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Pouébo

Pouébo (en langue nyelâyu : Pweevo) est une commune française de Nouvelle-Calédonie, au nord-est de la Grande Terre en Province Nord, à environ 35 km de Ouégoa, à 440 km de Nouméa par Koumac, et 40 km au nord de Hienghène.

Pouébo
Pweevo
Pouébo
Cascade de Colnett
Administration
Pays Drapeau de la France France
Collectivité Nouvelle-Calédonie
Province Province Nord
Aire coutumière Hoot Ma Waap
Maire
Mandat
Florentin Dedane (UC)
2020-2026
Code postal 98824
Code commune 98824
DĂ©mographie
Population
municipale
2 144 hab. (2019 en diminution de 12,56 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 11 hab./km2
Ethnie Kanak : 95,4 %
Européens : 2,2 %
MĂ©tis : 1,4 %
Wallisiens-Futuniens : 0,4 %
Ni-Vanuatu : 0,1 %
Indonésiens : 0,1 %
Autres : 0,2 %
Non déclarés : 0,2 %
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 20° 23′ 51″ sud, 164° 34′ 08″ est
Altitude Min. 0 m
Max. 1 505 m
Superficie 202,8 km2
Localisation
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Calédonie
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Pouébo
Pweevo
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Pouébo
Pweevo

    La commune fait partie de l'aire coutumière Hoot ma Waap.

    GĂ©ographie

    Le mont Colnett est le point culminant de la commune avec une altitude de 1 505 mètres.

    Les paysages sont magnifiques : lagon, montagne, vallées, avec cascades, plaine côtière luxuriante, jardins kanak, exceptionnelle mangrove de Mazedet, en plein cœur de la "Zone côtière Nord et Est", inscrite sur la liste du Patrimoine mondial de l’UNESCO.

    Histoire

    Premier contact

    Le premier contact entre des Européens et des Kanak a lieu à environ 13 km au nord, à Balade : James Cook accoste en 1774.

    1847-1853

    Au même endroit commence l'évangélisation catholique de la Nouvelle-Calédonie, avec le débarquement (du navire Le Bucéphale) de la mission d'Amata (nom d'un évêché antique disparu) le . Guillaume Douarre est nommé en 1843 coadjuteur de Mgr Bataillon, responsable du vicariat d'Océanie Orientale. Mgr Douarre, entouré du père Rougeyron et des frères Blaise Marmoiton, Gilbert Roudaire et Jean Taragnat, célèbre sa première messe le en tant qu'évêque d'Amata sur la plage de Mahamate sous un banian qui existe encore actuellement. Blaise Marmoiton y connaît une fin tragique le . L'église de Balade retrace à travers ses vitraux la vie de cette mission mariste, qui va jouer un rôle primordial de régulation sociale dans tout le Grand Nord et jusqu'aux îles Belep. La tombe de Blaise Marmoiton est visible à deux pas de l'église. La cause de sa béatification a été introduite en 1919[1]. Le vicariat de Nouvelle-Calédonie devient indépendant en 1847. Un procès-verbal des événements de 1847, à Balade et à Pouébo, se trouve dans l'ouvrage du religieux Verguet (1854).

    Les religieux introduisent dès 1847 le porc et divers végétaux : vigne, figuier, pêcher, olivier, cerisier, néflier du Japon, papayer, chou, rave, oignon, tomate, aubergine, pomme de terre, canne à sucre…

    La mission de Balade se réfugie à Pouébo, et repart avec les militaires de La Brillante qui les emmène à l'île des Pins. Le Grand Chef de Pouébo, Hippolyte Bonou, se convertit au christianisme catholique et invite Monseigneur Douarre à venir s'installer à Pouébo. Il y meurt en .

    Puis le monde oublie Balade.

    1853

    Dans cette même rade de Balade, le , le navire Le Phoque, voilier à vapeur, avec 123 personnes à bord, amène le contre-amiral Auguste Febvrier Despointes qui prend officiellement possession de la région, et plus globalement de la Nouvelle-Calédonie, au nom de la France et de l'empereur des Français, avant de repartir... pour l'île des Pins.

