Souillac
Souillac (en occitan Solhac) est une commune française, située dans le nord du département du Lot, en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Martel, une région naturelle constituant le plus septentrional des quatre causses du Quercy, entre Limousin, vallées de la Tourmente et de la Dordogne.
Souillac | |
Vue générale. | |
Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
RĂ©gion | Occitanie |
DĂ©partement | Lot |
Arrondissement | Gourdon |
Intercommunalité | Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne (siÚge) |
Maire Mandat |
Gilles Liébus (LREM) 2020-2026 |
Code postal | 46200 |
Code commune | 46309 |
DĂ©mographie | |
Gentilé | Souillagais |
Population municipale |
3 203 hab. (2020 ) |
Densité | 124 hab./km2 |
GĂ©ographie | |
CoordonnĂ©es | 44° 54âČ 02âł nord, 1° 28âČ 45âł est |
Altitude | Min. 80 m Max. 314 m |
Superficie | 25,92 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Souillac (ville-centre) |
Aire d'attraction | Souillac (commune-centre) |
Ălections | |
DĂ©partementales | Canton de Souillac (bureau centralisateur) |
LĂ©gislatives | DeuxiĂšme circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | Site officiel |
ExposĂ©e Ă un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par la Dordogne, la BorrĂšze et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallĂ©e de la Dordogne quercynoise »), un espace protĂ©gĂ© (le « cours lotois de la Dordogne ») et cinq zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.
Souillac est une commune rurale qui compte 3 203 habitants en 2020. Elle est ville-centre de l'agglomération de Souillac et fait partie de l'aire d'attraction de Souillac. Ses habitants sont appelés les Souillagais ou Souillagaises.
Depuis 2009, des démarches sont en cours pour changer son nom en Souillac-sur-Dordogne[1].
GĂ©ographie
Souillac est une commune du nord du département du Lot, dans l'ancienne province du Quercy. Elle fait partie de l'unité urbaine de Souillac et de son aire urbaine. C'est une petite ville commerçante et touristique au centre d'une région fertile qui contraste par sa richesse avec la pauvreté des causses de Martel et de Gramat.
Communes limitrophes
La commune est limitrophe du département de la Dordogne à l'ouest[2]..
BorrĂšze (Dordogne) | Gignac | Lachapelle-Auzac | ||
Salignac-Eyvigues (Dordogne), Peyrillac-et-Millac (Dordogne) |
N | Mayrac | ||
O Souillac E | ||||
S | ||||
CazoulĂšs (Dordogne) | Lanzac | Pinsac |
Communications et transports
La commune est située sur la route départementale D 820 (ancienne RN 20), à 63 kilomÚtres au nord de Cahors, et 37 kilomÚtres au sud de Brive-la-Gaillarde (CorrÚze). Elle est également accessible par l'autoroute A20 (sortie no 55 sur la commune ) et par la SNCF Gare de Souillac.
Le sentier de grande randonnée GR 6 passe par Souillac, reliant Rocamadour au sud-est et Sarlat à l'ouest.
LâaĂ©roport de Brive-Souillac est en service depuis le . Il est desservi par des avions pour Paris toute l'annĂ©e et pour Ajaccio, Lyon, Porto et Londres en saison.
La gare de Souillac accueille des Intercités Paris-Cahors/Toulouse et des TER Brive-Toulouse.
Une liaison routiÚre Transpérigord existe également ; elle relie Sarlat à Souillac avec 3 allers-retours par jour, 4 pendant les grandes vacances.
Hydrographie
Souillac est située dans la vallée de la Dordogne, dont le cours délimite la ville au sud. Un autre cours d'eau, la BorrÚze, traverse le centre-ville.
Climat
Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il sâagit dâune zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].
Les paramĂštres climatiques qui ont permis dâĂ©tablir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.
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Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Ănergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Prats de Carlux », sur la commune de Prats-de-Carlux, mise en service en 1984[8] et qui se trouve Ă 13 km Ă vol d'oiseau[9] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 908,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et Ă 20 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă 12,7 °C pour 1981-2010[13], puis Ă 13,1 °C pour 1991-2020[14].
