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Pontours

Pontours est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Pontours
Pontours
Le village de Pontours, au bord de la Dordogne.
Blason de Pontours
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Étienne Gouyou-Beauchamps
2020-2026
Code postal 24150
Code commune 24334
DĂ©mographie
Gentilé Pontourois
Population
municipale
195 hab. (2020 en diminution de 6,25 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 29 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 50â€Č 11″ nord, 0° 45â€Č 45″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 175 m
Superficie 6,69 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Lalinde
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Pontours
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Pontours

    GĂ©ographie

    Généralités

    Dans la partie sud du dĂ©partement de la Dordogne, en Bergeracois, la commune de Pontours s'Ă©tend sur 6,69 km2. Elle se trouve en rive gauche de la Dordogne, juste en amont de Lalinde. Elle s'Ă©tend sur la terrasse alluviale dite ici « la plaine » et sur les coteaux entaillĂ©s de vallons secs ou combes. À l'aplomb de la plaine, ces coteaux sont appelĂ©s « cingles ». Ainsi se succĂšdent le cingle de la Douille, le cingle de Paty et plus Ă  l'ouest, face Ă  Lalinde, le cingle de Saint-Front. Ces coteaux et plateaux sont souvent boisĂ©s (chĂȘnes, chĂątaigniers, charmes, trembles, genĂ©vriers, chĂȘnes verts). Sur certains affleurent des croupes sĂšches, caussenardes, avec stations de pelouses sĂšches ou pelouses calcaires. Plusieurs bordures de coteaux sont classĂ©es en zone Natura 2000. Le plateau du cingle de La Douille est boisĂ©, taillis de chĂȘnes et notamment de chĂȘnes verts.

    Le sommet des coteaux culmine au sud-est Ă  175 mĂštres pour le coteau de Couleyrie au lieu-dit la Belle Étoile, et Ă  155 mĂštres pour le sommet du « Sud » qui marque la limite communale au sud-ouest d'un vaste plateau qui va s'inclinant sur la vallĂ©e de la Couze (Ă  la borne des trois communes (Pontours, Bayac, Bourniquel).

    Le bourg est un petit village oĂč les quelques maisons, l'Ă©glise romane, l'ancienne Ă©cole-mairie, les rares fermes, la halle (rĂ©cente), sont construites sur la derniĂšre terrasse alluviale. Il se dresse au droit d'une succession de rapides et d'Ăźles (les bĂ©lisses) qui barrent la Dordogne. LĂ  dĂ©bute une longue sĂ©quence d'accidents de son lit, plus ou moins importants : cascades, tourments rocheux, chenaux Ă©troits, passes oĂč l'eau et les courants sont vifs. Cette succession de rapides avec le « Grand Thoret » s'achĂšve par le « Saut de la Gratusse » ou « Pas de La Gratusse » en aval de Lalinde, particuliĂšrement redoutĂ© des anciens bateliers.

    Communes limitrophes

    Carte de Pontours et des communes avoisinantes.

    Pontours est limitrophe de six autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Pontours est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c5c, date du Campanien 3, une alternance de marnes Ă  glauconie et de calcaires crayo-marneux jaunĂątres. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatĂ©es de vallons secs : sable limoneux Ă  dĂ©bris calcaires et argile sableuse Ă  dĂ©bris. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « no 807 - Le Bugue » et « no 831 - BelvĂšs » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et leurs notices associĂ©es[4] - [5].

    Carte géologique de Pontours.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 36 mĂštres[6] au nord-ouest, lĂ  oĂč la Dordogne quitte le territoire communal et marque la limite entre les communes de Couze-et-Saint-Front et Lalinde, et 175 mĂštres[6] au sud-est, sur le coteau de Couleyrie, au lieu-dit la Belle Étoile[7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [9]. La commune fait partie du PĂ©rigord noir, un paysage vallonnĂ© et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallĂ©es-couloirs et d’une multitude de clairiĂšres de toutes tailles. Il s'Ă©tend du nord de la VĂ©zĂšre au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 6,69 km2[6] - [11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 6,66 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainée par la Dordogne qui constitue un réseau hydrographique de plus de km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaĂźne des monts Dore, traverse six dĂ©partements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne Ă  Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[16] - [17]. Elle borde la commune au nord sur plus de deux kilomĂštres, face Ă  Lalinde.

