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Gevrey-Chambertin

Gevrey-Chambertin est une commune française viticole, situĂ©e Ă  15 km au sud de Dijon dans le dĂ©partement de la CĂ´te-d'Or et fait partie de la rĂ©gion Bourgogne-Franche-ComtĂ©.

Gevrey-Chambertin
Gevrey-Chambertin
Gevrey-Chambertin
Blason de Gevrey-Chambertin
HĂ©raldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
DĂ©partement CĂ´te-d'Or
Arrondissement Beaune
Intercommunalité Communauté de communes de Gevrey-Chambertin et de Nuits-Saint-Georges
Maire
Mandat
Christophe Lucand
2020-2026
Code postal 21220
Code commune 21295
DĂ©mographie
Gentilé Gibriaçois - Gibriaçoises
Population
municipale
3 115 hab. (2020 en augmentation de 1,07 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 126 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 47° 13′ 38″ nord, 4° 58′ 05″ est
Altitude Min. 212 m
Max. 510 m
Superficie 24,77 km2
Unité urbaine Gevrey-Chambertin
(ville-centre)
Aire d'attraction Dijon
(commune de la couronne)
Élections
DĂ©partementales Canton de Longvic
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Gevrey-Chambertin

    Ce village touristique et viticole, situé sur la route des Grands Crus le long de la côte de Nuits jouit d'une réputation mondiale de prestige grâce à ses vins de Bourgogne de grand cru dont le plus célèbre est le chambertin.

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes

    Urbanisme

    Typologie

    Gevrey-Chambertin est une commune urbaine[Note 1] - [1]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densitĂ© intermĂ©diaire, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[2] - [3]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Gevrey-Chambertin, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 3 communes[4] et 4 486 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5] - [6].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Dijon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 333 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de 200 000 Ă  moins de 700 000 habitants[7] - [8].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (47,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (39,1 %), terres arables (27,4 %), cultures permanentes (20 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,4 %), zones urbanisées (4,6 %), eaux continentales[Note 3] (2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,4 %)[9].

    L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[10].

    Histoire

    Préhistoire

    En 2005, des fouilles archéologiques au lieu-dit Au-dessus de Bergis ont permis de découvrir une occupation couvrant le Néolithique, la fin de l’âge du bronze et le début de l’âge du fer[11].

    Une proximité historique de lignes de partages et de voies de communication

    Gevrey est historiquement située en Gaule « celtique », à la limite entre les peuplades indépendantes lingones et des sequani. La conquête des Gaules par Jules César conduit à la « Gaule » et à la société gallo-romaine.

    La via Agrippa, route romaine stratégique tant pour les légions que pour le commerce, relie à partir du Ier siècle avant Jésus-Christ Lyon à Langres en direction de Cologne. Elle privilégie un tracé en plaine, ainsi donc ce premier axe majeur de communication proche passe à quelques kilomètres à l’est de Gevrey.

    Avec les invasions barbares au Vème siècle, Gevrey appartient au royaume des Burgondes ou de Bourgogne, sous l’autorité de Clovis.

    Des découvertes archéologiques au XIXème puis dans la deuxième moitié du XXème siècle ont révélé l’existence de plusieurs sites gallo-romains et/ou mérovingiens le long de l'actuelle route nationale 74, en particulier un balneum et un cimetière[12].

    L’empire de Charlemagne met un terme aux guerres mérovingiennes puis carolingiennes, à sa succession par le traité de Verdun de 843, la Saône sert de frontière entre la Lotharingie, à l’est, et la France occidentale à la gauche, où se trouve Gevrey.

    L’origine du vieux village, au débouché de la Combe de Lavaux, est envisagée au VIIème siècle, à l’époque où le duc de Bourgogne Amalgaire cède à l’abbaye de Bèze quelques terres de Gevrey (appelé alors Gibriacus)[13].

    DĂ©but de la culture de la vigne

    La vigne a été cultivée très tôt en Bourgogne. Mais c'est sur la commune que les recherches archéologiques ont permis de découvrir les premières vignes gallo-romaines, qui datent du Ier siècle avant notre ère[14].

    En 2008, lors de l'agrandissement d'une zone pavillonnaire, 316 fosses ont Ă©tĂ© mises au jour, alignĂ©es en rang sur 6 000 mètres carrĂ©s, dans lesquelles on a repĂ©rĂ© la trace de 120 ceps et oĂą l'on peut voir en coupe le vide laissĂ© par le tronc et les racines du pied de vigne. Cette dĂ©couverte accrĂ©dite les prĂ©conisations de Pline l'Ancien et de Columelle. Comme aujourd'hui, les vignes Ă©taient plantĂ©es en rang, mais le choix et l'exposition des terrains Ă©taient diffĂ©rents, puisque les vignes gallo-romaines Ă©taient situĂ©es dans les plaines, au lieu des coteaux de la majoritĂ© des CĂ´tes de Nuits actuelles. De plus, les goĂ»ts devaient ĂŞtre diffĂ©rents, puisque, notamment pour assurer leur conservation, les gallo-romains y ajoutaient des Ă©pices[15].

