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Souillac

Souillac (en occitan Solhac) est une commune française, située dans le nord du département du Lot, en région Occitanie. Elle est également dans le causse de Martel, une région naturelle constituant le plus septentrional des quatre causses du Quercy, entre Limousin, vallées de la Tourmente et de la Dordogne.

Souillac
Souillac
Vue générale.
Blason de Souillac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
RĂ©gion Occitanie
DĂ©partement Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
(siĂšge)
Maire
Mandat
Gilles Liébus (LREM)
2020-2026
Code postal 46200
Code commune 46309
DĂ©mographie
Gentilé Souillagais
Population
municipale
3 203 hab. (2020 en diminution de 4,84 % par rapport Ă  2014)
DensitĂ© 124 hab./km2
GĂ©ographie
CoordonnĂ©es 44° 54â€Č 02″ nord, 1° 28â€Č 45″ est
Altitude Min. 80 m
Max. 314 m
Superficie 25,92 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Souillac
(ville-centre)
Aire d'attraction Souillac
(commune-centre)
Élections
DĂ©partementales Canton de Souillac
(bureau centralisateur)
LĂ©gislatives DeuxiĂšme circonscription
Localisation
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Souillac
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Souillac
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Souillac
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Souillac
Liens
Site web Site officiel

    ExposĂ©e Ă  un climat ocĂ©anique altĂ©rĂ©, elle est drainĂ©e par la Dordogne, la BorrĂšze et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possĂšde un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallĂ©e de la Dordogne quercynoise »), un espace protĂ©gĂ© (le « cours lotois de la Dordogne ») et cinq zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique.

    Souillac est une commune rurale qui compte 3 203 habitants en 2020. Elle est ville-centre de l'agglomĂ©ration de Souillac et fait partie de l'aire d'attraction de Souillac. Ses habitants sont appelĂ©s les Souillagais ou Souillagaises.

    Depuis 2009, des démarches sont en cours pour changer son nom en Souillac-sur-Dordogne[1].

    GĂ©ographie

    Souillac est une commune du nord du département du Lot, dans l'ancienne province du Quercy. Elle fait partie de l'unité urbaine de Souillac et de son aire urbaine. C'est une petite ville commerçante et touristique au centre d'une région fertile qui contraste par sa richesse avec la pauvreté des causses de Martel et de Gramat.

    Communes limitrophes

    La commune est limitrophe du département de la Dordogne à l'ouest[2]..

    Carte de la commune de Souillac et des proches communes.

    Communications et transports

    La commune est située sur la route départementale D 820 (ancienne RN 20), à 63 kilomÚtres au nord de Cahors, et 37 kilomÚtres au sud de Brive-la-Gaillarde (CorrÚze). Elle est également accessible par l'autoroute A20 (sortie no 55 sur la commune ) et par la SNCF Gare de Souillac.

    Le sentier de grande randonnée GR 6 passe par Souillac, reliant Rocamadour au sud-est et Sarlat à l'ouest.

    L’aĂ©roport de Brive-Souillac est en service depuis le . Il est desservi par des avions pour Paris toute l'annĂ©e et pour Ajaccio, Lyon, Porto et Londres en saison.

    La gare de Souillac accueille des Intercités Paris-Cahors/Toulouse et des TER Brive-Toulouse.

    Une liaison routiĂšre TranspĂ©rigord existe Ă©galement ; elle relie Sarlat Ă  Souillac avec 3 allers-retours par jour, 4 pendant les grandes vacances.

    Hydrographie

    Souillac est située dans la vallée de la Dordogne, dont le cours délimite la ville au sud. Un autre cours d'eau, la BorrÚze, traverse le centre-ville.

    Climat

    Le climat qui caractĂ©rise la commune est qualifiĂ©, en 2010, de « climat ocĂ©anique altĂ©rĂ© », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en mĂ©tropole[3]. En 2020, la commune ressort du mĂȘme type de climat dans la classification Ă©tablie par MĂ©tĂ©o-France, qui ne compte dĂ©sormais, en premiĂšre approche, que cinq grands types de climats en mĂ©tropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat ocĂ©anique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les Ă©carts de tempĂ©rature entre hiver et Ă©tĂ© augmentent avec l'Ă©loignement de la mer. La pluviomĂ©trie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

    Les paramĂštres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les tempĂ©ratures et huit pour les prĂ©cipitations, dont les valeurs correspondent Ă  la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractĂ©risant la commune sont prĂ©sentĂ©es dans l'encadrĂ© ci-aprĂšs.