    • La Dordogne vue depuis Pontours.
      La Dordogne vue depuis Pontours.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Pontours.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - VĂ©zĂšre)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [19].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[20]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,6 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 846 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,9 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[24] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[25] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de BelvĂšs, mise en service en 1988[26] et qui se trouve Ă  20 km Ă  vol d'oiseau[27] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 895,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[28]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et Ă  22 km[29], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 13,2 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[30], Ă  13,1 °C pour 1981-2010[31], puis Ă  13,3 °C pour 1991-2020[32].

    Milieux naturels et biodiversité

    Les Ăźles sur la Dordogne entre Lalinde (au premier plan) et Pontours (sur l'autre rive).

    La Dordogne qui borde la commune au nord sur un peu plus de deux kilomĂštres fait l'objet de plusieurs niveaux de protection.

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Pontours[33] - [34]. Seize espÚces animales et une espÚce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[35].

    La zone Coteaux calcaires de la vallĂ©e de la Dordogne, qui s'Ă©tend au total sur 3 686 hectares et est partagĂ©e avec vingt-quatre autres communes, fait Ă©galement partie du rĂ©seau Natura 2000[36] - [37]. Deux espĂšces de chauves-souris inscrites Ă  l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union europĂ©enne y ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es[36] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).

    Sur la commune, elle s'étend sur environ un demi-hectare et correspond au coteau situé au sud de la Dordogne, au nord de Pech Redon.

    Protection du biotope

    Comme l'ensemble des communes du dĂ©partement baignĂ©es par la Dordogne, Pontours est soumise depuis 1991 Ă  un arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral de protection de biotope destinĂ© Ă  favoriser la migration du saumon et la reproduction des lamproies et des aloses[38].

    ZNIEFF

    Cygnes sur la Dordogne vus depuis la commune de Pontours.

    Pontours fait partie des 102 communes concernĂ©es par la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[39] - [40], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[41].

    En aval du barrage de Mauzac se situe une ZNIEFF de type I, « Barrage de Mauzac, ßlots et rapides de la Gratuse », refuge de nombreux oiseaux aquatiques en toutes saisons, qui concerne toute la partie de la Dordogne riveraine de Pontours[42] - [43].

    Urbanisme

    Typologie

    Pontours est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [44] - [45] - [46]. La commune est en outre hors attraction des villes[47] - [48].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (58,3 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (57,7 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (58,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (24,5 %), terres arables (8,4 %), prairies (4,8 %), eaux continentales[Note 8] (4 %)[49].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Pontours est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[50]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[51].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dordogne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982 et 1999[52] - [50]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dordogne, de Creysse Ă  Le Buisson », couvrant 20 communes et approuvĂ© le , pour les crues de la Dordogne[53] - [54].

    Pontours est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[55]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[56] - [57].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Pontours.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[58]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[59]. 54,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [60].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[50].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 10] situĂ© dans le dĂ©partement de la CorrĂšze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[62].

    Toponymie

    La premiÚre mention écrite relative à Pontours concerne sa paroisse et date de l'an 1281 (Parochia de Saint-Vincent de Pontos)[63]. Cinq ans plus tard est noté Portus de Pomos, puis Sanctus Martinus de Pontous en 1315, et Pountors en 1319[63].

    Sur la carte de Cassini représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Pontour[64].

    Le nom du lieu se réfÚre soit à un pont (origine latine pons), soit à un bac (origine occitane pontons)[65] - [66].

    En occitan, la commune porte le nom de Pontors[66].

