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Vigilance météorologique de Météo-France

La vigilance météorologique de Météo-France est une procédure nationale d'information de la population, des pouvoirs publics, des services de la sécurité civile et des autorités sanitaires en cas de phénomènes météorologiques dangereux prévus par Météo-France[1]. Elle attire l'attention de tous sur les dangers potentiels au niveau départemental d'une situation météorologique particulière et informe des conséquences possibles et des précautions spécifiques pour s'en protéger au mieux. Elle a été initiée le 1er octobre 2001, à la suite des violentes tempêtes Lothar et Martin fin , par Météo-France en collaboration avec le ministère de l'Intérieur, le ministère de l'Équipement, des Transports, de l'Aménagement du territoire, du Tourisme et de la Mer, et le ministère de l'Écologie et du développement durable. Ce dispositif est encadré par une circulaire interministérielle faisant intervenir le ministère de l’Intérieur qui est chargé de l’alerte et le Ministère de la transition écologique et solidaire (MTES), chargé de la prévention des risques naturels et tutelle de Météo-France.

Carte vigilance météorologique de Météo-France le 27 février 2010 à 19h30 lors de la tempête Xynthia

Objectifs

Les objectifs poursuivis par Météo France sont :

  1. de donner aux autorités publiques, aux échelons national, zonal et départemental, les moyens d'anticiper, par une annonce plus précoce, une crise majeure ;
  2. de fournir aux préfets, aux maires et aux services opérationnels les outils de prévision et de suivi permettant de préparer et de gérer une telle crise ;
  3. d'assurer simultanément l'information la plus large des médias et des populations en donnant à ces dernières les conseils ou consignes de comportement adaptés à la situation. Le support de la procédure d'appel est constitué par une « carte de vigilance » publiée quotidiennement par Météo-France pour la période des 24 heures à venir. Le niveau de vigilance nécessaire et indispensable vis-à-vis des conditions météorologiques à venir est présenté sous une échelle de quatre couleurs figurant en légende de la carte ci-après.

Phénomènes pris en compte

En France métropolitaine

Lors de sa création en 2001, la vigilance météorologique portait sur cinq paramètres[2] :

  • Vent violent ;
  • Fortes précipitations ;
  • Orages ;
  • Neige-verglas ;
  • Avalanches

La première carte de Vigilance a été publiée par Météo-France le 1er octobre 2001[3].

En 2004, à la suite de la canicule de 2003, les vigilances "Canicule" et "Grand froid" sont ajoutées au système en place[3].

En décembre 2007, la vigilance "Fortes précipitations" est renommée en "Pluie-inondation"[3] dans le but d'intégrer la vigilance liée aux crues mise en place à l'origine par Vigicrues.

En novembre 2011, à la suite des submersions meurtrières des côtes charentaises et vendéennes par Xynthia le 28 février 2010, Météo-France, en partenariat avec le service hydrographique et océanographique de la Marine (SHOM) intègre à la vigilance les phénomènes côtiers, avec la vigilance "Vagues-submersion"[3], liés notamment à la forte houle et la surcote causée par les ondes de tempête parfois combinées aux forts coefficients de marée. À la même date, un pictogramme "Inondation" est ajouté dans les phénomènes suivis : il intègre les seules données de Vigicrues par une correspondance géographique entre un tronçon de cours d'eau et le(s) département(s) touché(s).

En 2020 le site relai l'information crues produite par le réseau Vigicrues et il est rénové et modernisé[3].

Ainsi, la vigilance météorologique vise à attirer l'attention sur les neuf phénomènes[2] suivants :

En France d'outre-mer

Un système de vigilance météorologique est également présent dans une partie de la France d'Outre-mer (Antilles françaises, Guyane, La Réunion, Mayotte, la Nouvelle-Calédonie et la Polynésie française). Il porte sur les phénomènes suivants :

  • vent violent ;
  • fortes précipitations ;
  • orages ;
  • forte houle ;
  • cyclone.

Les paramètres « Fortes précipitations » et « Orages » sont combinés sur les cartes des Antilles, de la Guyane et de la Nouvelle-Calédonie.