    ParamÚtres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

    • Moyenne annuelle de tempĂ©rature : 12,9 °C
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature infĂ©rieure Ă  −5 °C : 3,5 j
    • Nombre de jours avec une tempĂ©rature supĂ©rieure Ă  30 °C : 10,4 j
    • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,2 °C
    • Cumuls annuels de prĂ©cipitation : 929 mm
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en janvier : 11,3 j
    • Nombre de jours de prĂ©cipitation en juillet : 6,9 j

    Avec le changement climatique, ces variables ont Ă©voluĂ©. Une Ă©tude rĂ©alisĂ©e en 2014 par la Direction gĂ©nĂ©rale de l'Énergie et du Climat[6] complĂ©tĂ©e par des Ă©tudes rĂ©gionales[7] prĂ©voit en effet que la tempĂ©rature moyenne devrait croĂźtre et la pluviomĂ©trie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations rĂ©gionales. Ces changements peuvent ĂȘtre constatĂ©s sur la station mĂ©tĂ©orologique de MĂ©tĂ©o-France la plus proche, « Prats de Carlux », sur la commune de Prats-de-Carlux, mise en service en 1984[8] et qui se trouve Ă  13 km Ă  vol d'oiseau[9] - [Note 3], oĂč la tempĂ©rature moyenne annuelle est de 12,4 °C et la hauteur de prĂ©cipitations de 908,3 mm pour la pĂ©riode 1981-2010[10]. Sur la station mĂ©tĂ©orologique historique la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961 et Ă  20 km[11], la tempĂ©rature moyenne annuelle Ă©volue de 12,4 °C pour la pĂ©riode 1971-2000[12], Ă  12,7 °C pour 1981-2010[13], puis Ă  13,1 °C pour 1991-2020[14].

    Espaces protégés

    La protection rĂ©glementaire est le mode d’intervention le plus fort pour prĂ©server des espaces naturels remarquables et leur biodiversitĂ© associĂ©e[15] - [16].

    La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 24 000 km2 reconnu rĂ©serve de biosphĂšre par l'UNESCO en juillet 2012[17] - [18].

    Un autre espace protĂ©gĂ© est prĂ©sent sur la commune : le « cours lotois de la Dordogne », objet d'un arrĂȘtĂ© de protection de biotope, d'une superficie de 569,6 ha[19].

    RĂ©seau Natura 2000

    Site Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le rĂ©seau Natura 2000 est un rĂ©seau Ă©cologique europĂ©en de sites naturels d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique Ă©laborĂ© Ă  partir des directives habitats et oiseaux, constituĂ© de zones spĂ©ciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spĂ©ciale (ZPS)[Note 4]. Un site Natura 2000 a Ă©tĂ© dĂ©fini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallĂ©e de la Dordogne quercynoise »[21], d'une superficie de 5 567 ha, qui prĂ©sente des milieux aquatiques d'intĂ©rĂȘt majeur et de un important Ă©ventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d'espĂšces de l'annexe II, de nombreuses espĂšces localisĂ©es Ă  rares aux niveaux rĂ©gional ou national[22].

    Zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intĂ©rĂȘt Ă©cologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de rĂ©aliser une couverture des zones les plus intĂ©ressantes sur le plan Ă©cologique, essentiellement dans la perspective d’amĂ©liorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux diffĂ©rents dĂ©cideurs un outil d’aide Ă  la prise en compte de l’environnement dans l’amĂ©nagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensĂ©es sur la commune[23] :

    et une ZNIEFF de type 2[Note 6] - [23] : la « vallĂ©e de la Dordogne quercynoise » (8 758 ha), couvrant 28 communes[Note 7] : deux en CorrĂšze, deux en Dordogne et vingt-quatre dans le Lot[30].

    Souillac n'est pas mentionnĂ©e parmi les communes faisant partie de la ZNIEFF de type 2 « secteur forestier de BorrĂšze »[31]. Cependant, prĂšs de 80 hectares dans le sud-ouest et dans le nord de la commune — notamment prĂšs des lieux-dits Bourzolles et la Forge — en font nĂ©anmoins partie, comme le montre la carte du site[32].

    • Cartes des ZNIEFF de type 1 et 2 Ă  Souillac.
    • Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
      Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
    • Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
      Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.

    Urbanisme

    Typologie

    Souillac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou trĂšs peu denses, au sens de la grille communale de densitĂ© de l'Insee[Note 8] - [33] - [I 1] - [34]. Elle appartient Ă  l'unitĂ© urbaine de Souillac, une agglomĂ©ration intra-dĂ©partementale regroupant 2 communes[I 2] et 4 076 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3] - [I 4].

    Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Souillac, dont elle est la commune-centre[Note 9]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catĂ©gorisĂ©e dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 5] - [I 6].

    Occupation des sols

    Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnĂ©es europĂ©enne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquĂ©e par l'importance des forĂȘts et milieux semi-naturels (65,2 % en 2018), une proportion identique Ă  celle de 1990 (65,1 %). La rĂ©partition dĂ©taillĂ©e en 2018 est la suivante : forĂȘts (63,2 %), zones urbanisĂ©es (10,9 %), zones agricoles hĂ©tĂ©rogĂšnes (9,2 %), prairies (8,3 %), terres arables (2,9 %), zones industrielles ou commerciales et rĂ©seaux de communication (2,3 %), milieux Ă  vĂ©gĂ©tation arbustive et/ou herbacĂ©e (2 %), eaux continentales[Note 10] (1,2 %)[35].