Espaces protégés
La protection rĂ©glementaire est le mode dâintervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[15] - [16].
La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu réserve de biosphÚre par l'UNESCO en juillet 2012[17] - [18].
Un autre espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : le « cours lotois de la Dordogne », objet d'un arrĂȘtĂ© de protection de biotope, d'une superficie de 569,6 ha[19].
RĂ©seau Natura 2000
Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallĂ©e de la Dordogne quercynoise »[21], d'une superficie de 5 567 ha, qui prĂ©sente des milieux aquatiques d'intĂ©rĂȘt majeur et de un important Ă©ventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d'espĂšces de l'annexe II, de nombreuses espĂšces localisĂ©es Ă rares aux niveaux rĂ©gional ou national[22].
Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique
Lâinventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective dâamĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil dâaide Ă la prise en compte de lâenvironnement dans lâamĂ©nagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[23] :
- les « grottes de la Forge et environs » (170 ha), couvrant trois communes : Salignac-Eyvigues en Dordogne ainsi que Lachapelle-Auzac et Souillac dans le Lot[24] - [25] ; environ la moitié orientale de ce site se situe sur Souillac, comme le montre la carte du site[26]. Trois espÚces déterminantes de chauves-souris et quatre de plantes phanérogames y ont été répertoriées[24] ;
- « la Dordogne quercynoise » (2 081 ha), couvrant 24 communes dont deux en CorrÚze, deux en Dordogne et vingt dans le Lot[27], qui comprend de nombreuses espÚces déterminantes (soixante-six animales et cinquante végétales) ;
- le « marais et pelouses de Lamothe-Timbergue » (41 ha), couvrant 2 communes du département[28] ;
- la « vallée du Blagour » (252 ha), couvrant 2 communes du département[29] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [23] : la « vallée de la Dordogne quercynoise » (8 758 ha), couvrant 28 communes[Note 7] : deux en CorrÚze, deux en Dordogne et vingt-quatre dans le Lot[30].
Souillac n'est pas mentionnĂ©e parmi les communes faisant partie de la ZNIEFF de type 2 « secteur forestier de BorrĂšze »[31]. Cependant, prĂšs de 80 hectares dans le sud-ouest et dans le nord de la commune â notamment prĂšs des lieux-dits Bourzolles et la Forge â en font nĂ©anmoins partie, comme le montre la carte du site[32].
- Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
- Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
Typologie
Souillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trÚs peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 8] - [33] - [I 1] - [34]. Elle appartient à l'unité urbaine de Souillac, une agglomération intra-départementale regroupant 2 communes[I 2] et 4 076 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3] - [I 4].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Souillac, dont elle est la commune-centre[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5] - [I 6].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne dâoccupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (65,2 % en 2018), une proportion identique Ă celle de 1990 (65,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (63,2 %), zones urbanisĂ©es (10,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,2 %), prairies (8,3 %), terres arables (2,9 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2,3 %), milieux Ă vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2 %), eaux continentales[Note 10] (1,2 %)[35].
L'IGN met par ailleurs Ă disposition un outil en ligne permettant de comparer lâĂ©volution dans le temps de lâoccupation des sols de la commune (ou de territoires Ă des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
Le territoire de la commune de Souillac est vulnĂ©rable Ă diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage[36]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[37].
Risques naturels
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles dâĂȘtre affectĂ©es par le risque dâinondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et la BorrĂšze. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan Ătat-rĂ©gion, visant Ă informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque dâinondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[38]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1993, 1996, 1999 et 2021[39] - [36].
Souillac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2015-2025. Les propriĂ©taires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mĂštres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situĂ©es Ă moins de 200 mĂštres de terrains en nature de bois, forĂȘts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brĂ»lage des dĂ©chets issus de lâentretien des parcs et jardins des mĂ©nages et des collectivitĂ©s est interdit. LâĂ©cobuage est Ă©galement interdit, ainsi que les feux de type mĂ©chouis et barbecues, Ă lâexception de ceux prĂ©vus dans des installations fixes (non situĂ©es sous couvert d'arbres) constituant une dĂ©pendance d'habitation[40].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines), des Ă©boulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements diffĂ©rentiels[41]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[42].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas dâalternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 40,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,7 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 434 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 965 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 67 %, Ă comparer aux 72 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[43] - [Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque dâaffaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[42].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[36].
