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Siorac-en-PĂ©rigord

Siorac-en-Périgord est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Siorac-en-PĂ©rigord
Siorac-en-PĂ©rigord
Vue aérienne de Siorac-en-Périgord.
Blason de Siorac-en-PĂ©rigord
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes VallĂ©e de la Dordogne et ForĂȘt BessĂšde
Maire
Mandat
Didier Roques
2020-2026
Code postal 24170
Code commune 24538
DĂ©mographie
Gentilé Sioracois, Sioracoises
Population
municipale
1 062 hab. (2020 en augmentation de 3,81 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 90 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 49â€Č 20″ nord, 0° 59â€Č 15″ est
Altitude Min. 46 m
Max. 193 m
Superficie 11,77 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
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Siorac-en-PĂ©rigord
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Siorac-en-PĂ©rigord
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Siorac-en-PĂ©rigord
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Siorac-en-PĂ©rigord
Liens
Site web www.siorac-en-perigord.fr

    GĂ©ographie

    Généralités

    La commune est implantée dans le Périgord noir sur les rives de la Dordogne. AccÚs SNCF par la gare de Siorac-en-Périgord et par la route départementale 710.

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique

    Communes limitrophes

    Carte de Siorac-en-Périgord et des communes avoisinantes en 2015, avant la création de la commune nouvelle de Coux et Bigaroque-Mouzens.

    Siorac-en-PĂ©rigord est limitrophe de sept autres communes. Au sud, son territoire est distant d'environ 250 mĂštres de celui de Saint-Pardoux-et-Vielvic.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Siorac-en-PĂ©rigord est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c4b-c, date du Santonien moyen Ă  supĂ©rieur, composĂ©e de calcaire crayo-glauconieux avec niveaux Ă  huĂźtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier Ă  silex et rudistes (formation de Saint-FĂ©lix-de-Reillac), faciĂšs pouvant Ă©voluer vers des sables fins et grĂšs carbonatĂ©s Ă  rudistes. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFp, fait partie des formations superficielles de type colluvions indiffĂ©renciĂ©es de versant, de vallon et plateaux issues d'alluvions, molasses, altĂ©rites. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « no 807 - Le Bugue » et « no 831 - BelvĂšs » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et leurs notices associĂ©es[4] - [5].

    Carte géologique de Siorac-en-Périgord.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 46 mĂštres et 193 mĂštres[6] - [7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [9]. La commune fait partie du PĂ©rigord noir, un paysage vallonnĂ© et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallĂ©es-couloirs et d’une multitude de clairiĂšres de toutes tailles. Il s'Ă©tend du nord de la VĂ©zĂšre au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 11,77 km2[6] - [11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 11,72 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    RĂ©seaux hydrographique et routier de Siorac-en-PĂ©rigord.

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par la Dordogne, la Nauze, la VallĂ©e, le Raunel, le ruisseau de Brande, le ruisseau de Font Caude et par divers petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 19 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    La Dordogne, d'une longueur totale de 483,1 km, prend naissance sur les flancs du puy de Sancy (1 885 m), dans la chaĂźne des monts Dore, traverse six dĂ©partements dont la Dordogne dans sa partie sud, et conflue avec la Garonne Ă  Bayon-sur-Gironde, pour former l'estuaire de la Gironde[16] - [17]. Elle borde la commune au nord sur six kilomĂštres et demi, face Ă  Coux et Bigaroque-Mouzens et Le Buisson-de-Cadouin.

    La Nauze, d'une longueur totale de 17,59 km, prend sa source dans la commune de Mazeyrolles et se jette dans la Dordogne en rive gauche Ă  Siorac-en-PĂ©rigord, face Ă  Coux et Bigaroque-Mouzens[18] - [19]. Elle traverse le territoire communal du sud-est au nord sur plus de quatre kilomĂštres.

