Marmande
Marmande est une commune du sud-ouest de la France, sous-préfecture et chef-lieu de canton du département de Lot-et-Garonne, en région Nouvelle-Aquitaine. La ville est traversée par la Garonne.
Marmande | |||||
L'hĂŽtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne (sous-préfecture) |
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Arrondissement | Marmande (chef-lieu) |
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Intercommunalité | Val de Garonne Agglomération (siÚge) |
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Maire Mandat |
Joël Hocquelet (PS) 2020-2026 |
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Code postal | 47200 | ||||
Code commune | 47157 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Marmandais | ||||
Population municipale |
17 265 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 383 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
28 319 hab. (2020) | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 44° 30âČ 36âł nord, 0° 09âČ 42âł est | ||||
Altitude | Min. 12 m Max. 132 m |
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Superficie | 45,06 km2 | ||||
Type | Commune urbaine | ||||
Unité urbaine | Marmande (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Marmande (commune-centre) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Cantons de Marmande-1 et Marmande-2 (bureau centralisateur) |
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LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-marmande.fr/ | ||||
GĂ©ographie
Localisation
Marmande est une commune de la moyenne Garonne, située entre Agen et Bordeaux, en Lot-et-Garonne ; la ville proprement dite se trouve sur la rive droite du fleuve.
Communes limitrophes
Les communes limitrophes sont Mauvezin-sur-Gupie, Fourques-sur-Garonne, Gaujac, Beaupuy, Escassefort, Montpouillan, Sainte-Bazeille, Saint-Pardoux-du-Breuil et Virazeil.
L'orientation et la localisation de Marmande par rapport à quelques grandes villes françaises sont données dans le tableau suivant :
Ville | Distance | (Orientation) |
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Agen | 64 km | (E) |
Toulouse | 142 km | (SE) |
Bordeaux | 71 km | (NO) |
PĂ©rigueux | 107 km | (N) |
Montpellier | 312 km | (SE) |
Marseille | 438 km | (SE) |
Nantes | 331 km | (N) |
Lyon | 392 km | (NE) |
Nice | 573 km | (E) |
Paris | 512 km | (N - NE) |
source : estimation par |
Transports routiers
- DâŻ933 La route dĂ©partementale 933, axe reliant Marmande Ă Bergerac vers le Nord et Castejaloux et Mont de Marsan vers le sud.
- DâŻ708 La route dĂ©partementale 708, axe reliant Marmande Ă Duras et Ste Foy la Grande vers le nord-ouest.
- DâŻ813 La route dĂ©partementale 813, axe reliant Marmande Ă Tonneins puis Agen vers l'est, et Ă La RĂ©ole puis Langon vers l'ouest.
- A62 L'autoroute A62, sortie no 5, reliant Marmande Ă Toulouse vers l'est et Bordeaux vers l'ouest.
Transports ferroviaires
AccĂšs par la SNCF en gare de Marmande.
Transports aériens
Transports urbains
La commune de Marmande possÚde un réseau de transport urbain « Evalys » exploité par Keolis.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[2]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Fauillet », sur la commune de Fauillet, mise en service en 1992[8] et qui se trouve Ă 14 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 4], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 13,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 763,1 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et Ă 51 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,1 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 13,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Marmande est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5] - [15] - [16] - [17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Marmande, une agglomération inter-départementale regroupant 10 communes[18] et 28 319 habitants en 2020, dont elle est ville-centre[19] - [20].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marmande, dont elle est la commune-centre[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 48 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[21] - [22].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (55,6 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă 1990 (61,2 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (28,4 %), zones urbanisĂ©es (22,6 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (19,4 %), cultures permanentes (7,2 %), forĂȘts (6,4 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (5,6 %), eaux continentales[Note 7] (4,3 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (3,8 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (1,8 %), prairies (0,6 %)[23].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Marmande est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage[24]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[25].