Risques technologiques
Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă sa traversĂ©e par une route Ă fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible dâavoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions dâurbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[44].
La commune est en outre situĂ©e en aval des barrages de Saint-Ătienne-CantalĂšs et de Bort-les-Orgues, des ouvrages de classe A[Note 11] disposant d'une retenue de respectivement 133 millions[46] et 477 millions de mĂštres cubes[47] - . Ă ce titre elle est susceptible dâĂȘtre touchĂ©e par lâonde de submersion consĂ©cutive Ă la rupture d'un de ces ouvrages[48].
Toponymie
Le toponyme Souillac, en occitan Solhac, d'origine gallo-romaine, est basĂ© sur un anthroponyme Solius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-mĂȘme du celtique commun *-Äko-), souvent latinisĂ© en -acum dans les textes. C'est le domaine de Solius[49].
Durant la RĂ©volution, la commune porte le nom de Trente-un-Mai[50].
Ses habitants sont les Souillagais.
Histoire
Préhistoire
L'Igue du Lion, ou aven du Lion, est dĂ©couvert en 1997 Ă l'occasion de travaux sur l'autoroute[51]. Il a livrĂ© le squelette d'une lionne des cavernes[52] de moins de deux ans[53], morte Ă cet endroit peu avant que la cavitĂ© devienne inaccessible, ce qui a prĂ©servĂ© les vestiges du lion sans interfĂ©rence extĂ©rieure, pas mĂȘme celle d'animaux fouisseurs[51]. Les caractĂšres morphologiques de cet animal le rapprochent de l'espĂšce actuelle[52]. L'intĂ©rĂȘt de cette dĂ©couverte est en rapport avec le trĂšs petit nombre d'individus entiers retrouvĂ©s : lion de Cajarc (Lot) dĂ©couvert en 1892, lion de Montmaurin (Haute-Garonne) dĂ©couvert en 1956, lion de la grotte de Foissac (Aveyron) dĂ©couvert en 1965 (conservĂ© in situ), et les lions de l'Igue des Rameaux Ă Saint-Antonin-Noble-Val (Tarn-et-Garonne)[53].
Le gisement de Bramefond se trouve au lieu-dit du mĂȘme nom, entre l'autoroute et le bourg, Ă environ 2,2 km de la rive droite de la Dordogne[2]. Il a Ă©tĂ© dĂ©couvert en mĂȘme temps que l'aven du Lion[52] par N. Constans, lors du dĂ©caissement les assises calcaires de l'autoroute aprĂšs les Ă©valuations et sondages archĂ©ologiques systĂ©matiques[54]. En partie dĂ©truit depuis sa dĂ©couverte, c'est une fissure remplie d'une sĂ©dimentation dĂ©tritique. La faune de son remplissage est dominĂ©e par les grands herbivores : cheval, bovinĂ©[52] (17 restes de bison et 228 restes d'aurochs)[54], renne, cerf (Cervus Cervus simplicidens) et rhinocĂ©ros laineux (Coelodonta antiquitatis). La prĂ©sence de Equus caballus germanicus associĂ© Ă Cervus Cervus simplicidens date le site au stade isotopique 5. Une datation par ESR sur dent et une autre datation par U/Th sur plancher stalagmitique indiquent le sous-stade isotopique 5b[52] (82 Ă 87 ka).
