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Laperrière-sur-Saône

Laperrière-sur-Saône est une commune française située dans le canton de Brazey-en-Plaine du département de la Côte-d'Or en région Bourgogne-Franche-Comté.

Laperrière-sur-Saône
Laperrière-sur-Saône
Église Sainte-Marie-Madeleine.
Blason de Laperrière-sur-Saône
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Côte-d'Or
Arrondissement Beaune
Intercommunalité Communauté de communes Rives de Saône
Maire
Mandat
Jean-Luc Soller
2020-2026
Code postal 21170
Code commune 21342
Démographie
Population
municipale
433 hab. (2020 en augmentation de 3,59 % par rapport à 2014)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 06′ 45″ nord, 5° 20′ 32″ est
Altitude Min. 180 m
Max. 201 m
Superficie 11,17 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Brazey-en-Plaine
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Laperrière-sur-Saône
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Laperrière-sur-Saône
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Laperrière-sur-Saône
Liens
Site web laperrieresursaone.fr

    Géographie

    Localisation

    Représentations cartographiques de la commune
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    La commune se trouve à mi-chemin entre Saint-Jean-de-Losne, chef-lieu du canton, et Auxonne, capitale du Val de Saône (11 km). Elle se situe aussi à 13 km de Dole, sous-préfecture du Jura, à 48 km de Beaune, sous-préfecture de la Côte-d'Or, et à 46 km de Dijon, préfecture de la région Bourgogne-Franche-Comté.

    Géologie, relief et hydrographie

    La commune appartient à la plaine alluviale du Val de Saône, aux sols constitués de cailloutis, de calcaires, et d'argiles bien aérés, boisés et comptant de nombreux biefs. Les principaux cours d'eau qui la traverse sont la Saône, la Noue et l'Orfenot. Le canal du Rhône au Rhin longe la commune sur sa limite sud-ouest.

    Climat

    Le climat de la commune est de type océanique avec des influences semi-continentales.

    Accès

    La commune est traversée par les routes D 24 (Maison-Dieu-Labergement-Foigney) et D 110C (Laperrière-sur-Saône-Abergement-la-Ronce), ainsi que par l'A36 (Beaune-Mulhouse-Ouest), dont le plus proche échangeur est Seurre-Saint-Jean-de-Losne à Pagny-le-Château, à 17 km.

    Les gares ferroviaires les plus proches sont celles de Saint-Jean-de-Losne (Dijon-Bourg-en-Bresse), à 9,7 km, celle d'Auxonne (ligne de Dijon à Vallorbe), située à 12,5 km et celle de Dole (Dijon-Besançon), située à 13,5 km.

    Enfin la commune est accessible par la Saône, bordant sa frontière nord-ouest, et le canal du Rhône au Rhin, bordant sa frontière ouest.

    Urbanisme

    Typologie

    Laperrière-sur-Saône est une commune rurale[Note 1] - [1]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[2] - [3]. La commune est en outre hors attraction des villes[4] - [5].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (60,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (30,8 %), prairies (25,6 %), terres arables (25,1 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), eaux continentales[Note 2] (4,3 %), zones urbanisées (3,9 %), zones humides intérieures (0,4 %)[6].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[7].

    Histoire

    De fondation romaine, Laperrière devient, entre le milieu du XIIIe siècle et la fin du XVe siècle, le siège d'une châtellenie ducale, englobant les villages voisins, puis un marquisat jusqu'à sa dislocation à la fin du XVIIIe siècle. Elle constitue une commune depuis 1790.

    Héraldique

    Blason Blasonnement :
    « D'azur à trois lézards d'argent deux et un, au chef parti, au premier d'azur semé de fleurs de lys d'or à la bordure componée d'argent et de gueules, au second bandé d'or et d'azur de six pièces à la bordure de gueules. »

    Il mêle aux armes des ducs de Bourgogne, celles de la famille Lamy, marquis de Laperrière, dans la première moitié du XVIIIe siècle.

    Politique et administration

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1800 M. Jean Lapostolle
    1800 1821 M. Jean Fleury
    1821 1821 M. Pierre Gueritée
    1821 1835 M. Pierre Moreaux
    1835 1839 M. Pierre Pain
    1839 1846 M. Pierre Moreaux
    1846 1847 M. Bon Bretin
    1847 1848 M. Étienne Lapostolle
    1848 1849 M. Étienne Roquelet
    1849 1855 M. Étienne Lapostolle
    1855 1870 M. Pierre Moreaux
    1870 1871 M. Jean Jovignot
    1871 1876 M. Étienne Seron
    1876 1880 M. Jean Metier
    1880 1896 M. Étienne Goillot
    1896 1904 M. Étienne Buguet
    1904 1907 M. Michel Pain
    1907 1912 M. Jules Fleuret
    1912 1941 M. Alphonse Faivre
    1941 1944 M. Camille Pertuy
    1944 1947 M. Virgile Chambelland
    1947 1965 M. Gabriel Ravier
    1965 1979 M. Paul Leboeuf
    1979 1989 M. Gaston Charraut PS
    1989 2001 M. Paul Vachet-Leboeuf
    2001 en cours M. Jean-Luc Soller DVG Ingénieur
    Président de la Communauté de Communes