    Histoire

    Le village doit son origine à sa position géographique, à proximité des rapides et de l'apparition des hauts-fonds de la riviÚre. Un gué ou passage, baptisé Trajectus, est connu à l'époque gallo-romaine. Il serait inventorié dans l'Itinéraire d'Antonin (inventaire des routes de l'Empire Romain sous le rÚgne de Dioclétien au bas-Empire) et figuré sur une trÚs ancienne carte des routes de l'Empire romain, la table de Peutinger. Ce Trajectus se situait sur la voie allant de Vésone (Périgueux) à Aginnum (Agen). Le gué n'a pas survécu à l'époque gallo-romaine. Plusieurs vestiges du gué ont été retrouvés dans le lit de la riviÚre en 1908 par un archéologue amateur, membre de la Société historique et archéologique du Périgord, le Docteur Chaume, et sont en dépÎt au musée d'art et d'archéologie du Périgord, à Périgueux.

    L'histoire de la batellerie vit naßtre à Badefols et à Pontours une corporation de passeurs ou pilotes de gabares et filadiÚres qui embarquaient à l'amont des rapides et guidaient les embarcations au travers des passes et des bélisses, jusqu'à l'aval de Lalinde. Malgré cela, les naufrages étaient nombreux, les disparus aussi, au point qu'il exista à Pontours jusqu'au XIXe siÚcle un « cimetiÚre des morts par noyade ».

    Il faut imaginer la Dordogne comme une véritable frontiÚre jusqu'à la construction du pont de Lalinde, au début des années 1880. Un bac à passage, équipé pour transporter une charrette et son attelage, a existé durablement en amont, à Badefols. Il fut trÚs actif jusqu'en 1880 et ne sera supprimé qu'au début des années 1920. Il en existait un autre plus petit (ne transportant que des piétons) à proximité de Paty, au droit du lieu-dit le Port de Lalinde en aval de Pontours.

    Avant cette pĂ©riode, la route de Bergerac Ă  Sarlat, aprĂšs avoir traversĂ© la bastide de Lalinde, longeait la Dordogne en rive droite jusqu'au niveau de Drayaux, en amont de SauvebƓuf. À cet endroit, la route obliquait vers l'embarcadĂšre du bac, la cale (de l'occitan cala). Elle reprenait sur l'autre rive au bourg de Badefols en remontant dans une combe pour franchir un plateau, un vallon, et arrivait vers le petit bourg de CalĂšs. La route par la rive gauche entre Lalinde et Badefols, via Paty et Pontours, ne sera rĂ©alisĂ©e qu'aprĂšs la construction du pont de Lalinde. Le bac Ă  passage a perdurĂ© plusieurs dĂ©cennies aprĂšs la mise en service de ce pont et c'est probablement la modernisation qui a suivi la PremiĂšre Guerre mondiale qui a eu raison de cet Ă©quipement en 1921.

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    DÚs 1790, la commune de Pontours est rattachée au canton de Cadouin qui dépend du district de BelvÚs jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[6]. Il change de nom en 1974, devenant le canton du Buisson-de-Cadouin.

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du 21 février 2014, ce canton disparaßt aux élections départementales de mars 2015[67]. La commune est alors rattachée au canton de Lalinde, lui aussi dépendant de l'arrondissement de Bergerac.

    Intercommunalité

    Début 2002, Pontours intÚgre dÚs sa création la communauté de communes de Cadouin. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[68] - [69].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    1881 1916 Adrien Gouyou-Beauchamps ALP Député (1912-1914)
    1945 1980 Odilon Darnige Maréchal-ferrant
    juin 1995[70] mai 2020 Marie-ThérÚse Armand SE[71] Agricultrice
    mai 2020 En cours Étienne Gouyou-Beauchamps

    Jumelages

    Panneau de jumelage.

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Pontours relĂšve[73] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    Les habitants de Pontours se nomment les Pontourois[74].

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[75]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2006[76].

    En 2020, la commune comptait 195 habitants[Note 11], en diminution de 6,25 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    369329311323350383392363389
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    378385328328328287284278261
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    247228222183192202188175155
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
    160163153164187168192214194
    2020 - - - - - - - -
    195--------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[77].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[78], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 80 personnes, soit 39,8 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (onze) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (cinq) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  14,3 %.