Moyen Ăge
Au XIIIe siĂšcle, Souillac grandit autour d'une abbaye dĂ©pendant du monastĂšre bĂ©nĂ©dictin d'Aurillac (Cantal). Quand les BĂ©nĂ©dictins s'installent dans la plaine de SouillĂšs, ainsi nommĂ©e d'un mot local "souilh" signifiant "lieu boueux et marĂ©cageux oĂč se vautraient les sangliers"[55], ils remplacent une communautĂ© fondĂ©e Ă cet endroit par Saint Eloi[56]. Les moines assĂšchent sans relĂąche et transforment le marĂ©cage en un riche domaine. Plusieurs fois ruinĂ©e et saccagĂ©e par les Anglais au cours de la guerre de Cent Ans, Souillac se relĂšve grĂące Ă la tĂ©nacitĂ© des abbĂ©s, mais les guerres de religion lui causent encore de plus grands dĂ©sastres: en 1562, des bandes protestantes pillent le monastĂšre: dix ans plus tard, les bĂątiments conventuels sont la proie des flammes, seule l'Ă©glise abbatiale, bien protĂ©gĂ©e par ses coupoles, Ă©chappe Ă l'incendie[57].
XVIIIe siĂšcle
Entre 1795 et 1800, La commune absorbe celle voisine de Saint-Ătienne-Lacombe, peuplĂ©e de 218 habitants au recensement de 1793[58].
XIXe siĂšcle
Entre 1801 et 1806, elle absorbe la commune voisine de Bourzoles[50], peuplée de 87 habitants au recensement de 1800[59] - [60].
En 1819, la commune de Beaurepos, peuplée de 202 habitants au recensement de 1800[59], qui faisait partie du département de la Dordogne est rattachée à celui du Lot et fusionne avec Souillac[50] - [61].
Politique et administration
Liste des maires
Politique environnementale
En 2003, Souillac était récompensée par une fleur au palmarÚs du concours des villes et villages fleuris[64].
Jumelages
Auparavant, Souillac avait été jumelée avec Denny (Royaume-Uni), jusqu'à la disparition de la commune écossaise dans une fusion administrative au début des années 2000[65].
Population et société
DĂ©mographie
L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[66]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[67].
En 2020, la commune comptait 3 203 habitants[Note 12], en diminution de 4,84 % par rapport Ă 2014 (Lot : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,9 %).
Enseignement
- Lycée Louis-Vicat : enseignement général, technologique et professionnel du BEP/CAP au Bac pro et BTS (construction, menuiserie, énergétique [clim], génie civil)
- Lycée des métiers hÎteliers Quercy-Périgord
- CollĂšge du Puy dâAlon
- Ăcole de musique
Sports
- Club de rugby à XV, l'Union sportive Souillagaise, qui évolue en championnat Honneur du comité Limousin.
- Lieu de passage du Sentier de grande randonnée GR 6.
Culture et manifestations
- Souillac accueille depuis 1976 un festival de jazz qui est désormais nommé Festival Sim Copans.
- Le Musée de l'automate de Souillac organisait chaque année un festival du mime automate.
- Créée en 2003, l'Heure d'Orgue est une animation estivale (concerts) autour de l'orgue Stoltz (MH) de l'abbatiale.
Ăconomie
Revenus
En 2018, la commune compte 1 547 mĂ©nages fiscaux[Note 13], regroupant 2 798 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 800 âŹ[I 7] (20 740 ⏠dans le dĂ©partement[I 8]). 37 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 14] (44,9 % dans le dĂ©partement).
Emploi
2008 | 2013 | 2018 | |
---|---|---|---|
Commune[I 9] | 10,2 % | 14,9 % | 14,9 % |
DĂ©partement[I 10] | 7,3 % | 8,9 % | 9,6 % |
France entiĂšre[I 11] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population ùgée de 15 à 64 ans s'élÚve à 1 758 personnes, parmi lesquelles on compte 68,6 % d'actifs (53,7 % ayant un emploi et 14,9 % de chÎmeurs) et 31,4 % d'inactifs[Note 15] - [I 9]. Depuis 2008, le taux de chÎmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.
La commune est la commune-centre de l'aire d'attraction de Souillac[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 2 205 emplois en 2018, contre 2 415 en 2013 et 2 674 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 971, soit un indicateur de concentration d'emploi de 227,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 43,7 %[I 13].
Sur ces 971 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 627 travaillent dans la commune, soit 65 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 74,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 17,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].
Secteurs d'activités
458 établissements[Note 16] sont implantés à Souillac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 17] - [I 16].