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

    En 2020, la commune comptait 433 habitants[Note 3], en augmentation de 3,59 % par rapport à 2014 (Côte-d'Or : +0,7 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1836 1841 1846 1851 1856
    490522575542588626649630566
    1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
    568596548524525502451445423
    1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
    378340274294289267268296303
    1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
    267239273325301387412419442
    2020 - - - - - - - -
    433--------
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    L'économie de la commune repose essentiellement sur l'artisanat, l'agriculture et l'hôtellerie.

    Lieux et monuments

    Patrimoine religieux

    • Église Sainte-Marie-Madeleine, contenant un ensemble du XVIIIe siècle comprenant : un maître-autel en bois polychrome, un tabernacle à ailes et une exposition, un retable et un décor de drapé, un tableau de Sainte-Marie-Madeleine, et des boiseries sculptées polychromes du chœur, classés monument historique au titre objet depuis le [40]; ainsi que trois canons d’autel classés depuis 2003[41].
    • Église Sainte-Marie-Madeleine.
      Église Sainte-Marie-Madeleine.

    Patrimoine civil

    • Vestiges d'une voie romaine.
    • Substruction et plate-forme du château médiéval.
    • Demeures des XVIIIe et XIXe siècles.
    • Mairie (XIXe siècle).
    • Monuments aux morts (XXe siècle).
    • Mairie.
      Mairie.
    • Monument aux morts.
      Monument aux morts.

    Personnalités liées à la commune

    • Ducs de Bourgogne, d’Hugues IV (1218) à Charles le Téméraire (1477), seigneurs de Laperrière.
    • Philippe de Bourgogne, fils du duc Eudes IV, sa mère, la duchesse de Bourgogne Jeanne de France, et sa tante, la comtesse de Flandres Marguerite de France, séjournent quelques jours, en 1345, au château de Laperrière[42].
    • Jeanne de Boulogne, comtesse d’Auvergne et de Boulogne, comtesse d’Artois par son mariage avec Philippe « Monsieur » de Bourgogne, mère du duc Philippe Ier de Bourgogne, régente de Bourgogne (1349-1353), et reine de France (1350-1360) par son mariage avec le roi Jean II le Bon, est propriétaire de la châtellenie de Laperrière le temps de sa régence[42].
    • Jean de France, duc de Normandie, comte d'Anjou, du Maine et de Poitiers, seigneur des conquêtes de Languedoc et de Saintonge, roi de France (1350-1364), et régent de Bourgogne (1353-1361), est propriétaire de la châtellenie de Laperrière, le temps de sa régence[19].
    • Guy III de Pontailler, chevalier, seigneur de Talmay et de Mantoche, maréchal de Bourgogne, et capitaine du château de Laperrière (1364)[43].
    • Henri du Risoir et Suzanne de Brabant, enfants naturels du duc Philippe II de Bourgogne, dit « le Hardi » et de sa maîtresse Marie d'Auberchicourt, dame du Risoir et de Bernissart, qui résident quelques jours, en 1388, au château de Laperrière[44].
    • Pierre de Masière dit Jobin, capitaine de Laperrière (v. 1414) et écuyer-tranchant de la duchesse de Bourgogne[45].
    • Antoine de Toulongeon (1385-1432) : seigneur de Buxy, La Bastie, Montrichard et Traves, chevalier, conseiller, chambellan du duc de Bourgogne (v. 1418), maréchal de Bourgogne, et gouverneur des pays de Bourgogne et de Charolais (1427).

    Il est également temporairement capitaine et garde de Troyes, Champagne et Brie (1418), ambassadeur du duc de Bourgogne en Angleterre et en France (1420), gouverneur de la maréchaussée de Bourgogne (v. 1423), et capitaine de Laperrière (v.1430). Il est enfin l’un des grands chefs militaires bourguignons de la guerre de Cent Ans, et fait partie des premiers chevaliers décoré de l'Ordre de la Toison d'or (1431)[46].