Échelle de vigilance

L'échelle de vigilance météorologique française valable en métropole et en outre-mer est graduée en 4 niveaux, chacun d'entre eux étant associé à :

  • une couleur représentative, vert, jaune, orange et rouge ;
  • un qualificatif de vigilance ;
  • une série de consignes / conseils de comportement.
Échelle de vigilance Météo-France
Niveau Vigilance Description Consignes
Vert Pas de vigilance particulière
Jaune Soyez attentif Des phénomènes habituels dans la région mais occasionnellement et localement dangereux (par exemple : mistral, orage d'été, montée des eaux, fortes vagues submergeant le littoral) sont prévus. Si vous pratiquez des activités sensibles au risque météorologique ou à proximité d'un rivage ou d'un cours d'eau, tenez-vous au courant de l'évolution de la situation.
Orange Soyez très vigilant Des phénomènes dangereux sont prévus. Tenez-vous au courant de l'évolution de la situation et suivez les conseils de sécurité émis par les pouvoirs publics.
Rouge Une vigilance absolue s'impose Des phénomènes dangereux d'intensité exceptionnelle sont prévus. Tenez-vous régulièrement au courant de l'évolution de la situation et respectez impérativement les consignes de sécurité émises par les pouvoirs publics.

En cas de vigilance orange ou rouge, un bulletin de suivi est alors disponible pour suivre l'évolution météo.

En zones tropicales et en cas de phénomène cyclonique imminent, la vigilance "Cyclone" est amenée à être activée. Celle-ci peut comporter jusqu'à deux niveaux de vigilance supplémentaires, violet et gris en plus des 4 autres niveaux existants, selon le territoire visé :

Définition des différents niveaux
Vigilance Description et Consignes
Phase de confinement ou alerte cyclonique maximale Danger imminent et effets majeurs.
Phase de sauvegarde Phénomène s'éloignant, mais des dangers persistent. Fortes pluies, crues, grosse mer et vents violents sont encore possibles. Les secours s'activent, les services réparent. Évitez les déplacements, tenez-vous informés.
Couleurs en fonction des départements ou territoires
Niveau Antilles françaises et Guyane Nouvelle-Calédonie, la Réunion et Mayotte Polynésie française
Phase de confinement ou alerte cyclonique maximaleVioletRougeRouge
Phase de sauvegardeGrisGrisViolet


Fonctionnement

Exemple de carte vigilance de Météo-France (carte du 24 janvier 2009 lors de la Tempête Klaus)

Une carte de France représentant les départements et l'Andorre (qui a passé un contrat avec Météo France depuis septembre 2006) est disponible en permanence sur le site internet de Météo-France et sur l'application mobile pour tablette et ordiphone[4].

Cette carte vise à attirer l'attention de tous sur des situations qui peuvent être dangereuses dans les 24 heures à venir. Elle signale si un ou plusieurs phénomènes météorologiques menacent un ou plusieurs départements dans les 24 heures : chaque département et la principauté d'Andorre est coloré en vert, jaune, orange ou rouge, selon l'intensité prévue du (ou des) phénomène(s) météorologique(s) et le niveau de vigilance associé au(x) phénomène(s). Cette carte est actualisée au moins deux fois par jour, à 6h et 16h. Si un changement notable intervient, elle peut être actualisée à tout moment.

En cas de phénomène dangereux de forte intensité, la zone concernée apparaît en orange, c'est une vigilance de niveau ORANGE.

En cas de phénomène très dangereux d'intensité exceptionnelle, la zone concernée apparaît cette fois en rouge, c'est une vigilance de niveau ROUGE.

En cas de vigilance de niveau ORANGE ou ROUGE, deux pictogrammes au plus indiquent la nature du (ou des) phénomène(s) météorologique(s) concerné(s). La carte est accompagnée de bulletins de suivi qui sont actualisés aussi souvent que nécessaire. Ces bulletins précisent l'évolution du phénomène, sa trajectoire, son intensité et sa fin, ainsi que les conséquences possibles de ce phénomène et des conseils de comportement définis par les pouvoirs publics. Il existe un bulletin à l'échelle des Centres Météorologiques Inter Régionaux. Ces bulletins font l'objet d'une synthèse à l'échelle nationale par un bulletin éponyme, qui est visible sous la carte.