Secteur d'activité | Commune | Département | |
---|---|---|---|
Nombre | % | % | |
Ensemble | 458 | 100 % | (100 %) |
Industrie manufacturiĂšre, industries extractives et autres | 40 | 8,7 % | (14 %) |
Construction | 39 | 8,5 % | (13,9 %) |
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration | 173 | 37,8 % | (29,9 %) |
Information et communication | 8 | 1,7 % | (1,8 %) |
Activités financiÚres et d'assurance | 18 | 3,9 % | (2,8 %) |
Activités immobiliÚres | 27 | 5,9 % | (3,5 %) |
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien | 61 | 13,3 % | (13,5 %) |
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale | 56 | 12,2 % | (12 %) |
Autres activités de services | 36 | 7,9 % | (8,7 %) |
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,8 % du nombre total d'établissements de la commune (173 sur les 458 entreprises implantées à Souillac), contre 29,9 % au niveau départemental[I 17].
Entreprises et commerces
Les entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[73] :
- Souillac Distribution, hypermarchĂ©s (enseignes E.Leclerc, Brico E.Leclerc et E.Leclerc Drive) (40 433 kâŹ) ;
- G.Pivaudran, mĂ©tallurgie pour le packaging de luxe (19 000 kâŹ) dĂ©tentrice du label EPV « Entreprise du Patrimoine Vivant » et sĂ©lectionnĂ© dans le cadre du dispositif France Relance et Territoires dâIndustrie depuis 2020[74] ;
- Val-Causse Distribution, commerce de gros (commerce interentreprises) de cĂ©rĂ©ales, de tabac non manufacturĂ©, de semences et d'aliments pour le bĂ©tail (11 592 kâŹ) ;
- Traitements Informatiq Professionnel S O - Tipso, autres activitĂ©s de soutien aux entreprises n.c.a. (2 746 kâŹ) ;
- Albareil, installation de machines et Ă©quipements mĂ©caniques (cuisines professionnelles[75]) (1 956 kâŹ) ;
- S46, activitĂ©s des agences de travail temporaire (enseigne Temporis) (917 kâŹ).
Agriculture
La commune est dans la vallée de la Dordogne », dans une petite région agricole occupant une petite partie (7 communes) du nord du territoire du département du Lot[76]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 18] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].
Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 20] Ă 24 en 2000 puis Ă 16 en 2010[78] et enfin Ă 11 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 72 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 60 % de ses exploitations[79] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 365 ha en 1988 Ă 119 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 9 Ă 11 ha[78].
Cité de la mode et des arts créatifs
Initié en 2017, un gigantesque projet de construction d'une « Cité de la Mode et du Luxe » vise a redynamiser le territoire en créant un ensemble immobilier de 30 hectares, constitué d'une centaine de magasins, un centre de formation, des restaurants haut de gamme et un hÎtel 5 étoiles ; le tout représentant un investissement de plus de 130 millions d'euros. Toutefois, le projet est critiqué[80] pour son aspect « pharaonique » et ses conséquences économiques[81] et environnementales.
En , dans un contexte de crise économique liée à la pandémie de Covid-19, les prétentions du projet sont revues à la baisse[82] - [83]
Lors du conseil communautaire du , le projet, jugé irréaliste, est finalement déclaré abandonné par la collectivité Causse et Vallée de la Dordogne, faute d'investisseurs[84] - [85].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- La halleLes bĂątiments de l'abbaye Sainte-Marie, rebĂątis aux XVIIe et XVIIIe siĂšcles, inscrits le au titre des monuments historiques[86].Le viaduc de la BorrĂšze vue de Souillac
- L'église abbatiale Sainte-Marie de Souillac du XIIe siÚcle, classée en 1840 au titre des monuments historiques[87]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[87]. Elle possÚde un orgue de tribune Stoltz, dont la partie instrumentale datant de 1850[88] a été classée le au titre des monuments historiques[89]. Il a été restauré en 1988[88], puis en 2017[90], par le facteur d'orgues Daniel Birouste. Son organiste titulaire est Christophe Loiseleur Des Longchamps depuis 1991[91].