    Construction du château de Gevrey-Chambertin[16]

    En 1015 et 1019, un domaine construit sur une villa gallo-romaine et déjà entouré de vignes, prés et sources, est apporté en donation à l'abbaye de Cluny par les héritiers de la famille de Vergy : Hugues de Chalon, évêque d'Auxerre et sa soeur Maheldis de Vergy, épouse de Geoffroy de Semur en Brionnais. Ils le tenaient tous deux de leur mère Adélaïde de Vergy, épouse de Lambert de Valentinois, comte de Chalon. Avant la fondation de l'ordre de Cîteaux, entre 1019 et 1031, Odilon, cinquième abbé de Cluny, fixe les redevances liées à l'usage de la fontaine (place du château), redevances en nature que l'on doit conduire au "cellarium indominicatum" (le cellier seigneurial). En 1101, le domaine est devenu un prieuré organisé.

    Après les multiples ravages et incendies des XIIe et XIIIe siècles, résultats des guerres incessantes entre l'Eglise, les ducs de Bourgogne et les seigneurs des environs, Yves de Poisey (28ème abbé de Cluny), issu de la famille de Vergy par la branche Beaumont et fondateur du Collège de Cluny à Paris, décide, vers 1257 (sous le règne de Saint-Louis) de fortifier l'ancien prieuré. Celui-ci devient un "castrum" (château-fort), les travaux durant jusqu’en 1275.

    Édification de l'église Saint-Aignan

    L’église saint -Aignan est construite dans la deuxième moitié du XIIème siècle, ce qui lui fait conserver de substantielles parties romanes dans un édifice de style plutôt gothique.

    DĂ©veloppement du vignoble

    Le développement du vignoble se poursuit dans la Côte, et les différentes parcelles sont la propriété de congrégations religieuses, essentiellement l’abbaye de Bèze, l’abbaye Saint-Bénigne de Dijon, le chapitre de la cathédrale de Langres (qui est alors le diocèse dont dépend Gevrey), Cluny, et d’autres encore. Des transactions surviennent déjà, par exemple la cession du Clos de Bèze en 1219 au chapitre de la cathédrale de Langres[17].

    Du duché de Bourgogne au domaine royal de France

    Au gré de l’installation de la dynastie capétienne, les limites de la Côte fluctuent et le duché de Bourgogne se constitue progressivement. Ce dernier est en fin de compte intégré au royaume de France suite à la succession de Bourgogne, la Saône continuant à marquer une frontière orientale avec la Franche-Comté, non rattachée à la couronne.

    Les traités d’Arras en 1482 puis de Senlis en 1493 soldent le conflit (guerre de succession de Bourgogne) entre Louis XI, Charles le Téméraire et son héritière Marie de Bourgogne, entérinant ainsi la cession du duché de Bourgogne. Gevrey appartient dès lors au domaine royal de France, tout l’ancien duché devenant une province, à la fois gouvernement militaire et ressort des États de Bourgogne et du Parlement de Dijon.

    Temps modernes


    PĂ©riode contemporaine

    Gevrey-Chambertin a été libérée par les troupes de la 1re Division Française Libre le 10 septembre 1944. Une stèle devant le château de Gevrey-Chambertin a été érigée en l'honneur de ses libérateurs par souscription publique.

    En 1947, Gevrey-Chambertin accueille, pour la première fois, la Saint-Vincent tournante, neuf ans après son instauration. Cette manifestation y revient quatre fois par la suite : en 1960, 1980, 2000 et 2020.

    Toponymie

    Gevrey obtint de s'appeler Gevrey-Chambertin en 1847. Afin de faire profiter la commune de la renommée du cru cultivé sur son territoire, le conseil municipal a demandé et obtenu l'adjonction de ce cru réputé.

    Gevrey : nom de personne gallo-romain Gabrius (du gaulois gabros, « chèvre ») + suffixe -acum.

    Chambertin : le champ de Bertuyn (nom propre germanique).

    HĂ©raldique

    Blason Blasonnement :
    « Parti: au premier de gueules aux deux clefs d'argent passées en sautoir et l'épée haute du même brochante et garnie d'or, au second coupé: au I d'azur semé de fleurs de lys d'or et à la bordure componée d'argent et de gueules, au II bandé d'or et d'azur de six pièces et à la bordure de gueules »

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1977 mars 2014 Jean-Claude Robert PS Conseiller général du canton de Gevrey-Chambertin (1979-2015),
    Député (1999-2002)
    mars 2014 2020 Bernard Moyne PS
    mai 2020 En cours Christophe Lucand PS Professeur agrégé et Docteur en histoire
    Président de la Communauté de communes de Gevrey-Chambertin et de Nuits-Saint-Georges
    Conseiller départemental du canton de Longvic depuis 2015
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    Ses habitants sont appelés les Gibriaçois[18].


    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].