    Établissements

    Au , la commune compte neuf Ă©tablissements[79], dont trois au niveau des commerces, transports ou services, trois dans la construction, deux relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et un dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche[80].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Sur la route de Sarlat, l'entrĂ©e du bourg prĂ©sente un calvaire et une halle de type rustique, construite en 1998. Au bourg se trouve une Ă©glise romane dĂ©diĂ©e Ă  saint Martin de Tours et en seconde dĂ©dicace Ă  saint BarthĂ©lemy, le saint patron de la paroisse[81]. Le long d'un talus au bord de la Dordogne, une fontaine dĂ©diĂ©e au mĂȘme saint est d'accĂšs difficile. Elle fut jadis l'objet de dĂ©votions et pĂšlerinages. L'ancien guĂ©, lĂ©gĂšrement en aval du bourg, pourrait rĂ©vĂ©ler quelques traces au moment des plus basses eaux.

    Vers l'ouest du bourg, un pigeonnier sur quatre piliers a disparu, mis Ă  bas par la tempĂȘte de 1999. À l'extrĂȘme ouest de la plaine, la maison de Paty est une maison forte donnant sur la Dordogne[82]. Un grand cĂšdre du Liban domine le paysage de rive. La lĂ©gende veut que ce soit le savant-botaniste Jussieu qui ait offert le plant du cĂšdre Ă  la famille de la maison forte. Un ancien bac Ă  passage (transportant exclusivement les piĂ©tons) permettait de relier rive droite et rive gauche au droit de celle-ci. Au sud du bourg, au lieu-dit Pontours-Haut, se trouve un manoir[83], ancienne maison noble avec chapelle, ancien vivier et pigeonnier sur piliers, Ă  l'aplomb de la colline. Sur celle-ci, au-dessus de l'ancienne mĂ©tairie de la Chauprade, un sentier de randonnĂ©e suit la crĂȘte du cingle de Pontours qui domine la plaine. La forĂȘt de pente est un gĂźte rĂ©putĂ© pour milans noirs. Le sentier passe Ă  proximitĂ© du « ChĂȘne de la Margot », vieux chĂȘne mĂ©morable, tĂ©moin dit-on d'un voyage de Marguerite de Navarre dans l'ancien comtĂ© de PĂ©rigord. Le chĂȘne qui a longtemps bĂ©nĂ©ficiĂ© du soutien de quelques bĂ©quilles, en mauvais Ă©tat, s'est dĂ©finitivement effondrĂ© en 2015.

    La remontĂ©e du vallon de Pontours-Haut permet d'accĂ©der Ă  quelques maisons, le hameau des Pierres, et au vallon de Septfonts. Celui-ci devient une combe Ă©troite et boisĂ©e, menant aux hameaux de Couleyrie, des Sadouls, du Sivadal, de la Belle Étoile et des TerriĂšres. De lĂ , une route permet de rejoindre la bastide de MoliĂšres vers l'est. L'autre route oblique vers l'ouest, et pĂ©nĂštre sur la commune de Bourniquel, longeant le domaine de Cardou[84] propriĂ©tĂ© de la famille de Saint-ExupĂ©ry (chĂąteau, ancien repaire de partisans de la Fronde dont les tours furent mises Ă  bas sur ordre de Lakanal), avant de revenir sur le territoire communal de Pontours, en bas de la combe, Ă  la Fontaine de Rouby. En remontant vers la Mothe, gros village construit Ă  proximitĂ© d'un tumulus jamais officiellement fouillĂ©. Mais la rĂ©cente fouille de sauvegarde sur le chantier d'une maison Ă  proximitĂ© a rĂ©vĂ©lĂ© en 2011 la prĂ©sence de deux fossĂ©s dĂ©montrant qu’il s’agissait probablement d’une motte castrale, donc dĂ©fensive. Cette fouille permet de dater l’occupation protohistorique comprise entre -1000 et -500

    Le premier fossĂ© au plus prĂšs de la butte Ă©tait profond de quatre mĂštres. Cet ensemble est antĂ©rieur au XIIe siĂšcle, y compris un squelette datĂ© du XIe siĂšcle. Par ailleurs, la mise au jour de soubassements bĂątis montre une occupation ultĂ©rieure, au XIVe siĂšcle. Dans les fossĂ©s ont Ă©tĂ© dĂ©couverts de grandes quantitĂ©s de scories coulĂ©es que l’on retrouve sur plusieurs sites, Ă  fleur de terre, autour de Bousserand et sur les pentes de la colline au lieu-dit le Sud, tĂ©moin d’une activitĂ© de sidĂ©rurgie locale et donc de l’ñge des mĂ©taux sur ces coteaux.

