Cerise
La cerise est le fruit comestible du cerisier. Il s'agit d'une drupe (fruit charnu à noyau), de forme sphérique, de couleur généralement rouge plus ou moins foncé jusque noire, plus rarement jaune. Ce petit fruit compte environ 50 calories pour 100 grammes. La fleur est généralement blanche.
Il en existe plus de 600 variétés, dont les plus connues sont la Burlat et la Cerise de Montmorency. Les cerises se récoltent de fin mai à mi-août.
Variétés
Les variétés de cerises se distinguent par leur goût :
- SucrĂ©es : bigarreaux (Burlat, Reverchon, Van, NapolĂ©on, CĆur de pigeon..) et guignes (noire d'Itxassou, Belle de Mai, Early River...) ;
- Acides : griottes (Belle de Montmorency, de Kleparow...) ;
- AmĂšres : amarelles (Montmorency, Amarena...) ;
- Douces : cerises vraies (Impératrice Eugénie, Anglaise hùtive...)[1].
Histoire et Ă©tymologie
Le cerisier sauvage ou merisier, Prunus avium est présent en Europe dÚs l'époque néolithique, comme l'attestent les découvertes archéologiques[2].
Les cultivars de cerises douces sont trĂšs proches des formes du Prunus avium sauvage que l'on trouve dans toute l'Europe tempĂ©rĂ©e, dans le Caucase et le Nord de la Turquie[3]. Les fruits de ce merisier sauvage sont de la mĂȘme couleur rouge foncĂ©. MĂ»rs, ils ont une chair sucrĂ©e mais qui peut ĂȘtre amĂšre, sans ĂȘtre acide. Avant d'ĂȘtre cultivĂ©es, ces merises sauvages Ă©taient rĂ©coltĂ©es comme l'attestent les noyaux trouvĂ©s sur des sites nĂ©olithiques et de l'Ăge du Bronze, en Europe centrale[3].
La culture du cerisier pour ses fruits remonterait au IVe siÚcle avant notre Úre, d'aprÚs les traces archéologiques trouvées en Asie Mineure (Caucase, Anatolie). Les premiÚres cultures seraient grecques puis romaines. La cerise aurait été rapportée de Cerasus du Pont à Rome par Lucullus, aprÚs sa campagne contre Mithridate[4].
Jules Verne, dans un ouvrage peu connu KĂ©raban-le-TĂȘtu, fait passer ses hĂ©ros le long de la mer Noire en direction dâIstanbul, ils traversent alors une ville nommĂ©e KĂ©rĂ©soum oĂč « le cerisier abonde ». L'auteur mentionne aussi le fait que le bois de ces arbres est utilisĂ© Ă©galement pour faire des pipes.
Les termes français cerise, anglais cherry (issu du normand cherise, avec [z] pris pour un pluriel), espagnol cereza, allemand Kirsche, vieil anglais cirse procĂšdent tous du latin vulgaire *cerÄsia, issu lui-mĂȘme du bas latin ceresium pour cerasium, emprunt au grec ÎșΔÏáŒÏÎčÎżÎœ. La cerise a donnĂ© son nom Ă des villages et Ă des familles.
En France, le cerisier fut cultivĂ© pour le commerce dĂšs le haut Moyen Ăge ; ses fruits dĂ©licats et sucrĂ©s Ă©taient apprĂ©ciĂ©s, mais aussi son bois, Ă la texture et Ă la finesse dĂ©licates.
Jean Morelot, de Fontenoy-le-Chùteau, qui rapporta de ses voyages en Asie Mineure des plants de cerisiers, fut anobli en 1585 par le duc de Lorraine ; lui ont été octroyées des armes portant un « cerisier de sinople fruité de gueules ».
Cependant, câest Ă Louis XV, qui aimait beaucoup ce fruit, que lâon doit lâoptimisation et la culture intensive du cerisier moderne en France.
Production
La récolte des fruits se fait en général entre fin mai et mi-août, selon les variétés. Il faut généralement compter 45 jours entre la date de floraison et la date de maturité des fruits.
Les ravageurs principaux de la cerise sont la Drosophila suzukii et la mouche de la cerise. La lutte se fait par insecticide ou par traitement biologique (argile blanche, pulvérisation d'ail liquéfié, agent entomopathogÚne de type Beauveria bassiana)[5].