    En 2020, la commune comptait 3 115 habitants[Note 4], en augmentation de 1,07 % par rapport Ă  2014 (CĂ´te-d'Or : +0,7 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 1931 2311 2141 2681 3881 4651 4811 5961 625
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 5771 6121 7431 7541 7681 8681 8551 8001 760
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 7641 6261 5431 4391 5081 5181 4861 6031 823
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
    2 5172 6133 0012 5822 8253 2583 1383 1203 070
    2017 2020 - - - - - - -
    3 0873 115-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee Ă  partir de 2006[22].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Vignoble et gastronomie

    Le vignoble de Gevrey-Chambertin est un des plus prestigieux du vignoble de Bourgogne et même du vignoble français et mondial avec 310 hectares de cépage pinot noir vinifiés en vin rouge. Le vignoble de Gevrey-Chambertin produit à lui seul 9 des 33 grands crus AOC bourguignons :

    Le vignoble de la commune bénéficie également de nombreux climats bénéficiant de l'appellation gevrey-chambertin en premier cru, et de l'appellation communale gevrey-chambertin.

    Les vins de Gevrey-Chambertin sont des vins de longue garde (10 à 20 ans et plus pour les exceptions). Pour des bourgognes, ils sont très colorés, puissants, aux arômes et saveurs intenses évoquant entre autres le cassis, cerise, musc, réglisse.

    La puissance des vins de Gevrey-Chambertin s'associe avec une cuisine corsée et élaborée : viande rouge grillée, gigot de mouton, bœuf bourguignon, civet de lapin, coq au vin, coq au Chambertin, fromages puissants, époisses, etc. (cuisine bourguignonne).

    • Limite du vignoble.
      Limite du vignoble.
    • Clos de Bèze.
      Clos de Bèze.
    • Vignoble de Gevrey-Chambertin.
      Vignoble de Gevrey-Chambertin.

    Transports

    Gevrey-Chambertin est lié au réseau ferroviaire par la gare de Gevrey-Chambertin sur la ligne de Paris-Lyon à Marseille-Saint-Charles.

    Au nord de cette gare se situe le triage de Gevrey, qui a été rouvert en décembre 2011 comme triage central de transports de voitures PSA par sa filiale Gefco[23].

    Lieux et monuments

    Château de Gevrey-Chambertin
    Église paroissiale Saint-Aignan

    Protection de l'environnement

    La côte et les combes sont classés dans la Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique de type I de la Côte dijonnaise et font partie du site Natura 2000 de l'Arrière côte de Dijon et de Beaune. La Combe Lavaux est une réserve naturelle classée au niveau national.

    Personnalités liées à la commune

    Jumelages et Échanges

    La commune est jumelée avec Nierstein dans la région de Hesse-rhénane en Allemagne et avec la ville de Spy en Belgique dans la province de Namur.

    La chorale Albasso a reçu la chorale La Sarteline de Sart-Bernard dans la province de Namur en Belgique les 24 et 25 mars 2007. À son tour, la chorale de Gevrey-Chambertin s'est rendue en Belgique les 1er et 2 mars 2009. Le retour de la chorale belge dans notre commune est actuellement à l'étude.

    Voir aussi

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Références

    1. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    2. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
    3. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
    4. « Unité urbaine 2020 de Gevrey-Chambertin », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
    5. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
    6. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
    7. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
    8. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
    9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
    10. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
    11. Inrap rapport d'activité 2006, page 75.
    12. Claude et Michel Mangin, L’occupation du sol à Gevrey-Chambertin et dans ses environs à l’époque romaine et au Haut-Moyen Age, découvertes récentes
    13. Henri Cannard, Balades en Bourgogne, Guide des vignobles de la CĂ´te d'or, Ă  compte d'auteur,
    14. Jean-Pierre Garcia, Sébastien Chevrier avec la collaboration d’Alexa Dufraisse, Marion Foucher, Ronan Steinmann, « LE VIGNOBLE GALLO-ROMAIN DE GEVREY-CHAMBERTIN «AU-DESSUS DE BERGIS », CÔTE-D’OR (Ier-IIe s. ap. J.-C.) : modes de plantation et de conduite de vignes antiques en Bourgogne », OpenEdition,‎ (lire en ligne)
    15. Michel Bouvier, Le vin, c'est toute une histoire, Jean-Paul Rocher Éditeur, Paris, 2009, p. 31 (ISBN 978-2-917411-23-0) (BNF 42049612).
    16. Base Mérimée, « Château de Gevrey »
    17. Jean-François Bazin, Les grands vins de Gevrey-Chambertin, éditions de Saint-Seine l'Abbaye
    18. habitants.fr, « Côte-d'Or > Gevrey-Chambertin (21220) » (consulté le ).
    19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
    20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
    21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
    22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
    23. Olivier Constant, « Euro Cargo Rail et Gefco sont satisfaits de leurs plate-forme de triage de Gevrey », WK Transports-logistique, (consulté le ).
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