Depuis novembre 2007, la vigilance Pluie / Inondation regroupe deux vigilances en réalité distinctes. La vigilance Pluie - Inondation est émise par Météo-France, d'après les quantités de précipitations attendues ou observées. La vigilance Crue (nommée "inondation" dans la carte de Météo France) concerne les cours d'eau pour lesquels l'État assure un suivi de la situation hydrologique, et se base sur les écoulements observés et prévus en fonction des niveaux d'eau initiaux dans les rivières, de leur propagation, des précipitations mesurées et prévues et de l'état de saturation des sols. Elle est assurée par les 19 services de Prévision des Crues (SPC), coordonnés par le Service Central d’Hydrométéorologie et d'Appui à la Prévision des Inondations (SCHAPI) (cf. Vigicrues[5]). Elle est reprise par Météo-France par une correspondance géographique cours d'eau - département, pour une meilleure diffusion de cette information souvent oubliée[6]. Lorsque Vigicrues a un ou plusieurs cours d'eau en vigilance orange (ou rouge), le pictogramme "inondation" sur la carte de Météo-France ne s'affiche qu'en l'absence d'une vigilance au moins orange pour le phénomène pluie-inondation (cf. carte de vigilance du 19 juin 2013 à 16h).

  • Dans certains cas particuliers, le pictogramme d'un phénomène en vigilance rouge peut cacher un autre phénomène en vigilance orange. Ce fut par exemple le cas lors de la tempête Klaus en 2009 où certains départements du Sud-Ouest en rouge pour le vent étaient aussi en vigilance orange pour les inondations ou la pluie. Si la carte de vigilance ne permet pas encore d'afficher explicitement les pictogrammes de tous les phénomènes en orange et/ou rouge, l'état de vigilance dès la couleur jaune, phénomène par phénomène météo, est accessible en passant la souris sur un département ou en cliquant dessus.

Enfin, l'archive de la vigilance météorologique est accessible via les données publiques du site de Vigilance de Météo-France[7].

A partir du 29 novembre 2022 la vigilance est étendue au lendemain au moyen d'une double carte : celle du jour et celle en prévision pour le lendemain[8]. Dans le même temps la localisation est affinée sur 46 zones littorales (quasi doublement) pour vagues-submersion et sur 37 zones montagneuses (quasi triplement) pour avalanches[8].

Suivi de la pertinence de la procédure


Le dispositif étant encadré par une circulaire interministérielle faisant intervenir le ministère de l’Intérieur qui est chargé de l’alerte et le Ministère de la transition écologique et solidaire (MTES), chargé de la prévention des risques naturels et tutelle de Météo-France[9], un comité de pilotage se réunit au moins une fois par an sous la présidence conjointe de la Direction générale de la prévention des risques (DGPR) du MTES, de Météo-France (Direction des affaires institutionnelles) et de la Direction Générale de la Sécurité Civile et de la Gestion des Crises (DGSCGC) du Ministère de l’intérieur afin d'examiner le bilan et de décider des améliorations à apporter. C'est, à l'initiative de ce comité qu'a été mis en place, à la suite de la tempête Xynthia, l'aléa vagues-submersion en 2011[10].

Historique des déclenchements de la vigilance rouge

Bilan

Depuis la mise en place de la procédure de vigilance météorologique, le niveau maximal de vigilance rouge ne fut déclenchée qu'à quelques reprises. La première fois fut pour le département du Gard lors des inondations meurtrières des 8 et 9 septembre 2002. Depuis, le niveau fut aussi atteint pour différents évènements importants comme le passage de la tempête Klaus en janvier 2009 et de la tempête Xynthia en février 2010 pour le phénomène de vent violent. Les vigilances rouges dues à des phénomènes hydrologiques ne sont pas déclenchées directement par Météo-France mais par Vigicrues : la première visible sur la carte de vigilance de Météo France date de la Toussaint 2008 sur l'amont de la Loire ; quant à la première vigilance rouge de Vigicrues, elle date d' sur le bassin amont de la Meurthe et de la Moselle mais à cette date, la vigilance crue n'était pas intégrée à la vigilance météorologique de Météo-France. Toutefois, lors des inondations d'octobre 2015 dans les Alpes-Maritimes qui ont fait 20 victimes, la vigilance rouge ne s'est pas déclenchée.