Production mondiale
Production en tonnes. Chiffres 2003-2004 | |||||
Turquie | 255 000 | 13 % | 255 999 | 13 % | |
Iran | 220 000 | 11 % | 220 000 | 12 % | |
Ătats-Unis | 225 800 | 12 % | 220 000 | 12 % | |
Ukraine | 146 000 | 8 % | 140 000 | 7 % | |
Allemagne | 135 000 | 7 % | 120 000 | 6 % | |
Italie | 100 518 | 5 % | 100 000 | 5 % | |
Roumanie | 98 504 | 5 % | 98 000 | 5 % | |
Russie | 90 000 | 5 % | 95 000 | 5 % | |
Espagne | 93 900 | 5 % | 73 400 | 4 % | |
France | 50 826 | 3 % | 57 200 | 3 % | |
GrĂšce | 42 657 | 2 % | 45 000 | 2 % | |
Pologne | 44 122 | 2 % | 44 000 | 2 % | |
Syrie | 39 730 | 2 % | 39 700 | 2 % | |
Autres pays | 379 221 | 20 % | 389 222 | 21 % | |
Total | 1 921 278 | 100 % | 1 896 522 | 100 % |
Production en tonnes. Chiffres 2009 | |
Turquie | 417 694 |
Ătats-Unis | 390 000 |
Iran | 225 000 |
Italie | 116 200 |
Espagne | 96 400 |
Syrie | 78 289 |
Russie | 69 000 |
Roumanie | 67 874 |
Ouzbékistan | 67 000 |
Chili | 56 000 |
France | 53 577 |
Maroc | 43 577 |
En dix ans, la production mondiale de cerises douces a progressĂ© de 17 %. En 2009, la Turquie reste le premier producteur mondial, les Ătats-Unis sont montĂ©s au second rang.
Production française
Les premiÚres cerises de l'année viennent systématiquement de la région de Céret (Pyrénées-Orientales) dÚs le mois de mars[6] et un cageot des premiÚres cerises de l'année est envoyé chaque année au président de la République depuis 1932[7].
En 2017 la production française est de 39 936 tonnes[8]. La surface cultivée est de 8 009 hectares, soit un rendement de 5 tonnes à l'hectare. Les principaux départements producteurs sont le Vaucluse (13 900 tonnes) le Gard, le RhÎne, la DrÎme. Le commerce extérieur est déficitaire : 2 664 tonnes produites sont exportées mais 6 404 tonnes sont importées.
Valeurs nutritionnelles
La cerise douce est riche en sucre et assez énergétique. C'est une bonne source de fibres alimentaires et de vitamine C.
Cerise, fraĂźche (teneur pour 100 g d'aliment comestible, d'aprĂšs ANSES[9]) | |||
eau : 81,1 g | cendres totales : g | fibres : 1,7 g | valeur énergétique : 282 kJ |
protéines : 1,2 g | lipides : 0,27 g | glucides : 14,1 g | sucres simples : 14,1 g |
oligo-éléments | |||
potassium : 215 mg | magnésium : 9,9 mg | phosphore : 21,8 mg | calcium : 11 mg |
sodium : 2 mg | cuivre : 0,06 mg | fer : 0,3 mg | zinc : 0,07 mg |
vitamines | |||
vitamine C : 9 mg | vitamine B1 : 30 ”g | vitamine B2 : 30 ”g | vitamine B3 : 400 ”g |
vitamine B5 : 200 ”g | vitamine B6 : 50 ”g | vitamine B9 : 15 ”g | vitamine B12 : 0 ”g |
vitamine D : 0 ”g | rĂ©tinol : 0 ”g | vitamine E : 200 ”g | BĂȘta-carotĂšne : 54 ”g |
Composition phénolique
La cerise douce contient des composés phénoliques qui contribuent à son activité anti-oxydante. On trouve principalement des acides phénols (des acides chlorogéniques, de l'acide férulique et hydroxybenzoïque) et des flavonoïdes (avec une dominance des anthocyanosides).
