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Urval

Urval est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Urval
Urval
Le village d'Urval.
Blason de Urval
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Bergerac
Intercommunalité Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord
Maire
Mandat
Éloi Compoint
2020-2026
Code postal 24480
Code commune 24560
DĂ©mographie
Gentilé Urvalais
Population
municipale
114 hab. (2020 en augmentation de 2,7 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 8,5 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 48â€Č 46″ nord, 0° 56â€Č 56″ est
Altitude Min. 55 m
Max. 245 m
Superficie 13,38 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
DĂ©partementales Canton de Lalinde
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Urval
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Urval
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Urval
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Urval

    GĂ©ographie

    Communes limitrophes

    Carte d'Urval et des communes avoisinantes en 2015, avant la création de la commune nouvelle de Coux et Bigaroque-Mouzens.

    Urval est limitrophe de cinq autres communes. Au nord, son territoire est distant d'environ 420 mĂštres de celui de Coux et Bigaroque-Mouzens.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Urval est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c5a(2), date du Campanien 1, des calcaires packstone Ă  wackstone crayo-marneux gris blanchĂątres Ă  subalvĂ©olines Ă  silex gris ou noirs. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e CFvs, fait partie des formations superficielles de type colluvions carbonatĂ©es de vallons secs : sable limoneux Ă  dĂ©bris calcaires et argile sableuse Ă  dĂ©bris. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans les feuilles « no 807 - Le Bugue » et « no 831 - BelvĂšs » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et leurs notices associĂ©es[4] - [5].

    Carte géologique d'Urval.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 55 mĂštres et 245 mĂštres[6] - [7].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [8]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [9]. La commune fait partie du PĂ©rigord noir, un paysage vallonnĂ© et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallĂ©es-couloirs et d’une multitude de clairiĂšres de toutes tailles. Il s'Ă©tend du nord de la VĂ©zĂšre au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[10].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 13,38 km2[6] - [11] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 13,4 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[14]. Elle est drainĂ©e par le ruisseau de Brande et par deux petits cours d'eau, qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 7,5 km de longueur totale[15] - [Carte 1].

    Affluent de rive gauche de la Dordogne, le ruisseau de la Brande prend sa source dans le sud-ouest de la commune et arrose son territoire sur cinq kilomĂštres et demi, en direction du nord.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par les schĂ©mas d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont » et « Dordogne Atlantique ». Le SAGE « Dordogne amont », dont le territoire s'Ă©tend des sources de la Dordogne jusqu'Ă  la confluence de la VĂ©zĂšre Ă  Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[16]. Le SAGE « Dordogne Atlantique », dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - VĂ©zĂšre)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est Ă©galement l'EPIDOR[17]. Ils dĂ©finissent chacun sur leur territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [18].

    Plus de 90 % du territoire communal dépend du SAGE Dordogne amont. Seule une mince bande au sud-ouest, en limite de Bouillac et du Buisson-de-Cadouin est rattachée au SAGE Dordogne Atlantique

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[19]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[20].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 3]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[19]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,6 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 4,1 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 8,2 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 4] : 15,1 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 5] : 901 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,5 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 7,1 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[23] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[24] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de BelvĂšs, mise en service en 1988[25] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[26] - [Note 6], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 895,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[27]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le dĂ©partement du Lot, mise en service en 1961 et Ă  35 km[28], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[29], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[30], puis Ă  13,1 °C pour 1991-2020[31].

    Urbanisme

    Typologie

    Urval est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7] - [32] - [33] - [34]. La commune est en outre hors attraction des villes[35] - [36].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (81,4 % en 2018), en augmentation par rapport Ă  1990 (78,4 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (66,5 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (14,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (10,7 %), prairies (6,8 %), terres arables (0,8 %), espaces verts artificialisĂ©s, non agricoles (0,2 %)[37].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune d'Urval est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[38]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[39].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1999 et 2008[40] - [38].

    Urval est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[41]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[42] - [43].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Urval.

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[44]. 80,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 8] - [45].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[38].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 9] situĂ© dans le dĂ©partement de la CorrĂšze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[47].

    Toponymie

    La premiĂšre mention Ă©crite connue du lieu est relevĂ©e dans un pouillĂ© du XIIIe siĂšcle sous la forme Urvals, avant d'ĂȘtre citĂ© en 1462 sous la forme Orval[48]. Ce toponyme dĂ©rive du nom d'un personnage germanique Uro suivi du nom latin vallis correspondant Ă  la « vallĂ©e d'Uro »[49] - [50] ou au « vallon d'Uro »[51].

    En français comme en occitan, la commune porte le mĂȘme nom[51].

    Histoire

    Le , les communes de Cadouin, Paleyrac et Urval entrent en fusion-association avec celle du Buisson-Cussac qui prend alors le nom du Buisson-de-Cadouin[52].

    Le , Urval reprend son autonomie[52].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    DÚs 1790, la commune d'Urval est rattachée au canton de Cadouin qui dépend du district de BelvÚs jusqu'en 1795, date de suppression des districts. En 1801, le canton est rattaché à l'arrondissement de Bergerac[6]. Il change de nom en 1974, devenant le canton du Buisson-de-Cadouin.

    Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaßt aux élections départementales de mars 2015[53]. La commune est alors rattachée au canton de Lalinde, lui aussi dépendant de l'arrondissement de Bergerac.

