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Sagelat

Sagelat est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Sagelat
Sagelat
Le bourg de Sagelat (Ă  droite du rond-point).
Blason de Sagelat
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Nouvelle-Aquitaine
DĂ©partement Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
IntercommunalitĂ© CommunautĂ© de communes VallĂ©e de la Dordogne et ForĂȘt BessĂšde
Maire
Mandat
Olivier Merlhiot
2020-2026
Code postal 24170
Code commune 24360
DĂ©mographie
Population
municipale
317 hab. (2020 en augmentation de 2,26 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 42 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 47â€Č 18″ nord, 1° 00â€Č 46″ est
Altitude Min. 65 m
Max. 219 m
Superficie 7,57 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de la Vallée Dordogne
LĂ©gislatives QuatriĂšme circonscription
Localisation
GĂ©olocalisation sur la carte : France
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Sagelat
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Sagelat
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Sagelat
GĂ©olocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Sagelat

    GĂ©ographie

    Généralités

    La petite commune de Sagelat s'inscrit entre trois cours d'eau : la Nauze, un affluent de la rive gauche de la Dordogne, et deux de ses propres affluents de sa rive droite, les hauteurs du val du Mamarel et la Vallée (dérive du Valech) qui, de nos jours, connaßt de longues et sévÚres intermittences.

    La route départementale 710, de Ribérac au nord du Lot-et-Garonne (et qui se prolonge ensuite vers Fumel) lui accorde, pour quelques décamÚtres, un petit salut. La sécante principale de la commune est la RD 53.

    Cette commune, jadis essentiellement agricole, vit de nos jours plutĂŽt sur le tertiaire.

    Communes limitrophes

    Carte de Sagelat et des communes avoisinantes en 2015, avant la création de la commune nouvelle de Pays de BelvÚs.

    Sagelat est limitrophe de cinq autres communes.

    GĂ©ologie

    SituĂ© sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordĂ© Ă  son extrĂ©mitĂ© nord-est par une frange du Massif central, le dĂ©partement de la Dordogne prĂ©sente une grande diversitĂ© gĂ©ologique. Les terrains sont disposĂ©s en profondeur en strates rĂ©guliĂšres, tĂ©moins d'une sĂ©dimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le dĂ©partement peut ainsi ĂȘtre dĂ©coupĂ© sur le plan gĂ©ologique en quatre gradins diffĂ©renciĂ©s selon leur Ăąge gĂ©ologique. Sagelat est situĂ©e dans le troisiĂšme gradin Ă  partir du nord-est, un plateau formĂ© de calcaires hĂ©tĂ©rogĂšnes du CrĂ©tacĂ©[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituĂ©es de formations superficielles du Quaternaire et de roches sĂ©dimentaires datant pour certaines du CĂ©nozoĂŻque, et pour d'autres du MĂ©sozoĂŻque. La formation la plus ancienne, notĂ©e c4b-c, date du Santonien moyen Ă  supĂ©rieur, composĂ©e de calcaire crayo-glauconieux avec niveaux Ă  huĂźtres (P. vesicularis), devenant au sommet plus grossier Ă  silex et rudistes (Saint-FĂ©lix-de-Reillac), faciĂšs pouvant Ă©voluer vers des sables fins et grĂšs carbonatĂ©s Ă  rudistes. La formation la plus rĂ©cente, notĂ©e Eg, fait partie des formations superficielles de type grĂšze ou colluvions fluvio-glaciaires calcaires cimentĂ©es. Le descriptif de ces couches est dĂ©taillĂ© dans la feuille « no 831 - BelvĂšs » de la carte gĂ©ologique au 1/50 000 de la France mĂ©tropolitaine[2] - [3] et sa notice associĂ©e[4].

    Carte géologique de Sagelat.

    Relief et paysages

    Le dĂ©partement de la Dordogne se prĂ©sente comme un vaste plateau inclinĂ© du nord-est (491 m, Ă  la forĂȘt de Vieillecour dans le Nontronnais, Ă  Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m Ă  Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant Ă  elle entre 65 mĂštres et 219 mĂštres[5] - [6].

