Port-Sainte-Marie (Lot-et-Garonne)
Port-Sainte-Marie, Lo Pòrt (Senta-Maria) en occitan, est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Port-Sainte-Marie | |||||
L'église Notre-Dame. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Agen | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Confluent et des Coteaux de Prayssas | ||||
Maire Mandat |
Jacky Larroy 2020-2026 |
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Code postal | 47130 | ||||
Code commune | 47210 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Portais | ||||
Population municipale |
1 844 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 97 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
2 366 hab. (2020) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 15′ 06″ nord, 0° 23′ 53″ est | ||||
Altitude | Min. 27 m Max. 216 m |
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Superficie | 18,94 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Port-Sainte-Marie (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Confluent | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | Site de la mairie | ||||
Géographie
Localisation
Commune située sur la Garonne et sur la route départementale 813 (ancienne route nationale 113) entre Tonneins et Agen.
Accès par la SNCF : gare de Port-Sainte-Marie, sur la ligne Bordeaux - Sète.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Lagarrigue, Aiguillon, Bazens, Feugarolles, Galapian, Saint-Laurent et Thouars-sur-Garonne.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bruch », sur la commune de Bruch, mise en service en 1971[8] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[9] - [Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,4 °C et la hauteur de précipitations de 758,1 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 17 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Port-Sainte-Marie est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Port-Sainte-Marie, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[18] et 2 366 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[19] - [20]. La commune est en outre hors attraction des villes[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (86,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,3 %), terres arables (30,3 %), cultures permanentes (13,4 %), forêts (10,5 %), zones urbanisées (4,8 %), eaux continentales[Note 6] (3,6 %)[23].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Port-Sainte-Marie est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue à débordement lent de cours d'eau, notamment la Garonne et l'Auvignon. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1999, 2003, 2009, 2018 et 2021[26] - [24].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des glissements de terrain et des tassements différentiels[27]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[28].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[29]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 7] - [30].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1998, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2013[24].
Histoire
Au cours de la période de la Convention nationale (1792-1795), la commune porta le nom révolutionnaire de Port-de-la-Montagne-sur-Garonne (abrégé aussi en Le Port)[33].
Population et société
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].
En 2020, la commune comptait 1 844 habitants[Note 9], en diminution de 4,16 % par rapport à 2014 (Lot-et-Garonne : −0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
La commune est dotée d'une école maternelle et primaire, ainsi qu'un collège.
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Église Saint-Vincent-du-Temple, église de la commanderie des Templiers[39] - [40] de la seconde moitié du XIIIe siècle. L'édifice a été classé au titre des monuments historique en 1908[41].
- Église Notre-Dame[42], ancienne dépendance du chapitre Saint-Caprais d'Agen. L'église a été reconstruite au début du XIVe siècle. L'église a été restaurée à partir de 1855. L'église a été inaugurée en 1868 après la restauration du décor peint. L'édifice a été classé au titre des monuments historique en 1912[43].
- Église Saint-Julien de Port-Sainte-Marie. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[44].
- Église Saint-Marcelin de Boussères. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[45].
- Pont de chemin de fer sur la Garonne[46], construit en 1875 par l'ingénieur des Ponts et Chaussées Petit, inscrit au titre des monuments historiques depuis 1997.
Personnalités liées à la commune
- Michel de Nostredame dit Nostradamus
- Théophile de Viau
- André Bacqué
- Jules Cels
- Pierre Marraud
- Robert Philippot
- Pierre Rivière
Héraldique
Blason | Coupé: au 1er d'azur au château d'or, maçonné et ouvert de trois pièces de sable, surmonté de trois tourelles, celle du milieu donjonnée et pavillonnée d'or, au 2e d'argent, à sainte-Marie de carnation, auréolée d'or, vêtue de pourpre, debout sur une barque d'argent posée sur des flots d'azur, accostée de deux anges affrontés du champ.
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Détails | Armes parlantes (Sainte-Marie). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- Philippe Lauzun, « Le couvent des Jacobins de Port-Sainte-Marie », dans Revue de l'Agenais, 1905, t. 32, p. 289-305 (lire en ligne)
- (fr + la) Jacques Dubourg, « La brève existence de la commanderie templière de Port-Sainte-Marie », Revue de l'Agenais, Société académique d'Agen., vol. 133, no 1,‎ , p. 17-28 (présentation en ligne)
Articles connexes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[31].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Bruch - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Port-Sainte-Marie et Bruch », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Bruch - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Port-Sainte-Marie et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Port-Sainte-Marie », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- « Les risques près de chez moi - commune de Port-Sainte-Marie », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Port-Sainte-Marie », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- « Jacky Larroy à Port-Sainte-Marie », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 18.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
- Jacques Gardelles - Aquitaine gothique - pp. 138-141 - Picard - Paris - 1992 - (ISBN 2-7084-0421-0).
- Base Mérimée : église de templiers dite église Saint-Vincent du Temple
- « Ancienne église du Temple », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Base Mérimée : église paroissiale Notre-Dame
- « Eglise Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Église paroissiale Saint-Julien. », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Église paroissiale Saint-Marcelin. », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Base Mérimée : pont de chemin de fer sur la Garonne
- GASO - Banque du blason - 47210.