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Lamonzie-Saint-Martin

Lamonzie-Saint-Martin est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Lamonzie-Saint-Martin
Lamonzie-Saint-Martin
La mairie de Lamonzie-Saint-Martin.
Blason de Lamonzie-Saint-Martin
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté d'agglomération bergeracoise (nouvelle)
Maire
Mandat
Thierry Auroy-Peytou
2020-2026
Code postal 24680
Code commune 24225
Démographie
Gentilé Lamonziens, Lamonziennes[1]
Population
municipale
2 738 hab. (2020 en augmentation de 13,47 % par rapport à 2014)
Densité 133 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 50′ 32″ nord, 0° 22′ 55″ est
Altitude Min. 12 m
Max. 59 m
Superficie 20,64 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Bergerac (banlieue)
Aire d'attraction Bergerac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Pays de la Force
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Lamonzie-Saint-Martin
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Lamonzie-Saint-Martin
Liens
Site web lamonzie-saint-martin.fr

    Géographie

    Généralités

    La commune de Lamonzie-Saint-Martin est située dans le quart sud-ouest du département de la Dordogne, en Bergeracois, et incluse dans l'unité urbaine de Bergerac[2].

    Au lieu-dit le Rieu-de-Laysse, le bourg de Lamonzie-Saint-Martin est traversé par la route départementale (RD) 936 (l'axe Bordeaux-Bergerac) et desservi par le train en gare de Lamonzie-Saint-Martin, sur la ligne Libourne-Bergerac. Il se situe, en distances orthodromiques, huit kilomètres à l'ouest de Bergerac et treize kilomètres à l'est de Sainte-Foy-la-Grande.

    Le territoire communal est également desservi par la RD 16.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Carte de Lamonzie-Saint-Martin et des communes avoisinantes.

    Lamonzie-Saint-Martin est limitrophe de sept autres communes.

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Lamonzie-Saint-Martin est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[3].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6b, se compose de molasses inférieures (faciès argileux dominant)  (Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » et « no 806 - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4] - [5] et leurs notices associées[6] - [7].

    Carte géologique de Lamonzie-Saint-Martin.

    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 12 m[8] à l'extrême ouest, là où la Dordogne conflue avec la Gardonnette, quitte la commune et sert de limite entre celles de Gardonne et Saint-Pierre-d'Eyraud, et 59 m[8] au sud-est, près du lieu-dit la Cassaigne, en limite de Pomport[9].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [10]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[11]. La commune est dans le Bergeracois, une région naturelle présentant un relief contrasté, avec les deux grandes vallées de la Dordogne et du Dropt séparées par un plateau plus ou moins vallonné, dont la pente générale s’incline doucement d’est en ouest. Ce territoire offre des paysages ouverts qui tranchent avec les paysages périgourdins. Il est composé de vignes, vergers et cultures[12] - [13].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 20,64 km2[8] - [14] - [Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 20,63 km2[5].

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[17]. Elle est drainée par la Dordogne, le Gardonnette, le ruisseau de la Peyronnette et par divers petits cours d'eau[Note 3], qui constituent un réseau hydrographique de 35 km de longueur totale[18] - [Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaîne des monts Dore, traverse six départements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne à Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[19] - [20]. Elle borde la commune au nord et au nord-ouest sur sept kilomètres et demi, face à Prigonrieux, La Force et Saint-Pierre-d'Eyraud.

    La Gardonnette, d'une longueur totale de 24,6 km, prend sa source dans la commune de Bouniagues et se jette dans la Dordogne en rive gauche en limite de Gardonne et de Lamonzie-Saint-Martin, face à Saint-Pierre-d'Eyraud[21] - [22]. Elle marque la limite territoriale à l'ouest sur quatre kilomètres, face à Gardonne.

    Affluent de rive droite de la Gardonnette, le ruisseau de la Peyronnette arrose le sud ouest de la commune sur un kilomètre et demi.

    • La Gardonnette en crue en 2012, en limites de Gardonne et Lamonzie-Saint-Martin.
      La Gardonnette en crue en 2012, en limites de Gardonne et Lamonzie-Saint-Martin.
    • Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
      Réseaux hydrographique et routier de Lamonzie-Saint-Martin.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[23]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [24].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[25]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[26].

    Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

    Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[25]

    • Moyenne annuelle de température : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1,6 j
    • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,7 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15 °C
    • Cumuls annuels de précipitation[Note 6] : 779 mm
    • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10 j
    • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[29] complétée par des études régionales[30] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Laurent Vign », sur la commune de Saint-Laurent-des-Vignes, mise en service en 1962[31] et qui se trouve à km à vol d'oiseau[32] - [Note 7], où la température moyenne annuelle est de 13,2 °C et la hauteur de précipitations de 794,4 mm pour la période 1981-2010[33]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à km[34], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[35], à 13,1 °C pour 1981-2010[36], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[37].