    Dans le cadre de la Convention europĂ©enne du paysage entrĂ©e en vigueur en France le , renforcĂ©e par la loi du 8 aoĂ»t 2016 pour la reconquĂȘte de la biodiversitĂ©, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© sous maĂźtrise d’ouvrage de l’État et publiĂ© en [7]. Les paysages du dĂ©partement s'organisent en huit unitĂ©s paysagĂšres[Note 1] - [8]. La commune fait partie du PĂ©rigord noir, un paysage vallonnĂ© et forestier, qui ne s’ouvre que ponctuellement autour de vallĂ©es-couloirs et d’une multitude de clairiĂšres de toutes tailles. Il s'Ă©tend du nord de la VĂ©zĂšre au sud de la Dordogne (en amont de Lalinde) et est riche d’un patrimoine exceptionnel[9].

    La superficie cadastrale de la commune publiĂ©e par l'Insee, qui sert de rĂ©fĂ©rence dans toutes les statistiques, est de 7,57 km2[5] - [10] - [Note 2]. La superficie gĂ©ographique, issue de la BD Topo, composante du RĂ©fĂ©rentiel Ă  grande Ă©chelle produit par l'IGN, est quant Ă  elle de 7,81 km2[3].

    RĂ©seau hydrographique

    La commune est situĂ©e dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainĂ©e par la Nauze, la VallĂ©e, et par un petit cours d'eau[Note 3], qui constituent un rĂ©seau hydrographique de 11 km de longueur totale[14] - [Carte 1].

    La Nauze, d'une longueur totale de 17,59 km, prend sa source dans la commune de Mazeyrolles et se jette dans la Dordogne en rive gauche Ă  Siorac-en-PĂ©rigord, face Ă  Coux et Bigaroque-Mouzens[15] - [16]. Elle arrose l'ouest de la commune sur plus de quatre kilomĂštres, lui servant en grand partie de limite naturelle, face Ă  Monplaisant.

    La VallĂ©e, d'une longueur totale de 11,33 km, prend sa source dans la commune de Saint-Laurent-la-VallĂ©e et se jette dans la Nauze en rive droite Ă  Siorac-en-PĂ©rigord[17]. Elle marque la limite territoriale Ă  l'est sur plus de quatre kilomĂštres, face Ă  Carves et Saint-Germain-de-BelvĂšs.

    • La Nauze Ă  Sagelat.
      La Nauze Ă  Sagelat.
    • Carte en couleur prĂ©sentant le rĂ©seau hydrographique de la commune
      RĂ©seaux hydrographique et routier de Sagelat.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schĂ©ma d'amĂ©nagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne amont ». Ce document de planification, dont le territoire s'Ă©tend des sources de la Dordogne jusqu'Ă  la confluence de la VĂ©zĂšre Ă  Limeuil, d'une superficie de 9 700 km2 est en cours d'Ă©laboration. La structure porteuse de l'Ă©laboration et de la mise en Ɠuvre est l'Ă©tablissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[18]. Il dĂ©finit sur son territoire les objectifs gĂ©nĂ©raux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualitĂ© dĂ©finis dans le troisiĂšme SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la pĂ©riode 2022-2027, approuvĂ© le [19].

    La qualitĂ© des eaux de baignade et des cours d’eau peut ĂȘtre consultĂ©e sur un site dĂ©diĂ© gĂ©rĂ© par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversitĂ©[Carte 2].

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[20]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[21].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 4]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[20]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 13 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,3 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 9,5 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 5] : 15,3 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation[Note 6] : 907 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 12,2 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,7 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[24] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[25] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de BelvĂšs, mise en service en 1988[26] et qui se trouve Ă  km Ă  vol d'oiseau[27] - [Note 7], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 895,6 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[28]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, dans le dĂ©partement du Lot, mise en service en 1961 et Ă  30 km[29], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[30], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[31], puis Ă  13,1 °C pour 1991-2020[32].

    Urbanisme

    Typologie

    Sagelat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [33] - [34] - [35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36] - [37].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (59 % en 2018), nĂ©anmoins en diminution par rapport Ă  1990 (65 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (41 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (32,6 %), prairies (26,4 %)[38].

    L'Ă©volution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut ĂȘtre observĂ©e sur les diffĂ©rentes reprĂ©sentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et les cartes ou photos aĂ©riennes de l'IGN pour la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 3].

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Sagelat est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  un risque technologique, la rupture d'un barrage[39]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[40].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Nauze et la VallĂ©e. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1993, 1996, 1999, 2005 et 2008[41] - [39]. Le risque inondation est pris en compte dans l'amĂ©nagement du territoire de la commune par le biais du plan de prĂ©vention des risques inondation (PPRI) de la « vallĂ©e de la Dordogne amont » approuvĂ© le , pour les crues de la Nauze[42] - [43].

