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Clérac

Clérac est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Clérac
Clérac
La mairie de Clérac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Charente-Maritime
Arrondissement Jonzac
Intercommunalité Communauté de communes de la Haute Saintonge
Maire
Mandat
Michel Quod
2020-2026
Code postal 17270
Code commune 17110
DĂ©mographie
Gentilé Cléracais
Population
municipale
975 hab. (2020 en diminution de 1,32 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 23 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 45° 10′ 51″ nord, 0° 13′ 40″ ouest
Altitude Min. 27 m
Max. 116 m
Superficie 43,08 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton des Trois Monts
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Clérac
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Clérac
Liens
Site web www.ville-clerac.fr

    Ses habitants sont appelés les Cléracais et les Cléracaises[1].

    GĂ©ographie

    Localisation et accès

    Clérac est située à la pointe sud du département, dans la région de la Haute Saintonge.

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Clérac est une commune rurale[Note 1] - [2]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[3] - [4]. La commune est en outre hors attraction des villes[5] - [6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (58,3 %), zones agricoles hétérogènes (20,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,6 %), prairies (4,5 %), mines, décharges et chantiers (2,3 %), cultures permanentes (2,3 %), zones urbanisées (0,7 %)[7].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

    Toponymie

    Le toponyme provient du nom de propriétaire gallo-romain Clarius, suivi du suffixe -acum.

    Histoire[8]

    Quelques traces d'habitants dès la Préhistoire : des noms de lieux (comme « Haute Borne ») un silex taillé, des scories de métaux et des débris de poteries attestent d’une présence humaine remontant au moins à

    Au temps des Romains : première véritable occupation humaine : des hommes sont installés à l’est de actuel bourg de Clérac et dans quelques autres lieux de la commune, profitant de la présence de plusieurs voies romaines, dont le « chemin de Charlemagne » sur les hauteurs de la rive gauche du Lary. Ils construisent vers le Ve une première église dédiée à saint Vivien.

    XIe siècle : fondation du prieuré de Clérac : Adoïcus, le seigneur du lieu, donne à l’abbaye de Guîtres l’église Saint-Vivien de Clérac et les terres avoisinantes, à charge pour les religieux de les défricher et de les cultiver. L'église est reconstruite avec une seule nef à trois travées terminée par une abside semi circulaire.

    Guerre de 100 ans : l’église est fortifiée, une forteresse dépendante de la seigneurie de Montguyon est construite à Auvignac (près de l’actuel village des Bertrands). Des combats détruisent une partie de l’église et du prieuré, ravagent les cultures et réduisent les habitants à la famine.

    XVe siècle : création de la seigneurie de Clérac et reconstruction

    En 1462, pour le remercier des services rendus, Hardoin de Maillé et son épouse Marguerite de La Rochefoucauld, dame de Montguyon, donnent à un chevalier de leur entourage, Bertrand Ardilhon, les «hostels, domaines et seigneurie de Clérac», soit une partie de la paroisse de Clérac, sur la rive droite du Lary. Par héritage, la seigneurie de Clérac passe en 1492 à la famille Potier de Caillères (originaire de l’Angoumois), qui la posséda jusqu’à la Révolution. Bertrand Ardilhon construit au centre de sa seigneurie, un manoir, connu depuis sous le nom de « château de Caillères ». Pour restaurer son domaine, il recrute des laboureurs sur place ou dans les régions du nord moins touchées par les guerres : ces nouveaux tenanciers sont chargés de remettre en état les terres et les bâtiments qui leur sont confiés. À la même époque, l’église Saint-Vivien est restaurée, les voûtes et le chevet sont reconstruits (à plat, avec une fenêtre gothique), une chapelle est ajoutée au sud en l’honneur de saint Antoine. La maison du prieur, entourée de son enclos de vigne, à l’est de l’église, est également remise en état.

    XVI et XVII s : nouveaux troubles : les efforts de mise en valeur sont en partie anéantis par les nombreux troubles que connaît la région : guerres de Religion (presque tous les habitants ont adopté la religion réformée et plusieurs affrontements ont lieu à proximité), combat de Montguyon pendant la Fronde en 1652, puis révolte des paysans de la seigneurie de Montguyon contre le receveur fiscal en 1661.