    L'IGN met par ailleurs Ă  disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires Ă  des Ă©chelles diffĂ©rentes). Plusieurs Ă©poques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aĂ©riennes : la carte de Cassini (XVIIIe siĂšcle), la carte d'Ă©tat-major (1820-1866) et la pĂ©riode actuelle (1950 Ă  aujourd'hui)[Carte 1].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Souillac est vulnĂ©rable Ă  diffĂ©rents alĂ©as naturels : mĂ©tĂ©orologiques (tempĂȘte, orage, neige, grand froid, canicule ou sĂ©cheresse), inondations, feux de forĂȘts, mouvements de terrains et sĂ©isme (sismicitĂ© trĂšs faible). Il est Ă©galement exposĂ© Ă  deux risques technologiques, le transport de matiĂšres dangereuses et la rupture d'un barrage[36]. Un site publiĂ© par le BRGM permet d'Ă©valuer simplement et rapidement les risques d'un bien localisĂ© soit par son adresse soit par le numĂ©ro de sa parcelle[37].

    Risques naturels

    Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’ĂȘtre affectĂ©es par le risque d’inondation par dĂ©bordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et la BorrĂšze. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-PyrĂ©nĂ©es rĂ©alisĂ©e dans le cadre du XIe Contrat de plan État-rĂ©gion, visant Ă  informer les citoyens et les dĂ©cideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[38]. La commune a Ă©tĂ© reconnue en Ă©tat de catastrophe naturelle au titre des dommages causĂ©s par les inondations et coulĂ©es de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1993, 1996, 1999 et 2021[39] - [36].

    Souillac est exposĂ©e au risque de feu de forĂȘt. Un plan dĂ©partemental de protection des forĂȘts contre les incendies a Ă©tĂ© approuvĂ© par arrĂȘtĂ© prĂ©fectoral le pour la pĂ©riode 2015-2025. Les propriĂ©taires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mĂštres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situĂ©es Ă  moins de 200 mĂštres de terrains en nature de bois, forĂȘts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brĂ»lage des dĂ©chets issus de l’entretien des parcs et jardins des mĂ©nages et des collectivitĂ©s est interdit. L’écobuage est Ă©galement interdit, ainsi que les feux de type mĂ©chouis et barbecues, Ă  l’exception de ceux prĂ©vus dans des installations fixes (non situĂ©es sous couvert d'arbres) constituant une dĂ©pendance d'habitation[40].

    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Souillac.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liĂ©s aux cavitĂ©s souterraines (hors mines), des Ă©boulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements diffĂ©rentiels[41]. Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[42].

    Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bĂątiments en cas d’alternance de pĂ©riodes de sĂ©cheresse et de pluie. 40,7 % de la superficie communale est en alĂ©a moyen ou fort (67,7 % au niveau dĂ©partemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 434 bĂątiments dĂ©nombrĂ©s sur la commune en 2019, 965 sont en en alĂ©a moyen ou fort, soit 67 %, Ă  comparer aux 72 % au niveau dĂ©partemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[43] - [Carte 2].

    Par ailleurs, afin de mieux apprĂ©hender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavitĂ©s souterraines permet de localiser celles situĂ©es sur la commune[42].

    Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2017, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[36].

    Risques technologiques

    Le risque de transport de matiĂšres dangereuses sur la commune est liĂ© Ă  sa traversĂ©e par une route Ă  fort trafic et une ligne de chemin de fer. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matĂ©riau transportĂ©. Des dispositions d’urbanisme peuvent ĂȘtre prĂ©conisĂ©es en consĂ©quence[44].

    La commune est en outre situĂ©e en aval des barrages de Saint-Étienne-CantalĂšs et de Bort-les-Orgues, des ouvrages de classe A[Note 11] disposant d'une retenue de respectivement 133 millions[46] et 477 millions de mĂštres cubes[47] - . À ce titre elle est susceptible d’ĂȘtre touchĂ©e par l’onde de submersion consĂ©cutive Ă  la rupture d'un de ces ouvrages[48].

    Toponymie

    Le toponyme Souillac, en occitan Solhac, d'origine gallo-romaine, est basĂ© sur un anthroponyme Solius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-mĂȘme du celtique commun *-āko-), souvent latinisĂ© en -acum dans les textes. C'est le domaine de Solius[49].

    Durant la RĂ©volution, la commune porte le nom de Trente-un-Mai[50].

    Ses habitants sont les Souillagais.