- Les acides chlorogĂ©niques se trouvent aussi dans les boissons de cafĂ© robusta ou les prunes avec environ la mĂȘme teneur que dans la cerise douce et dans les pruneaux, mais avec une teneur double. Ces acides ont une activitĂ© antioxydante, anxiolytique[10] (Ă forte dose) et pourrait jouer un rĂŽle dans la prĂ©vention du diabĂšte de type 2.
- Les cerises douces et crues contiennent des flavanols (ou catéchines) comme les pommes ou les raisins. Elles contiennent aussi des oligomÚres et polymÚres de flavanols, appelés « tanins condensés » ou « proanthocyanidol » mais en quantité relativement modérée comparée aux prunes. Ces molécules ont une activité vasodilatatrice (par activation de l'oxyde nitrique synthase eNOS).
- Les anthocyanosides sont des pigments naturels responsables de la coloration rouge, pourpre des fruits. Outre les cerises, on les trouve aussi dans les myrtilles. Le mûrissement des fruits se traduit par un accroissement de la concentration de pigments anthocyanosides[11] et des sucres ainsi qu'une diminution de la concentration des acides. Les pigments anthocyanosidiques diminuent la perméabilité des capillaires et augmentent leur résistance[12] et comme beaucoup de composés phénoliques, ce sont des piégeurs de radicaux libres.
- Les flavonols (quercétol et kaempférol) et leurs hétérosides sont des métabolites secondaires des plantes[13]
Composition phénolique de la cerise douce de P. avium d'aprÚs Phenol-Explorer[14] et Jakobeka et al[13]
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Il n'y a pas de mesure absolue de l'activité antioxydante des aliments mais diverses méthodes qui, lorsqu'elles sont appliquées à des listes de produits, permettent de faire des comparaisons significatives. Ainsi, le Nutrient Data Laboratory de Beltsville[15] donne dans sa table de 2010, le classement suivant le score ORAC :
ActivitĂ© antioxydante ORAC de quelques fruits total ORAC ÎŒmol TE/100 g, d'aprĂšs USDA database | |
Produit | T-ORAC |
Raisin sec doré, seedless | 10 450 |
Prune, crue | 6 100 |
Pomme Red Delicious, avec la peau | 4 275 |
Cerise douce, crue | 3 747 |
Pomme Golden Delicious, crue, avec la peau | 2 670 |
PĂȘche, crue | 1 922 |
Orange Navel, crue | 1 819 |
Kiwi, cru | 862 |
Utilisation
Pour l'alimentation
Les cerises se consomment nature, au sirop (amarena), Ă lâeau de vie, en confiture, en pĂątisserie et mĂȘme en tisane :
- fruit frais, juteux, parfois acidulĂ© ; les plus apprĂ©ciĂ©s sont les bigarreaux, mais certaines variĂ©tĂ©s supportent mal le transport. La cerise Ă croquer doit ĂȘtre charnue et brillante, avec un pĂ©doncule bien vert ;
- conserves Ă lâeau-de-vie : ce sont les griottes qui conviennent le mieux Ă cet usage ;
- confitures ;
- pĂątisserie : tarte, clafoutis, mendiant, gĂąteau basque, etc.
- boisson, par distillation ou macération, pour la préparation du kirsch (Alsace, Franche-Comté), du guignolet (Anjou), du marasquin, ou maraschino en italien (Dalmatie), de la kriek (Belgique) et de la ginjinha au (Portugal).
Il existe aussi des recettes locales :
- macérées au moins un jour dans du vin rouge sucré (recette catalane) ;
- macérées au moins trois jours dans du vinaigre (sans les queues) pour accompagner les farces et le gibier, une recette allemande.
Le noyau de la cerise contient de lâamygdaline.
Pour la santé
Les cerises fraßches sont trÚs riches en vitamine C, en vitamine B3 et sont légÚrement laxatives. Elles contiennent des sucres (15 g pour 100 g, dont le lévulose), de la pectine (utile pour les confitures).
Le potassium quâelle contient lui donne des propriĂ©tĂ©s diurĂ©tiques et ses fibres stimulent le fonctionnement intestinal.
Leur teneur calorique reste raisonnable de 65 Ă 68 kcal pour 100 g.
Les pĂ©doncules, ou queues de cerises, se prĂ©parent en dĂ©coction et sont utilisĂ©es notamment contre lâinflammation des voies urinaires, la cystite, la goutte et lâhydropisie.