    Au XVIIIe siècle : une vie difficile

    Plusieurs seigneurs : la plus grande partie de la paroisse de Clérac relève de la seigneurie de Montguyon : d’abord aux mains des La Rochefoucauld, elle passe dans les biens de la famille de Rohan qui possédait déjà les baronnies de Montendre, Montlieu et Saint-Aulaye. Trois autres seigneuries, vassales de celle de Montguyon, se partagent le reste du territoire : la plus grande est celle de Clérac (propriété des Caillères) ; La Valade aussi appelée Vieille Court s’étend en partie aussi sur Saint-Martin-d’Ary (propriété des du Ban de Coulon, elle entre par mariage dans les possessions des Caillères) ; Rentier est la plus petite aux confins de la paroisse de Bédenac (d’abord possédée par la famille noble des Astruc, elle est achetée par Jacques Ragot, un simple « bourgeois de Neuvic », puis par Pierre Dubreuil, un laboureur de Clérac).

    Des landes et quelques cultures : marécageuse, couverte de landes à taillis, toute la moitié ouest de la paroisse est vouée à l’élevage des moutons et des brebis. À l’est, les deux rives du Lary portent des cultures de céréales. Jusqu’à la construction de la route royale n° 10 (actuelle N 10) au milieu du XVIIIe siècle, les voyageurs allant de Paris à Bordeaux traversaient Clérac, entre Montguyon et Bédenac.

    De pauvres habitants : au nombre d’environ 900 à la veille de la Révolution tous les Cléracais (du simple journalier jusqu'au seigneur) vivent modestement. La mortalité est très élevée, résultat de la médiocrité de l’agriculture, des mauvaises récoltes liées aux intempéries et des épidémies conséquences de l’insalubrité.

    La Révolution provoque peu de remous : en 1789, le seigneur de Clérac, Louis de Caillères (fils de Charles de Caillères et de sa servante, Élisabeth Verrier) est un jeune orphelin qui se débat pour régler la maigre succession de son père; adulte, il s’engage dans les armées républicaines, et, à son retour il devient maire de Clérac. Son oncle et tuteur, Raphaël de Caillères, seigneur de La Valade, ancien officier des armées royales, est nommé commandant de la Garde Nationale de Clérac et se montre loyal envers le nouveau régime. Pourtant quelques Cléracais veulent s'emparer par la force de ses archives et il est obligé de quitter la commune pendant plusieurs années pour se réfugier en Gironde. Seul le curé, François de la Faye d’Ambérac, émigre.

    À partir du XIXe siècle, une commune prospère

    Forêt, vigne et élevage: pour assainir la partie ouest de commune, on sème des pins qui ensuite vont être gemmés pour produire de la résine. Le vignoble, orienté vers la production d’eau-de-vie, devient une des principales ressources de la commune dans la seconde moitié du XIXe siècle. Et l’élevage des moutons cède la place à celui des vaches laitières et des porcs.

    Exploitation de «la terre blanche» : à une très ancienne poterie, puis à la verrerie de la Gélie et à la faïencerie de la famille Trijaud créées au XIXè s, Persick, un Alsacien réfugié à Clérac après la guerre de 1870 ajoute la fabrication de pipes en terre cuite : c’est le début de l’exploitation de « la terre blanche », qui sous l’impulsion de quelques hommes d’affaires entreprenants devient dans l’Entre-deux-guerres la principale activité cléracaise, employant plusieurs centaines d’ouvriers dans les carrières et dans les usines de traitement situées près de la gare de Clérac.

    Développement des moyens de transport : Clérac profite de l’amélioration du réseau routier effectué au XIXe siècle (route Chevanceau - Libourne qui, passe à Simonneau ; route d’Orignoles à Valin qui traverse la commune du nord au sud le long du Lary; route Montendre – Guitres par Bédenac et Cercoux qui longe le sud de la commune) L’ouverture en 1907 de la voie ferrée Châteauneuf – Saint-Mariens permet d’exporter l’eau-de-vie vers Cognac, et la résine, le bois et l’argile réfractaire vers le port de Bordeaux.

    Maximum démographique et immigration : conséquence de cette prospérité économique, la population dépasse 1500 habitants en 1861 ; elle va ensuite décroître lentement : beaucoup de Cléracais sans terre quittent la commune ; mais ils sont en partie remplacés par de nouveaux arrivants (Landais venus exercer leur savoir-faire dans le gemmage, Bretons spécialisés dans l’élevage, puis Italiens employés dans l’agriculture et l’artisanat).