    Sagelat est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. L’arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral du fixe les conditions de pratique des incinĂ©rations et de brĂ»lage dans un objectif de rĂ©duire le risque de dĂ©parts d’incendie. À ce titre, des pĂ©riodes sont dĂ©terminĂ©es : interdiction totale du 15 fĂ©vrier au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation rĂ©glementĂ©e du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 fĂ©vrier[44]. En septembre 2020, un plan inter-dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies (PidPFCI) a Ă©tĂ© adoptĂ© pour la pĂ©riode 2019-2029[45] - [46].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Sagelat.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements diffĂ©rentiels[47]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie[48]. 38,4 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (58,6 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national mĂ©tropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, diffĂ©rentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maĂźtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situĂ©s dans une zone classĂ©e en alĂ©a moyen ou fort[Note 9] - [49].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2009 et par des mouvements de terrain en 1999[39].

    Risque technologique

    La commune est en outre situĂ©e en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 10] situĂ© dans le dĂ©partement de la CorrĂšze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture de cet ouvrage[51].

    Toponymie

    En français comme en occitan, la commune porte le mĂȘme nom[52].

    Politique et administration

    Rattachements administratifs

    DÚs 1790, la commune a été rattachée au canton de BelvÚs qui dépendait du district de BelvÚs jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Le canton de BelvÚs est ensuite rattaché en 1800 à l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[5].

    Intercommunalité

    Fin 2000, Sagelat intĂšgre dĂšs sa crĂ©ation la communautĂ© de communes Entre Nauze et BessĂšde. Celle-ci est dissoute au et remplacĂ©e au par la communautĂ© de communes VallĂ©e de la Dordogne et ForĂȘt BessĂšde.

    Administration municipale

    La population de la commune Ă©tant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont Ă©tĂ© Ă©lus en 2020[53] - [54].

    Liste des maires

    La mairie.
    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1947 mars 1977 Fernand Garrouty apparenté SFIO Exploitant agricole
    mars 1977 mars 2008 Jean-Louis Peyrus SE Directeur d'Ă©cole primaire
    mars 2008[55]
    (réélu en mai 2020)
    En cours Olivier Merlhiot SE[56] Podologue

    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Sagelat relĂšve[57] :

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2008[59].

    En 2020, la commune comptait 317 habitants[Note 11], en augmentation de 2,26 % par rapport à 2014 (Dordogne : −0,85 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    491510520609533520528514555
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    563572562528506517485432409
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    417435395356344311337307321
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
    293261253302300325348355311
    2018 2020 - - - - - - -
    321317-------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[5] puis Insee Ă  partir de 2006[60].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Emploi

    En 2015[61], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs reprĂ©sentent 134 personnes, soit 44,1 % de la population municipale. Le nombre de chĂŽmeurs (21) a augmentĂ© par rapport Ă  2010 (15) et le taux de chĂŽmage de cette population active s'Ă©tablit Ă  15,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte 31 Ă©tablissements[62], dont quatorze au niveau des commerces, transports ou services, neuf dans la construction, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pĂȘche, trois relatifs au secteur administratif, Ă  l'enseignement, Ă  la santĂ© ou Ă  l'action sociale, et un dans l'industrie[63].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • L'Ă©glise Saint-Victor.
      L'Ă©glise Saint-Victor.
    • La fontaine de Fongauffier.
      La fontaine de Fongauffier.

    L'Ă©glise Saint-Victor a d'abord dĂ©pendu de l’abbaye bĂ©nĂ©dictine de Fongauffier, fondĂ©e en 1095 par une femme nommĂ©e EubolĂšne, dans la dĂ©pendance de l'abbaye Saint-GĂ©raud d'Aurillac[64]. Elle a Ă©tĂ© construite sur le site d'une ancienne villa gallo-romaine.

    La fontaine de Fongauffier, Ă©panchement d'une puissante source, fut le tĂ©moin d'un Ă©pisode historique qui donne une assise Ă  la petite histoire. Au piĂ©droit de cette fontaine, Waiffer, le dernier duc d'Aquitaine, se rafraĂźchissait quand la soldatesque de PĂ©pin le Bref le surprit. Waiffer rĂ©ussit nĂ©anmoins Ă  s'Ă©chapper et passa la Dordogne au guĂ© de Siorac distant de cinq kilomĂštres. PĂ©pin le Bref, le pĂšre de Charlemagne, le rattrapa dans la forĂȘt de la Double, Ă  Eygurande, et l'assassina dĂšs sa capture. D'aucuns situent lĂ  les prĂ©mices de l'adjonction de l'Aquitaine Ă  la France carolingienne. Waiffer et « ses » gascons tenaient pour leurs terres indĂ©pendantes. Cependant, cet apport Ă  la France ne fut rĂ©el que bien plus tard sous la monarchie capĂ©tienne et le comtĂ© du PĂ©rigord ne fut enchĂąssĂ© Ă  l'entitĂ© française qu'au XVIe siĂšcle quand le Royaume de France passa aux mains d'un bĂ©arnais connu sous le nom d'Henri IV.