    Histoire

    Préhistoire

    L'Igue du Lion, ou aven du Lion, est dĂ©couvert en 1997 Ă  l'occasion de travaux sur l'autoroute[51]. Il a livrĂ© le squelette d'une lionne des cavernes[52] de moins de deux ans[53], morte Ă  cet endroit peu avant que la cavitĂ© devienne inaccessible, ce qui a prĂ©servĂ© les vestiges du lion sans interfĂ©rence extĂ©rieure, pas mĂȘme celle d'animaux fouisseurs[51]. Les caractĂšres morphologiques de cet animal le rapprochent de l'espĂšce actuelle[52]. L'intĂ©rĂȘt de cette dĂ©couverte est en rapport avec le trĂšs petit nombre d'individus entiers retrouvĂ©s : lion de Cajarc (Lot) dĂ©couvert en 1892, lion de Montmaurin (Haute-Garonne) dĂ©couvert en 1956, lion de la grotte de Foissac (Aveyron) dĂ©couvert en 1965 (conservĂ© in situ), et les lions de l'Igue des Rameaux Ă  Saint-Antonin-Noble-Val (Tarn-et-Garonne)[53].

    Le gisement de Bramefond se trouve au lieu-dit du mĂȘme nom, entre l'autoroute et le bourg, Ă  environ 2,2 km de la rive droite de la Dordogne[2]. Il a Ă©tĂ© dĂ©couvert en mĂȘme temps que l'aven du Lion[52] par N. Constans, lors du dĂ©caissement les assises calcaires de l'autoroute aprĂšs les Ă©valuations et sondages archĂ©ologiques systĂ©matiques[54]. En partie dĂ©truit depuis sa dĂ©couverte, c'est une fissure remplie d'une sĂ©dimentation dĂ©tritique. La faune de son remplissage est dominĂ©e par les grands herbivores : cheval, bovinĂ©[52] (17 restes de bison et 228 restes d'aurochs)[54], renne, cerf (Cervus Cervus simplicidens) et rhinocĂ©ros laineux (Coelodonta antiquitatis). La prĂ©sence de Equus caballus germanicus associĂ© Ă  Cervus Cervus simplicidens date le site au stade isotopique 5. Une datation par ESR sur dent et une autre datation par U/Th sur plancher stalagmitique indiquent le sous-stade isotopique 5b[52] (82 Ă  87 ka).

    Moyen Âge

    Au XIIIe siĂšcle, Souillac grandit autour d'une abbaye dĂ©pendant du monastĂšre bĂ©nĂ©dictin d'Aurillac (Cantal). Quand les BĂ©nĂ©dictins s'installent dans la plaine de SouillĂšs, ainsi nommĂ©e d'un mot local "souilh" signifiant "lieu boueux et marĂ©cageux oĂč se vautraient les sangliers"[55], ils remplacent une communautĂ© fondĂ©e Ă  cet endroit par Saint Eloi[56]. Les moines assĂšchent sans relĂąche et transforment le marĂ©cage en un riche domaine. Plusieurs fois ruinĂ©e et saccagĂ©e par les Anglais au cours de la guerre de Cent Ans, Souillac se relĂšve grĂące Ă  la tĂ©nacitĂ© des abbĂ©s, mais les guerres de religion lui causent encore de plus grands dĂ©sastres: en 1562, des bandes protestantes pillent le monastĂšre: dix ans plus tard, les bĂątiments conventuels sont la proie des flammes, seule l'Ă©glise abbatiale, bien protĂ©gĂ©e par ses coupoles, Ă©chappe Ă  l'incendie[57].

    XVIIIe siĂšcle

    Entre 1795 et 1800, La commune absorbe celle voisine de Saint-Étienne-Lacombe, peuplĂ©e de 218 habitants au recensement de 1793[58].

    XIXe siĂšcle

    Entre 1801 et 1806, elle absorbe la commune voisine de Bourzoles[50], peuplĂ©e de 87 habitants au recensement de 1800[59] - [60].

    En 1819, la commune de Beaurepos, peuplĂ©e de 202 habitants au recensement de 1800[59], qui faisait partie du dĂ©partement de la Dordogne est rattachĂ©e Ă  celui du Lot et fusionne avec Souillac[50] - [61].

    Politique et administration

    Liste des maires

    Liste des maires successifs
    PĂ©riode IdentitĂ© Étiquette QualitĂ©
    Les données manquantes sont à compléter.
    mars 1977 mars 2008 Alain Chastagnol RPR puis UMP Conseiller général
    mars 2008 mars 2014 Jean-Claude Laval PS
    mars 2014 mai 2020 Jean-Michel Sanfourche UMP
    mai 2020 En cours Gilles Liébus LREM[63] conseiller départemental (2015-2021)

    Politique environnementale

    En 2003, Souillac était récompensée par une fleur au palmarÚs du concours des villes et villages fleuris[64].

    Jumelages

    Auparavant, Souillac avait été jumelée avec Drapeau du Royaume-Uni Denny (Royaume-Uni), jusqu'à la disparition de la commune écossaise dans une fusion administrative au début des années 2000[65].