Au en France métropolitaine, les plus grands nombres de mises de départements en vigilance rouge distinctes sont :

  • par département (supérieur à cinq cas) : le Gard et l'Hérault (quinze cas) ; Pyrénées Atlantiques (huit cas) ;
  • par type d'événement (supérieur à dix cas) : inondation-crue (vingt-cinq cas distincts pour vingt-sept départements), pluie-inondation (vingt-deux cas distincts pour douze départements), orages (onze cas pour trois départements) ;
  • par année (supérieur à trois cas) : 2014 (neuf événements), 2021 (sept événements), 2018, 2020 (six événements), 2019 (cinq événements dont les premières vigilances canicule lors de la canicule de juin et de la canicule de fin juillet), 2022 (cinq événements), 2016 (quatre événements) et 2013 (quatre événements parmi lesquels certains phénomènes associés sont sans précédent depuis la création de la vigilance (avalanches, neige-verglas, et inondation sans phénomène pluvieux remarquable justifiant néanmoins une vigilance rouge pluie-inondation)) ;
  • par nombre de départements (supérieur à dix) simultanément en vigilance rouge pour le même type d'événement : vingt du 24 au pour canicule, quinze du 7 au et du 17 au pour canicule, douze, puis quatorze, puis onze du 16 au , pour canicule.

Quant aux vigilances rouges les plus longues (supérieures ou égales à 72h = 3j), on retrouve, par département :

  1. Canicule du 16 h au 16 h, soit 120 heures, pour les Yvelines, Paris et sa petite couronne, le Val-d'Oise, Essonne ;
  2. Canicule du 16 h au 6 h, soit 110 heures, pour la Seine-Maritime et l'Eure ;
  3. Canicule du 6 h au 16 h, soit 106 heures, pour le Nord, le Pas-de-Calais, la Somme, l'Oise, l'Aisne, la Seine-et-Marne ;
  4. Inondation du 10 h au 10 h, soit 72 heures, pour le Morbihan .

Tableaux

Dans le tableau suivant, pour chaque département cité, chaque épisode n'est identifié que par sa première date.

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

  1. Météo-France, « Qu'est-ce que la vigilance météorologique ? » (consulté le )
  2. Météo-France, « La Vigilance météorologique » (consulté le )
  3. Météo-France, « La Vigilance météorologique : 20 ans d’évolutions continues », (consulté le )
  4. Carte de la vigilance météorologique en vigueur ce jour.
  5. Site de VigiCrues
  6. « Ministère de l'Écologie »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?)
  7. « Archives Cartes et Bulletins Vigilance », sur Météo-France (consulté le )
  8. « La Vigilance de Météo-France étendue au lendemain pour mieux se préparer aux dangers météorologiques », sur Météo-France (consulté le )
  9. « Circulaire interministérielle relative à la procédure de vigilance et d'alerte météorologiques »
  10. Catherine Calmet, « La vigilance météorologique, une innovation pour le grand public », sur doi.org, La Météorologie, (consulté le )
  11. Académie de Toulouse
  12. http://www.ladocumentationfrancaise.fr/var/storage/rapports-publics/044000621/0000.pdf
  13. http://wwwv1.agora21.org/ari/doc2005/rapport-Dumas-Rajaonson.pdf
  14. http://www.centre.developpement-durable.gouv.fr/IMG/pdf/maquette_crue2011-v4.pdf « Copie archivée » (version du 3 mars 2016 sur Internet Archive)
  15. « Le Figaro - France : Toute l'actualité en France », sur Le Figaro.fr (consulté le ).
  16. « 400 millions: le coût des inondations dans le Sud », L'Humanité, (lire en ligne, consulté le ).
  17. « Neige : 2 départements en vigilance rouge et 27 en vigilance orange », sur FranceTV info, (consulté le )
  18. « lci.tf1.fr/economie/entreprise… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogle • Que faire ?).
  19. Pays de Lourdes et des vallées des Gaves, « MISE EN PLACE D’UN PROGRAMME D’ACTIONS DE PRÉVENTION DES INONDATIONS (PAPI) SUR LE BASSIN VERSANT DU GAVE DE PAU BIGOURDAN : État des lieux - Diagnostic » [PDF], (consulté le ), p. 83
  20. « Inondations dans l’Hérault : une facture de 500 à 600 millions d’euros », sur Linfo.re (consulté le ).
  21. « Ségolène Royal demande à Météo France de placer Rouen en vigilance rouge pour les risques d'inondation », sur France 3 Région Haute-Normandie, (consulté le ).
  22. franceinfo, « Canicule : l'Hérault, le Gard, le Vaucluse et les Bouches-du-Rhône sont placés en vigilance rouge, une prem... », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  23. http://www.leparisien.fr/societe/canicule-20-departements-dont-l-ile-de-france-places-en-vigilance-rouge-24-07-2019-8122791.php
  24. Jeanne Bulant, « Intempéries : le Var et les Alpes-Maritimes placés en vigilance rouge », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  25. Juliette Mitoyen et Jeanne Bulant, « Inondations : 11 départements maintenus en vigilance orange », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  26. La rédaction de LCI, « EN DIRECT - Tempête Gloria : à Claira, Brune Poirson salue la gestion du passage de la catastrophe », sur lci.fr, (consulté le ).
  27. Aurore Jarnoux, « CARTE - Canicule : 15 départements en vigilance rouge, 49 en orange », sur francebleu.fr, (consulté le ).
  28. « Passage du cyclone tropical Omar », sur meteo.fr (consulté le ).
  29. « METEO FRANCE », sur meteofrance.fr (consulté le ).
  30. (en) « Polynésie française : COMMUNIQUE N°19 : Fin de l'alerte rouge à RAPA - French Polynesia (France) », sur ReliefWeb (consulté le ).
  31. http://www.leparisien.fr/societe/nouvelle-caledonie-alerte-cyclonique-renforcee-a-l-approche-d-hola-09-03-2018-7598703.php
  32. https://www.ouest-france.fr/monde/nouvelle-caledonie-levee-des-alertes-cycloniques-pas-de-degats-majeurs-5613474
  33. « Vigilance "rouge fortes pluies" sur une grande partie du pays - Nouvelle-Calédonie la 1ère », sur francetvinfo.fr, Nouvelle-Calédonie 1ère, (consulté le ).
  34. « Tempête Isaac : la Guadeloupe et la Martinique en vigilance rouge », sur TourMaG.com, 1er journal des professionnels du tourisme francophone (consulté le ).
  35. R.V. et C.P. avec AFP, « La tempête Isaac est passée entre la Martinique et la Guadeloupe », sur bfmtv.com, (consulté le ).
  36. « [MàJ 17h00] La dépression Oma a commencé sa descente vers la Nouvelle-Calédonie, l'alerte 2 déclenchée à 11 h », sur francetvinfo.fr, Nouvelle-Calédonie 1ère, (consulté le ).
  37. « Oma poursuit sa descente - Nouvelle-Calédonie la 1ère », sur francetvinfo.fr, Nouvelle-Calédonie 1ère, (consulté le ).
  38. « Oma : toutes les alertes levées, la phase de sauvegarde déclenchée jusqu'à 10 h - Nouvelle-Calédonie la 1ère », sur francetvinfo.fr, Nouvelle-Calédonie 1ère, (consulté le ).
  39. « Oma perd en puissance, vigilance rouge maintenue », sur LNC.nc / Les Nouvelles Calédoniennes, le Journal de Nouvelle Calédonie, (consulté le ).
  40. Louis San et Margaux Duguet, « Cyclone Belna : l'alerte rouge levée à Mayotte », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  41. « Les cinq communes les plus au Nord sont passées en alerte 2 et Poya a basculé en alerte 1 - Nouvelle-Calédonie », sur francetvinfo.fr, Nouvelle-Calédonie 1ère, (consulté le ).
  42. https://securite-civile.nc/sites/default/files/documents/20200212_uesi_communique_5.pdf
  43. « Fortes pluies : Thio et Yaté en rouge, plusieurs autres communes voient orange - Nouvelle-Calédonie la 1ère », sur francetvinfo.fr, Nouvelle-Calédonie 1ère, (consulté le ).
  44. « Fortes pluies : la Calédonie revient à une vigilance jaune, huit personnes secourues - Nouvelle-Calédonie la 1 », sur francetvinfo.fr, Nouvelle-Calédonie 1ère, (consulté le ).
  45. « La vigilance rouge fortes pluies et orages est levée, l'épisode touche à sa fin - Nouvelle-Calédonie la 1ère », sur francetvinfo.fr, Nouvelle-Calédonie 1ère, (consulté le ).
  46. « La Martinique en vigilance rouge cyclone à l’approche de la tempête Bret », sur lemonde.fr, Le Monde, (consulté le ).
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