    Le bourg abbatial de Fongauffier, érigé en 1094, prit le nom de Waiffer pour construire son toponyme. Waiffer, à la suite de multiples dérives, est devenu Gauffier avec autant de variantes orthographiques qu'on peut l'imaginer. L'assemblage de fon, de fontis, et de gauffier donne Fongauffier. L'abbaye moniale, tout comme les remparts du village, fut détruite avec la grande Révolution.

    L'actuelle fontaine n'en est qu'un vestige altéré puisqu'elle fut recomposée en 1844.

    Pour en terminer avec la petite histoire rappelons que l'écrasante majorité de la population locale n'avait jusqu'à la grande Révolution qu'une idée bien floue, voire inexistante, de la France et les repÚres se situaient au niveau des villages du proche voisinage et des seigneurs du lieu. L'occitan était la langue commune et le français ne commença à forcer les portes des chaumiÚres, et encore péniblement, qu'à l'orée du XXe siÚcle.

    Personnalités liées à la commune

    • Jean-Baptiste Lafon de Fongauffier : ce fonctionnaire des finances, nĂ© le Ă  Sagelat, dĂ©cĂ©dĂ© le , s'impliqua fortement dans la prĂ©sence française au SĂ©nĂ©gal oĂč il fut Ă©lu dĂ©putĂ© pour une lĂ©gislature, le . Lafon siĂšge Ă  l'extrĂȘme gauche de l'Ă©poque (celle-ci Ă©tait loin de la sensibilitĂ© maximaliste de nos jours) qui Ă©tait dominĂ©e par Gambetta. Le tribun de la IIIe RĂ©publique Ă©tait pratiquement un voisin puisque son pĂšre Ă©tait un Ă©picier cadurcien. On note que "de" Fongauffier ne correspond pas Ă  une particule nobiliaire mais avait pour but d'identifier les Lafon dont le patronyme est courant, notamment en PĂ©rigord. Aux derniĂšres annĂ©es de sa de vie, Lafon fut conseiller gĂ©nĂ©ral de son canton (BelvĂšs) et repose au cimetiĂšre de Sagelat.
    • Jean TrĂ©moulet (1909-1944), mĂ©canicien a gagnĂ© les 24 Heures du Mans 1938, en compagnie d'EugĂšne Chaboud. EngagĂ© dans la RĂ©sistance, il meurt Ă  Puy Chanat, sur la commune de Sagelat, dans un accident de moto lors d'une mission.

    HĂ©raldique

    Blason de Sagelat Blason
    De sinople Ă  la fasce ondĂ©e d’argent accompagnĂ©e de trois roues de moulin d’or[65]
    DĂ©tails
    Le statut officiel du blason reste à déterminer.

    Pour approfondir

    Bibliographie

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Une unité paysagÚre est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagÚres propres.
    2. La superficie publiĂ©e par l’Insee est la superficie Ă©valuĂ©e en 1975 par le service du cadastre de la Direction GĂ©nĂ©rale des ImpĂŽts, corrigĂ©e des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privĂ©, cadastrĂ©es ou non cadastrĂ©es, Ă  l'exception des lacs, Ă©tangs et glaciers de plus d'un kilomĂštre carrĂ© ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement Ă  la surface gĂ©ographique[11] - [12]
    3. Contrairement à ce qu'indique le Sandre, le Neufond, affluent de rive droite de la Vallée, n'arrose pas la commune de Sagelat, située en rive gauche.
    4. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[22].
    5. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    6. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphÚre. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomÚtres[23].
    7. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
      • au vendeur d'informer le potentiel acquĂ©reur du terrain non bĂąti de l’existence du risque RGA ;
      • au maĂźtre d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maĂźtre d'Ɠuvre, le choix entre fournir une Ă©tude gĂ©otechnique de conception et le respect des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire ;
      • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude gĂ©otechnique de conception, soit de respecter des techniques particuliĂšres de construction dĂ©finies par voie rĂ©glementaire.
    10. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[50].
    11. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    • Cartes
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