Risques naturels
La commune fait partie du territoire Ă risques importants d'inondation (TRI) de Tonneins et Marmande, regroupant 19 communes concernĂ©es par un risque de dĂ©bordement de la Garonne, un des 18 TRI qui ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©s fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[26]. Les Ă©vĂ©nements antĂ©rieurs Ă 2014 les plus significatifs sont les crues de 1770, 1875, 1930 et 1952. Des cartes des surfaces inondables ont Ă©tĂ© Ă©tablies pour trois scĂ©narios : frĂ©quent (crue de temps de retour de 10 ans Ă 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans Ă 300 ans) et extrĂȘme (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en dĂ©faut tout systĂšme de protection)[27]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1990, 1994, 1999, 2009, 2019 et 2021[28] - [24].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[29].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[30]. La totalitĂ© de la commune est en alĂ©a moyen ou fort (91,8 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [31].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1996, 2002, 2003, 2005, 2009, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Toponymie
Marmande (prononcĂ© [maÊ.ËmĂŁn.dÌȘÉ] localement et [maÊ.ËmÉÌdÌȘ] en français) est mentionnĂ©e en 1242 sous la forme Myremande[34], puis Mirmanda en 1254[35] ou Marmanda en 1254[34], Mermande en 1467[34].
Il peut s'agir d'un ancien mirmande signifiant « ville, maison fortifiĂ©e »[35] que l'on retrouverait par ailleurs dans la toponymie du Sud de la France, comme Mirmande (DrĂŽme, Mirmanda XIIe siĂšcle)[35] et Marmande (Vienne, VellĂšches, Mirmanda en 1061), etc. qui, comme lui, peuvent aussi avoir le sens de « tour de commande »[36]. Ce peut ĂȘtre aussi le nom de personne germanique Mirmanda pris absolument[37].
Le mot mirande (et le toponyme Mirande, Gers) serait issu par dissimilation du [m] de l'ancien terme mirmande[38]. Cependant, le toponyme Mirande peut ĂȘtre Ă©galement une transposition en 1281 du nom de lieu espagnol Miranda[39].
Le nom occitan de la commune s'Ă©crit Marmanda en graphie occitane classique.
Histoire
Ancien castrum romain, Marmande entre dans l'histoire en 1182 avec la charte qui lui fut accordĂ©e par Richard CĆur de Lion, fils d'AliĂ©nor d'Aquitaine.
Lorsque le prince Louis, fils de Philippe Auguste, prend part Ă la croisade contre les Albigeois (1219), son armĂ©e rejoint celle du lĂ©gat pontifical Arnaud Amaury devant Marmande. La ville est prise et, aprĂšs un conseil au cours duquel les vainqueurs dĂ©cident du sort de ses habitants, les villageois â hommes, femmes, vieillards ou enfants â sont passĂ©s au fil de l'Ă©pĂ©e[40].
Entre 1430 et 1450 une chasse aux sorciÚres est menée à Marmande[41] - [42].
En , le roi Louis XI confirma leurs droits par les lettres patentes, afin que la ville accroisse[43].
En septembre 1561, le couvent des Cordeliers est incendié par les protestants[44].
En 1577, durant la sixiÚme guerre de Religion, la ville est assiégée, sans succÚs, par les Huguenots.
Quelques documents photographiques sur des Ă©vĂšnements entre les deux guerres
- Les crues de la Garonne
Contrairement Ă Agen et Ă dâautres villes en amont, les villes du Marmandais sont Ă lâabri des inondations car elles occupent la terrasse non inondable qui domine le fleuve. En revanche, la plaine est affectĂ©e par des inondations qui menacent les villages et les fermes qui sây localisent. Des mattes, digues de terre, canalisent les crues et protĂšgent plus ou moins bien les zones habitĂ©es. De la fin de la PremiĂšre Guerre mondiale jusquâau dĂ©but de la seconde, de nombreuses crues ont affectĂ© le Marmandais. Il est vrai que cette zone est concernĂ©e par des volumes dâeau considĂ©rables en raison de lâaddition des apports de la Garonne et de ses affluents, dont le Lot Ă©missaire important de la rive droite qui dĂ©bouche dans la Garonne un peu en amont de Marmande. Dans la succession des inondations au rythme de la pluviositĂ© inĂ©gale selon les hivers, la crue de 1930 apparaĂźt comme la plus mĂ©morable. Non en raison des hauteurs dâeau atteintes dans le Marmandais, mais parce que la violence du courant a fait cĂ©der les digues, Ă©largissant considĂ©rablement lâonde de crue, laquelle provoqua des dĂ©gĂąts considĂ©rables, notamment Ă Couthures-sur-Garonne.
- Crue de la Garonne en 1919 (hauteur 7,08 m).
- La crue de la Garonne en vue depuis les quais de Marmande.
- Rupture de la matte Ă Thivras.
