e au niveau départemental sur 404 communes.
Pyramide des Ăąges
En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 29,4 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (30,2 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 27,8 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 32,3 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 129 hommes pour 125 femmes, soit un taux de 50,79 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Ăconomie
Agriculture
Territoire principalement boisé de pins maritimes, la commune comporte de l'élevage (ovins, bovins, porcins, gibier).
La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrÎlée du cognac[38].
Industrie
L'usine de chamotte, situĂ©e au lieu-dit Chez Boutillet, utilise l'argile blanche kaolinique locale pour en faire de la chamotte, utilisĂ© pour faire des briques rĂ©fractaires ou comme isolant en construction. Construite en 1976 sur une ancienne usine de 1960 qui possĂ©dait deux fours, elle possĂšde un grand four rotatif de cimenterie chauffĂ© au gaz de Lacq, complĂ©tĂ© plus rĂ©cemment par de la biomasse. Sa production s'est Ă©levĂ©e Ă 2 800 t par jour dans les annĂ©es 2000[39], et elle a produit environ 300 Ă 380 t par jour en 2011[40], soit une production annuelle de 150 000 tonnes pour la chamotte rĂ©fractaire, calcinĂ©e jusqu'Ă 1 550°, et 100 000 tonnes pour l'argile rĂ©fractaire, avec en 2013 trois fours et un four flash d'une capacitĂ© totale de 200 000 tonnes. L'usine fournit aussi de l'argile broyĂ©e et sĂ©chĂ©e[41]. Elle est rĂ©fĂ©rencĂ©e comme patrimoine industriel[39]. SituĂ©e sur une basse colline, c'est un point de repĂšre dans la forĂȘt qu'on voit de loin.
Tourisme
- Ferme-auberge.
Ăquipements, services et vie locale
Enseignement
L'école est un RPI entre Brossac, Oriolles et Passirac. Brossac accueille l'école maternelle et l'école élémentaire. Les écoles d'Oriolles et de Passirac sont aussi des écoles élémentaires. L'école d'Oriolles comporte une classe unique. Le secteur du collÚge est Baignes[42].
Vie locale
La fĂȘte communale est le deuxiĂšme dimanche d'aoĂ»t.
Lieux et monuments
- L'église paroissiale Saint-Pierre date des XIe et XIIe siÚcles, mais a été remaniée aux XVe et XIXe siÚcles. Seule une partie du mur nord de la nef date encore du XIIe siÚcle. C'était un ancien prieuré-cure rattaché au prieuré Saint-Vivien de Saintes[43]. Elle est entourée du cimetiÚre.
- Le domaine de Coiffard, ancien domaine, est au sud de la commune.
Personnalités liées à la commune
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Le dĂ©broussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mĂštres (selon un principe du droit des assurances, tout propriĂ©taire est tenu dâassurer la protection de ses biens), et de 7 mĂštres minimum de part et dâautre des voies privĂ©es y donnant accĂšs.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Oriolles » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Carte du BRGM sous GĂ©oportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montguyon », sur Infoterre, (consulté le )
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Barbezieux », sur Infoterre, (consulté le )
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le )
- « Fiche communale d'Oriolles », sur le systÚme d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le )
- « SAGE Charente », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « SAGE Isle - Dronne », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur www.occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le )
- « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune urbaine-dĂ©finition », sur le site de lâInsee (consultĂ© le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans lâaire dâattraction dâune ville », sur insee.fr, (consultĂ© le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministÚre de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques prÚs de chez moi - commune d'Oriolles », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Ăvaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur GĂ©orisques (consultĂ© le )
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- « ArrĂȘtĂ© portant classement de massifs forestiers et obligation de dĂ©broussaillement. », sur www.charente.gouv.fr, (consultĂ© le )
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- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Oriolles », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- Paul-François-Ătienne Cholet (prĂ©f. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Ătienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 108
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 38,510-511.
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Chùteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 388
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Chùteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 265
- « Entreprise SARCA, Oriolles » [PDF], sur entreprises-coloniales.fr, (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'Ăcole des hautes Ă©tudes en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Oriolles (16251) », (consultĂ© le ).
- Insee, « Ăvolution et structure de la population en 2018 - DĂ©partement de la Charente (16) », (consultĂ© le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le )
- « Usine Sarcal », notice no IA00066345, base Mérimée, ministÚre français de la Culture
- « Oriolles: la sociĂ©tĂ© AGS a ouvert ses portes au public », Charente libre,â (lire en ligne, consultĂ© le )
- « AGS Minéraux », (consulté le )
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le )
- « Ăglise d'Oriolles », notice no IA00041145, base MĂ©rimĂ©e, ministĂšre français de la Culture
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Catillus Carol, « Oriolles », (consulté le )
- Oriolles sur brossac.nature
- « Oriolles », base Mérimée, ministÚre français de la Culture
- « Oriolles », base Palissy, ministÚre français de la Culture