    Population et société

    DĂ©mographie

    L'Ă©volution du nombre d'habitants est connue Ă  travers les recensements de la population effectuĂ©s dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquĂȘte de recensement portant sur toute la population est rĂ©alisĂ©e tous les cinq ans, les populations lĂ©gales des annĂ©es intermĂ©diaires Ă©tant quant Ă  elles estimĂ©es par interpolation ou extrapolation[66]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© en 2004[67].

    En 2020, la commune comptait 3 203 habitants[Note 12], en diminution de 4,84 % par rapport Ă  2014 (Lot : +0,59 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

    Évolution de la population [ modifier ]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    1 3061 5671 4322 6033 0963 0463 0873 0763 248
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    3 2803 1283 1003 1153 1103 5863 6273 2183 069
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    3 1542 8812 7612 4612 5012 5132 6433 0092 907
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
    3 2093 6303 8453 5703 4593 6713 8983 9703 864
    2014 2019 2020 - - - - - -
    3 3663 2013 203------
    De 1962 Ă  1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee Ă  partir de 2006[68].)
    Histogramme de l'évolution démographique
    Évolution du rang de la commune
    selon la population municipale des années : 1968[69] 1975[69] 1982[69] 1990[69] 1999[69] 2006[70] 2009[71] 2013[72]
    Rang de la commune dans le département 5 5 6 6 4 4 4 6
    Nombre de communes du département 340 340 340 340 340 340 340 340


    Enseignement

    • LycĂ©e Louis-Vicat : enseignement gĂ©nĂ©ral, technologique et professionnel du BEP/CAP au Bac pro et BTS (construction, menuiserie, Ă©nergĂ©tique [clim], gĂ©nie civil)
    • LycĂ©e des mĂ©tiers hĂŽteliers Quercy-PĂ©rigord
    • CollĂšge du Puy d’Alon
    • École de musique

    Sports

    Culture et manifestations

    Économie

    Revenus

    En 2018, la commune compte 1 547 mĂ©nages fiscaux[Note 13], regroupant 2 798 personnes. La mĂ©diane du revenu disponible par unitĂ© de consommation est de 18 800 â‚Ź[I 7] (20 740 â‚Ź dans le dĂ©partement[I 8]). 37 % des mĂ©nages fiscaux sont imposĂ©s[Note 14] (44,9 % dans le dĂ©partement).

    Emploi

    Taux de chĂŽmage
    200820132018
    Commune[I 9]10,2 %14,9 %14,9 %
    DĂ©partement[I 10]7,3 %8,9 %9,6 %
    France entiĂšre[I 11]8,3 %10 %10 %

    En 2018, la population ĂągĂ©e de 15 Ă  64 ans s'Ă©lĂšve Ă  1 758 personnes, parmi lesquelles on compte 68,6 % d'actifs (53,7 % ayant un emploi et 14,9 % de chĂŽmeurs) et 31,4 % d'inactifs[Note 15] - [I 9]. Depuis 2008, le taux de chĂŽmage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supĂ©rieur Ă  celui de la France et du dĂ©partement.

    La commune est la commune-centre de l'aire d'attraction de Souillac[Carte 3] - [I 12]. Elle compte 2 205 emplois en 2018, contre 2 415 en 2013 et 2 674 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi rĂ©sidant dans la commune est de 971, soit un indicateur de concentration d'emploi de 227,1 % et un taux d'activitĂ© parmi les 15 ans ou plus de 43,7 %[I 13].

    Sur ces 971 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 627 travaillent dans la commune, soit 65 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 74,7 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 17,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,5 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

    Secteurs d'activités

    458 établissements[Note 16] sont implantés à Souillac au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 17] - [I 16].

    Secteur d'activitéCommuneDépartement
    Nombre % %
    Ensemble458100 %(100 %)
    Industrie manufacturiĂšre,
    industries extractives et autres
    408,7 %(14 %)
    Construction398,5 %(13,9 %)
    Commerce de gros et de détail,
    transports, hébergement et restauration
    17337,8 %(29,9 %)
    Information et communication81,7 %(1,8 %)
    Activités financiÚres et d'assurance183,9 %(2,8 %)
    Activités immobiliÚres275,9 %(3,5 %)
    Activités spécialisées, scientifiques et techniques
    et activités de services administratifs et de soutien
    6113,3 %(13,5 %)
    Administration publique, enseignement,
    santé humaine et action sociale
    5612,2 %(12 %)
    Autres activités de services367,9 %(8,7 %)

    Le secteur du commerce de gros et de dĂ©tail, des transports, de l'hĂ©bergement et de la restauration est prĂ©pondĂ©rant sur la commune puisqu'il reprĂ©sente 37,8 % du nombre total d'Ă©tablissements de la commune (173 sur les 458 entreprises implantĂ©es Ă  Souillac), contre 29,9 % au niveau dĂ©partemental[I 17].