    La VallĂ©e, d'une longueur totale de 11,33 km, prend sa source dans la commune de Saint-Laurent-la-VallĂ©e et se jette dans la Nauze en rive droite Ă  Siorac-en-PĂ©rigord[20]. Elle arrose l'est de la commune sur plus d'un kilomĂštre dont la moitiĂ© sert de limite naturelle face Ă  Sagelat.

    Le Raunel, affluent de rive gauche de la Nauze, marque la limite territoriale au sud-est sur prĂšs de 500 mĂštres, en limite de Monplaisant.

    Le ruisseau de Brande, affluent de rive gauche de la Dordogne borde briĂšvement la commune au nord-ouest sur 400 mĂštres, face Ă  Urval et Le Buisson-de-Cadouin.

    Son affluent de rive droite le ruisseau de Font Caude baigne le nord-ouest du territoire communal sur prĂšs de deux kilomĂštres.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'Ă©tend des sources de la Dordogne jusqu'Ă  la confluence de la VĂ©zĂšre Ă  Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[21]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [22].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[23]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[24].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[23]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 2,9 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 862 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[27] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[28] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de BelvĂšs, mise en service en 1988[29] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[30] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 895,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[31]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le dĂ©partement du Lot, mise en service en 1961 et Ă  33 km[32], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[33], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[34], puis Ă  13,1 °C pour 1991-2020[35].

    Natura 2000

    La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Siorac-en-Périgord[36] - [37]. Seize espÚces animales et une espÚce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[38].

    ZNIEFF

    Siorac-en-PĂ©rigord fait partie des 102 communes concernĂ©es par la zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[39] - [40], dans laquelle ont Ă©tĂ© rĂ©pertoriĂ©es huit espĂšces animales dĂ©terminantes et cinquante-sept espĂšces vĂ©gĂ©tales dĂ©terminantes, ainsi que quarante-trois autres espĂšces animales et trente-neuf autres espĂšces vĂ©gĂ©tales[41].

    Urbanisme

    Typologie

    Siorac-en-Périgord est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [42] - [43] - [44]. La commune est en outre hors attraction des villes[45] - [46].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (69,5 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă  celle de 1990 (71,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (32,3 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (24 %), forĂȘts (19,8 %), prairies (13,2 %), eaux continentales[Note 8] (6,1 %), zones urbanisĂ©es (4,5 %)[47].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Siorac-en-PĂ©rigord est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[48]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[49].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dordogne, la Nauze et la VallĂ©e. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1990, 1993, 1996, 1999, 2008, 2011 et 2021[50] - [48]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dordogne amont » approuvĂ© le , pour les crues de la Dordogne[51] - [52].

    Siorac-en-PĂ©rigord est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[53]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[54] - [55].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Siorac-en-Périgord.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[56]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[57]. 43,5 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [58].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[48].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 10] situĂ© dans le dĂ©partement de la CorrĂšze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[60].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de Sieurac de PerigĂČrd[61].

    Sur la planÚte Mars, en , l'une des cibles d'analyses poussées effectuées sur un affleurement rocheux par l'astromobile Curiosity de la NASA, est baptisée d'aprÚs la commune[62].

    Histoire

    Le , le conseil municipal de la commune de « Siorac-et-Fongauffier », dans le canton de BelvÚs, constate que la commune est également souvent nommée « Siorac-de-BelvÚs » et que cela provoque d'importants retards dans l'acheminement des correspondances du fait de confusions. Il demande que le nom de la commune soit changé en « Siorac-en-Périgord ». Dans sa séance du , le conseil général de la Dordogne adopte cette proposition à la suite de l'avis favorable du directeur des Postes et Télégraphes et du Préfet[63] - [64]. Le , la commune de « Siorac-et-Fongauffier » est autorisée par décret à modifier son nom pour prendre celui de « Siorac-en-Périgord »[65].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    DÚs 1790, la commune a été rattachée au canton de BelvÚs qui dépendait du district de BelvÚs jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Le canton de BelvÚs est ensuite rattaché en 1800 à l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[6].