    1863

    En 1863, Émile Lozeron, découvre un peu de poudre d'or dans les alluvions d'une rivière, près de Pouébo. Durant un an, des prospecteurs arrivent d'Australie, puis repartent. Plus loin, à Ouégoa, John Higginson rachète la mine Fern-Hill, qui produit de l'or pendant quatre ans.

    1864-1945

    • 1866 : Arrestation, suspension et dĂ©portation Ă  l'ĂŽle des Pins du hef Hippolyte Bonou, pour avoir protestĂ© contre l'occupation des terres de Muenbeng et avoir dĂ©clarĂ© refuser tout nouveau colon,
    • 1867 : L'affaire PouĂ©bo, aliĂ©nation de terres kanak, violences kanak, assassinat de Bailly et Venturini, attaque d'installations (Bertrand-Delrieu, DĂ©mĂ©nĂ©, Henry, etc), zone Nord (Boivon, Tchambène, Oubatche) en rĂ©volte, expĂ©dition de reprĂ©sailles (sous-lieutenant Tonnot),
    • 1867 : Tribunal militaire, neuf ou dix (tribu des MulĂ©bĂ©s) sont guillotinĂ©s, devant l'Ă©glise, après l'office (Pidjo, 2003), dont le chef NapolĂ©on WarĂ©bat, pour incapacitĂ© Ă  maĂ®triser son peuple. Pacte d'alliance de chefs contre la prĂ©sence militaire française, d'oĂą internement du chef Cohima, chef des Tendianous-Ouebia (alliĂ© aux chefs Paulaoma (Maloumes), Goa et Boula (des PaĂŻacs) et Moueaou-Boualoa-Poguili (des CounĂ©ga))[2] - [3]. Attaque de Poingouesse.
    • 1870 : CrĂ©ation de la rĂ©serve, sur 2224 hectares.
    • 1878 : La grande rĂ©volte kanak de 1878 touche particulièrement la rĂ©gion. Le chef Cohima malade cède la chefferie Ă  son frère DjĂ©oma, plus accomodant.
    • 1879 : L'emplacement de la guillotine, Ă  Ouvanou, et les noms des guillotinĂ©s est encore rappelĂ© aux enfants.
    • 1917 : RĂ©volte kanak de 1917
    • 1939-1945 : lors de la Seconde Guerre mondiale, l'aviso Chevreuil, des Forces navales françaises libres, est envoyĂ© en Nouvelle-CalĂ©donie, par le commandant de la Marine dans le Pacifique, le capitaine de frĂ©gate Cabanier, pour des missions de maintien de l'ordre. CommandĂ© par l'enseigne de vaisseau Fourlinnie, il fait un passage Ă  PouĂ©bo entre le 10 et le [4].

    Administration et politique

    Pouébo est un bastion traditionnel de l'Union calédonienne (UC), l'une des principales composantes du Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS) depuis 1984. C'est également l'une des communes où le Parti travailliste, créé en 2007 comme bras politique du syndicat indépendantiste et anticapitaliste de l'Union syndicale des travailleurs kanaks et des exploités (USTKE). Aux élections municipales de , la liste travailliste de Rock Doui est arrivée en tête (de peu) avec 382 voix (34,54 %, 7 conseillers municipaux sur 19) contre 368 (33,27 %, 6 élus) à l'UC du maire sortant Joseph Pada et 356 (32,19 %, 6 sièges) au Parti de libération kanak (Palika, autre composante du FLNKS) de Lionel Eymard Tiavouane[5]. Le Palika et l'UC se sont alors alliés, au nom du FLNKS, pour maintenir Joseph Pada dans son fauteuil de premier magistrat et pour faire obstacle au Parti travailliste[6].

    Le , tous les élus travaillistes et du Palika démissionnent, entraînant l'organisation d'un nouveau scrutin le 29 août suivant[7] : la formation de Rock Doui améliore encore son résultat (442 votes, soit 40,1 % des suffrages et 8 conseillers sur 19), tout comme l'UC (cette fois-ci tirée par Robert Nunewaie, mais toujours avec Joseph Pada comme candidat au poste de maire, 429 voix et 39 %, soit 7 élus) tandis que le Palika (dirigé alors par André-Lucien Pillot) s'effondre (à 230 bulletins et 20,9 %)[8]. Joseph Pada finit une nouvelle fois par être réélu maire le 10 septembre suivant, au 3e tour de scrutin, grâce une nouvelle fois au ralliement du Palika à sa candidature[9].