    Entreprises et commerces

    Les entreprises ayant leur siÚge social sur le territoire communal qui génÚrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[73] :

    • Souillac Distribution, hypermarchĂ©s (enseignes E.Leclerc, Brico E.Leclerc et E.Leclerc Drive) (40 433 k€) ;
    • G.Pivaudran, mĂ©tallurgie pour le packaging de luxe (19 000 k€) dĂ©tentrice du label EPV « Entreprise du Patrimoine Vivant » et sĂ©lectionnĂ© dans le cadre du dispositif France Relance et Territoires d’Industrie depuis 2020[74] ;
    • Val-Causse Distribution, commerce de gros (commerce interentreprises) de cĂ©rĂ©ales, de tabac non manufacturĂ©, de semences et d'aliments pour le bĂ©tail (11 592 k€) ;
    • Traitements Informatiq Professionnel S O - Tipso, autres activitĂ©s de soutien aux entreprises n.c.a. (2 746 k€) ;
    • Albareil, installation de machines et Ă©quipements mĂ©caniques (cuisines professionnelles[75]) (1 956 k€) ;
    • S46, activitĂ©s des agences de travail temporaire (enseigne Temporis) (917 k€).

    Agriculture

    La commune est dans la vallée de la Dordogne », dans une petite région agricole occupant une petite partie (7 communes) du nord du territoire du département du Lot[76]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 18] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

    1988200020102020
    Exploitations39241611
    SAU[Note 19] (ha)365291192119

    Le nombre d'exploitations agricoles en activitĂ© et ayant leur siĂšge dans la commune est passĂ© de 39 lors du recensement agricole de 1988[Note 20] Ă  24 en 2000 puis Ă  16 en 2010[78] et enfin Ă  11 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 72 % en 32 ans. Le mĂȘme mouvement est observĂ© Ă  l'Ă©chelle du dĂ©partement qui a perdu pendant cette pĂ©riode 60 % de ses exploitations[79] - [Carte 6]. La surface agricole utilisĂ©e sur la commune a Ă©galement diminuĂ©, passant de 365 ha en 1988 Ă  119 ha en 2020[Carte 7]. ParallĂšlement la surface agricole utilisĂ©e moyenne par exploitation a augmentĂ©, passant de 9 Ă  11 ha[78].

    Cité de la mode et des arts créatifs

    InitiĂ© en 2017, un gigantesque projet de construction d'une « CitĂ© de la Mode et du Luxe » vise a redynamiser le territoire en crĂ©ant un ensemble immobilier de 30 hectares, constituĂ© d'une centaine de magasins, un centre de formation, des restaurants haut de gamme et un hĂŽtel 5 Ă©toiles ; le tout reprĂ©sentant un investissement de plus de 130 millions d'euros. Toutefois, le projet est critiquĂ©[80] pour son aspect « pharaonique » et ses consĂ©quences Ă©conomiques[81] et environnementales.

    En , dans un contexte de crise économique liée à la pandémie de Covid-19, les prétentions du projet sont revues à la baisse[82] - [83]

    Lors du conseil communautaire du , le projet, jugé irréaliste, est finalement déclaré abandonné par la collectivité Causse et Vallée de la Dordogne, faute d'investisseurs[84] - [85].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    Église Sainte-Marie de Souillac et anciens bñtiments conventuels attenants.
    Le beffroi.
    Enseigne animée.
    • la halle
      La halle
      Le viaduc de la BorrĂšze vu de Souillac
      Le viaduc de la BorrĂšze vue de Souillac
      Les bĂątiments de l'abbaye Sainte-Marie, rebĂątis aux XVIIe et XVIIIe siĂšcles, inscrits le au titre des monuments historiques[86].
    • L'Ă©glise abbatiale Sainte-Marie de Souillac du XIIe siĂšcle, classĂ©e en 1840 au titre des monuments historiques[87]. Plusieurs objets sont rĂ©fĂ©rencĂ©s dans la base Palissy[87]. Elle possĂšde un orgue de tribune Stoltz, dont la partie instrumentale datant de 1850[88] a Ă©tĂ© classĂ©e le au titre des monuments historiques[89]. Il a Ă©tĂ© restaurĂ© en 1988[88], puis en 2017[90], par le facteur d'orgues Daniel Birouste. Son organiste titulaire est Christophe Loiseleur Des Longchamps depuis 1991[91].
    • l'ancienne Ă©glise Saint-Martin et son beffroi, classĂ©e en 1925 au titre des monuments historiques[92].
    • Dolmen Laval, Ă©galement appelĂ© Tumulus Laval : Logo monument historique ClassĂ© MH (1984) Notice no PA00095264 44° 54â€Č 57″ N, 1° 27â€Č 17″ E
    • Le Pont Louis-Vicat, le premier au monde utilisant du ciment artificiel[Note 21].
    • Les berges de la Dordogne romantiques et rĂ©putĂ©es.
    • Le viaduc de la BorrĂšze, aussi surnommĂ© viaduc des Aubugues, du nom du quartier qu'il surplombe, construit de 1881 Ă  1885 au-dessus de la BorrĂšze, inscrit le au titre des monuments historiques[93]. Il est le plus long des sept ouvrages ferroviaires (avec le viaduc du Sorbier, le viaduc du Boulet, le viaduc des Marjaudes, le viaduc de PrĂ©signac, le viaduc de Lamothe et le viaduc de Bramefond) qui ont valu Ă  Souillac son surnom de Ville aux sept viaducs[94].
    • Le musĂ©e de l'automate. Il abrite notamment une collection de plus de 300 automates et jouets mĂ©caniques des XIXe et XXe siĂšcles d'une des maisons les plus importantes dans le domaine : la maison Roullet-Decamps[95].
    • Autour de ce musĂ©e fut constituĂ© un parcours d'enseignes animĂ©es dans les rues de la ville, rĂ©alisĂ©es pour la plupart par un ferronnier d'art local.
    • La halle construite de 1832 Ă  1836, inscrite en 2004 au titre des monuments historiques[96].
    • Ateliers d'artistes.
    • L'ancienne chapelle Notre-Dame du Port, dĂ©truite pour la construction du pont Louis-Vicat.
    • Chapelle Saint-Étienne Lacombe de Custals.
    • Église de Bourzolles. Alors qu'elle devait ĂȘtre rasĂ©e, l'Ă©glise est vendue par la ville de Souillac Ă  Étienne Cluzel, un passionnĂ© des vieilles pierres, qui l'a restaurĂ©e, en compagnie de proches[97].