Le cerisier appartient à la sous-famille des Prunoïdées (ou Amygdaloïdées) qui élaborent des hétérosides cyanogénétiques (prulaurasoside surtout contenu surtout dans les feuilles et les fleurs, amygdaloside présent surtout dans le noyau), qu'un complexe enzymatique, l'émulsine, décompose en glucose, aldéhyde benzoïque, essence à parfum caractéristique et acide cyanhydrique, ce dernier composé étant violemment toxique. La consommation des amandes de noyaux de cerises est donc dangereuse[16] - [17].
Interdiction de traitement au diméthoate
La France, depuis 2016, l'Italie et l'Espagne ont interdit la vente de produits traitĂ©s avec du dimĂ©thoate, insecticide destinĂ© Ă lutter contre la mouche de la cerise (drosophila suzukii) qui fait des ravages dans la filiĂšre arboricole et particuliĂšrement chez les producteurs de cerises, car les larves de cet insecte dĂ©truisent les fruits et les pertes de production peuvent ĂȘtre considĂ©rables[18]. Il n'est pas interdit par l'Union europĂ©enne et certains pays l'utilisent. Pour Ă©viter une situation de distorsion de concurrence dĂ©favorable Ă ses producteurs, la France interdit en 2019 l'importation et la mise sur le marchĂ© de cerises fraĂźches en provenance de ces pays oĂč l'utilisation du dimĂ©thoate est autorisĂ©e[19] - [20].
Dans la culture
Noms et expressions
Le nom de la cerise désigne, par analogie, d'autres fruits. Il désigne aussi le fruit du caféier, qui contient deux noyaux, et les grains de café, par analogie à cause de leur couleur rouge. On parle aussi de tomate cerise à propos des variétés de tomates à petits fruits.
Cerise peut ĂȘtre un prĂ©nom. En France, un arrĂȘt de la 1re chambre civile de la Cour de cassation en date du (connu sous le nom d'arrĂȘt « Cerise ») a rappelĂ© que : « d'aprĂšs l'article I de la loi du 11 germinal an XI relative aux prĂ©noms et aux changements de nom, peuvent notamment ĂȘtre reçus comme prĂ©noms les noms en usage dans les diffĂ©rents calendriers [âŠ] les parents peuvent choisir comme prĂ©noms, sous la rĂ©serve gĂ©nĂ©rale que dans l'intĂ©rĂȘt de l'enfant ils ne soient pas jugĂ©s ridicules, les noms en usage dans les diffĂ©rents calendriers » et qu'« il n'existe aucune liste officielle des prĂ©noms autorisĂ©s. »
La cerise apparaĂźt dans plusieurs expressions et proverbes. On la rencontre dans plusieurs proverbes français : « avoir la cerise » ou « avoir la guigne », câest manquer de chance. « Mettre une cerise sur le gĂąteau », câest terminer une activitĂ©. « Câest la cerise sur le gĂąteau » signifie (parfois ironiquement) « câest le petit dĂ©tail final qui parfait une rĂ©alisation ».
Par tradition, les bataillons français de chasseurs à pied ou alpins, bleu cerise est employé à la place de rouge pour désigner cette derniÚre couleur, sauf dans trois cas : la couleur du drapeau ; l'insigne ou le ruban de la Légion d'honneur ; « les lÚvres de la femme aimée ».
En physique, on parle de rouge cerise quand un mĂ©tal portĂ© Ă incandescence atteint une tempĂ©rature dâenviron 900 °C.
Musique
La chanson Le Temps des cerises fut longtemps un symbole révolutionnaire ouvrier fort et, à ce titre, fut longtemps interdite dans de nombreux pays. « La cerise » est aussi un titre de chanson de Matmathah.
Littérature
En 1782, l'écrivain et philosophe français Jean-Jacques Rousseau consacre un chapitre de ses Confessions à un moment de sa vie, qu'il intitule « l'idylle des cerises ».
En 1969, l'Ă©crivain français RenĂ© Fallet publie le roman Comment fais-tu l'amour, Cerise ? chez DenoĂ«l. Une Ćuvre musicale en est tirĂ©e : Cerise (comment fais-tu l'amour, Cerise ?), paroles RenĂ© Fallet, musique Paul Louka, publiĂ©e en 1976 chez Babel. Une adaptation thĂ©Ăątrale du roman est crĂ©Ă©e par la Compagnie XYZ.