- L'Ă©tat de la grande rue dans le village de Couthures aprĂšs la crue de la Garonne de 1930.
- Une maison éventrée dans le village de Couthures.
- Le cimetiÚre de Couthures dévasté par la crue de la Garonne de 1930.
- Travaux de réparation sur le canal latéral à Fourques.
- ScĂšnes de la vie Ă Marmande et dans le Marmandais (1919-1938)
RĂ©sidant Ă Marmande, Jean CharriĂ© a pris plusieurs clichĂ©s illustrant quelques moments particuliers de la vie locale entre 1919 et 1938. Le , Jean CharriĂ© photographie lâarc de triomphe en lâhonneur du 20e rĂ©giment de Ligne de retour du front de la PremiĂšre Guerre mondiale. Ce rĂ©giment Ă©tait en casernement Ă Montauban, Marmande et Casteljaloux. Sur lâarc de triomphe, il est Ă©crit « Honneurs Ă nos soldats triomphants / Gloire au 20e ». La largeur de lâavenue fait penser aux boulevards. En , la neige recouvre la chaussĂ©e et le toit de la cathĂ©drale. Une femme balaie le devant de la porte ; dâautres sâavancent prĂ©cautionneusement sur la route. Au printemps 1923, ce mĂȘme cloĂźtre accueille les fidĂšles pour une grande cĂ©rĂ©monie religieuse, Ă lâoccasion des communions solennelles, assortie dâune grande procession. Outre les communiants au premier plan, on distingue le clergĂ© au centre et tout autour la masse imposante des paroissiens, certains se protĂ©geant des rayons du soleil avec un parapluie. Jean CharriĂ© est venu photographier en les travaux en cours sur la route de Pont-de-Bayle. Câest ainsi quâon dĂ©nomme lâendroit ou la route de Marmande Ă Tonneins franchit le ruisseau le Trec. Pour le recalibrage du lit du ruisseau, les ouvriers disposaient dâune pelle mĂ©canique. Nul doute que lâusage dâun outillage trĂšs performant et nouveau pour lâĂ©poque a suscitĂ© lâadmiration de lâingĂ©nieur et son souci de garder trace de lâĂ©vĂ©nement.
- Arc de triomphe dressé en l'honneur du 20e Régiment d'Infanterie de Ligne de Marmande (photo prise le ).
- Défilé du 20e Régiment d'Infanterie dans une des rues principales de Marmande (photo prise le 17/08/1919).
- L'Ă©glise Notre-Dame de Marmande sous la neige en .
- Cérémonie religieuse au printemps 1923 dans les jardins du cloßtre de l'église Notre-Dame de Marmande.
- Travaux Ă la sortie de Marmande Ă Pont-de-Bayle.
La rupture du pont suspendu de la Garonne en 1930 a rendu difficile les communications entre la ville de Marmande et les communes de la rive gauche de la Garonne. Plusieurs photos assez exceptionnelles relatent lâaccident et les travaux qui suivirent en 1932. Ce pont est toujours en service, mĂȘme si un pont plus rĂ©cent a Ă©tĂ© construit en aval en relation avec la nouvelle dĂ©viation qui permet de contourner la ville.
- Rupture du tablier du pont de Marmande en .
- Vue sous un autre angle du tablier du pont suspendu.
- DĂ©but des travaux du nouveau pont dont on voit Ă droite une pile.
- EnlĂšvement des anciens cĂąbles de l'ancien pont suspendu de Marmande.
- Circulation sur un pont de bateaux pendant les travaux.
- DĂ©molition de la pile centrale de l'ancien pont.
La commune de Marmande a Ă©tĂ© fusionnĂ©e par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le avec la commune de Mauvezin-sur-Gupie. Elles se sont sĂ©parĂ©es le .
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
AprÚs le long « rÚgne » du socialiste Gérard Gouzes (1983-2014), la mairie de Marmande bascule à droite en avril 2014. Daniel Benquet (UMP, puis LR, puis Agir) est élu maire.
Lors des élections municipales de 2020, le socialiste Joël Hocquelet succÚde à Daniel Benquet.
Politique de développement durable
La ville sâest engagĂ©e dans une politique de dĂ©veloppement durable en lançant une dĂ©marche d'Agenda 21 en 2009[45].
Politique environnementale
Dans son palmarÚs 2022, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué trois fleurs à la commune[46].
Jumelages
Population et société
Les habitants sont appelés les Marmandais.