    • Jean Sans Peur, duc de Bourgogne, séjourne quelques jours au château de Laperrière, en 1415[13].
    • Marguerite de Bavière, (1363-1423), duchesse de Bourgogne, veuve de Jean Sans Peur, reçoit de son fils Philippe le Bon, la jouissance de la châtellenie de Laperrière entre 1420 et 1423[47].
    • Isabelle de Portugal, duchesse de Bourgogne, reçoit de son époux Philippe le Bon, la jouissance de la châtellenie de Laperrière entre 1430 et 1471[48].
    • Jean Fraignot : conseiller, receveur général de toutes les finances du duc de Bourgogne, incarcéré au château de Laperrière en 1432, pour des prélèvements malhonnêtes[42].
    • Jean de Poitiers, seigneur d’Arcy, chevalier, conseiller du duc de Bourgogne, et capitaine de Laperrière (v.1433)[46].
    • Marguerite d'York, duchesse de Bourgogne, veuve de Charles le Téméraire, reçoit de sa belle-fille, Marie de Bourgogne, héritière des terres germaniques de l’ « État bourguignon », la jouissance de la châtellenie de Laperrière entre 1477 et 1502[13].
    • Marguerite d'Autriche,(1480-1530), archiduchesse d'Autriche, successivement princesse de Bourgogne, fille de France, infante d'Espagne, duchesse de Savoie, et gouvernante des Pays-Bas ; fille de Marie de Bourgogne, jouit de la châtellenie de Laperrière entre 1507 et 1516[13].
    • Jeanne de Hochberg, vicomtesse d’Abberville, comtesse de Neuchâtel, comtesse de Montgommery, comtesse de Tancarville, marquise de Rothelin, duchesse de Longueville, et princesse du Châlet-Aillon; jouit du marquisat de Laperrière entre 1516 à 1543.
    • Charlotte d’Orléans, comtesse de Genève, duchesse de Nemours; jouit du marquisat de Laperrière entre 1543 et 1549.
    • Jacques de Savoie-Nemours, duc de Nemours; jouit du marquisat de Laperrière v 1550.
    • Jeanne de Savoie-Nemours, comtesse de Vaudémont, duchesse de Lorraine et de Bar; jouit du marquisat de Laperrière v. 1555.
    • Philippe-Emmanuel de Lorraine, baron d’Anceny, marquis de Nomeny, duc de Mercœur et de Penthièvre, pair de France, prince du Saint-Empire et de Martigues; jouit du marquisat de Laperrière entre 1565 et 1602.
    • Françoise de Lorraine, duchesse de Vandôme, d’Étampes et de Beaufort; jouit du marquisat de Laperrière entre 1602 et 1620.
    • Roger II de Saint-Lary, baron de Termes, marquis de Versoy, duc de Bellegarde, et gouverneur de Bourgogne, grand écuyer de France, et pair de France; jouit du marquisat de Laperrière entre 1620 et 1646.
    • Henri II de Bourbon-Condé, comte de Sancerre, duc de Montmorency, duc d'Albret, duc d'Enghien, duc de Bellegarde, prince de Condé, et gouverneur de Bourgogne, pair de France, grand veneur de France, grand louvetier de France, et premier prince du sang; jouit du marquisat de Laperrière en 1646.
    • Louis II de Bourbon-Condé, comte de Sancerre et de Charolais, duc de Bourbon, Montmorency, d’Enghien, de Châteauroux, de Fronsac et de Bellegarde, prince de Condé, pair de France et premier prince du sang; jouit du marquisat de Laperrière entre 1646 et 1661.
    • Nicolas René de Goureault du Mont, jouit du marquisat entre 1661 et 1681.
    • Catherine de Hautoy, jouit de la moitié du marquisat entre 1681 et 1691.
    • Louis de Goureault du Mont, son fils, jouit de la moitié du marquisat entre 1681 et 1691.
    • Anne-Antoinette de Goureault du Mont, sœur du précédent, et François de Bonenfant, seigneur de Magny-le-Freule, de la Brette, de la Morinière, de Hauville, d’Ouésy, de Biéville, de Quétiéville, et en partie de Mesnil-Villers, jouissent du marquisat jusqu'en 1714.
    • Edme Lamy, procureur à la Chambre des comptes de Dijon, receveur des épices, receveur général du taillon de Bourgogne, et secrétaire du roi, jouit du marquisat entre 1714 et 1734.
    • Claude Lamy, jouit du marquisat entre 1734 et 1752
    • Philiberte Lamy, jouit de Laperrière et Saint-Symphorien jusqu'en 1757
    • Jean Armand Barbin de Broyes, baron d’Autry et comte de Broyes, achète les terres de Philiberte Lamy en 1757, et sa famille en jouit jusqu'à la Révolution.
    • Louis IV de Bourbon-Condé, comte de Sancerre, duc de Bourbon, d'Enghien, de Bellegarde, et de Guise, prince de Condé, et pair de France; est venu inaugurer la portion bourguignonne du canal du Rhône au Rhin en 1734[49].
    • Pierre Coste, riche bourgeois et maire de Saint-Jean-de-Losne. Achète le château de Laperrière en 1796.
    • Valéry Giscard d'Estaing, président de la République française, est venu à l'écluse, le , pour parler du projet du Grand canal[30].

