Escalles
Escalles est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants de la commune sont appelés les Escallois.
Escalles | |||||
Vue du mont dÂŽHubert. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
RĂ©gion | Hauts-de-France | ||||
DĂ©partement | Pas-de-Calais | ||||
Arrondissement | Calais | ||||
Intercommunalité | CA Grand Calais Terres et Mers | ||||
Maire Mandat |
Marc Boutroy 2020-2026 |
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Code postal | 62179 | ||||
Code commune | 62307 | ||||
DĂ©mographie | |||||
Gentilé | Escallois | ||||
Population municipale |
219 hab. (2020 ) | ||||
Densité | 30 hab./km2 | ||||
GĂ©ographie | |||||
CoordonnĂ©es | 50° 55âČ 04âł nord, 1° 42âČ 53âł est | ||||
Altitude | Min. 0 m Max. 154 m |
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Superficie | 7,29 km2 | ||||
Type | Commune rurale et littorale | ||||
Aire d'attraction | Calais (commune de la couronne) |
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Ălections | |||||
DĂ©partementales | Canton de Calais-1 | ||||
LĂ©gislatives | 7e circonscription du Pas-de-Calais | ||||
Localisation | |||||
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : France
GĂ©olocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
GĂ©olocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Liens | |||||
Site web | escalles.fr | ||||
La commune fait partie de la communauté d'agglomération Grand Calais Terres et Mers qui regroupe 14 communes et compte 103 893 habitants en 2019. Avec 219 habitants au dernier recensement de 2020, elle en est la plus petite commune.
Village de la CÎte d'Opale, il est principalement connu pour abriter le cap Blanc-Nez, l'un des principaux sites touristiques du nord de la France. Le village est ainsi l'une des huit communes formant le Grand site des Deux Caps, labellisé « Grand Site de France » depuis 2011.
Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.
GĂ©ographie
C'est un petit village situé non loin de Calais, au sud de Sangatte au pied du cap Blanc-Nez (altitude 151 m).
Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes et de la Manche :
Hydrographie
Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique franc de type 5 »[Note 1], selon la typologie des climats en France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1].
Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-aprÚs[1].
ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000
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Espaces protégés et gérés
La protection rĂ©glementaire est le mode dâintervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[2].
Dans ce cadre, la commune fait partie de quatre espaces protégés et gérés :
- le parc naturel rĂ©gional des Caps et Marais d'Opale, dâune superficie de 132 499 hectares rĂ©parties sur 153 communes[3] ;
- le cap Blanc-Nez, terrain acquis par le Conservatoire du littoral, d'une superficie de 343 hectares[4] ;
- le petit Blanc-Nez, terrain acquis par le Conservatoire du littoral, d'une superficie de 13,87 hectares[5] ;
- le Cap Blanc Nez, protĂ©gĂ© par un arrĂȘtĂ© de protection de biotope, d'une superficie de 129,36 hectares[6].
Zone naturelle d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire.
Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 3] : le site du Cap Blanc-Nez, mont dâHubert, mont Vasseur et fond de la Forge. Ce site marque la fin de la partie nord des collines de l'Artois sur laquelle se trouve la seule falaise crĂ©tacique littorale de la rĂ©gion Nord-Pas de Calais, culminant Ă plus de 150 mĂštres[7].
Patrimoine géologique
Sur le territoire communal se trouve le site des formations crĂ©tacĂ©es dans les falaises du Cap Blanc-Nez. Il est inscrit Ă l'inventaire national du patrimoine gĂ©ologique et on y trouve des roches sĂ©dimentaires dĂ©posĂ©es entre lâAlbien et le Turonien supĂ©rieur[8].
Site Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels dâintĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce rĂ©seau est constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS). Dans les zones de ce rĂ©seau, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[9].
Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats » : les falaises et pelouses du cap Blanc-Nez, du mont d'Hubert, des Noires Mottes, du fond de la Forge et du mont de Couple, d'une superficie de 728 hectares dont 40 % de superficie marine, avec une altitude maximum de 162 mÚtres[10].