    Lors des élections municipales des 23 et , les premières à se dérouler en deux tours dans la commune, Joseph Pada décide de ne pas briguer de nouveau mandat de maire, laissant la place à Jean-Baptiste Dalap pour mener la liste de l'UC : celle-ci maintient sa prédominance dans la commune au premier tour avec 499 voix et 37,8 % des suffrages, tandis que les travaillistes de Rock Doui ne réitèrent pas leurs exploits précédents avec seulement 273 votes (20,68 %). Pour sa part, le Palika est parti divisé avec deux listes, celle officielle de Rodrig Tiavouane qui totalise 265 bulletins (20,08 %) et se maintient au second tour, et celle dissidente de André-Lucien Pillot qui arrive dernier avec 126 voix (9,55 %). Enfin, l'ancien maire UC puis FCCI Jean-Marc Pidjo, qui avait été battu en 2001 par Joseph Pada, mène une liste qui obtient 157 suffrages (11,89 %) et qui fusionne pour le deuxième tour avec celle du Parti travailliste de Rock Doui. Au second tour, dans une triangulaire, la liste UC l'emporte avec 666 voix et 46,15 % pour 14 sièges sur 19, contre 510 (35,34 %) et 3 élus à l'alliance entre Rock Doui et Jean-Marc Pidjo et 267 (18,5 %) pour 2 sièges au Palika de Rodrig Tiavouane.

    Aux Ă©lections municipales des 15 mars et , l'investiture de l'Union calĂ©donienne est retirĂ©e Ă  Jean-Baptiste Dalap, qui dĂ©cide toutefois de se reprĂ©senter de façon dissidente, pour ĂŞtre donnĂ©e Ă  Florentin Dedane. Au 1er tour, celui-ci arrive en tĂŞte avec 404 voix et 31,76 % des suffrages, devant le maire sortant qui totalise pour sa part 343 votes (26,96 %). Le Palika, en revanche, part pour sa part uni sous la conduite de Rodrig Tiavouane qui amĂ©liore donc son score avec 326 bulletins pour 25,62 % des voix. Et, cette fois, la FCCI, sous la conduite d'HiginĂ© Pidjo, s'allie au Parti travailliste de Rock Doui : ensemble, ils ferment la marche avec 199 suffrages (15,64 %). Au lendemain de ce premier vote, le second tour est reportĂ© au niveau national en raison de la pandĂ©mie de Covid-19 et ne peut finalement se tenir que le , les quatre listes du premier tour se maintenant toutes. Florentin Dedane y conforte son avance, Ă©tant le seul candidat Ă  voir son score augmenter en Ă©tant choisi par 531 Ă©lecteurs (42,24 %), ce qui lui fait gagner 14 des 19 sièges et donc le fauteuil de maire le 3 juillet suivant. Suivent assez loin derrière Rodrig Tiavouane pour le Palika (296 votes, 23,54 %, 2 Ă©lus), la liste du maire sortant Jean-Baptiste Dalap qui n'arrive finalement qu'en troisième position (290 voix, 23,07 %, 2 conseillers municipaux) et celle d'HiginĂ© Pidjo (140 suffrages, 11,13 %, 1 siège).

    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1961 1971 Lucio Pidjot UC
    1971 1989 Austien Dalap-Touyada UC puis FI-UC puis FLNKS-UC
    1989 1995 Francis Dalap FLNKS-UC
    1995 2001 Jean-Marc Pidjo FLNKS-UC puis FCCI
    2001 2014 Joseph Pada FLNKS-UC
    2014 2020 Jean-Baptiste Dalap FLNKS-UC
    2020 En cours Florentin Dedane FLNKS-UC
    Les données manquantes sont à compléter.

    DĂ©mographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1956. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee, mais la loi relative à la démocratie de proximité du a, dans ses articles consacrés au recensement de la population, instauré des recensements de la population tous les cinq ans en Nouvelle-Calédonie, en Polynésie française, à Mayotte et dans les îles Wallis-et-Futuna, ce qui n’était pas le cas auparavant[10]. Ce recensement se fait en liaison avec l'Institut de la statistique et des études économiques (ISEE), institut de la statistique de la Nouvelle-Calédonie. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[11], les précédents recensements ont eu lieu en 1996, 1989, 1983, 1976, 1969, 1963 et 1956.