    Voir aussi

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    7. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    8. Feuvrier Jean, Les voies romaines de la région de Dole, Bulletin archéologique du Comité des Travaux Historiques et Scientifiques, Paris, 1920
    9. Simonnet Jules, Foisset Paul, Voies romaines du département de la Côte-d'Or et répertoire archéologique des arrondissements de Dijon et de Beaune, commission des Antiquités du département de la Côte-d'Or, Lamarche, Dijon, 1872
    10. Baldou Maurice, Perriere sur Saône : histoire du village, l’église, le marquisat, la paroisse, sa dépendance de Besançon…, Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon, Dijon, 1959.
    11. Cîteaux H 486
    12. Roserot Alphonse, Dictionnaire topographique de la Côte-d'Or, Imprimerie nationale, Paris, 1924
    13. Chenevoy Serge, Villages d'Outre-Saône : Histoire de Laperrière-sur-Saône-Samerey-St-Seine-en-Bâche-St-Symphorien-sur-Saône, livre I (origines-1623), imprimerie de la coopérative ouvrière, Dijon, 1982
    14. Courtépée Claude, Description du duché de Bourgogne, tome 2, Causse, Dijon, 1777 (1re édition)
    15. Billioud J., Les États de Bourgogne aux XIVe et XVe siècles, Académie de Dijon, Dijon, 1922.
    16. Richard Jean, Les États de Bourgogne, Extrait des Études suisses d'Histoire générale, vol. 20, 1962-1963
    17. http://catholique-dijon.cef.fr/index.php?page=histoire
    18. Archives départementales de la Côte-d'Or (ADCO) B 5051; B 5052
    19. ADCO B 5053
    20. ADCO B 995; B 996
    21. Peincedé Jean-Baptiste, Inventaire de la Chambre des comptes de Bourgogne, vol. XXVII, f°3
    22. Beck Corinne, Les eaux et forêts en Bourgogne ducale v.1350-v. 1480, l'Harmattan, Paris, 2008
    23. ADCO B 1778
    24. ADCO B 1781
    25. ADCO B 1783
    26. Camp Pierre, Auxonne au Moyen Âge, Association bourguignonne des sociétés savantes, Dijon, 1960
    27. Bibliothèque municipale de Dijon (BMD), Ms 1358 (tome XXVIII)
    28. Chenevoy Serge, Villages d'Outre-Saône : Histoire de Laperrière-sur-Saône-Samerey-St-Seine-en-Bâche-St-Symphorien-sur-Saône, livre I
    29. Perrinet P., Au château de Laperrière. Un trésor volé, la revue bourguignonne (vol.3), Dijon, 1913
    30. Chenevoy Serge, Villages d'Outre-Saône : Histoire de Laperrière-sur-Saône-Samerey-St-Seine-en-Bâche-St-Symphorien-sur-Saône, livre II
    31. Héritier Annie., Genèse de la notion juridique de patrimoine culturel (1750-1816), l’Harmattan, Paris, 2003,
    32. ADCO, Q 449, 8 Perrière (La)
    33. Malet Albert, Isaac Jules, Malet & Isaac, Hachette, Paris, 1929
    34. Garnier Joseph, Nomenclature historique des communes, hameaux, écarts, lieux détruits, cours d'eau et montagnes du département de la Côte-d'Or, imprimerie Eugène Jobard, Dijon, 1869
    35. Ravier Gabriel, Laperrière-sur-Saône. Vie administrative. État Civil 1900-1979, Laperrière, 1991
    36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    40. Notice no PM21003048, base Palissy, ministère français de la Culture.
    41. Notice no PM21003060, base Palissy, ministère français de la Culture.
    42. ADCO B 5052
    43. ADCO B 1417
    44. ADCO B 1473
    45. ADCO B 11869
    46. Somme Monique, Isabelle de Portugal, duchesse de Bourgogne. Une femme de pouvoir au XVe siècle. Presses universitaires du Septentrion, Lille, 1998
    47. ADCO B 304
    48. ADCO B 1643; ADCO B 5058
    49. Chenevoy Serge, Villages d'Outre-Saône : Histoire de Laperrière-sur-Saône-Samerey-St-Seine-en-Bâche-St-Symphorien-sur-Saône, livre I

    Articles connexes

    Liens externes

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