Urbanisme
Typologie
Escalles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4] - [11] - [12] - [13].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14] - [15].
La commune, bordĂ©e par la Manche, est Ă©galement une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[16]. Des dispositions spĂ©cifiques dâurbanisme sây appliquent dĂšs lors afin de prĂ©server les espaces naturels, les sites, les paysages et lâĂ©quilibre Ă©cologique du littoral, comme par exemple le principe d'inconstructibilitĂ©, en dehors des espaces urbanisĂ©s, sur la bande littorale des 100 mĂštres, ou plus si le plan local dâurbanisme le prĂ©voit[17] - [18].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), une proportion sensiblement Ă©quivalente Ă celle de 1990 (90,3 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : terres arables (88,6 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (11,4 %)[19].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[20].
Voies de communication et transports
La commune est desservie par les routes départementales D 243 et D 940 et est située à 5 km, à l'ouest, de la sortie no 40 de l'autoroute A 16, baptisée L'Européenne, reliant L'Isle-Adam à la frontiÚre belge[21].
Transport ferroviaire
La commune se trouve à 8 km, à l'ouest, de la gare de Calais - Fréthun, située sur la ligne LGV Nord et la ligne de Boulogne-Ville à Calais-Maritime, desservie par des TGV inOui et des TER (dont TERGV)[22].
Transport en commun
Escalles est desservie en été par la ligne 5 du réseau Imag'in. La commune est également desservie par la ligne 427 du réseau interurbain du Pas-de-Calais reliant Calais à Boulogne-sur-Mer.
Toponymie
Le nom de la localité est attesté sous les formes Scala en 844-877 ; Scalas ou Scalae en 1040 ; Scales en 1107-1112 ; Scalae Bertiniacae au XIIIe siÚcle ; Escales en 1297 ; Escailles en 1543 ; Skale en 1550 ; Haute et basse Escalles en 1584 ; Ecalles en 1607 ; Escalles en 1681[23] - [24], Ecalles en 1793 et Escalles depuis1801[25].
Il s'agit d'une formation toponymique sans doute médiévale qui consiste en un seul appellatif pris absolument[24] - [27].
Cependant, plusieurs hypothĂšses existent sur son origine exacte. Albert Dauzat rapproche Escalles des noms de lieu du type L'Ăchelle (Ardenne, Scala 1262); L'Ăchelle (Somme), ainsi que du type occitan Escales (Aude, Scalas 979), auxquels il attribue le sens d'« Ă©chelle â pente abrupte »[27]. Cela correspond au site environnant Escales, notamment celui du Mont-Hubert. Maurits Gysseling compare avec les noms de lieux anglais Scales et normands Ăcalles et suggĂšre de l'interprĂ©ter par le vieux norrois skĂĄli « barraque »[24].
François de Beaurepaire le cite lui aussi avec les toponymes anglais Scales et normands[28] (Estouteville-Ăcalles , Seine-Maritime, Scalis fin XIIe siĂšcle; Villers-Ăcalles, Seine-Maritime, Escalis XIIe siĂšcle); Foucart, Seine-Maritime, Foucart Escalles jusqu'au XVIIIe siĂšcle; TouffrĂ©cal, Seine-Maritime, Torfrescalis 1156-1161, nom de personne vieux norrois Ăorfridr; BrecquĂ©cal, Manche, sur le vieux norrois brekka « pente, Ă©lĂ©vation »). Cependant, s'il considĂšre bien les toponymes normands comme issus du vieux norrois skĂĄli « habitation temporaire ». Il Ă©met Ă©galement l'hypothĂšse de l'anglo-saxon scale de sens proche[28] qui selon lui se retrouve dans Escalles[28]. Il le met en lien avec les Ă©tablissements [anglo-]saxons du Boulonnais (notamment les noms en -thun, Ă©quivalent du -ton anglais). Cependant le mot anglo-saxon *scale ne semble pas attestĂ© et A. D. Mills explique les Scales du nord de l'Angleterre tout comme Gysseling par le vieux norrois skĂĄli[29]. Les noms de lieux germaniques du Boulonnais ont fait l'objet dâune Ă©tude plus rĂ©cente d'Arnaud Fournet dans la Nouvelle revue d'onomastique[30]. Il considĂšre *skal « abri » comme germanique sans plus de prĂ©cision[30].