    En 2019, la commune comptait 2 144 habitants[Note 1], en diminution de 12,56 % par rapport Ă  2014 (Nouvelle-CalĂ©donie : +0,98 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1956 1963 1969 1976 1983 1989 1996 2004 2009
    1 2941 3881 4721 7821 5032 2422 3522 3812 416
    2014 2019 - - - - - - -
    2 4522 144-------
    (Sources : Base Insee, population sans doubles comptes jusqu'en 1999[12] puis population municipale Ă  partir de 2006[13]. Isee)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Tribus

    • Aire coutumière Hoot ma Waap
      • District Balade : St Denis Balade, St Gabriel Balade, St Paul balade, Ste Marie Balade
      • District PouĂ©bo : Saint Adolphe, Saint Denis PouĂ©bo, Saint Ferdinand, Saint Gabriel PouĂ©bo, Saint Joseph, Saint Louis, Sainte Marie PouĂ©bo, Tchamboène, YambĂ©
      • District Le Djao : DiahouĂ©, Colnett, Paalo, Temeline (depuis 2010)

    Économie

    La banane est une production importante de la polyculture vivrière traditionnelle pratiquée dans les tribus de Pouébo.

    Elle est à l'origine d'un plat local, le Mwata (à base de banane vertes et mûres et de lait de coco, le tout enveloppé dans une feuille de bananier qui protège les ingrédients au cours de la cuisson), et revêt un caractère fortement identitaire pour les habitants de Pouébo.

    Chaque année depuis 1997, en octobre, sont organisées les « Journées Mwata consacrées à ce fruit et à ses préparations culinaires, avec de nombreuses animations des seize tribus.

    Personnalités

    • Chefs
      • BwĂ©on (BuĂ©hone), Grand chef de la grande chefferie Téâ Puma, anti-catholique, fusillĂ© le ,
      • Hippolyte Bonou (vers 1850), pro-catholique, arrĂŞtĂ© en 1866, suspendu, dĂ©portĂ© Ă  l'ĂŽle des Pins, pour avoir protestĂ© contre l'occupation des terres de Muenbeng,
      • Famille Pidjot
    • Musiciens
      • Waan (Racines), groupe de musique kanĂ©ka, dont un des premiers titres est Ouvanou (emplacement d la guillotine),
    • Religieux

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • FĂŞte annuelle de la banane, en octobre, avec les JournĂ©es Mwata (spĂ©cialitĂ© culinaire Ă  base de banane et de coco), animations traditionnelles par les seize tribus rĂ©unies, avec courses de chevaux,
    • Sculptures de la tribu protestante de YambĂ© (association DjĂ©wĂ©ro, centre d'accueil et d'exposition-vente),
    • Sculptures (bois et pierre-savon) des frères Wahoo, tribu de Tao, et de nombreux autres, avec stand de bord de route,
    • Initiations : pĂŞche, tressage /vannerie, sculpture, mwata,
    • Lagons, plages, sports nautiques,
    • RandonnĂ©es pĂ©destres et kayak, sentier Ă©cotouristique de MazĂ© DĂ©t (mangrove),
    • RĂ©serve botanique du mont PaniĂ©, et cascade de Tao,
    • Restaurant d'application du LP Gabriel-Rivat, en pĂ©riode scolaire, sur rĂ©servation,
    • Route de PouĂ©bo Ă  Hienghene, cascade de Colnett, et autres cascades, bac de la Ouaïème, vallĂ©e de la Tanghène,

    Repères routiers

    Sud-est, vers Hienghene, RMP 6

    • pont, RMP6 vers Saint-Denis,
    • PouĂ©bo est, mairie, bibliothèque, dispensaire, Ă©glise, plage, (village Ă©clatĂ©, mal signalĂ©),
    • Bâtiment Multi-Services (Pharmacie)
    • pont mĂ©tallique sur l'Oueb,
    • CĂŞbwĂŞn,
    • Tchambouenne, cocoteraie,
    • Oubatche, grand rĂ©cif de la Seine, oĂą La Seine s'est Ă©chouĂ©e,
    • YambĂ©, cocoteraie,
    • Dia HouĂ©,
    • WĂ©lic,
    • Paalo,
    • vallĂ©e de la Weina, relais de OuanĂ© Batch (en contrebas), snack des cascades, magasin Hipolyte
    • Cap Colnett, cocoteraie, cascade du mont Colnett (Pwe-Weina), Paalo, rĂ©cif Colnett, plage,
    • LĂ© WĂ© Wa,
    • PaniĂ©, Wayem, cascade de Tao ...