    Intercommunalité

    Début 2002, Urval intÚgre dÚs sa création la communauté de communes de Cadouin. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[54] - [55].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    Gérard de Commarque Résistant, mort en déportation en 1944
    janvier 1974 février 1989 Aucun maire[Note 10]
    février 1989 mars 2001 Henri Lepers
    mars 2001[56] mai 2020 Roland Kupcic SE[57] Artisan menuisier
    mai 2020 En cours Éloi Compoint

    Juridictions

    Dans le domaine judiciaire, Urval relĂšve[58] :

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[59]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[60].

    En 2020, la commune comptait 114 habitants[Note 11], en augmentation de 2,7 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    460470415460425433478491476
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    482459445422410418347326334
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    340293255188183171179192165
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    149159109121123163153150113
    2018 2020 - - - - - - -
    116114-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee Ă  partir de 2006[61].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Remarque

    Lors des recensements de 1975 et 1982, la commune d'Urval n'existait plus en tant que telle mais était associée à celle du Buisson-de-Cadouin.

    Économie

    Emploi

    En 2015[62], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent cinquante-deux personnes, soit 47,3 % de la population municipale. Le nombre de chÎmeurs (neuf) a augmenté par rapport à 2010 (deux) et le taux de chÎmage de cette population active s'établit à 17,0 %.

    Établissements

    Au , la commune compte vingt-deux Ă©tablissements[63], dont huit au niveau des commerces, transports ou services, six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, cinq dans la construction, et trois relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale[64].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • ChĂąteau de la Bourlie, XVe siĂšcle XVIIIe siĂšcle XIXe siĂšcle, classĂ© ainsi que son domaine.
    • ChĂąteau de la Poujade, XVIIIe siĂšcle XIXe siĂšcle, classĂ©.
    • Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ© d'Urval[65] - [66] - [67]. L'Ă©glise est fortifiĂ©e. Le chƓur et la nef portent des chambres de dĂ©fense. Le chƓur carrĂ© du XIe siĂšcle est voĂ»tĂ© en berceau en plein cintre retombant sur des colonnes, dont deux en marbre noir sont des rĂ©emplois (d'une villa gallo-romaine ?). Le chƓur et la nef sont sĂ©parĂ©s par l'arc triomphal en plein cintre qui retombe sur des colonnes engagĂ©es avec des chapiteaux sculptĂ©s d'entrelacs et de rinceaux de feuillage. L'extrĂ©mitĂ© du chƓur supporte un mur dĂ©fensif. Au-dessus de l'arc triomphal, le clocher-mur a servi Ă  complĂ©ter la dĂ©fense au-dessus de la nef.
    • Four banal du XIVe siĂšcle. Au-dessus du four se trouvait le logement du fournier. En 1853, la toiture en tuile a remplacĂ© celle de pierre. Le four a Ă©tĂ© restaurĂ© en 1862. Il a encore servi pendant la PremiĂšre Guerre mondiale. Il est encore utilisĂ© chaque annĂ©e pendant la fĂȘte du village.
    • Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ©.
      Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ©.
    • Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ©.
      Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ©.
    • Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ© et four banal.
      Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ© et four banal.
    • Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ© : portail.
      Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ© : portail.
    • Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ© : chƓur.
      Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ© : chƓur.
    • Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ© : nef.
      Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ© : nef.
    • Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ© : chapiteau de l'arc triomphal.
      Église Notre-Dame-de-la-NativitĂ© : chapiteau de l'arc triomphal.
    • Four banal.
      Four banal.

    Personnalités liées à la commune

    • L'abbĂ© Jean Bru (1761-1794), nĂ© Ă  Urval, prĂȘtre rĂ©fractaire pendant la RĂ©volution et dĂ©portĂ© sur les tristement cĂ©lĂšbres Pontons de Rochefort. Il meurt d'Ă©puisement et de mauvais traitements sur Les-Deux-AssociĂ©s, le 19 septembre 1794. Il est inhumĂ© sur l’Île Madame avec ses malheureux compagnons.
    • LĂ©on Poirier (1884-1968), mort Ă  Urval, cinĂ©aste, maire de la commune[68] de 1959 Ă  1968.

    HĂ©raldique

    Blason de Urval Blason
    D’azur Ă  l’ours d’or passant sur une terrasse isolĂ©e et appointĂ©e de gueules, surmontĂ© d’un croissant d’argent.
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Les ConfinĂ©s d’Urval

    Pendant le confinement dĂ©cidĂ© en 2020 en raison de la PandĂ©mie de Covid-19, sept cousins, qui s’étaient rendus Ă  Urval Ă  l’occasion des Ă©lections municipales 2020 auxquelles leur oncle Ă©tait candidat, entreprennent de filmer chaque jour un pastiche d’une Ɠuvre cinĂ©matographique. Le contenu, publiĂ© sur une page Facebook ainsi qu’une chaĂźne YouTube, connaĂźt rapidement du succĂšs[69] et attire l’attention de journalistes locaux[70] - [71] - [72] et nationaux[73].

    Voir aussi

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[12] - [13]
    3. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[21].
    4. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    5. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[22].
    6. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    9. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[46].
    10. De janvier 1974 à février 1989, la commune était associée à celle du Buisson-de-Cadouin et n'avait plus de maire, mais un maire délégué.
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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