    Personnalités liées à la commune

    HĂ©raldique

    Blason de Souillac

    Les armes de Souillac se blasonnent ainsi : D'or au chevron d'azur, accompagné en pointe d'une hure de sanglier de gueules, allumée et défendue d'argent.

    La devise de la commune est : « Je fais front ».

    Voir aussi

    Bibliographie

    • [Astruc et al. 1995] Jean G. Astruc, RenĂ© Cubaynes (terrains liasiques), Jean-Paul Fabre (hydrogĂ©ologie karstique du causse de Martel), Jacques Galharague (substances minĂ©rales exploitĂ©es en carriĂšres), AndrĂ©e Lefavrais-Raymond (terrains liasiques et itinĂ©raire d'excursion gĂ©ologique), Raymond Marcouly (chapitres « Sols, vĂ©gĂ©tation et cultures » et « PĂ©dologie »), Thierry PĂ©lissiĂ© (terrains dĂ» Jurassique moyen-supĂ©rieur), Jacques Rey (stratigraphie sĂ©quentielle du Jurassique), RĂ©gine Simon-Coinçon (terrains crĂ©tacĂ©s et tertiaires) et Alain Turq (prĂ©histoire et archĂ©ologie), Notice explicative de la carte gĂ©ologique Ă  e no 809 « Souillac », OrlĂ©ans, (ISBN 2-7159-1809-7, BNF 40846306, lire en ligne [PDF] sur ficheinfoterre.brgm.fr).
    • Guy Maynard, Souillac sur Dordogne, assoc. DORAMI, 2003, Impr. le Ver luisant. 150 p. : ill., couv. ill. (ISBN 2-9510559-3-3[Ă  vĂ©rifier : ISBN invalide]).
    • Guy Maynard Bacs et ponts du cours de la Dordogne du Mont-Dore Ă  Mareuil, 2005, assoc. DORAMI. Impr. Éd. du Ver luisant, Brive. 148 p. : ill., couv. ill. (ISBN 978-2-9510559-4-0).
    • [Pons 1923] P. Pons, Souillac et ses environs, Aurillac, Imprimerie de La LibertĂ©, .
    • Jacques Reix, Gabariers et bateliers de la Dordogne, Fanlac, 2003.
    • Marguerite Vidal (conservateur des musĂ©es de Moissac), Jean Maury (agrĂ©gĂ© de l'universitĂ©), Jean Porcher (conservateur en chef du cabinet des manuscrits Ă  la BibliothĂšque nationale) et Jean Dieuzaide (photographies), Quercy roman, La Pierre-Qui-Vire (Yonne), Ă©ditions Zodiaque, coll. « La nuit des temps » (no 10), , 342 p. (ISSN 0768-0937, OCLC 77369786, BNF 33215348, SUDOC 007394829, prĂ©sentation en ligne), p. 251-287.

    Souillac dans la littérature française

    • Denis Tillinac, Le Bonheur Ă  Souillac, Paris, Ă©d. R. Laffont, .