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Lamonzie-Saint-Martin[38] - [39]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[40].

    ZNIEFF

    Lamonzie-Saint-Martin fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[41] - [42], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[43].

    Urbanisme

    Typologie

    Lamonzie-Saint-Martin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [44] - [45] - [46]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale regroupant 22 communes[47] et 64 187 habitants en 2020, dont elle est une commune de la banlieue[48] - [49].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[50] - [51].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (40,3 %), cultures permanentes (22 %), terres arables (19,1 %), zones urbanisées (8,2 %), prairies (5,9 %), eaux continentales[Note 10] (3,2 %), forêts (1,4 %)[52].

    L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Lamonzie-Saint-Martin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[53]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[54].

    Risques naturels

    La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac, regroupant les 22 communes (15 en Dordogne et 7 en Gironde) concernées par un risque de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[55]. Les événements significatifs antérieurs à 2014 sont la crue de 1843 (4 100 m3/s à Bergerac, la crue de référence historique de période de retour au moins centennale), les crues de 1912, 1944 et 1952 (période de retour de 50 ans) et les crues de 1982 et 1994 (période de retour de 20 ans). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[56]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1996, 1999 et 2018[57] - [53]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne - Bergeracois », couvrant 5 communes et approuvé le , pour les crues de la Dordogne[58] - [59].

    Lamonzie-Saint-Martin est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[60]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[61] - [62].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Lamonzie-Saint-Martin.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[63]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[64]. 99 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 11] - [65].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[53].

    Risque technologique

    La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 12] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[67].

    Toponymie

    Panneau bilingue franco-occitan en gare de Lamonzie-Saint-Martin.

    En occitan, la commune porte le nom de La Móngia e Sent Martin[68].

    Histoire

    En 866, Wlgrin de Taillefer, comte d'Angoulême et de Périgord, a fait construire des forts dans la province, et, en particulier, le long de la Dordogne pour résister aux raids normands. Il subsiste une motte féodale dans le parc du château de Saint-Martin. Une autre a donné son nom à « La Mouthe », près du Monteil[69]. Des bourgs vont se construire à l'abri de ces forts.

    Le comte Boson le Vieux a fondé au Xe siècle le prieuré Saint-Sylvain[70] à l'ouest de Bergerac, sur la rive gauche de la Dordogne, et l'a donné à des religieuses. Il est incendié au XIe siècle par le seigneur de Gardonne à la suite d'une contestation sur les limites des biens du prieuré. Il est reconstruit par les petits-fils de Boson le Vieux, Hélie II de Périgord et son frère Boson. L'église est consacrée en 1047. Le prieuré est donné en 1067 aux bénédictines de l'abbaye royale de Saintes par Boson III et son fils Aldebert II (tous les deux morts en 1072) d'après l'abbé Audierne.

    Un bourg s'est formé à côté du prieuré de moniales (religieuses). Il s'est appelé « La Mongia » au XIe siècle, devenu au fil des années « La Mongie », puis « La Monzie »[71]. Pour assurer la protection de ses terres près du prieuré, un château est construit sur le tertre de Montcuq, au nord, sur la paroisse de Pomport, par les comtes de Périgord au XIIe siècle, probablement par Hélie V Talleyrand. Le château a appartenu aux d'Albret en 1334 et au XVIe siècle[72] - [73] - [74], aux d'Aydie dans les années 1560. Il a été plusieurs fois assiégé. En 1628, Richelieu a ordonné son démantèlement. Il est occupé par les croquants. Sa destruction a été achevée par un incendie. La châtellenie de Montcuq est vendue en 1775 par les héritiers du duc de Biron. Les ruines du château ne sont pas mentionnées. En 1900, il subsistait encore quelques pans de murs mais qui ont disparu depuis[75].

    Dès son origine, la châtellenie de Montcuq regroupait douze paroisses : Pomport, Rouffignac, Saint-Mayme, Saint-Laurent-des-Vignes, Saint-Sernin-de-Gabanelle, Saint-Sylvain (Lamonzie), Le Monteil, Saint-Martin, Rouillas, Colombier, Monbazillac et Saint-Christophe[76] - [77]. La châtellenie a disparu au moment de la Révolution.

    Historiquement, la commune est composée de quatre hameaux importants : le Monteil, la Bourgatie, Saint-Martin et le Rieu-de-Laysse, appelé plus communément Lamonzie. Une des particularités de cette commune est qu'elle est le fruit de la fusion de trois paroisses devenues des communes (Lamonzie, Le Monteil, et Saint Martin de Gardonne). Dans un premier temps, la commune de Lamonzie fusionna avec Le Monteil en 1794, puis avec celle de Saint-Martin-de-Gardonne pour devenir ainsi en 1795 la commune de Lamonzie-Saint-Martin.

    Au début du XXIe siècle, la commune possède toujours ses trois églises, Notre-Dame-de-l'Assomption (qui a remplacé Saint-Sylvain) à Lamonzie, Saint-Roch au Monteil, et Saint-Martin[78].