    Transformations du bourg et des villages : signe aussi de cette aisance nouvelle, le bourg et les villages se transforment : la mairie et le groupe scolaire sont construits en 1886 ; l’église est restaurée et agrandie (on ajoute la chapelle de la Vierge au nord) ; quelques familles se font construire de belles maisons dont certaines ont l’allure de petits châteaux (comme celui de la famille Geneuil au centre du bourg, et surtout celui de l’Espie, édifié à la fin du XIXè s par Jules Nau). Et après la fin de la Seconde Guerre mondiale, des " maisons neuves" sont construites, soit par des particuliers, soit à l'initiative de la commune, pour faire face aux besoins nouveaux de la population.

    À partir de la fin des années 1960, la commune entame une période difficile : l'exode rural s'accentue; l'agriculture décline; les usines de terres réfractaires, tout en continuant leurs activités, réduisent leurs mains-d’œuvre ; le trafic ferroviaire de marchandise s'arrête, la population passe pour la première fois depuis plusieurs siècles en dessous de 1000 habitants.

    Un certain renouveau se fait jour depuis quelques années : Clérac a accueilli une des bases de travaux de la nouvelle ligne LGV et héberge aujourd'hui un centre de maintenance pour cette ligne ; les relations routières se sont améliorées avec Bordeaux et la commune entre dans l'aire d'influence de la métropole bordelaise; la population a recommencé à croître et de nouveaux lotissements ont vu le jour.

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    avant 1981 ? Marc Poupelain DVG chef D'entreprise
    2001 En cours Guy Pasquet DVG[9] Chef des ventes retraité
    Les données manquantes sont à compléter.

    Politique environnementale

    Dans son palmarès 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué une fleur à la commune[10].

    DĂ©mographie

    Évolution démographique

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[11]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[12].

    En 2020, la commune comptait 975 habitants[Note 2], en diminution de 1,32 % par rapport Ă  2014 (Charente-Maritime : +2,92 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 2701 1971 1471 2001 4341 3441 3471 4681 503
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5391 5581 5201 4881 4721 5211 5241 5171 511
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 5051 5191 3631 2181 2311 3621 2241 1701 209
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    1 2711 1431 1321 097961937932931986
    2018 2020 - - - - - - -
    971975-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[13] puis Insee Ă  partir de 2006[14].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Industrie

    L'usine AGS.
    • SituĂ©e Ă  la gare de ClĂ©rac, la sociĂ©tĂ© Imerys exploite et traite les argiles de diverses carrières environnantes. Elle est le fruit de multiples regroupements de sociĂ©tĂ©s. Elle trouve son origine dans l'entreprise Boisson et Bourgoin, crĂ©Ă©e en 1912, puis dans les sociĂ©tĂ©s Argirec et Sogdar regroupĂ©es pour former AGS (aujourd'hui absorbĂ©e par le groupe Imerys). En 2010, AGS comptait encore deux cents personnes. Elle fait l'objet d'un inventaire pour figurer au registre du patrimoine industriel[15].
    • Au lieu-dit Petit-Fradon se trouvait une usine Ă  chaux construite par Pierre Berteau Ă  la suite de l'autorisation prĂ©fectorale qui lui en est faite le . Elle fait l'objet d'un inventaire pour figurer au registre du patrimoine industriel[16].
    • Au lieu-dit Teurlay-du-Lary, on trouvait une distillerie d'eaux-de-vie de cognac. HĂ©ritière de la distillerie fondĂ©e par Jules Nau au château de l'Espie, elle a longtemps Ă©tĂ© dirigĂ©e par Georges Nau puis par son fils Jacques Nau. La cessation d'activitĂ© remonte aux annĂ©es 1990. Elle aussi fait l'objet d'un inventaire pour figurer au registre du patrimoine industriel[17].
    • Le lieu-dit Angenin Ă©tait occupĂ© par une distillerie de gemme fondĂ©e en 1924-25 par Hector Poupelain, la rĂ©sine abondant dans les forĂŞts de pins environnantes. En 1927, associĂ© Ă  M. Jacopy, il fait Ă©difier, de l'autre cĂ´tĂ© de la route, une distillerie d'eaux-de-vie de cognac. La mĂŞme annĂ©e, il crĂ©e avec ses fils, Armand et Roger, une scierie, dont les locaux se trouvent Ă  proximitĂ© de la distillerie de gemme, et qui est toujours en activitĂ©. LĂ  encore, l'ensemble fait l'objet d'un inventaire pour figurer au registre du patrimoine industriel[18].