Histoire
Vers 1120, Escalles Ă©tait une seigneurie dĂ©pendant de l'abbaye de Saint-Bertin de Saint-Omer. Les habitants d'Escalles devaient diffĂ©rentes servitudes aux comtes de GuĂźnes, dont Ă ManassĂšs Ier de GuĂźnes en particulier, comme l'obligation de construire des ouvrages en son chĂąteau de GuÌ©Ăźnes. En 1124, Lambert, abbĂ© de Saint-Bertin, obtint de ManassĂšs que cette obligation cesse. En Ă©change, ManassĂšs reçut la promesse que les habitants d'Escalles lui apporteraient leur assistance en cas de guerre[31].
En 1266, un accord est passĂ© entre le comte de GuĂźnes Arnould III de GuĂźnes et l'abbaye de Saint-Bertin au sujet de terres situĂ©es Ă Scales[32]. Et en 1272, le mĂȘme comte entĂ©rine l'accord passĂ© avec l'abbaye au sujet de la libre circulation des tenanciers du monastĂšre demeurant Ă Scales pour faire commerce de draps et de laines[33].
Politique et administration
DĂ©coupage territorial
La commune se trouve, depuis 1962, dans l'arrondissement de Calais du département du Pas-de-Calais, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Boulogne-sur-Mer[25].
Commune et intercommunalités
La commune est membre de la communauté d'agglomération Grand Calais Terres et Mers.
Circonscriptions administratives
La commune est rattachée au canton de Calais-1.
Circonscriptions Ă©lectorales
Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la septiÚme circonscription du Pas-de-Calais.
Liste des maires
Ăquipements et services publics
Enseignement
La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.
La commune administre l'école maternelle Françoise Dolto en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 121)[39].
Justice, sécurité, secours et défense
La commune dépend du tribunal de proximité de Calais, du conseil de prud'hommes de Calais, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pÎle nationalité du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[40].
Population et société
DĂ©mographie
Les habitants de la commune sont appelés les Escallois[41].
Ăvolution dĂ©mographique
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[43].
En 2020, la commune comptait 219 habitants[Note 6], en diminution de 10,98 % par rapport Ă 2014 (Pas-de-Calais : â0,71 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Pyramide des Ăąges
En 2018, le taux de personnes d'un Ăąge infĂ©rieur Ă 30 ans s'Ă©lĂšve Ă 26,7 %, soit en dessous de la moyenne dĂ©partementale (36,7 %). Ă l'inverse, le taux de personnes d'Ăąge supĂ©rieur Ă 60 ans est de 33,6 % la mĂȘme annĂ©e, alors qu'il est de 24,9 % au niveau dĂ©partemental.
En 2018, la commune comptait 102 hommes pour 120 femmes, soit un taux de 54,05 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,5 %).
Les pyramides des ùges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Pistes cyclables
La piste cyclable « La VĂ©lomaritime », partie cĂŽtiĂšre française de la « VĂ©loroute de lâEurope - EuroVelo 4 », qui relie Roscoff en France Ă Kiev en Ukraine sur 5 100 km, traverse la commune, en venant de Wissant pour desservir Bonningues-lĂšs-Calais[47] - [48].
Sentier pédestre
Le sentier de grande randonnée GR 120 ou GR littoral (partie du sentier européen E9 allant du Portugal à l'Estonie), appelé aussi sentier des douaniers, traverse la commune en longeant la cÎte[49].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- Le cap Blanc-Nez.
- L'église Saint-Maxime. Elle héberge 7 éléments patrimoniaux, répertoriés dans la base Palissy, inscrits au titre d'objet des monuments historiques[50].
- Le monument dédié à la patrouille de Douvres (1922).