    Au sud, la forĂȘt des Carbonniers et celle des Magales sont essentiellement des bois de chĂątaigniers avec association de chĂȘnes. La toponymie renvoie Ă  l'exploitation du charbon de bois produit jusqu'au dĂ©but du XXe siĂšcle dans les meules des charbonniers dressĂ©es dans les clairiĂšres. À l'ouest de la commune, dans un vallon, le hameau de Bousserand-Bas, dit aussi de la Fontaine de Bousserand, est construit autour d'une fontaine et d'un ancien lavoir-abreuvoir. Au dĂ©but des annĂ©es 1970, un Ă©tang y a Ă©tĂ© creusĂ©, rĂ©vĂ©lant des bifaces, des pointes de flĂšches et des fondations marquĂ©es de rĂ©sidus de foyers. Un sentier grimpe sur un coteau jusqu'au hameau de Bousserand-Haut, composĂ© de trois grandes fermes, anciennes mĂ©tairies viticoles et d'Ă©levage ayant appartenu (pour deux d'entre elles) Ă  l'ancien domaine des Gontaut-Biron, passĂ©es dans les mains du chĂąteau de Paty, et vendues aprĂšs la crise du phylloxĂ©ra Ă  la fin du XIXe siĂšcle et au dĂ©but du XXe. Les fermes de Bousserand-Haut sont des bĂątisses dont les plus anciennes datent du XVIe siĂšcle avec des traces d'appareillages suggĂ©rant des constructions de la fin du Moyen Âge. Elles montrent une premiĂšre sĂ©rie de constructions bouviĂšres, les granges-Ă©tables, vastes granges sous fenils (appelĂ©es les « jouques ») pour le stockage des rĂ©coltes de foin dans le vaste espace qui est amĂ©nagĂ© sous les toitures trĂšs pentues. En 2011, une restauration a mis en Ă©vidence un appareillage qui n'est pas sans rappeler les ermitages des fondations monastiques. Les bĂątiments les plus rĂ©cents datent de la premiĂšre moitiĂ© du XIXe siĂšcle.

    Une route blanche en direction de la ferme de Font-Blanque (commune de Couze-et-Saint-Front) Ă  l'orĂ©e de la forĂȘt des Divises permet d'accĂ©der Ă  un sentier menant au sommet du Sud, colline Ă  155 mĂštres d'altitude. Autour de cette butte, deux sources sourdent, la font du TaĂŻ vers le sud et la font du Roc sur le versant nord.

    La commune a deux sites inscrits d'intĂ©rĂȘt pittoresque ; le plus ancien, celui de l'Ă©glise et de ses abords sur un hectare date de 1950[85] ; l'autre, celui du bourg, englobe le prĂ©cĂ©dent, s'Ă©tend sur 62 hectares, et date de 1980[86].