- l'ancienne église Saint-Martin et son beffroi, classée en 1925 au titre des monuments historiques[92].
- Dolmen Laval, Ă©galement appelĂ© Tumulus Laval : ClassĂ© MH (1984) Notice no PA00095264 44° 54âČ 57âł N, 1° 27âČ 17âł E
- Le Pont Louis-Vicat, le premier au monde utilisant du ciment artificiel[Note 21].
- Les berges de la Dordogne romantiques et réputées.
- Le viaduc de la BorrÚze, aussi surnommé viaduc des Aubugues, du nom du quartier qu'il surplombe, construit de 1881 à 1885 au-dessus de la BorrÚze, inscrit le au titre des monuments historiques[93]. Il est le plus long des sept ouvrages ferroviaires (avec le viaduc du Sorbier, le viaduc du Boulet, le viaduc des Marjaudes, le viaduc de Présignac, le viaduc de Lamothe et le viaduc de Bramefond) qui ont valu à Souillac son surnom de Ville aux sept viaducs[94].
- Le musée de l'automate. Il abrite notamment une collection de plus de 300 automates et jouets mécaniques des XIXe et XXe siÚcles d'une des maisons les plus importantes dans le domaine : la maison Roullet-Decamps[95].
- Autour de ce musée fut constitué un parcours d'enseignes animées dans les rues de la ville, réalisées pour la plupart par un ferronnier d'art local.
- La halle construite de 1832 Ă 1836, inscrite en 2004 au titre des monuments historiques[96].
- Ateliers d'artistes.
- L'ancienne chapelle Notre-Dame du Port, détruite pour la construction du pont Louis-Vicat.
- Chapelle Saint-Ătienne Lacombe de Custals.
- Ăglise de Bourzolles. Alors qu'elle devait ĂȘtre rasĂ©e, l'Ă©glise est vendue par la ville de Souillac Ă Ătienne Cluzel, un passionnĂ© des vieilles pierres, qui l'a restaurĂ©e, en compagnie de proches[97].
Personnalités liées à la commune
- Jacques Auriac (1922-2003), peintre affichiste, citoyen d'honneur.
- Jean Bessonias, capitaine protestant.
- Pierre Betz, fondateur de la revue Le Point Ă Souillac qui reproduisit les premiĂšres photos de Robert Doisneau.
- Marcelle Cahen-Bergerol (1900-1989), artiste peintre, membre de la Société des arts en Quercy, résida à Souillac.
- Roger Couderc (1918-1984), journaliste sportif, spécialiste du rugby né à Souillac.
- Jean Deltheil (1795-1871), homme politique, né à Souillac.
- Marguerite Grépon (1891-1982), poétesse et diariste française féministe.
- Louis Malvy (1875-1949), homme politique, ministre de l'Intérieur de 1914 à 1917 et en 1926, maire de Souillac de 1929 à 1940.
- Edmond Massaud (1908-2000), homme politique mort Ă Souillac.
- Jacques Merquey (1929-), joueur de l'équipe de France de rugby à XIII, est né à Souillac.
- Nestor Romero, Ă©crivain et chroniqueur.
- Christian Toucas (1971-), accordéoniste.
- Hannu VÀisÀnen (1951-), artiste plasticien.
- Raymond de Verninac Saint-Maur, marin, commandant du Louxor qui transporta l'obĂ©lisque offert par l'Ăgypte Ă la France, ministre de la marine.
- Louis Vicat, inventeur du ciment artificiel, qui construisit le pont Louis-Vicat, premier au monde en ciment artificiel.
- Roger Vitrac (1899-1952), dramaturge, qui est nĂ© Ă Pinsac, mais qui a passĂ© sa petite enfance Ă Souillac, ville qui apparaĂźt de maniĂšre indirecte dans son Ćuvre, surtout dans Le Sabre de mon pĂšre.
- René Yronde (1915-2003), chroniqueur local, instituteur et journaliste.