Sport
Il existe un sport consacrĂ© au cracher de noyau de cerise. Des championnats sont organisĂ©s en Suisse et en Europe[21]. Pour la fĂȘte annuelle de la cerise de CĂ©ret, un pinyodrome est dressĂ© pour le concours amateur de cracher de noyau de cerises, avec rĂ©guliĂšrement des lancers de plus de 10 mĂštres.
Calendrier
Le 19e jour du mois de messidor (des moissons) du calendrier républicain / révolutionnaire français est dénommé jour de la cerise[22], généralement chaque 7 juillet du calendrier grégorien.
Notes et références
- Gerbeaud, « Les meilleures variétés de cerisier », sur www.gerbeaud.com, (consulté le )
- Claire Doré et Fabrice Varoquaux, Histoire et amélioration de cinquante plantes cultivées, Inra-Quae, , 812 p.
- Daniel Zohary et Maria Hopf, Domestication of Plants in the Old World : The Origin and Spread of Cultivated Plants in West Asia, Europe, and the Nile Valley, Oxford University Press, USA, , 328 p.
- Pline l'Ancien, H. N., XV, 102.
- L'Arboriculture fruitiÚre, Société pomologique de France, 1999, p. 27
- Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, PremiÚres cerises de Céret et d'ailleurs, 24 août 2014
- Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, Des cerises de Céret pour le président de la République en 1932, 1er juin 2014
- Chiffres clés 2017, fruits et légumes. France AgriMer, décembre 2018
- anses
- pour les références, voir acide chlorogénique
- Valentina Usenika, Damijana Kastelecb, Robert VeberiÄa and Franci Ć tampar, « Quality changes during ripening of plums (Prunus domestica L.) », Food Chemistry, vol. 111, no 4,â , p. 830-836
- Bruneton, J., Pharmacognosie - Phytochimie, plantes mĂ©dicinales, 4e Ă©d., revue et augmentĂ©e, Paris, Tec & Doc - Ăditions mĂ©dicales internationales, , 1288 p. (ISBN 978-2-7430-1188-8)
- Lidija Jakobeka, Marijan Ć erugaa, Sandra VoÄab, Zoran Ć indrakc and Nadica DobriÄeviÄb, « Flavonol and phenolic acid composition of sweet cherries (cv. Lapins) produced on six different vegetative rootstocks », Scientia Horticulturae, vol. 123, no 1,â , p. 23-28
- Ph-Expl
- Nutrient Data Laboratory, « USDA Database for Oxygen Radical Absorbance Capactity (ORAC) of Selected Foods, release 2 », Nutient Data,â
- François Couplan, Eva Styner, Guide des plantes sauvages comestibles et toxiques, Delachaux et Niestlé, , p. 94.
- « Noyaux de cerise. Attention Ă lâintoxication au cyanureâ! », Ouest-France, .
- SĂ©verine Bascot, « La France interdit lâimportation de cerises traitĂ©es au dimĂ©thoate », sur consoglobe.com, .
- « Insecticides : les cerises traitĂ©es au dimĂ©thoate interdites Ă lâimportation : Lâinterdiction de ce produit en 2016 avait suscitĂ© la colĂšre dâagriculteurs qui le considĂ©raient comme le seul rempart efficace contre le moucheron asiatique. », Le Parisien,â
- ArrĂȘtĂ© du 18 avril 2019 portant suspension d'introduction, d'importation et de mise sur le marchĂ© en France de cerises fraĂźches destinĂ©es Ă l'alimentation produites dans un Etat membre de l'Union europĂ©enne ou un pays tiers dans lequel l'utilisation de produits phytopharmaceutiques contenant la substance active dimĂ©thoate est autorisĂ©e en traitement des cerisiers
- Qu'est-ce au juste un «cracher du noyau de cerise»?.
- Ph. Fr. Na. Fabre d'Ăglantine, Rapport fait Ă la Convention nationale dans la sĂ©ance du 3 du second mois de la seconde annĂ©e de la RĂ©publique Française, p. 28.
Annexes
Articles connexes
Liens externes
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :