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CĂ´te d'Opale

Côte d'Opale est un choronyme désignant la partie du littoral nord-ouest de la France métropolitaine située au nord de la côte picarde, en face des falaises du sud-est de l'Angleterre, bordant la Manche et la mer du Nord.

CĂ´te d'Opale
Vue de la baie de Wissant et du cap Gris-Nez au loin, depuis le cap Blanc-Nez.
Vue de la baie de Wissant et du cap Gris-Nez au loin, depuis le cap Blanc-Nez.
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Hauts-de-France
DĂ©partements Pas-de-Calais, Nord
Aires protégées Parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale
Parc naturel marin des estuaires picards et de la mer d'Opale
CoordonnĂ©es gĂ©ographiques 50° 43′ 35″ N, 1° 36′ 53″ E
Étendue d'eau Manche, pas de Calais, Mer du Nord
Longueur 90 ou 120 km[1]
Extrémités Frontière belge ou Aa (nord-est)
Authie (sud-ouest)
Nature des rivages Plages, dunes, falaises...
Principales plages Berck, Stella, Le Touquet, Sainte-CĂ©cile, Hardelot, Wimereux, Wissant,
Cours d'eau Authie, Canche, Liane, Aa
Caps et péninsules Cap Gris-Nez, Cap Blanc-Nez
ĂŽles aucune
Ports Étaples, Boulogne, Calais, (Dunkerque)
Origine du nom Édouard Lévêque (février 1911)
GĂ©olocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
CĂ´te d'Opale
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
(Voir situation sur carte : Hauts-de-France)
CĂ´te d'Opale
Carte topographique de la CĂ´te d'Opale et de la baie de Somme.

Origine et variantes de la dénomination

Édouard Lévêque, peintre touquettois, écrivain, botaniste, est l'inventeur de l'appellation « Côte d'Opale » en février 1911. Il nommait ainsi le littoral entre Le Crotoy en baie de Somme et Équihen-Plage dans le Boulonnais, en hommage à sa lumière si particulière et changeante[2]. De toutes les appellations proposées, c'est la seule qui a subsisté et qui a fait de la station balnéaire du Touquet-Paris-Plage la « perle de la Côte d'Opale ». Par la suite et encore aujourd'hui, cette appellation est utilisée pour désigner l'ensemble du littoral du département du Pas-de-Calais, voire celui du département du Nord.

Les limites de la CĂ´te d'Opale sont un peu floues. Pour certains, elle regroupe uniquement les villes du littoral (ou proches du littoral) alors que, pour d'autres, elle couvre une surface beaucoup plus importante, comportant des villes situĂ©es jusqu'Ă  50 km des cĂ´tes comme Saint-Omer, Hazebrouck ou Aire-sur-la-Lys. Plus prĂ©cisĂ©ment, dans le respect de l'orthotypographie[3] - , on appellerait « cĂ´te d'Opale » (en minuscule et sans trait d'union) l'espace gĂ©ographique abritant les villes du littoral, et « CĂ´te-d'Opale » (avec une majuscule au dĂ©but et un trait d'union, comme pour les toponymes administratifs) le syndicat mixte qui devient pĂ´le mĂ©tropolitain rassemblant les 920 000 habitants[4] de 354 communes entre les dĂ©partements du Pas-de-Calais et du Nord.

On appelle aussi « Dunes de Flandres » (ou « Côte des Dunes de Flandres ») la zone littorale située dans le département du Nord, autour de Dunkerque. Souvent assimilée à une partie de la « Côte d'Opale », son appartenance à cette appellation reste néanmoins incertaine. Les Dunes de Flandres et le reste de la Côte d'Opale présentent des différences historiques, culturelles, géographiques, gastronomiques et linguistiques.

GĂ©ographie

La CĂ´te d'Opale englobe le littoral des arrondissements de Dunkerque, de Calais, de Boulogne-sur-Mer et de Montreuil[5], soit 120 km de cĂ´tes entre la frontière belge et la frontière entre le Pas-de-Calais et la Somme (au niveau de Berck).

Les grandes villes sont Dunkerque (ville de 90 000 habitants et aire urbaine de 250 000 habitants), Calais (ville de 75 000 habitants et aire urbaine de 125 000 habitants) et Boulogne-sur-Mer (ville de 45 000 habitants et aire urbaine de 135 000 habitants). Du fait de sa position centrale parmi les principales plages et sites touristiques de la rĂ©gion, Boulogne-sur-Mer est considĂ©rĂ©e par certains comme la « capitale de la CĂ´te d'Opale »[6] - [7]. Calais, quant Ă  elle, fait figure de « porte d'entrĂ©e » grâce Ă  sa position majeure pour rejoindre le Royaume-Uni.

GĂ©ologie, reliefs et paysages

La côte d'Opale réunit des paysages variés de plages, dunes, marais, estuaires, falaises et milieux intérieurs.

Le relief est très vallonnĂ© par endroits, contrastant avec les très faibles reliefs des Dunes de Flandres et de la cĂ´te belge. Il est marquĂ© par la prĂ©sence de deux grandes falaises situĂ©es entre Calais et Boulogne : le cap Blanc-Nez, culminant Ă  132 m, et le cap Gris-Nez, atteignant 50 m. Ce dernier est le point du littoral français le plus proche de l'Angleterre.

Le relief laisse place à des plages de sable fin, interrompues par la réserve naturelle nationale de la baie de Canche et la Baie d'Authie.

Les « dunes et estuaire d'Opale » sont une des grandes entités paysagères retenues par l'Atlas régional des paysages de 2008[8].

Environnement et Ă©cologie

Dunes et plage près du Touquet, entre la Canche et l'Authie.

L'environnement marin de cette partie de la France est caractérisé par une mer très turbide et à fort courant, avec des marées et zones intertidales importantes. Il abrite une importante biodiversité[9].

Les macroalgues sont rares sur les fonds sableux et vaseux, mais elles sont localement abondantes sur les fonds rocheux et certaines épaves[10]. Comme partout en France, l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer (Ifremer) note une régression des grandes algues, et même des fucacées pourtant considérées comme particulièrement résistantes. Cela est pour partie et localement dû à une collecte excessive de fucus pour décorer les étals de poissonniers ou les paniers d'huîtres, mais d'autres raisons sont à trouver, car cette régression semble générale (résidus de pesticides, d'antifoolings ? phytopathogènes, dérèglement climatique ?...).

Côté terrestre, les dunes, les falaises, les estuaires et les marais arrière-littoraux offrent une grande richesse de paysages et d'habitats naturels, en partie plus ou moins protégés grâce au Conservatoire du littoral, aux Conservatoires d'espaces naturels et à d'autres acteurs et outils de restauration, protection et gestion des milieux naturels relictuels.

La montée de la mer, l'urbanisation et la fragmentation écologique par les routes, la pollution lumineuse, la pollution d'origine urbaine, routière, agricole, portuaire et industrielle conjuguent leurs effets dégradants pour les milieux. Une dynamique de GIZC (Gestion intégrée des zones côtières) est expérimentée sur ce littoral. La côte d'Opale est un corridor de migration aviaire de première importance pour l'Europe et la zone paléarctique nord occidentale couverte par un accord international, l'accord sur la conservation des oiseaux d'eau migrateurs d'Afrique-Eurasie (AEWA). Les grenailles de plomb sont depuis peu interdites dans les cartouches pour les tirs effectués dans les zones humides, ce qui devrait peu à peu diminuer le nombre d'oiseaux victimes de saturnisme aviaire.

Climat

La Côte d'Opale est sous un climat océanique marqué. Les amplitudes thermiques sont faibles, les hivers sont doux et les étés frais. Les jours de gelée et de neige sont peu nombreux. Le territoire est fortement soumis aux vents pendant toute l'année, ce qui rend le temps très changeant. Entre les différentes villes de la côte, on peut parfois observer des disparités dues à l'orientation de la mer et donc des vents dominants (ouest entre Berck et les Deux Caps, nord entre les Deux Caps et la frontière belge).

Économie

L'agglomération de Dunkerque est très urbaine et industrielle. Le grand port maritime de Dunkerque est aujourd'hui le 3e port de commerce de France, derrière les ports de Marseille et du Havre.

Le sud de la Côte d'Opale est principalement rural et agricole. Son économie est davantage liée au tourisme, avec néanmoins des places urbaines et portuaires importantes. Le port de Boulogne-sur-Mer est le premier port de pêche de France mais aussi un important port de commerce. Quant à Calais, il est le principal port d'Europe continentale pour les échanges avec le Royaume-Uni.

Tourisme

Stations balnéaires

Blériot-Plage à Sangatte.
Digue de Wimereux.
Chemin d'accès à la plage d'Écault.

Les différentes stations de la Côte attirent les estivants avec un large éventail d'activités ainsi qu'avec de nombreuses villes portuaires chargées d'Histoire. Des stations balnéaires s'égrènent de Bray-Dunes (au nord) à Berck (au sud) :

Sites naturels

La baie de Wissant.
Vue du mont Saint-Frieux à Neufchâtel-Hardelot.

Autres éléments touristiques

Outre ses plages et ses sites naturels, la Côte d'Opale abrite de nombreux sites touristiques attractifs. Le centre national de la mer, Nausicaá, situé à Boulogne-sur-Mer, est le site le plus visité de la région.

Sont présents également de nombreux monuments historiques, classés ou non : la ville fortifiée de Boulogne, la Colonne de la Grande Armée, la citadelle de Montreuil, les beffrois inscrits au patrimoine mondial de l'UNESCO de Boulogne, Calais et Dunkerque, ainsi que des châteaux, des forts en mer, des églises, des phares, etc.

De nombreuses activités sportives sont proposées sur la Côte d'Opale : golf, tennis, équitation, mais aussi beaucoup de sports nautiques (char à voile, cerf-volant, speed sail, kitesurf, canoë, etc). On compte aussi plusieurs parcs d'attractions : Bagatelle à Merlimont et Aqualud au Touquet.

Arts

Les paysages de la Côte d'Opale et sa lumière ont attiré à partir des années 1880 un grand nombre d'artistes de toutes origines : les historiens de l'art parlent d'une « école de peinture de la Côte d'Opale », mouvement qui englobe divers foyers ou colonies d'artistes installés sur cette côte et son arrière-pays, par exemple à Étaples, à Wissant ou Berck, entre autres[11].

Le premier foyer, dans la lignée des impressionnistes, voit s'installer le couple de peintres, Adrien Demont et Virginie Demont-Breton, en 1881 à Wissant. Ils accueillent des peintres venus de Douai et d'Arras, tels que Georges Maroniez, Henri Duhem, Félix Planquette, etc. Au village, viennent peindre des artistes parisiens comme Pierre Carrier-Belleuse ou Alexandre Houzé[12].

À partir de 1882, des artistes parisiens s'installent à Étaples : quelques décennies plus tôt, le peintre pionnier Charles-François Daubigny choisissait déjà ce lieu pour l'inspiration insufflée. Jusqu'en 1914, des dizaines d'artistes du monde entier choisissent de vivre dans cette ville côtière, formant une sorte de colonie d'artistes appelée « École des peintres d'Étaples » ou « Colonie artistique d'Étaples » (en anglais Etaples Art Colony). En mars 1900, la galerie Georges Petit inaugure à Paris la première exposition consacrée à cette école, regroupée sous le nom de « Société nouvelle des peintres et sculpteurs ».

Plus au sud, Berck attira des maîtres comme Eugène Boudin et Édouard Manet mais aussi Francis Tattegrain, Charles Roussel, Ludovic-Napoléon Lepic, Jan Lavezzari, Albert Besnard, Alexandre Nozal, Eugène Trigoulet, Georges Maroniez[13]...

Littérature

  • Élisabeth Bourgois
  • Michel Quint, auteur entre autres du livre qui a inspirĂ© le film "Effroyables jardins"
  • Nadine Ribault, dont les livres Festina Lente, Le vent et la lumière, Matière première et Carnets de la CĂ´te d'Opale s'inscrivent dans les paysages de cette rĂ©gion.

Peintres

Parmi les nombreux peintres inspirés par la région :

Photographes

Musiciens

RĂ©alisateurs

Festivités

Organisation politique et administrative

Le Pôle métropolitain de la Côte d'Opale regroupe 11 structures de coopération intercommunale : Communauté urbaine de Dunkerque, Communauté de communes des Hauts de Flandre, Communauté de communes de la Région d'Audruicq, Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer, Communauté de communes du Pays de Lumbres, Communauté de communes Pays d'Opale, Communauté d'agglomération Grand Calais Terres et Mers, Communauté de communes de la Terre des Deux Caps, Communauté d'agglomération du Boulonnais, Communauté de communes de Desvres - Samer, Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois, ainsi que des représentants du Conseil régional des Hauts-de-France, du Conseil départemental du Nord et du Conseil départemental du Pas-de-Calais.

Pour approfondir

Bibliographie

  • Roland AndrĂ©, La CĂ´te d'Opale, JouĂ©-les-Tours, A. Sutton, 1998.
  • Caroline Behague, AurĂ©lie Boldron et Nathalie Serin, CĂ´te d'Opale, Paris, Nouvelles Ă©d. de l'UniversitĂ©, 2014.
  • Bruno BĂ©thouart, « La vitalitĂ© religieuse de la CĂ´te d'Opale aux XIXe – XXe siècles », Revue du Nord, Villeneuve d'Ascq, t. 83, no 340, 2001, p. 381-399.
  • Nathalie BĂ©tournĂ©, Christophe Gibout, Vincent Herbert et Simone Valcke (dir.), Les ports de la CĂ´te d'Opale, Dunkerque, universitĂ© du Littoral-CĂ´te-d'Opale, 2012.
  • Sophie Chegaray, Marins-pĂŞcheurs : un dĂ©fi permanent en CĂ´te d'Opale, Rennes, Ă©d. Ouest-France, 2008.
  • Marc Coppin, La CĂ´te d'Opale en guerre d'AlgĂ©rie (1954-1962), Villeneuve-d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, 2012.
  • Bertrand Dalin, CĂ´te d'Opale : tranches de France, Paris, DĂ©clics, 2006.
  • Francis Dallery (prĂ©f. Jacques Bourcart), Sur la cĂ´te d'Opale : les rivages de la Somme, autrefois, aujourd'hui, demain, Paris, Éd. Picard, coll. « MĂ©moires de la SociĂ©tĂ© d'Ă©mulation historique et littĂ©raire d'Abbeville » (no 9), (lire en ligne).
  • Gonzague Devaux (dir.), Évolution du rivage de la CĂ´te d'Opale, Paris, IGN, 2000.
  • Jean-Michel Dewailly, Tourisme et loisirs d'un littoral et de son arrière-pays : la CĂ´te d'Opale et le Montreuillois, Aix-en-Provence, Centre d'Ă©tudes du tourisme, 1974.
  • Jean-Pierre Dickès et Marcel Merlot, Ă€ tire d'aile : l'aviation sur la CĂ´te d'Opale, Boulogne, SociĂ©tĂ© acadĂ©mique du Boulonnais, 2001.
  • Jean-Pierre Dickès, Les patois de la CĂ´te d'Opale, Boulogne, SociĂ©tĂ© AcadĂ©mique du Boulonnais, 2002.
  • Jean-Pierre Dickès, La CĂ´te d'Opale par les pastellistes, Boulogne, SociĂ©tĂ© AcadĂ©mique du Boulonnais, 2010.
  • François Guennoc et Bertrand Louf, Les flobarts de la CĂ´te d'Opale : bateaux d'Ă©chouage du Boulonnais, de Wissant Ă  Équihen (XIXe et XXe siècles), Wimille, Punch, 1998.
  • François Guennoc, Tony Lestienne et Xavier Nicostrate, Le hareng : histoire et recettes en CĂ´te d'Opale, Wimille, Punch, 2005.
  • Vincent Herbert et Christophe Gibout (dir.), Plaisance et urbanitĂ©. Échelles et enjeux de l’intĂ©gration des ports de plaisance dans les villes contemporaines, Villeneuve d'Ascq, Presses universitaires du Septentrion, 2017.
  • Richard Klein, La CĂ´te d'Opale : architectures des annĂ©es 20 et 30, Paris, Norma, 1998.
  • Isabelle Leclercq, La CĂ´te d'Opale d'antan : la CĂ´te d'Opale Ă  travers la carte postale ancienne, Paris, HC Ă©ditions, 2005.
  • Michel Marcq, La CĂ´te d'Opale, Colmar-Ingersheim, Ă©d. S.A.E.P, 1978.
  • Raymonde Menuge-Wacrenier, La CĂ´te d'Opale Ă  la Belle Époque, 2 vol., Dunkerque, Westhoek/Ă©ditions des Beffrois, 1986-1987.
  • Michèle Moyne, Peintres de la cĂ´te d'Opale au XIXe siècle, Paris, Somogy, 2013.
  • JoĂ«l Rochoy, BlĂ©riot : la cĂ´te d'Opale et les pionniers de l'air, Saint-Cyr-sur-Loire, A. Sutton, 2009.