    • L'Ă©glise Saint-BarthĂ©lemy.
      L'église Saint-Barthélemy.
    • Un chapiteau de son portail.
      Un chapiteau de son portail.
    • Maison Ă  l'ouest du bourg.
      Maison Ă  l'ouest du bourg.
    • La mairie et le monument aux morts.
      La mairie et le monument aux morts.
    • Le monument aux morts.
      Le monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    • L'abbĂ© Arnaud Goustat (1831-1915) fut curĂ© de Pontours Ă  partir de 1858[87]. PassionnĂ© pour l'histoire locale, il a beaucoup compulsĂ© et dĂ©cryptĂ© les archives. Il en a tirĂ© de nombreux articles et plusieurs ouvrages dont Lalinde et les libertĂ©s communales. Il a beaucoup Ă©tudiĂ© les rĂ©sultats de diverses fouilles portant sur le guĂ© de Pontours dans la riviĂšre Dordogne et son lien avec le Trajectus gallo-romain.
    • Madeleine Bonnelle, historienne, conseillĂšre municipale, a vĂ©cu au hameau des Pierres et a Ă©crit plusieurs ouvrages sur l'histoire locale dont Lalinde et son Coulobre[88] ainsi qu'une histoire de Badefols-sur-Dordogne et une biographie illustrĂ©e du dessinateur de presse Sem.
    • Bernard StĂ©phan, originaire de Bousserand-Haut, journaliste honoraire. AprĂšs avoir Ă©tĂ© journaliste Ă  Sud Ouest et Ă  PĂ©rigord magazine et aux Éditions du Centre Ă  Limoges, journaliste et rĂ©dacteur en chef du Berry rĂ©publicain Ă  Bourges[89], ensuite rĂ©dacteur en chef adjoint du journal La Montagne Ă  Clermont-Ferrand et Ă©ditorialiste des quotidiens du groupe de presse Centre-France (La Montagne, Le Populaire du Centre, Le Berry rĂ©publicain, Le Journal du Centre, L'Yonne rĂ©publicaine, La RĂ©publique du Centre et L'Écho rĂ©publicain). Membre de l'ODI (Observatoire de la dĂ©ontologie de l'information). Il est aujourd'hui conseiller Ă  la Fondation Varenne. A Ă©crit plusieurs ouvrages sur le patrimoine, la mĂ©moire rurale du PĂ©rigord et du Berry. Il raconte la fin de la sociĂ©tĂ© paysanne des hameaux situĂ©s entre Lalinde et Beaumont-du-PĂ©rigord dans le livre intitulĂ© Paysans : mĂ©moires vives[90]. Il a publiĂ© en juin 2013 Le Parler du PĂ©rigord, (Éditions Christine Bonneton), un glossaire des mots du français rĂ©gional collectĂ©s dans le PĂ©rigord rural. Il a codirigĂ© en 2013 la rĂ©Ă©dition du centenaire du Grand Meaulnes d'Alain-Fournier, aux Ă©ditions Bleu autour. Il anime un blog qui explore l'ethnologie rurale et la mĂ©moire paysanne du PĂ©rigord, du Berry, de l'Auvergne et du Limousin.
    • Odile Leyx, originaire de Pontours, fille d'Odilon Darnige qui fut maire de la LibĂ©ration jusqu'au milieu des annĂ©es 1970, a Ă©crit plusieurs ouvrages autobiographiques sur son enfance et son action et sur la RĂ©sistance en PĂ©rigord. Parmi les titres de l'auteur, Les combattants de l'ombre dans un chĂąteau mĂ©diĂ©val en Dordogne[91] et Avec beaucoup d'amour un combat de tous les jours[92]. Elle est dĂ©cĂ©dĂ©e le . Son mari AndrĂ© Leyx, ancien maire, dĂ©cĂ©dĂ© en 2010[93], a Ă©crit un livre de souvenirs sur son temps en Indochine intitulĂ© Un spahi raconte la Guerre d'Indochine 1952-1954[94].
    • Adrien Beauchamps (1855-1916), nĂ© et dĂ©cĂ©dĂ© Ă  Pontours-Haut, a Ă©tĂ© maire de Pontours de 1881 Ă  1916, et dĂ©putĂ© de la Dordogne de 1912 Ă  1914, siĂ©geant dans le groupe de l'Alliance LibĂ©rale Populaire[95]. MĂ©decin, il a Ă©tĂ© mobilisĂ© Ă  ce titre pendant la guerre de 1914-1918. Il a marquĂ© son Ă©poque par son engagement chrĂ©tien au service d'un milieu de mĂ©tayers pauvres qui constituaient la population majoritaire de ce coin du PĂ©rigord..

    HĂ©raldique

    Blason de Pontours Blason
    Coupé : au 1er d'azur à un pont d'une arche d'argent, maçonné de sable, mouvant de la partition, au 2d parti au I de sable à une tour d'argent maçonnée du champ et au II de gueules à un lion couronné d'or[96].
    DĂ©tails
    Armes parlantes.
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[22].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[23].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[61].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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