    Intercommunalité

    Fin 1994, Siorac-en-PĂ©rigord intĂšgre dĂšs sa crĂ©ation la communautĂ© de communes de la VallĂ©e de la Dordogne. Celle-ci est dissoute au et remplacĂ©e au par la communautĂ© de communes VallĂ©e de la Dordogne et ForĂȘt BessĂšde.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[66] - [67].

    Liste des maires

    La mairie dans le chĂąteau de Siorac.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    septembre 1994 mars 2016 Jean-Pierre Riehl[Note 11] - [68] PS[69] MĂ©decin
    mars 2016[68]
    (réélu en mai 2020[70])
    En cours Didier Roques

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Siorac-en-PĂ©rigord relĂšve[71] :

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[72]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[73].

    En 2020, la commune comptait 1 062 habitants[Note 12], en augmentation de 3,81 % par rapport Ă  2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 0451 0049069301 1631 2801 3081 3771 363
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    1 2921 2751 2821 2161 2451 2851 2441 1531 090
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    1 1051 0401 026837853818877835785
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    8077847938639048939821 0051 022
    2018 2020 - - - - - - -
    1 0571 062-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[74].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[75], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 384 personnes, soit 37,0 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (63) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (61) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  16,4 %.

    Établissements

    La gare ferroviaire.

    Au , la commune compte 127 Ă©tablissements[76], dont 79 au niveau des commerces, transports ou services, vingt dans la construction, treize relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, neuf dans l'industrie, et six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche[77].

    Entreprises

    Dans le secteur du commerce, parmi les entreprises dont le siĂšge social est en Dordogne, la sociĂ©tĂ© « Crilodis » (supermarchĂ©) implantĂ©e Ă  Siorac-en-PĂ©rigord se classe en 48e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 13 021 k€[78].

    Culture locale et patrimoine

    Patrimoine civil

    • Le pont de Siorac[79] fut Ă©rigĂ© sous le Second Empire. Il fut livrĂ© Ă  la circulation en 1857. Au dĂ©but ses usagers Ă©taient des clients. Il fallait acquitter un pĂ©age. Fort heureusement, cet ouvrage est rapidement devenu accessible sans droit de passage. Il est implantĂ© trĂšs lĂ©gĂšrement en amont de l'ancien guĂ©.
      Il supplanta, en son temps, plusieurs ouvrages plus vulnérables emportés par le courroux du fleuve. Placé sous la protection de la Vierge, sa bienveillante surveillante, ou grùce au génie civil de ses constructeurs, ce pont n'a pas subi les caprices dévastateurs du cours d'eau qui, depuis plus d'un demi-siÚcle, sont atténués par les barrages, notamment ceux d'Argentat et de Bort-les-Orgues.
    • Le chĂąteau du Moyen Âge a Ă©tĂ© construit Ă  Siorac vers 1100. Le chĂąteau Ă©tant en ruines, il a Ă©tĂ© achetĂ© par les de Lavalle vers 1810 et reconstruit avec les mĂȘmes pierres mĂ©diĂ©vales, seule la tour n'a pas Ă©tĂ© refaite mais un toit a Ă©tĂ© installĂ© au-dessus de celle-ci. Le chĂąteau a Ă©tĂ© rachetĂ© ensuite par les Bargines vers 1885 qui sont devenus les Panek, vivant toujours Ă  l'endroit oĂč Ă©tait le chĂąteau (le chĂąteau se trouvant juste en face de la mairie).
    • Le chĂąteau de Siorac[80] date du XVIIIe siĂšcle. C'est un logis Ă  deux niveaux entre deux pavillons Ă  trois niveaux. Les toits sont brisĂ©s et couverts de tuiles et ne comportent pas de lucarnes.
      Le chùteau a été construit sur les ruines d'un ancien repaire noble détruit au cours des guerres de religion. Il a longtemps appartenu à la famille de la Verrie de Siorac, comte de Vivans.
    • Dolmen de Cayre Leva, au sud de Siorac, prĂšs du hameau de Cayre Leva et de la route de Cayre Leva[81].
    • Le pont de Siorac.
      Le pont de Siorac.
    • Le chĂąteau de Siorac.
      Le chĂąteau de Siorac.