DĂ©mographie
Marmande ayant fusionné avec la commune de Mauvezin-sur-Gupie entre 1972 et 2003, des écarts statistiques peuvent exister pour les recensements de 1975, 1982, 1990 et 1999.
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque annĂ©e Ă la suite d'une enquĂȘte par sondage auprĂšs d'un Ă©chantillon d'adresses reprĂ©sentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement rĂ©el tous les cinq ans[47] - [Note 10].
En 2020, la commune comptait 17 265 habitants[Note 11], en diminution de 2,72 % par rapport Ă 2014 (Lot-et-Garonne : â0,72 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
- L'annĂ©e oĂč il y avait le plus d'habitants est 2009 avec 18 476 habitants.
- L'annĂ©e oĂč il y en avait le moins est 1793 avec 5 792 habitants.
- Avant la PremiÚre Guerre mondiale, il y avait 9 832 habitants et, en 2009, il y en avait 18 476, ce qui représente 8 644 habitants de plus.
Elle est au 481e rang français au regard de la population. Le revenu moyen par mĂ©nage y est de 16 482 âŹ/an.
Manifestations culturelles et festivités
- Le festival de musique Garorock, créé en 1997, a attiré plus de 80 000 personnes en 2015[50].
- Le Grass Track international de Marmande y est organisé tous les ans le ; c'est une manche du Championnat du monde de grass track qui attire plusieurs milliers de spectateurs.
- Une fĂȘte de la tomate est organisĂ©e durant l'Ă©tĂ©, pendant tout un week-end ; c'est l'occasion pour les touristes de goĂ»ter les fameuses tomates de Marmande et toutes ses dĂ©clinaisons.
- Le festival lyrique « Nuits Lyriques et Voix du Monde en Marmandais » est composĂ© d'un concours international de chant et clĂŽturĂ© par la reprĂ©sentation d'un opĂ©ra au thĂ©Ăątre ComĆdia.
- Un salon du chocolat se déroule chaque année.
- Marmande plage (depuis ).
- Les Casetas Marmandaises (depuis ).
- « URBANCE », festival des cultures urbaines, est organisé depuis 2010.
- Marmande fut la terre d'accueil de la finale de l'Ă©mission tĂ©lĂ©visĂ©e Interville, diffusĂ©e par TF1, en 1986, finale oĂč elle subit une dĂ©faite contre la ville de Nancy.
Enseignement
- Ăcole de Beyssac
- Ăcole de Magdeleine
- Ăcole de Thivras
- Ăcole Labrunie
- Ăcole Jean-JaurĂšs
- Ăcole Lolya
- Ăcole Ădouard-Herriot
- Ăcole privĂ©e Sainte-Foy
- CollÚge de la Cité Scolaire
- CollĂšge Jean-Moulin
- CollÚge privé Notre-Dame de la Salle
- Lycée privé Notre-Dame-de-la-Compassion
- Lycée Val-de-Garonne
- Lycée professionnel
Cultes
- Ăglise Protestante Unie de Marmande[51]
- Ăglise ĂvangĂ©lique AssemblĂ©e de Dieu[52].
Sports
Marmande est une ville sportive.
- Le football est représenté par le FC Marmande 47 et évolue en Division Honneur (DH).
- Le rugby à XV est représenté par l'Union Sportive Marmandaise (USM) et évolue en Fédérale 1.
- Le handball est représenté par le Handball Club Marmandais
- Le basket-ball sont représentés par l'ASPTT Marmande et le BBM.
- Le grass track est représenté par le Moto-Club Marmandais
- Le tennis de table est représenté par la Raquette Marmandaise, dont l'équipe féminine évolue en Pro A.
- Le BCM 47 est le club de badminton de Marmande, sous tutelle de la Fédération Française de Badminton, trÚs actif et comptant de nombreux compétiteurs.
- Les clubs de judo, karaté, aïkido et ju-jitsu traditionnel.
Les équipements sportifs sont le stade Dartiailh (rugby et athlétisme), le stade Michelon (football), la piste de grass track et la piste de speedway, le terrain de golf, une salle polyvalente, un skate-park et beaucoup de pistes et chemins destinés aux randonneurs.
Ăconomie
Entreprises et commerces
- Lisi-Creuzet, sous-traitant aéronautique pour EADS et Airbus, 900 emplois.
- CSA-Creuzet, piÚces pour l'aéronautique, 45 salariés.
