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Coux et Bigaroque-Mouzens

Coux et Bigaroque-Mouzens est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine. Elle a été créée le sous le statut de commune nouvelle et regroupe les anciennes communes de Coux-et-Bigaroque et Mouzens.

Coux et Bigaroque-Mouzens
Coux et Bigaroque-Mouzens
Le chĂąteau de Monsec Ă  Mouzens.
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes VallĂ©e de la Dordogne et ForĂȘt BessĂšde
Maire
Mandat
Jean-Louis Chazelas
2020-2026
Code postal 24220
Code commune 24142
DĂ©mographie
Gentilé Couzensois
Population
municipale
1 218 hab. (2020)
DensitĂ© 44 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 50â€Č 05″ nord, 0° 58â€Č 22″ est
Altitude Min. 45 m
Max. 245 m
Superficie 27,47 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Coux et Bigaroque-Mouzens
Liens
Site web www.couxetbigaroque-mouzens.fr

    GĂ©ographie

    Généralités

    La commune nouvelle regroupe les communes de Coux-et-Bigaroque et Mouzens, qui deviennent des communes déléguées le [1]. Son chef-lieu se situe à Coux-et-Bigaroque.

    Communes limitrophes

    Coux et Bigaroque-Mouzens est limitrophe de huit autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Coux et Bigaroque-Mouzens est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[2].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e j6-7, date du KimmĂ©ridgien terminal au Tithonien, composĂ©e de calcaires micritiques en petits bancs alternant avec des bancs marneux Ă  lumachelles. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatĂ©es de vallons secs : sable limoneux Ă  dĂ©bris calcaires et argile sableuse Ă  dĂ©bris. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 807 - Le Bugue » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[Carte 1] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Coux et Bigaroque-Mouzens.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 45 m et 245 m[5].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [6]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] et 14 sous-unitĂ©s[7]. La commune fait partie du PĂ©rigord noir, un paysage vallonnĂ© et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallĂ©es-couloirs et d’une multitude de clairiĂšres de toutes tailles. Il s'Ă©tend du nord de la VĂ©zĂšre au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[8].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 27,47 km2[9] - [Note 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[12]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[13].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[12]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13,3 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,3 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 878 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,8 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,8 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[16] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[17] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de BelvĂšs, mise en service en 1988[18] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[19] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 895,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[20]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le dĂ©partement du Lot, mise en service en 1961 et Ă  34 km[21], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[22], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[23], puis Ă  13,1 °C pour 1991-2020[24].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[25]. Elle est drainĂ©e par la Dordogne, le ruisseau d'Aurival et le Boule, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 26 km de longueur totale[26] - [27] - [Carte 2]

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaĂźne des monts Dore, traverse six dĂ©partements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne Ă  Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[Carte 3] - [28]. Elle borde la commune au sud sur prĂšs de cinq kilomĂštres et demi, face Ă  Allas-les-Mines et BerbiguiĂšres.

    Son affluent de rive droite le ruisseau d'Aurival prend sa source dans le nord de la commune, prĂšs du lieu-dit-Fontenelle, et traverse le territoire vers le sud sur plus de quatre kilomĂštres.

    Autre affluent de rive droite de la Dordogne, le Boule prend sa source dans le nord-ouest, en limite de Saint-Chamassy, prÚs de LadiÚre, et sert de limite territoriale aux deux communes sur plus de deux kilomÚtres, en trois tronçons.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par les schĂ©mas d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « VĂ©zĂšre-CorrĂšze ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'Ă©tend des sources de la Dordogne jusqu'Ă  la confluence de la VĂ©zĂšre Ă  Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[29]. Le SAGE « VĂ©zĂšre-CorrĂšze », dont le territoire regroupe les bassins versants de la VĂ©zĂšre et de la CorrĂšze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est le conseil dĂ©partemental de la CorrĂšze[30]. Ils dĂ©finissent chacun sur leur territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [31].

    La quasi-intégralité du territoire communal dépend du SAGE Dordogne amont. Seule une infime zone au nord, limitrophe de Campagne, est rattachée au SAGE VézÚre-CorrÚze.

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 4].

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Coux et Bigaroque-Mouzens[32] - [33]. Seize espÚces animales et une espÚce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[34].

    La zone Coteaux calcaires de la vallĂ©e de la Dordogne, qui s'Ă©tend au total sur 3 686 hectares et est partagĂ©e avec vingt-quatre autres communes, fait Ă©galement partie du rĂ©seau Natura 2000[35] - [36]. Deux espĂšces de chauves-souris inscrites Ă  l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union europĂ©enne y ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es[35] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros).

    Sur la commune, elle s'étend sur prÚs de deux kilomÚtres carrés, en cinq sites séparés, et correspond aux coteaux situés de chaque cÎté du ruisseau d'Aurival, ainsi qu'au nord des routes départementales 703 et 703E1.

    ZNIEFF

    Coux et Bigaroque-Mouzens fait partie des 102 communes concernĂ©es par la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[37] - [38], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[39].

    Urbanisme

    Typologie

    Coux et Bigaroque-Mouzens est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [40] - [41] - [42]. La commune est en outre hors attraction des villes[43] - [44].

    Villages, hameaux et lieux-dits

    Outre les bourgs de Coux-et-Bigaroque et de Mouzens proprement dits, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits détaillés sur cet article et celui-ci.

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Coux et Bigaroque-Mouzens est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[45]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[46].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dordogne. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1986, 1993, 1996, 1999, 2003 et 2008[47] - [45]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dordogne amont » approuvĂ© le , pour les crues de la Dordogne[48] - [49].