- Le monument aux morts[51].
- Le pigeonnier de La Grand'maison.
- Escalles vue du cap Blanc-Nez.
- Le cap Blanc-Nez.
- L'Ă©glise Saint-Maxime.
- Le pigeonnier de La Grand'maison.
Escalles au cinéma
L'Amour avec des si, film de Claude Lelouch, comporte certaine scÚnes tournées sur la commune d'Escalles lors des hivers neigeux de 1962 et 1963, dont une poursuite de voitures.
HĂ©raldique
Blason | D'argent au sautoir de gueules, chargĂ© en cĆur d'un tourteau d'azur et accompagnĂ© en pointe d'une ombre d'Ă©toile de sable[52]. |
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Détails | * Il y a là non-respect de la rÚgle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (azur sur gueules). Adopté par la municipalité. |
Pour approfondir
Articles connexes
Liens externes
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative Ă plusieurs domaines :
- Ressource relative aux organisations :
- Dossier Insee relatif aux rattachements de la commune, [lire en ligne]
- « Escalles » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Le climat océanique franc de type 5 occupe un mince liseré en bordure de la mer du Nord et l'ensemble de la Normandie, la Bretagne, la Vendée et les Charentes. Un espace océanique réduit occupe l'ouest des landes et des Pyrénées-atlantiques. Les températures sont moyennes et trÚs homothermes : l'amplitude annuelle (moins de 13°C d'écart entre juillet et janvier), le nombre de jours froids (moins de 4) et chauds (moins de 4) et la variabilité interannuelle sont minimaux. Les précipitations sont annuellement abondantes (un peu plus de 1000 mm) et fréquentes en hiver (plus de 13 jours en janvier). L'été est également pluvieux (8-9 jours en juillet) mais les cumuls sont réduits. Le climat océanique se caractérise enfin par une forte variation interannuelle des précipitations d'hiver. (Source : Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography).
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,â (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
- « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR1100717 - Cap Blanc-Nez », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « espace protégé FR1100137 - petit Blanc-Nez », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Espace protégé FR3801058 - Cap Blanc Nez », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « 310007018 - Cap Blanc Nez, Mont dâHubert, Mont Vasseur et Fond de la Forge », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consultĂ© le ).
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- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
- © les contributeurs dâOpenStreetMap, « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consultĂ© le ).
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- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 258a.
- François de Beaurepaire (préf. Marianne Mulon), Les Noms des communes et anciennes paroisses de la Seine-Maritime, Paris, A. et J. Picard, (ISBN 2-7084-0040-1, OCLC 6403150), p. 68 - 69.
- A. D. Mills, A Dictionary of British Place Names, Publisher: Oxford University Press, Print Publication Date: 2011, Print (ISBN 9780199609086), Published online: 2011, Current Online Version: 2011 (ISBN 9780191739446) (lire en ligne anglais)
- Arnaud Fournet, « à propos des toponymes germaniques dans l'ancien comté de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais) » in Nouvelle revue d'onomastique, année 2012, pp. 21- (lire en ligne)
- André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 27-28, lire en ligne
- Alphonse Wauters,Table chronologique des chartes et diplÎmes imprimés concernant l'histoire de la Belgique, 10 volumes en 11 tomes, Bruxelles, 1866 à 1904. Tome V, Année 1266.
- A. Wauters, op. cit., Tome V, Année 1272.
- B.B.(CLP), « Ă Escalles, le maire Marc Boutroy entame son septiĂšme mandat : Vendredi soir, le conseil municipal nouvellement Ă©lu sâest rĂ©uni pour la premiĂšre fois Ă la mairie. Les onze conseillers municipaux dont cinq nouveaux Ă©lus ont procĂ©dĂ© Ă lâĂ©lection du maire. Ils ont votĂ© Ă lâunanimitĂ© pour le maire sortant, Marc Boutroy, maire de la commune depuis 1977. », La Voix du Nord,â (lire en ligne, consultĂ© le ).
- « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
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- « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).