Guide

  • DUHAMEL F., FARVACQUES C., BLONDEL C., DELPLANQUE S., CATTEAU E., GELEZ W., FRANCOIS R., PREY T., CHOLET J., BUCHET J., MASSARD O., 2017 – Guide des vĂ©gĂ©tations littorales du nord-ouest de la France. Centre rĂ©gional de phytosociologie agrĂ©Ă© Conservatoire botanique national de Bailleul, 704 pages.

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. La Cote d'Opale, en Pas-de-Calais, avec l'Agence de Développement et de réservation touristiques du Pas-de-Calais sur http://www.pas-de-calais.com, consulté le 24 mars 2013
  2. Le Touquet-Paris-Plage à l'aube de son nouveau siècle, éditions Flandres-Artois-Côte d'Opale, août 1982, p. 22
  3. [PDF] Jean MĂ©ron, Orthotypographie, recherches bibliographiques 2002
  4. Pôle métropolitain Côte d'Opale sur http://www.poles-metropolitains.fr, consulté le 25 décembre 2015
  5. Site Syndicat mixte de la Côte d'Opale, consulté le 31 août 2007
  6. Saveurs et savoir-faire sur le site de la mairie de Boulogne-sur-Mer.
  7. Port transmanche de Boulogne-sur-Mer | À découvrir sur le site du port de Boulogne-sur-Mer
  8. Voir le chapitre Approche territoriale "dunes et estuaire d’opale" de l'Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais, DIRNE, 2008, PDF, 10.3 Mo.
  9. MĂĽller Yves (2004). Faune et flore du littoral du Nord, du Pas-de-Calais et de la Belgique. ICB Nord Pas de Calais.
  10. Delebecq G Gevaert F. Les Macroalgues de la Côte d'Opale : un siècle d'inventaires et perspectives actuelles, /Oceanis.
  11. « Étaples : les peintres de la Côte d’Opale auront bientôt leur musée au port », in La Voix du Nord, 8 mai 2014.
  12. « Exposition sur les peintres de Wissant », in Reportage France 3 Région Nord-Pas-de-Calais, 23 août 2011.
  13. « Lieux qui ont inspiré les peintres. La côte d'Opale Wissant, Etaples et Berck », in Masmoulin, blog du journal Le Monde, 15 juillet 2012.
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