    Patrimoine religieux

    • L'Ă©glise Saint-Pierre-Ăšs-Liens[82] - [83]. La premiĂšre Ă©glise date de 1143. L'Ă©vĂȘque de PĂ©rigueux la donne en 1199 Ă  l'abbaye de La Grande-Sauve. Elle est dĂ©truite pendant la guerre de Cent Ans en ne laissant que quelques moellons Ă  la base de l'Ă©glise actuelle. Reconstruite dans le style gothique, elle est brĂ»lĂ©e par les troupes protestantes du vicomte de Turenne. Elle est rĂ©parĂ©e au dĂ©but du XVIIe siĂšcle. Les quatre co-seigneurs de Siorac ont fait rĂ©aliser les quatre chapelles qui devaient servir pour leurs sĂ©pultures.
      Trois cloches ont été installées dans l'église : la plus grosse en 1764, les deux autres datent de 1839 et 1840.
      Jusqu'en 1900, le cimetiĂšre entourait l'Ă©glise.
      L'horloge et l'Ă©lectrification datent de 1954.
    • L'Ă©glise Saint-Pierre-Ăšs-Liens.
      L'Ă©glise Saint-Pierre-Ăšs-Liens.
    • L'Ă©glise Saint-Pierre-Ăšs-Liens.
      L'Ă©glise Saint-Pierre-Ăšs-Liens.
    • La nef de l'Ă©glise.
      La nef de l'Ă©glise.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean de Sireuil, capitaine Sireuil, capitaine du rĂ©giment de Picardie, fils bĂątard de François de Sireuil, frĂšre de Jean II de Sireuil, co-seigneur de Siorac, lĂ©gitimĂ© par lettre du roi Henri III de . Du mariage de Jean de Sireuil avec Françoise d'Abzac de la Douze est nĂ©e Marie de Sireuil, dame de Siorac, mariĂ©e en 1598 Ă  Pons du Lion de Belcastel. Marie de Sireuil a donnĂ© le quart de la seigneurie de Siorac au capitaine Sireuil, son cousin bĂątard, qui la lui a restituĂ©e par son testament du [84].
    • Élie Creyssensac, nĂ© le Ă  Siorac-en-PĂ©rigord, armurier et fabricant de compresseurs d'air, il a fondĂ© la sociĂ©tĂ© Creyssensac en 1934[85].
    • Robert Merle (1908-2004), a Ă©crit Fortune de France, une fresque historique en 13 volumes qu'il a situĂ©e Ă  Siorac au dĂ©but du rĂ©cit (tome 1).

    HĂ©raldique

    Blason de Siorac-en-PĂ©rigord Blason
    Parti : au 1er d'azur aux chaines d'or passées en croix, sautoir et orle, au 2e de gueules au lion d'or surmonté de deux étoiles d'argent.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Voir aussi

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[25].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[26].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[59].
    11. DĂ©missionne de la fonction de maire et devient premier adjoint.
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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    2. « Qualité des eaux de riviÚre et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
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    Références

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    4. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 807 - Le Bugue de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
    5. « Notice associĂ©e Ă  la feuille no 831 - BelvĂšs de la carte gĂ©ologique harmonisĂ©e au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine », sur Infoterre, le site du BRGM (consultĂ© le )
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    8. « Pourquoi un Atlas des paysages du Dordogne ? », sur le site de l'atlas des paysages de la Dordogne (consulté le ).
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    85. Worthington Creyssensac
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