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Interdiction du rugby Ă  XIII en France

L'interdiction du rugby à XIII en France découle d'un décret signé par le maréchal Pétain le [1] et publié au Journal officiel du [2] portant dissolution des fédérations de sport professionnel parmi lesquelles la Ligue française de rugby à XIII.

Décret du 19 décembre 1941
Présentation
Titre Décret du 19 décembre 1941 portant dissolution de l'association dite Ligue française de rugby à XIII
Pays Drapeau de la France France
Type DĂ©cret
Adoption et entrée en vigueur
Gouvernement Gouvernement Darlan
Signature 19 décembre 1941

Effective 17 mois aprÚs l'établissement du décret, la dissolution implique l'interdiction de la pratique du rugby à XIII, la liquidation du patrimoine et son transfert au Comité national des sports.

Contexte

Idéologie de Révolution Nationale

Cette décision trouve son origine dans le volet sportif du projet de Révolution Nationale porté par le Régime de Vichy qui vise à bannir le professionnalisme du sport.

Elle s'appuie sur le principe de rĂ©surrection morale de la France qui doit passer par une remise en forme physique selon la formule « Être fort pour mieux servir » ou encore « Être fort pour ĂȘtre utile ».

Vichy voit dans le sport professionnel une dérive vers la compétition à outrance et une spécialisation considérée comme inutile moralement et physiquement car elle ne peut qu'aboutir au spectacle et au professionnalisme.

Cette vision est inspirĂ©e par la vision de Pierre de Coubertin, chantre de l'amateurisme sportif pur et dur, et de l'officier de Marine Georges HĂ©bert, promoteur d’une mĂ©thode d’éducation physique naturelle, l’hĂ©bertisme, opposĂ©e Ă  la gymnastique suĂ©doise et Ă  la spĂ©cialisation sportive importĂ©e du monde anglo-saxon.

DerriÚre ces deux formules le but était de contrÎler rigoureusement la jeunesse, les associations sportives et leurs fédérations respectives. C'est d'ailleurs à cette époque que les écoliers français apprennent à courir, sauter et grimper et que sont créés les CREPS et l'USSU.

Conflit et rivalités dans les instances du rugby sur fond de crise économique

Dans les années 1930, le rugby est présent en France depuis les années 1870 et, à l'image de son évolution en Grande-Bretagne, le sport se professionnalise (paiement des joueurs, recrutement interclubs...) ouvrant la voie à des transferts sans rÚgles et à des inégalités économiques déséquilibrant profondément les championnats.

Une majorité de clubs dénonce cette situation et font sécession en décembre 1930 en fondant l'Union française de rugby amateur refusant que leurs joueurs soient sélectionnés en équipe de France et affaiblissant le niveau de celle-ci. Cette dissidence passagÚre va durer jusqu'en mai 1932 et s'achÚvera par une réunification accompagnée de rÚgles lourdes et contraignantes interdisant les mutations si le club d'origine ne donnait pas son accord.

De lourdes suspensions furent prononcées contre certains joueurs n'ayant pas respecté la rÚgle. Ce fut le cas de Jean Galia qui lança ainsi en 1934 le rugby à XIII, professionnel en France.

Durant l'intervalle, en 1931, l'équipe de France de rugby est suspendue du Tournoi des Cinq Nations pour professionnalisme tandis que les fédérations britanniques refusent toute rencontre avec la France jusqu'à nouvel ordre « étant donné que les conditions peu satisfaisantes dans lesquelles le rugby est joué en France... (et ce) jusqu'à ce qu'elles aient obtenu la certitude que le contrÎle et la conduite du jeu ont été organisées sur des bases satisfaisantes ».

En parallĂšle de ces conflits politiques, la FĂ©dĂ©ration française de rugby voit fondre ses effectifs : le nombre de clubs affiliĂ©s passe de 784 en 1930 Ă  663 en 1934 puis Ă  558 en 1939. Cela est dĂ» Ă  la crise Ă©conomique qui pousse de nombreux clubs Ă  arrĂȘter purement et simplement leur activitĂ© mais aussi Ă  un style de jeu ultra violent qui repousse les vocations.