- MGP Asquini, fabricant de piÚces pour l'industrie aéronautique, 100 emplois.
- Groupe Coaxis : Entreprises de Services Numériques, 90 emplois.
- Antenne de la Chambre de commerce et d'industrie de Lot-et-Garonne.
- Pilkington, verres spéciaux.
- Transport urbain : réseau EVALYS (3 lignes, exploitant Kéolis)
- Gare SNCF Gare de Marmande
- Compagnie des jus de Marmande, fabrique de jus de fruits et légumes fournissant la marque Pampryl (groupe terre du sud)
- ST Dalfour S.A.S, société agroalimentaire, 100 emplois, spécialisée dans la fabrication de confiture 100 % issue de fruits et autres produits naturels et biologiques.
- Pom' de terre Plus
- Ets Espiet (Groupe Gascogne).
- Lactarium
- Centres commerciaux E.Leclerc et Super U, supermarché Carrefour Market. Leclerc drive et U drive.
- Renault AMC Marmande, GGA Peugeot, Active Auto Marmande CitroĂ«n, garage Audi et Volkswagen, Automobiles PujolâŠ
- Les Paysans de Rougeline, production et distribution de fruits et légumes frais
Agriculture
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Ville fleurie : trois fleurs.
Ădifices religieux
- Ăglise Notre-Dame de Marmande : Ă©glise[53] et Les CloĂźtres Notre-Dame construits au XIIIe siĂšcle, restaurĂ©s au XIVe siĂšcle, classĂ©s monuments historiques en 1862[54].
- Ăglise Notre-Dame-de-la-PrĂ©sentation de Beyssac.
- Ăglise Sainte-Marie-Madeleine de la Magdeleine.
- Ăglise Sainte-Quitterie de Garrigues.
- Ăglise Saint-Pierre de Granon.
- Ăglise Saint-Martin de Marmande.
- Ăglise Saint-MĂ©moire de Marmande.
- La chapelle Saint-Vincent au lieu-dit Coussan, dans le sud du territoire communal, en rive gauche de la Garonne, son cimetiĂšre et son monument aux morts.
- La chapelle Saint-Benoßt, classée au titre des monuments historiques en 2005[55],
- Chapelle du collĂšge Notre-Dame de la Salle de Marmande.
- Chapelle Notre-Dame-de-la-Compassion de Marmande.
- Chapelle Notre-Dame-des-Vignes de Télégraphe.
- Chapelle Saint-André de Bouilhats.
- Chapelle Saint-Jean-Marie-Vianney dite chapelle de la Gravette de Marmande.
- Chapelle Saint-LĂ©ger de Thivras.
- Ăglise Ă©vangĂ©lique de Marmande.
- Temple de l'Ă©glise protestante unie de France de Marmande.
Lieux et Ă©difices publics
- Le jardin du cloßtre Notre-Dame de Garonne dont la réalisation a été terminée en 1955 a reçu le label « Jardin remarquable » en 2007[56],Le jardin de Notre-Dame de Marmande.
- Les jardins de Beauchamp, rue des Isserts, jardin privé visitable, a été labellisé « Jardin remarquable » en 2009[57],
- Le musée Albert-Marzelles, 15 rue Albert Boyé[58],
- L'hĂŽtel de ville,
- La place Clemenceau,
- La rue de la Libération,
- La place des Neuf Fontaines,
- La place du ChĂąteau,
- La rue Toupinerie,
- La rue du Palais,
- Les remparts,
- Le lavoir et la fontaine des Cinq Canelles,
- Le boulevard Richard-CĆur-de-Lion,
- Le canton,
- Le chemin de ronde du Caillou,
- Le square de Verdun,
- La rue Labat,
- La place du Marché.
- Notre-Dame de Marmande.
- Notre-Dame de Marmande.
- Le cloĂźtre de Notre-Dame de Marmande.
- La chapelle Saint-BenoĂźt.
- L'Ă©glise Saint-Vincent de Coussan.
- Une rue du centre historique.
- Maison d'architecture moderniste années 1950
- La Chapelle de style moderniste du collĂšge mixte Notre-Dame de-la-Salle
Personnalités liées à la commune
Par ordre alphabétique :
- Jean Baylac (1898-1961), ancien chef d'un réseau local de résistance, adjoint au maire de Marmande, député poujadiste en 1956, mort à Marmande.