    Commerces

    Magasin multi-service, au bourg.

    Équipements, services et vie locale

    • École communale.
      École communale.
    • Bibliothèque.
      Bibliothèque.

    Culture

    • La commune dispose d'un musĂ©e sur les vieux mĂ©tiers en contrebas de l'Ă©glise

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    • L'Ă©glise paroissiale, dĂ©diĂ©e Ă  saint Vivien, date du XIIe siècle et a Ă©tĂ© profondĂ©ment restaurĂ©e aux XIXè et XXè siècles. Elle comporte un exceptionnel mobilier en pierre sculptĂ© par le sculpteur Arnold au XIXe siècle (table sainte, autel et fonts baptismaux). Elle contient un Christ en croix et une Vierge en bois peint du XIXe siècle restaurĂ©s en 2007 et classĂ©s monument historique au titre objet depuis 1994[19]. La cloche en bronze date de 1636 et est aussi classĂ©e monument historique depuis 1908[20].
    • Église Saint-Vivien
    • Vue extĂ©rieure.
      Vue extérieure.
    • Le Christ en croix.
      Le Christ en croix.
    • La Vierge.
      La Vierge.

    Fondé par Patrick Guy Truchemotte, Primat de l'Eglise Gallicane, dite Église des Rois de France. Truchemotte était également engagé dans les réseaux royalistes naundorffistes.

    Patrimoine civil

    Château de l'Espie.
    • Le château de Caillères, datant du XVe au XVIIe siècle, est inscrit monument historique depuis 1949[21]; son jardin est en cours d'inventaire pour une inscription[22]. Il est restĂ© dans la mĂŞme famille (la famille de Caillères de la fin du XVe siècle au milieu du XXe siècle).
    • Le château de l'Espie est situĂ© près du bourg, Ă  l'est : il a Ă©tĂ© construit entre 1880 et 1900 dans un style nĂ©o classique par Jules Nau (riche homme d'affaires, maire de ClĂ©rac et conseiller gĂ©nĂ©ral du canton de Montguyon)
    • Le " chemin de Charlemagne" dont on voit quelques traces Ă  l'est de la commune entre la Haute Borne et Boischarles 'est une ancienne voie romaine qui a repris le tracĂ© d'une très vieille route celtique (tronçon de la " route de l'Ă©tain" qui reliait la Bretagne Ă  la MĂ©diterranĂ©e).
    • Dans le cimetière se trouve le monument funĂ©raire de la famille Geneuil dĂ» au sculpteur Arnold.

    Voie verte

    DĂ©but de la piste cyclable.

    Clérac marque le début de la voie verte qui va jusqu'à Barbezieux (Charente), et qui faisait partie de l'ancienne ligne de Châteauneuf-sur-Charente à Saint-Mariens - Saint-Yzan, dont la voie est encore en place entre Saint-Mariens et Clérac et qui dessert l'usine d'argile blanche.

    Personnalités liées à la commune

    • Furcy de Lavault (1847-1915), artiste peintre, a vĂ©cu Ă  ClĂ©rac et y est mort.

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

    Références

    1. Les gentilés de Charente-Maritime
    2. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    3. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    4. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    8. Jean-Paul GRASSET, une commune de la lande saintongeaise : Clérac, Bordeaux, Université Michel de Montaigne,
    9. https://www.lemonde.fr/aquitaine-limousin-poitou-charentes/charente-maritime,17/clerac,17110/
    10. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris consulté le .
    11. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    12. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    13. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    14. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    15. « Usine d'argile blanche », notice no IA17000420, base Mérimée, ministère français de la Culture
    16. « Usine de chaux Berteau », notice no IA17000450, base Mérimée, ministère français de la Culture
    17. « Distillerie de cognac Nau », notice no IA17000449, base Mérimée, ministère français de la Culture
    18. « Distillerie de gemme », notice no IA17000448, base Mérimée, ministère français de la Culture
    19. « Christ en croix et Vierge », notice no PM17000637, base Palissy, ministère français de la Culture
    20. « Cloche de l'église », notice no PM17000076, base Palissy, ministère français de la Culture
    21. « Château de Caillères », notice no PA00104653, base Mérimée, ministère français de la Culture
    22. « Jardins du château des Caillères », notice no IA17008846, base Mérimée, ministère français de la Culture

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

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