La Fédération de rugby à XIII partie de zéro en 1934, elle est en plein essor à grand renfort de presse et de sponsors et comprend 155 à 160 clubs en 1939 et son championnat professionnel regroupe 14 équipes[3].

Mise en Ɠuvre sous Vichy

Trois hommes au moins concourent à mettre en place cette politique dirigiste dont l'un des piliers est le bannissement du sport professionnel importé du Royaume-Uni :

  • Jean Ybarnegaray : prĂ©sident-fondateur de la FĂ©dĂ©ration française et de la fĂ©dĂ©ration internationale de pelote basque, dĂ©putĂ© et membre du PSF il est nommĂ© ministre d'État en mai 1940 chargĂ© de la Jeunesse et de la Famille.
  • Jean Borotra : ancien joueur de tennis international de renommĂ©e mondiale, membre du PSF, il occupe la fonction de Commissaire gĂ©nĂ©ral au sport d'aoĂ»t 1940 Ă  avril 1942
  • Joseph Pascot : ancien joueur de rugby et champion de France avec Perpignan il est directeur des sports sous J. Borotra puis lui succĂšde en tant que commissaire gĂ©nĂ©ral au Sport d'avril 1942 Ă  juillet 1944.

Le , Jean Ybarnegaray déclare : «Le sort du rugby à XIII est clair, il a vécu (et), rayé purement et simplement du sport français»

Le , Albert Ginesty, prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration française de Rugby (rugby Ă  XV) et Paul Voivenel, prĂ©sident d'honneur de la FFR et auteur en 1942 de l'ouvrage Mon beau rugby qui refuse l'existence du rugby Ă  XIII (partie disparue lors des rĂ©Ă©ditions), militent pour l'interdiction du rugby Ă  XIII. Un rapport est remis en ce sens Ă  Jean Borotra, Commissaire GĂ©nĂ©ral Ă  l’Éducation GĂ©nĂ©rale et aux Sports de Ă  .

D'autre part, le nouveau ministre des sports du gouvernement Laval, Joseph Pascot s'attaque au professionnalisme dans le sport, pratique importée du Royaume-Uni, au profit de l'amateurisme pur, dur et vertueux comme dans le TroisiÚme Reich.

La pratique du Rugby à XIII est interdite le 19 décembre 1941 et les effets sont immédiats pour la Fédération :

  • dissolution et perte d'avoirs tant pour les 13 clubs « professionnels » (c'est-Ă -dire qui dĂ©dommagent leurs joueurs) que pour les 142 Ă  146 clubs amateurs de la Ligue française de rugby Ă  XIII
  • Saisie des biens immobiliers ou mobiliers de la LFR XIII et de clubs soit de 2 Ă  3 millions de francs de l'Ă©poque (Ă©quivalent en 2006 de 0,60 Ă  0,91 million d'euros). Certains pourraient avoir Ă©tĂ© partiellement captĂ©s par la FĂ©dĂ©ration française de rugby Ă  XV.

Dans les faits, les 155 Ă  159 clubs visĂ©s par ce dĂ©cret ne furent pas les plus atteints (ceux-ci avaient, depuis fin , soit arrĂȘtĂ© toute activitĂ© sportive, soit s’étaient rĂ©investis dans d’autres sports voire s’étaient reconvertis dans le rugby Ă  XV Ă  la FFR) mais bien la Ligue française de rugby Ă  XIII ainsi transformĂ©e en coquille vide.

Durant la mĂȘme pĂ©riode, le tennis et la lutte durent simplement rejoindre le statut amateur, tandis qu'un dĂ©lai de trois ans est accordĂ© au football[4], au cyclisme, Ă  la boxe et Ă  la pelote basque. Ainsi des joueurs de tennis professionnels comme Henri Cochet et Robert Ramillon sont rĂ©intĂ©grĂ©s comme amateurs et peuvent affronter les meilleurs amateurs en compĂ©tition.