- Jean Romain Conilh de Beyssac (1749-1820), général des armées de la République, né à Marmande, décédé à Bordeaux.
- Paul Boisset (1917-2006), prĂȘtre, poĂšte, nĂ© Ă Marmande.
- Paul Bourrillon (1877-1942), cycliste.
- Abel-Dominique Boyé (1864-1934), peintre français, né à Marmande.
- Jean-Jules Brun (1849-1911), né à Marmande, ministre de la Guerre sous la IIIe République, du au (gouvernement d'Aristide Briand).
- François Combefis (1605-1679), dominicain né à Marmande.
- Jean-Paul Cousin, né à Marmande en 1942, graphiste.
- Jean-Jacques Crenca, né à Marmande en 1969, joueur de rugby à XV.
- Pierre Deluns-Montaud (1845-1907), né à Allemans-du-Dropt, député dans la circonscription de Marmande (1879-1898).
- Tristan DerÚme (1899-1941), poÚte né à Marmande.
- Jean-Claude Dubreuil, né en 1938, romancier, installé à Marmande pour sa retraite[59].
- Gaston Dupouy (1900-1985), physicien né à Marmande, médaille d'or du CNRS en 1957.
- Christophe Duthuron, né à Marmande en 1973, comédien, auteur, metteur en scÚne et réalisateur français.
- LĂ©opold Faye (1828-1900), nĂ© Ă Marmande, a Ă©tĂ© maire de Marmande, puis a exercĂ© des fonctions nationales : ministre de lâInstruction publique, des Cultes et des Beaux-Arts (â), puis ministre de l'Agriculture en 1889.
- Pierrick Fédrigo, né à Marmande le , cycliste.
- Matthias Fekl, nĂ© en 1977, dĂ©putĂ© de la 2e circonscription de Lot-et-Garonne, adjoint au maire de Marmande, vice-prĂ©sident du conseil rĂ©gional d'Aquitaine, conseiller spĂ©cial du prĂ©sident du SĂ©nat Jean-Pierre Bel, secrĂ©taire d'Ătat chargĂ© du Commerce extĂ©rieur et ministre de l'IntĂ©rieur en 2017 dans le gouvernement Bernard Cazeneuve.
- Jean-Pierre Fourcade, nĂ© Ă Marmande le ; ministre de l'Ăconomie et des Finances de 1974 Ă 1976 (Premier ministre : Jacques Chirac) oĂč il donna son nom au "plan Fourcade" ; ministre de l'Ăquipement en 1976/1977 (Premier ministre : Raymond Barre); maire de Boulogne-Billancourt (1995-2007) et sĂ©nateur des Hauts-de-Seine depuis 1977.
- Romain Guillemois, né à Marmande en 1991, cycliste.
- Renaud Jean (1887-1961), né à Marmande, fut le leader du syndicalisme paysan en France dans l'Entre-deux-guerres et fut le premier député communiste paysan de France, en 1920, dans la circonscription de Marmande. Il fut réélu par la suite.
- Fred Personne (1932-2014) acteur de thĂ©Ăątre et de cinĂ©ma. NĂ© Ă Auchel dans le Pas-de-Calais, il vĂ©cut les derniers mois de sa vie dans sa maison de Marmande oĂč il mourut.
- Philippe Petit, né à Marmande le , musicien-guitariste de jazz, auteur-compositeur.
- Laurent Queyssi, né à Marmande en 1975, auteur, scénariste et traducteur.
- Hubert Ruffe (1899-1995), nĂ© Ă Penne-d'Agenais, engagĂ© dĂšs les annĂ©es 1920 dans la dĂ©fense des paysans, fut Ă©lu dĂ©putĂ© communiste de la circonscription de Marmande en 1946 et fut rĂ©Ă©lu Ă ce poste Ă sept reprises, entre 1946 et 1981. Il apparaĂźt en 1974 dans le film de Jean-Daniel Simon Il pleut toujours oĂč c'est mouillĂ©, oĂč il joue son propre rĂŽle et dĂ©crit les difficultĂ©s du monde paysan dans cette pĂ©riode.
- Léon Sir (1855 -1927) et son fils Léo Sir (1883 -1915), luthiers établis à Marmande, inventeurs de nouveaux instruments à archets complémentaires de la famille traditionnelle des cordes, et dont le travail fut concrétisé par la création du "Dixtuor à cordes Léo Sir", orchestre expérimental actif à Paris au lendemain de la PremiÚre Guerre.
- Francesca Solleville, née en 1932, chanteuse française, petite-fille du socialiste italien Luigi Campolonghi, ayant vécu à Marmande une partie de son enfance. Elle a écrit en 1990 une chanson appelée Marmande dans son album Je suis ainsi.
- Victor-Auguste Thouéry (1884-1967), pionnier de l'aviation et disciple de Louis Blériot, qui s'envolait depuis l'aérodrome de Marmande.
- Jean-Pierre de Vincenzi, né à Marmande le , entraßneur de basket-ball, entraßneur de l'équipe de France de basket-ball vice-championne olympique aux Jeux de Sydney (2000), directeur technique national et directeur général de la Fédération française de basket-ball, directeur général de l'Institut National du Sport, de l'Expertise et de la Performance (INSEP), Inspecteur Général de la Jeunesse et des Sports
HĂ©raldique
Blason | De gueules aux quatre tours d'argent, maçonnées de sable, posées en croix et confrontées par leurs pieds, entre lesquels est posée une croix potencée aussi d'argent, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or. |
|
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Détails | Les quatre tours du blason correspondent aux quatre premiÚres portes de la ville. Le chef de France a été ajouté en 1414 par Charles VI grùce à la fidélité de la ville[60]. Officiel, présent sur le site internet de la commune. |
Devise : Sigillum concilii de marmanda (Sceau du conseil de Marmande)
Voir aussi
Bibliographie
- Philippe Tamizey de Larroque, Notice sur la ville de Marmande, Imprimerie X. Duteis, Villeneuve-sur-Lot, 1872 ; p. 136 (lire en ligne)
- M.-P. Mouline, Jacques Dubreuilh, A. Cazal, P. Pouchan, J. M. Le Tensorer, M. Paquereau, J. Wilbert, Carte gĂ©ologique de la France Ă 1/50 000 - Marmande, Ăditions du BRGM Service gĂ©ologique national, OrlĂ©ans, 1982 (lire en ligne)
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de lâexistence du risque RGA ;
- au maĂźtre dâouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ćuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de lâĂ©tude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[32].
- Par convention dans WikipĂ©dia, le principe a Ă©tĂ© retenu de nâafficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations lĂ©gales postĂ©rieures Ă 1999, que les populations correspondant Ă une enquĂȘte exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des annĂ©es 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la derniĂšre population lĂ©gale publiĂ©e par lâInsee pour l'ensemble des communes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
- Carte IGN sous GĂ©oportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire â PrĂ©cipitation, MĂ©tĂ©o-France
- « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions dâoutre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
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- Ernest NÚgre, Toponymie générale de la France (lire en ligne)
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 436b.
- Alain Soutou, « Mirmande / Milmande / Marmande "tour de commande" (*mire, mande) et Mirande "point de vue" » [article] in Nouvelle revue d'onomastique, 1994, n° 23-24, pp. 139-146 (lire en ligne sur Persée)
- Ernest NĂšgre, op. cit.
- Nouvelle revue d'onomastique, nos 21 Ă 24, 1993, p. 140. (lire en ligne)
- Ernest NĂšgre, op. cit. (lire en ligne)
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- Marjorie Michel, et mĂȘme 80 000 personnes en 2016. « Garorock fĂȘte ses 20 ans », Le Mag no 206, supplĂ©ment Ă Sud Ouest, 12 mars 2016, p. 32.
- « Eglise Protestante Unie de Tonneins et Marmande »
- « Ăglise Ă©vangĂ©lique AssemblĂ©e de Dieu de Marmande »
- Jacques Gardelles, Aquitaine gothique, p. 195-201, Ă©ditions Picard, Paris, 1992, (ISBN 2-7084-0421-0).
- « Notice MH de l'église Notre-Dame et son cloßtre », notice no PA00084163, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- « Notice MH de la chapelle Saint-Benoßt », notice no PA00084162, base Mérimée, ministÚre français de la Culture.
- Comité des Parcs et Jardins de France : Jardin du cloßtre de Notre-Dame de Garonne
- Comité des Parcs et Jardins de France : Jardins de Beauchamp
- Musées d'Aquitaine : Musée Albert-Marzelles
- E.P, « SeptuagĂ©naire et auteur de cinq romans », Ouest France,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- Blason de Marmande sur armorialdefrance.fr.