    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

    Notes et cartes

    • Notes
    1. Les normales servent Ă  reprĂ©senter le climat. Elles sont calculĂ©es sur 30 ans et mises Ă  jour toutes les dĂ©cennies. AprĂšs les normales 1971-2000, les normales pour la pĂ©riode 1981-2010 ont Ă©tĂ© dĂ©finies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font rĂ©fĂ©rence en Europe et dans le monde[5].
    2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critÚre de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
    3. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
    4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent Ă  maintenir dans un Ă©tat de conservation favorable les types d'habitats et d'espĂšces concernĂ©s, par le biais de mesures rĂ©glementaires, administratives ou contractuelles[20].
    5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en gĂ©nĂ©ral limitĂ©e, caractĂ©risĂ©s par la prĂ©sence d’espĂšces, d’association d’espĂšces ou de milieux rares, remarquables, ou caractĂ©ristiques du milieu du patrimoine naturel rĂ©gional ou national.
    6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
    7. Pour cette ZNIEFF, l'INPN compte 30 communes dont trois en CorrĂšze et 25 dans le Lot mais le territoire de la ZNIEFF ne fait que tangenter ceux d'Altillac en CorrĂšze et de Puybrun dans le Lot, comme le montre la carte du site.
    8. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
    9. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
    10. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
    11. Le classement des barrages est fonction de deux paramĂštres : hauteur et volume retenu[45].
    12. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
    13. Un mĂ©nage fiscal est constituĂ© par le regroupement des foyers fiscaux rĂ©pertoriĂ©s dans un mĂȘme logement. Son existence, une annĂ©e donnĂ©e, tient au fait que coĂŻncident au moins une dĂ©claration indĂ©pendante de revenus et l’occupation d’un logement connu Ă  la taxe d’habitation.
    14. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impÎt à acquitter au titre de l'impÎt sur le revenu des personnes physiques. L'impÎt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impÎts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
    15. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élÚves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
    16. L'Ă©tablissement, au sens de l’Insee, est une unitĂ© de production gĂ©ographiquement individualisĂ©e, mais juridiquement dĂ©pendante de l'unitĂ© lĂ©gale. Il produit des biens ou des services.
    17. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
    18. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
    19. Les donnĂ©es relatives Ă  la surface agricole utilisĂ©e (SAU) sont localisĂ©es Ă  la commune oĂč se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc ĂȘtre interprĂ©tĂ©s avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activitĂ© sur plusieurs communes, ou plusieurs dĂ©partements voire plusieurs rĂ©gions.
    20. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[77].
    21. Le pont est en pierre. C'est pour réaliser la surface des fondations superficielles des piles que Louis Vicat a fait des recherches sur les ciments qui lui ont permis la mise au point des ciments artificiels. Le pont permet le franchissement de la Dordogne par la route de Paris à Toulouse par Montauban - Archim : Atlas Trudaine « Partie de la route de Paris à Toulouse depuis Souillac jusqu'à Montauban ».
    • Cartes
    1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aĂ©riennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consultĂ© le ). Pour comparer l'Ă©volution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne sĂ©parative verticale et la dĂ©placer Ă  droite ou Ă  gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenĂȘtres en haut Ă  gauche de l'Ă©cran.
    2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
    3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
    4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
    Notes sur la démographie

      Site de l'Insee

      1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
      2. « Unité urbaine 2020 de Souillac » (consulté le ).
      3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
      4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unitĂ©s urbaines », (consultĂ© le ).
      5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
      6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier PĂ©gaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consultĂ© le ).
      7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Souillac » (consulté le ).
      8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
      9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Souillac » (consulté le ).
      10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
      11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entiÚre » (consulté le ).
      12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
      13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Souillac » (consulté le ).
      14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
      15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
      16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Souillac » (consulté le ).
      17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

      Autres sources

      1. Odile Le Gall, « Souillac deviendra-t-elle Souillac-sur- Dordogne ? », La DĂ©pĂȘche du Midi,‎ (lire en ligne)
      2. « Souillac, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
      3. Daniel Joly, Thierry Brossard, HervĂ© Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », CybergĂ©o, revue europĂ©enne de gĂ©ographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consultĂ© le )
      4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
      5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
      6. « Le climat de la France au XXIe siĂšcle - Volume 4 - ScĂ©narios rĂ©gionalisĂ©s : Ă©dition 2014 pour la mĂ©tropole et les rĂ©gions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consultĂ© le ).
      7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
      8. « Station Météo-France Prats de Carlux - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
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      10. « Station Météo-France Prats de Carlux - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
      11. « Orthodromie entre Souillac et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
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      19. « le « cours lotois de la Dordogne » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      20. Réseau européen Natura 2000, MinistÚre de la transition écologique et solidaire
      21. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Souillac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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      24. [PDF] - Grottes de la Forge et environs (Identifiant national 730030315), Sylvain Déjean, Groupe ChiroptÚres de Midi-Pyrénées, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
      25. « ZNIEFF les « grottes de la Forge et environs » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      26. Carte de la ZNIEFF 730030315, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
      27. « ZNIEFF « la Dordogne quercynoise » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
      28. « ZNIEFF le « marais et pelouses de Lamothe-Timbergue » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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      32. Carte de la ZNIEFF 720008196, INPN, consultĂ© le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut Ă  droite sur la fenĂȘtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
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