    Au XXe siècle, les vestiges d'une villa gallo-romaine furent mis au jour : thermes, aqueduc ainsi qu'une partie de sarcophage. La commune a fait l'acquisition de ces terrains en 2008 et de nouvelles fouilles devraient ainsi être organisées sous la responsabilité de la Direction régionale des Affaires culturelles (DRAC).

    Politique et administration

    Intercommunalité

    Fin 2001, Lamonzie-Saint-Martin intègre dès sa création la communauté de communes de Bergerac Pourpre. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté d'agglomération bergeracoise. Celle-ci fusionne avec la communauté de communes des Coteaux de Sigoulès au pour former la nouvelle communauté d'agglomération bergeracoise.

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 2 500 et 3 499 habitants au recensement de 2017, vingt-trois conseillers municipaux ont été élus en 2020[79] - [80].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
    1987 mars 1989 Michel Gouy
    mars 1989 octobre 2010[81]
    (décès)
    Bernard Fauvaud DVD, UMP
    puis SE[82]
    Masseur-kinésithérapeute retraité
    Vice-président de la CC de Bergerac Pourpre (? → 2010)
    décembre 2010 mars 2014 Alain Bramerie PS Directeur d'agence bancaire retraité
    mars 2014[83]
    (réélu en mai 2020[84])
    En cours Thierry Auroy-Peytou SE-DVD[85] Employé dans une entreprise publique

    Jumelages

    Panneau de jumelage à Lamonzie-Saint-Martin.

    Drapeau de la France Le Molay-Littry (Calvados) (France) depuis 1998[86].

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Lamonzie-Saint-Martin relève[87] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[88]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[89].

    En 2020, la commune comptait 2 738 habitants[Note 13], en augmentation de 13,47 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 4681 1881 0781 2681 2141 1501 2791 2031 242
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2881 3361 3251 2541 2981 2391 2481 1521 135
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1411 1211 0851 0801 1131 0711 1341 2041 157
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    1 1731 2351 4461 6122 0102 0692 2122 3982 515
    2020 - - - - - - - -
    2 738--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[90].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Lamonzie-Saint-Martin ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.

    L'emploi des habitants

    En 2018[91], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 129 personnes, soit 44,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (149) a fortement augmenté par rapport à 2013 (107) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,2 %.

    L'emploi sur la commune

    En 2018, la commune offre 491 emplois pour une population de 2 656 habitants[92]. Le secteur tertiaire prédomine avec 26,8 % des emplois mais l'industrie est également très présente avec 24,0 %.

    Répartition des emplois par domaines d'activité

    Agriculture, sylviculture ou pêche Industrie Construction Commerce, transports et services Administration publique, enseignement, santé, action sociale
    Nombre d'emplois 71 118 80 132 91
    Pourcentage 14,4 % 24,0 % 16,3 % 26,8 % 18,6 %
    Source des données[92].

    Établissements

    Au , la commune compte 178 établissements[93], dont 87 au niveau des commerces, transports ou services, quarante-quatre dans la construction, dix-neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, seize dans l'industrie, et douze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[94].

    Entreprises

    Dans le secteur industriel, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Bio inox » (fabrication de réservoirs, citernes et conteneurs métalliques) implantée à Lamonzie-Saint-Martin se classe en 33e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 8 149 k€[95].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Le château de Saint-Martin.
      Le château de Saint-Martin.

    Patrimoine religieux

    • Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Lamonzie[78], ancienne église Saint-Sylvain[97].
    • Église Saint-Martin (de Saint-Martin de Gardonne) citée dans un pouillé en 1648[78], en cours de rénovation en 2014[98].
    • Église Saint-Roch du Monteil, reconstruite à la place d'une église Saint-Front[78].
    • Temple protestant devenu propriété privée, le long de la route départementale 936[99]. Édifié en 1820, il a servi jusqu'en 2000 lors de baptêmes ou de mariages de « la communauté protestante du Bergeracois »[100].
    • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
      L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
    • L'ancien temple protestant.
      L'ancien temple protestant.

    Héraldique

    Blason de Lamonzie-Saint-Martin Blason
    Tiercé en pal : au 1er d'azur à trois étoiles d'or rangées en pal, au 2e d'argent à la crosse d'abbesse d'azur chargée d'un besant d'argent lui-même chargé d'un losange d'azur surchargé d'un clocher d'argent, le besant bordé d'azur, au 3e de gueules à trois tours d'argent, ouvertes et ajourées du champ, rangées en pal[101].
    Détails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
    2. La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[15] - [16]
    3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, la Gouyne, affluent de rive droite de la Dordogne, n'arrose pas la commune de Lamonzie-Saint-Martin située entièrement en rive gauche.
    4. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[27].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[28].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    11. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
      • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
    12. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[66].
    13. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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