    Nord-ouest, vers Koumac, RPN 10 puis RPN 7

    • commune de PouĂ©bo
      • PouĂ©bo centre
      • pont, RM6 vers Saint-Denis, mont MandjĂ©lia (785 m)
      • M8 vers Saint-Matthieu,, plage, camping, pointe, grand rĂ©cif Pouma,
      • pont sur Pwi RĂ©nĂ©e, cocoteraie, Janisel Ouan,
      • pont PWa Yogac, cocoteraies : Saint-Paul, Saint-Gabriel, Sainte-Marie, Saint-Louis,
      • Balade, Ă©glise Saint-Denis, vitraux, monument au rattachement Ă  la Franceen 1853 (amiral Auguste Febvrier Despointes),
      • pont, RPN7, cocoteraie, plage de sable blanc de Mahamate / Maamat (2 km), banian de la première messe de NoĂ«l 1843,
      • tombeau de Hoan de Kermadec,
      • sortie nord vers Amos, cocoteraie, route de Pam (rĂ©serve de faune),
      • rivière, vallĂ©e, col (375 m), route en rĂ©fection en (sur 5 km, vers OuĂ©goa),
    • commune de OuĂ©goa
      • OuĂ©goa, vallĂ©e du Diahot,
      • route secondaire vers Paraoua, Poinboua, (Mangelia,)
      • route secondaire vers Tiari, pointe Nandiarane, Pam (rĂ©serve), Ă®le Pam, Ă®le Balabio,
      • route secondaire vers MĂ©rĂ©trice, Bwalayet, anciennes mines (or, cuivre), Arama,
      • route secondaire vers Manghine Saint-Ferdinand,
      • route secondaire RM3 et RM4 vers BondĂ©, mairie, dispensaire, collège, OuĂ©nia, OuĂ©nĂ©, Oueholle, Tilwit, Ouemou, Pagu, Paimboas, BoulĂ©as,
      • pont, route RM5 Ballagham et la Limite,
      • marais de Ballagham,
      • col du Grand Crève-cĹ“ur, col du Petit Crève-cĹ“ur,
      • sortie vers col de Koumac,
    • commune de Koumac
      • VallĂ©es de la Roche, des Palmiers, des Piquants,
      • le Pain de Sucre, mine Étoile du nord, la Roche PercĂ©e,
      • Les trois Creeks, la vallĂ©e de la Haute-NĂ©houĂ©,
      • RPN1, Chagrin, vallĂ©e de Chagrin vers Poum,
      • vers Pago, route du Pont des Catholiques,
      • Plateau des Lutteurs, Karaâk, Paop,
      • Koumac aĂ©rodrome,
      • Koumac centre.

    Notes et références

    Notes

    1. Population municipale légale en vigueur au , millésimée 2019, définie dans les limites territoriales en vigueur au , date de référence statistique : .

    Références

    Voir aussi

    Bibliographie

    • Claire-Marie-LĂ©opold Verguet (1817-1914), SociĂ©tĂ© de Marie, Histoire de la première mission catholique au vicariat de MĂ©lanĂ©sie, Carcassonne, 1854, rĂ©Ă©dition 2012 Ă  Montpellier (ATR) par LĂ©opold Verguet, pages 227-268,
    • Jean-Marc Pidjo, Le mwa teâma mwalebeng et le fils du soleil : organisation de l'espace foncier kanak en pays mwalebeng, NoumĂ©a, 2003, Le-Rocher-Ă -la-voile
    • JoĂ«l DauphinĂ©, PouĂ©bo, Histoire d'une tribu canaque sous le Second-Empire, 1992,
    • Dimitri Ignatieff, « PrĂ©sence dans le Pacifique des navires de la France Libre : Le Chevreuil », Revue Maritime, no 484,‎ , p. 96-99 (lire en ligne, consultĂ© le ).

    Articles connexes

    Liens externes

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