HĂ©raldique
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Les armes de Souillac se blasonnent ainsi : D'or au chevron d'azur, accompagné en pointe d'une hure de sanglier de gueules, allumée et défendue d'argent. |
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Voir aussi
Bibliographie
- [Astruc et al. 1995] Jean G. Astruc, René Cubaynes (terrains liasiques), Jean-Paul Fabre (hydrogéologie karstique du causse de Martel), Jacques Galharague (substances minérales exploitées en carriÚres), Andrée Lefavrais-Raymond (terrains liasiques et itinéraire d'excursion géologique), Raymond Marcouly (chapitres « Sols, végétation et cultures » et « Pédologie »), Thierry Pélissié (terrains dû Jurassique moyen-supérieur), Jacques Rey (stratigraphie séquentielle du Jurassique), Régine Simon-Coinçon (terrains crétacés et tertiaires) et Alain Turq (préhistoire et archéologie), Notice explicative de la carte géologique à e no 809 « Souillac », Orléans, (ISBN 2-7159-1809-7, BNF 40846306, lire en ligne [PDF] sur ficheinfoterre.brgm.fr).
- Guy Maynard, Souillac sur Dordogne, assoc. DORAMI, 2003, Impr. le Ver luisant. 150 p. : ill., couv. ill. (ISBN 2-9510559-3-3[à vérifier : ISBN invalide]).
- Guy Maynard Bacs et ponts du cours de la Dordogne du Mont-Dore Ă Mareuil, 2005, assoc. DORAMI. Impr. Ăd. du Ver luisant, Brive. 148 p. : ill., couv. ill. (ISBN 978-2-9510559-4-0).
- [Pons 1923] P. Pons, Souillac et ses environs, Aurillac, Imprimerie de La Liberté, .
- Jacques Reix, Gabariers et bateliers de la Dordogne, Fanlac, 2003.
- Marguerite Vidal (conservateur des musées de Moissac), Jean Maury (agrégé de l'université), Jean Porcher (conservateur en chef du cabinet des manuscrits à la BibliothÚque nationale) et Jean Dieuzaide (photographies), Quercy roman, La Pierre-Qui-Vire (Yonne), éditions Zodiaque, coll. « La nuit des temps » (no 10), , 342 p. (ISSN 0768-0937, OCLC 77369786, BNF 33215348, SUDOC 007394829, présentation en ligne), p. 251-287.
Souillac dans la littérature française
- Denis Tillinac, Le Bonheur Ă Souillac, Paris, Ă©d. R. Laffont, .
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. AprÚs les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Dans les sites Natura 2000, les Ătats membres s'engagent Ă maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[20].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs dâune superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence dâespĂšces, dâassociation dâespĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Pour cette ZNIEFF, l'INPN compte 30 communes dont trois en CorrĂšze et 25 dans le Lot mais le territoire de la ZNIEFF ne fait que tangenter ceux d'Altillac en CorrĂšze et de Puybrun dans le Lot, comme le montre la carte du site.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[45].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
- Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et lâoccupation dâun logement connu Ă la taxe dâhabitation.
- La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'Ă©tablissement, au sens de lâInsee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
- Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les donnĂ©es relatives Ă la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[77].
- Le pont est en pierre. C'est pour réaliser la surface des fondations superficielles des piles que Louis Vicat a fait des recherches sur les ciments qui lui ont permis la mise au point des ciments artificiels. Le pont permet le franchissement de la Dordogne par la route de Paris à Toulouse par Montauban - Archim : Atlas Trudaine « Partie de la route de Paris à Toulouse depuis Souillac jusqu'à Montauban ».
- Cartes
- IGN, « Ăvolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă droite ou Ă gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă gauche de l'Ă©cran.
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- Notes sur la démographie
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Autres sources
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- « Souillac, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
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- [Costamagno et al. 1998(b)] Sandrine Costamagno, Serge Vigier, Jean-Guy Astruc et Monique Drieux, « Le gisement palĂ©ontologique de Bramefond (Autoroute A20, section 4, Brive-Souillac, Souillac, Lot) » (SĂ©ances de la SPF Toulouse, 28 mars 1998 - RĂ©sumĂ© de communication), Bulletin de la SociĂ©tĂ© prĂ©historique française, vol. 95, no 3,â , p. 425-426 (lire en ligne [sur persee]).
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