    Coux et Bigaroque-Mouzens est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[50]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[51] - [52].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Coux et Bigaroque-Mouzens.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[53]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[54]. 23,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[55]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [56].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2005 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[45].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 9] situĂ© dans le dĂ©partement de la CorrĂšze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[58].

    Histoire

    La crĂ©ation de la nouvelle commune, entĂ©rinĂ©e par l'arrĂȘtĂ© du 21 dĂ©cembre 2015[59], est effective le , entraĂźnant la transformation des deux anciennes communes, Coux-et-Bigaroque et Mouzens, en communes dĂ©lĂ©guĂ©es.

    Celles-ci sont supprimées en date du [60].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs et Ă©lectoraux

    La commune de Coux et Bigaroque-Mouzens dépend de l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda[61].

    Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Vallée Dordogne[61] et de la 4e circonscription législative[62].

    Intercommunalité

    À sa crĂ©ation en 2016, elle fait partie de la communautĂ© de communes VallĂ©e de la Dordogne et ForĂȘt BessĂšde[61].

    Administration municipale

    Pendant une période courant jusqu'au prochain renouvellement des conseils municipaux (prévu en 2020), le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de l'ensemble des conseillers municipaux des deux anciennes communes (quinze pour Coux-et-Bigaroque et onze pour Mouzens, soit un total de vingt-six)[59]. Le maire de la nouvelle commune est élu début 2016. Les maires des deux anciennes communes deviennent maires délégués.

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux auraient dĂ» ĂȘtre Ă©lus en 2020[63]. Cependant, s'agissant du premier renouvellement du conseil municipal d'une commune nouvelle, le nombre de conseillers Ă©lus est celui de la strate supĂ©rieure[64], soit dix-neuf[65].

    Communes déléguées

    Liste des communes déléguées
    Nom Code
    Insee
    Intercommunalité Superficie
    (km2)
    Population
    (derniÚre pop. légale)
    Densité
    (hab./km2)
    Coux-et-Bigaroque
    (siĂšge)
    24142CC VallĂ©e de la Dordogne et ForĂȘt BessĂšde19,33987 (2015)51


    Mouzens24298CC VallĂ©e de la Dordogne et ForĂȘt BessĂšde8,14233 (2015)29

    En date du , les deux communes déléguées de Coux-et-Bigaroque et de Mouzens sont supprimées[60].

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    janvier 2016 mai 2020 Michel Rafalovic[66] LR Retraité de l'armée
    PrĂ©sident de la CC VallĂ©e de la Dordogne et ForĂȘt BessĂšde (2014-2020)
    mai 2020[67] En cours Jean-Louis Chazelas Agriculteur

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Coux et Bigaroque-Mouzens relĂšve[68] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    En , le conseil municipal a validé le gentilé « Couzensois » comme nom des habitants de la commune nouvelle[69].

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

    En 2020, la commune comptait 1 218 habitants[Note 10], en augmentation de 0,33 % par rapport Ă  2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    2014 2015 2016 2017 2020
    1 2141 2201 2201 2201 218
    (Sources : Insee Ă  partir de 2014[70].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2016, parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans[71], les actifs reprĂ©sentaient 524 personnes, soit 43,0 % de la population municipale. Il y avait 59 chĂŽmeurs, soit un taux de chĂŽmage de cette population active de 11,3 %.

    Établissements

    Au , il y avait 120 Ă©tablissements[72], dont soixante au niveau des commerces, transports ou services, vingt-trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, dix-neuf dans la construction, dix relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et huit dans l'industrie[73].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Martin de Coux
    • L'Ă©glise Saint-Martin de Coux.
      L'Ă©glise Saint-Martin de Coux.
    • Son chevet.
      Son chevet.
    • Sa nef.
      Sa nef.
    • Église Saint-Jean de Bigaroque. L'Ă©glise date du XIVe siĂšcle pour le castrum, peut-ĂȘtre par ClĂ©ment V. L'Ă©glise est rectangulaire et non voĂ»tĂ©e. De nombreuses reprises sont visibles dans les appareils rĂ©guliers et les moellonnages de fortune. Le chevet n'est percĂ© que d'une seule baie en plein cintre, aveuglĂ©e. Les murs goutterots ont quatre baies brisĂ©es reprises en 1890. Le clocher-mur est bercĂ© d'un portail brisĂ©, d'une baie en plein cintre et deux baies campanaires, surmontĂ© d'un petit campanile rĂ©cent percĂ© d'une baie campanaire. L'autel de pierre du XIIe siĂšcle provient peut-ĂȘtre de l'ancienne Ă©glise Saint-Blaise qui Ă©tait dans le castrum et a disparu[74].
    • L'Ă©glise Saint-Jean de Bigaroque.
      L'Ă©glise Saint-Jean de Bigaroque.
    • Idem.
      Idem.
    • Vue aĂ©rienne du chĂąteau de Monsec.
      Vue aérienne du chùteau de Monsec.
    • Sa façade sur cour.
      Sa façade sur cour.

    Pour approfondir

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes

    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[10] - [11]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[14].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[15].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[57].
    10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.

    Cartes

    1. « Carte géologique de Coux et Bigaroque-Mouzens » sur Géoportail (consulté le 13 juin 2022).
    2. « Réseau hydrographique de Coux et Bigaroque-Mouzens » sur Géoportail (consulté le 29 mars 2023)..
    3. « Confluence Dordogne-Garonne au bec d'AmbÚs » sur Géoportail (consulté le 29 mars 2023)..
    4. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).

    Références

    1. « Commune de Coux et Bigaroque-Mouzens (24142) », sur le Code officiel géographique de l'Insee (consulté le ).
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