Vichy raya aussi de la carte sportive française d'autres fédérations amateurs uni-sport de moindre importance en les mettant sous tutelle d'une autre fédération et captation de leurs biens par celle-ci (comme le tennis de table, le jeu de paume, le badminton[5] mises sous tutelle du tennis) mais également des fédérations amateurs multi-sports dont il saisit les biens mobiliers et immobiliers (- FSGT, - UFOLEP, - USEP). Il interdit aussi les compétitions féminines de football[6], de cyclisme[7], « nocifs pour la gent féminine », ainsi qu'un club de rugby à XV : l'US Lectoure (Gers) [8].

Dans le mĂȘme temps, entre juin et , le rĂ©gime de Vichy autorise la crĂ©ation, en France, d'une nouvelle fĂ©dĂ©ration sportive : le handball[9], d'origine allemande (codifiĂ© entre 1917 et 1920 et dĂ©rivĂ© d'un autre jeu allemand : le torball). Mais, fin 1944, en conformitĂ© avec l'article 3 de l'ordonnance d'Alger, la crĂ©ation de la FFH est annulĂ©e (aprĂšs plusieurs enquĂȘtes la FFHB ne peut naĂźtre qu'en ).

Le coup de grùce au rugby à XIII, donné par le décret n° 5285 du , signé par Pétain le , applicable en , pourrait bien avoir son origine à Berlin[10] et en parallÚle à l'apparition de la FFH.

Le rugby à XIII fut aussi interdit, en , aux clubs scolaires, collégiens, lycéens ou universitaires qui le pratiquaient depuis la saison 1935-36 (de 52 ils étaient passés à 79 pour la saison 1938-39); ceux-ci n'étaient pas membres de la LFR.XIII mais étaient membres des fédérations sportives concernant le sport dans les écoles, les collÚges, les lycées ou les universités; ces clubs étaient adhérents des fédérations UFOLEP (fondée en 1928), OSU (fondé en 1931, devenu l'OSSU en 1938, l'ASSU en 1962 et l'UNSS en 1975) ou bien USEP (fondée en 1939).

L'interdiction du rugby Ă  XIII est qualifiĂ©e par l'hebdomadaire L'Équipe magazine d'« un des plus grands scandales du sport français » en 2013.

AprĂšs-guerre

Selon une Ordonnance du 2 octobre 1943 du ComitĂ© français de LibĂ©ration nationale rendue applicable par l’ordonnance du 9 aoĂ»t 1944 du Gouvernement provisoire de la RĂ©publique française (GPRF -03.06.1944 Ă  30.08.1944- Ă  Alger), les associations supprimĂ©es retrouvaient une existence juridique et lĂ©gale de « plein droit » et se voyaient bĂ©nĂ©ficier d'une restitution/rĂ©trocession des biens Ă  tout groupement, association, fĂ©dĂ©ration sportive lĂ©galement constituĂ© et « existant au ».

Le contrĂŽle de l'État sur les fĂ©dĂ©rations perdure nĂ©anmoins par le biais de l'agrĂ©ment des groupements et associations sportifs (Ă©tablis par le rĂ©gime de Vichy). Par opposition Ă  la conception vichyste : toute forme d'Ă©tatisme, de politisation, d'embrigadement, de subvention aux mouvements confessionnels est fermement rejetĂ©e et la tutelle de l'État est strictement technique et matĂ©rielle.

Sur la base de ce texte, la Ligue française de rugby à XIII est reconstituée et en octobre 1944 relance ses championnats et coupes sous l'impulsion des anciens et nouveaux dirigeants de ses clubs. La grande majorité de ses anciens joueurs qui avaient été contraints de s'exiler dans des clubs de rugby à XV pour pratiquer le rugby sont de retour et avec le soutien de Paul BarriÚre retrouve une existence officielle auprÚs du conseil national des sports présidé par Alfred EluÚre (président de la FFR) en 1946.

La Ligue française de rugby à XIII ne retrouvera toutefois pas tous ses biens mobiliers parfois attribués au rugby à XV ou à d'autres sports (tel le handball introduit en France en septembre 1941) ou tout simplement au Comité national des sports (CNS).

En juillet 1947 puis en , aprĂšs avoir subi les brimades du rĂ©gime de Vichy, ne voulant ni ĂȘtre mise au ban des sports français ni se suicider ou ne sachant pas faire face, la ligue dut prendre une nouvelle dĂ©nomination fixĂ©e par l'arrĂȘtĂ© du 11 avril 1949, publiĂ© au Journal officiel du 22 avril 1949 :

  • Jeu Ă  XIII pour sa pratique amateur (il est Ă  noter que Jean Galia est le pĂšre, depuis mars/, du terme jeu Ă  treize)
  • Ligue de rugby Ă  XIII pour sa pratique semi-professionnelle ou professionnelle

Bataille juridique

En 1985, Jacques Soppelsa, président de la Fédération française de jeu à XIII, le XIII en France lance une procédure afin de retrouver l'appellation « rugby à XIII ».

Il obtient gain de cause aprÚs une bataille juridique avec la Fédération française de rugby à XV alors présidée dans un premier temps par Albert Ferrasse (1968-1991) puis dans un deuxiÚme temps par Bernard Lapasset (1991-2008). Le président Ferrasse déclare « Je dis simplement ceci, et c'est un avertissement gratuit : nous ne nous laisserons pas faire ! [...] je ne veux pas la guerre, mais je vous le dis, Messieurs, que s'il faut la faire, nous la ferons totale ! Et tant pis si nous abattons la Fédération de jeu à XIII ».

Le , le Conseil d'État, statuant au contentieux, rend un arrĂȘt contre le MinistĂšre de la Jeunesse et des Sports qui, pour sa dĂ©lĂ©gation de pouvoirs aux fĂ©dĂ©rations sportives, continue Ă  utiliser la dĂ©nomination «FĂ©dĂ©ration française de jeu Ă  XIII» (persĂ©vĂ©rance ou erreur administrative du ministĂšre) bien que la dite dĂ©nomination n'ait plus aucun fondement ni valeur juridique eu Ă©gard aux lois de la RĂ©publique.

Par un arrĂȘt de la Cour de cassation du 4 juin 1993, la fĂ©dĂ©ration peut Ă  nouveau s'appeler « FĂ©dĂ©ration française de rugby Ă  XIII » (FFR Ă  XIII), Ă  la suite de l'arrĂȘt rendu par la Cour de Cassation qui dĂ©boute dĂ©finitivement la FFR, laquelle Ă©tait allĂ©e en cassation Ă  la suite de son procĂšs d'appel perdu deux ans plus tĂŽt devant la Cour d'appel de Paris laquelle confirmait le jugement () du Tribunal de Grande Instance de Paris et dont les attendus considĂ©raient qu'en tant qu'appellation gĂ©nĂ©rique, le terme « rugby » ne pouvait relever de l'exclusivitĂ© d'une seule fĂ©dĂ©ration, la FFR (XV) sera condamnĂ©e aux dĂ©pens.

MĂ©moire

FondĂ©e en 1997, et animĂ©e notamment par Robert Fassolette et le Britannique Cliff Spracklen, l'association « XIII actif »[11] se donne entre autres pour objet « d'Ɠuvrer pour la rĂ©habilitation historique du Rugby Ă  XIII » et de « mettre en lumiĂšre, devant l'opinion publique, les consĂ©quences actuelles de l'interdiction de ce sport et de sa spoliation sous le rĂ©gime de Vichy afin d'en obtenir les Ă©ventuelles rĂ©parations lĂ©gales et lĂ©gitimes ».

Une commission indĂ©pendante de douze historiens et chercheurs (prĂ©sidĂ©e par l'historien Jean-Pierre AzĂ©ma) dĂ©nommĂ©e La Politique du Sport et de l’Éducation physique en France pendant l’Occupation fut chargĂ©e, le , par Marie-George Buffet, ministre de la jeunesse et des sports, d'Ă©tudier les rĂ©manences structurelles et juridiques des dĂ©cisions prises par Vichy dans le domaine sportif.

La commission remit, en , un rapport d'environ 190 pages, tiré à 50 exemplaires, qui consacre une page et demi au rugby à XIII. Il confirme l'influence sur le régime de Vichy de 2 à 3 dirigeants vichystes des instances nationales du rugby à XV dans l'interdiction de son concurrent.

À l'exclusion de Marie-Georges Buffet en (Ministre Jeunesse et Sport), nul ministre ou personnel politique d'importance n'a depuis des dizaines d'annĂ©es assistĂ© Ă  une finale treiziste (championnat ou coupe lord Derby). Par ailleurs, aucun membre des Équipes de France de Rugby Ă  XIII (exceptĂ© Puig Aubert) n'a Ă©tĂ©, en raison de la contribution apportĂ©e Ă  la communautĂ© nationale Ă  travers son sport, fait titulaire de la LĂ©gion d'Honneur.

MĂ©diatisation

C'est paradoxalement dans le monde treiziste anglophone que cet Ă©pisode tragique pour le rugby Ă  XIII a le plus de « popularitĂ© » ; ce, surtout depuis que l'Ă©crivain britannique Mike Rylance a consacrĂ© un livre sur le sujet en anglais et en français, Le rugby interdit : L'histoire occultĂ©e du rugby Ă  XIII en France en 2006[12] - [13] - [14]. Les mĂ©dias anglophones traitement rĂ©guliĂšrement le sujet, demandant rĂ©guliĂšrement que l'Ă©tat français ou la FFR rendent des comptes Ă  ce sujet. En revanche depuis les annĂ©es 2000, les instances fĂ©dĂ©rales treizistes françaises semblent mettre au second plan cet Ă©pisode — un phĂ©nomĂšne qui trouve son illustration lors de la confĂ©rence de presse annonçant l'organisation par la France de la coupe du monde de 2025[15] ; le journaliste australien Steve Mascord demandant alors si le soutien affichĂ© de l’État au projet Ă©tait une forme de compensation aux dommages subis par le rugby Ă  XIII du fait de son bannissement par le rĂ©gime de Vichy. Le prĂ©sident Lacoste lui rĂ©pliqua en substance « qu'il ne fallait pas regarder dans le rĂ©troviseur. ».

Références

  1. Jean-François Fournel, « Avant la Coupe du monde, l’histoire brisĂ©e du rugby Ă  XIII », sur la-croix.com, (consultĂ© le ).
  2. Journal officiel, gallica.bnf.fr, consulté le 10 décembre 2020.
  3. Mike Rylance, « Pourquoi Vichy a-t-il interdit le rugby Ă  XIII ? », Arkheia, nos 14-15-16,‎ (lire en ligne, consultĂ© le ).
  4. vichy et football
  5. Fédération Française de Badminton supprimée
  6. interdiction du foot féminin : nocif
  7. Interdiction des compétitions de cyclisme féminin : nocif
  8. l'US Lectoure rugby à XV (Gers) interdit par le régime de Vichy
  9. Handball histoire
  10. H. v T u O
  11. 13Actif
  12. « Le rugby interdit : l'histoire occultée du rugby à XIII en France / Mike Rylance », sur mediatheques.perpignanmediterraneemetropole.fr (consulté le )
  13. Jean-François Fournel, « Avant la Coupe du monde, l’histoire brisĂ©e du rugby Ă  XIII », sur la-croix.com, La Croix, (consultĂ© le ) : « « Cette histoire est Ă  peine croyable », s’exclame Michel Martinet, prĂ©sident de la Ligue Île-de-France, qui tient toujours Ă  portĂ©e de main un exemplaire du livre Le Rugby interdit, l’ouvrage d’un Anglais, Mike Rylance, qui en a fait une chronique prĂ©cise »
  14. Jean ROQUES, « Les hauts et les bas du rugby à XIII », sur ladepeche.fr, (consulté le )
  15. (en-US) Steve Mascord, « French ‘can’t blame Vichy for failures in the fifties and seventies’ », sur rugbyleaguehub.com, (consultĂ© le )
  • Jean-Christophe Collin, « La grande spoliation », L'Équipe magazine, no 1608,‎ , p. 39-49

Liens externes

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